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ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES

25 000 abeilles ont élu domicile chez l’infirmière !

Publié à 12:47 par yvonne92110 Tags : animaux 25000 abeilles ont élu domicile chez infirmière
25 000 abeilles ont élu domicile chez l’infirmière !

25 000 abeilles ont élu domicile chez l’infirmière  ...

 

Quelle n’a pas été la surprise de l’infirmière, et de son mari, pompier professionnel, de voir un essaim d’abeilles, envahir leur domicile, sur la palissade du jardin.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                         « Pendant 30 minutes, il y a eu un étrange vrombissement au-dessus du quartier, comme si c’était un hélicoptère qui tournait au loin. Je ne savais pas ce que c’était à ce moment-là. Je me suis précipitée à l’intérieur de ma voiture, juste à temps ! », a déclaré l’infirmière.

                                                                                                                                                                                                                                                                                            25 000 abeilles :

                                                                                                                                                                                                            Le lendemain matin, Wilfried Esnault, apiculteur à Pluduno, a mis l’essaim au sol et a pris un paquet d’abeilles qu’il a posé à l’intérieur de sa ruche.

                                                                                                                                                                                                                                          La reine étant au milieu de ce paquet, les autres se sont regroupées autour d’elle. Cet apiculteur a estimé à 25 000 le nombre d’abeilles dans l’essaim.

                                                                                                                                                                                                                                                                         Maintenant, elles vont poursuivre leur vie et se développer au cours de la saison en allant chercher du pollen, à Pluduno.

Pour vous les p'tits Bouts ... les grands aussi !

Publié à 16:53 par yvonne92110 Tags : animaux pour vous les ptits bouts les grands aussi

Maisons spectaculaires : construites par des animaux !

Publié à 12:45 par yvonne92110 Tags : animaux maisons spectaculaires construites animaux
Maisons  spectaculaires : construites par des animaux !
Les secrets de l’architecture ne sont pas uniquement réservés aux humains ! La preuve avec ces surprenantes constructions qui prouvent que les animaux peuvent eux aussi être des bâtisseurs renommés et fabriquer d’impressionnantes habitations.

 

1. Termite Spinifex, Australie : (ci-dessus)

Ces termites construisent des tours de plus de 6 mètres de hauteur, chacune pouvant accueillir entre 2 et 3 millions d’individus.

2. Escargot marin, fond des océans tropicaux :

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Ces mollusques remarquables utilisent leur carapace comme base et y accolent des graviers, d’autres carapaces et des débris pour améliorer leur protection contre les prédateurs.

3. Fourmi Oecophylla, Autralie :

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Les nids sont construits par les fourmis qui utilisent leurs mandibules pour rapprocher les feuilles entre elles. Elles les cousent ensuite grâce à la soie produite par leurs larves.

4. Jardinier brun, Indonésie :

animal-construction-habitat4

Construite par le mâle, cette demeure d’oiseau se nomme un boudoir. Tout ce qui est coloré est utilisé comme décoration dans le but d’attirer les femelles.

5. Fourmi rouge d’Europe, Allemagne :

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Bien que la taille de ces fourmis ne dépasse pas un centimètre, leurs fourmilières mesurent presque 2 mètres de haut et sont construites de telle manière que l’eau est incapable de s’écouler à l’intérieur.

6. Termite boussole, Australie :

animal-construction-habitat6

Non seulement ces termites construisent des maisons de 3 mètres de haut, mais celles-ci sont également orientées nord-sud avec une surface plane et un système de ventilation pour garder une température agréable à l’intérieur.

7. Tisserin baya, Namibie :

animal-construction-habitat7

 Ces oiseaux construisent leurs nids avec des brins d’herbe fraîche, ce qui permet de les tisser entre eux alors qu’ils sont encore flexibles. Le soleil les durcit ensuite, transformant l’édifice en quelque chose de solide qui n’est accessible que par la base.

8. Rémiz penduline, Europe et Asie :

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Le mâle oiseau fabrique ce nid à partir de fibres végétales, de toile d’araignée et de laine naturelle, en espérant attirer une femelle qui pondra entre 5 et 8 oeufs à l’intérieur.

9. Guêpe commune, à travers le monde :

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Très commun sur toute la planète, cet insecte mérite que l’on s’attarde sur sa capacité à créer des ruches faites de papier de bois mâché.

10. Castor, Canada :

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Ce rongeur est capable de créer d’impressionnants barrages avec des branches d’arbres qu’il coupe et assemble lui-même. Les réservoirs qui en découlent sont de fantastiques réserves de biodiversité.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                     (Source : Daily Geek Show/Twenty Two Words)

Avoir un bon copain ... ne sont-ils pas attendrissants !

Publié à 15:31 par yvonne92110 Tags : animaux avoir un bon copain ils sont attendrissants
Avoir un bon copain   ...  ne sont-ils pas attendrissants !

 

(source :  Pixdaus.com)
 

Japon ... Appartement pour oiseau !

Publié à 12:27 par yvonne92110 Tags : animaux japon appartement pour oiseaux
Japon     ...    Appartement pour oiseau  !
Appartement pour oiseau  :
 
 

2                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Une nouvelle fois, le studio japonais Nendo nous présente la cabane pour oiseaux « Bird Apartment ». Ce nichoir en bois compte 78 entrées pour les oiseaux d’un côté et une grande porte pour l’homme de l’autre coté. Un lieu qui permet à l’homme de contempler les oiseaux par des judas placés sur l’un des coté de la maison.

 

(Source : Fubiz)

hebergeur d'image

hebergeur d'image

"Les gens devraient arrêter d’acheter des chiens" ...

Publié à 12:52 par yvonne92110 Tags : animaux arretons d acheter des chiens comme objets
"Les gens devraient arrêter d’acheter des chiens"  ...
"Les gens devraient arrêter d’acheter des chiens" ... comme un "objet" !
  
 

"Toutes les 11 secondes, un chat ou chien meurt, seulement parce qu’il n’était pas désiré ou n’avait nulle part où aller."

                                                                                                                                                                                                                                                                     Alyssa Garrison, une rédactrice du blog xoJane, explique que les gens l’arrêtent constamment dans la rue pour lui demander de quelle race est son chien, Honey, et où ils pourraient acheter le même.

                                                                                                                                                                                                                                                             "En vérité, je ne sais pas grand chose sur Honey", écrit Alyssa, "à part que c’est le chien le plus gentil du monde, et qu’elle serait morte si j’avais acheté un chiot comme je le voulais."

                                                                                                                                                                                                                                                               Il y a deux ans, quand Alyssa a déménagé avec son copain, elle avait en effet très envie d’acheter un chiot, une "petite boule de poils mignonne" comme un spitz nain ou quelque chose d’aussi adorable. Elle s’est mise à traîner sur Craigslist ou Kijiji en tentant d’évaluer combien cela allait lui coûter.

                                                                                                                                                                                                                                                                                           Mais après quelques semaines, le plan d’Alyssa tombe à l’eau quand elle reçoit un sms d’une amie, qui l’informe qu’une femme recherche des personnes dans la région de Toronto pour accueillir des chiens.

                                                                                                                                                                                                                                        Cette femme se prénomme Dolores, une amoureuse des chiens et des Beagles en particulier, qui a transformé sa maison en refuge. Elle révèle à Alyssa qu’au Kentucky, 99% des Beagles doivent être euthanasiés, parce qu’il y en a trop, et que personne n’en veut.

                                                                                                                                                                                                                  Quand Honey arrive chez Alyssa, elle s’attend au pire. "J’avais toujours pensé que les chiens des refuges étaient un peu bizarres et avaient toutes sortes de problèmes, que c’était pour ça que les gens n’en voulaient pas."

                                                                                                                                                                                                                                                                    "Et puis j’ai vu Honey. Une taille parfaite, la tête la plus mignonne, un comportement exemplaire et bien éduquée", explique Alyssa. "C’était le chien que j’attendais depuis toujours. Comment aurait-on pu euthanasier cette créature aimante, gentille et en bonne santé ?"

                                                                                                                                                                                                                                                                       Si Alyssa comprend que l’on puisse avoir envie d’un beau chien de race, elle a aujourd’hui beaucoup de mal à se réjouir pour ses amis qui veulent en acheter et n’envisagent pas d’abord d’adopter un animal malchanceux. 

                                                                                                                                                                                                                                                                              "Nous avons tous des préférences esthétiques, mais est-ce que l’apparence d’un chien doit déterminer s’il mérite d’être adopté ou pas ? Tant de chiens meurent, aux USA ou ailleurs, et nous en sommes responsables."

                                                                                                                                                                                                                                             (Source : 7s7)

Un apiculteur conçoit une combinaison très spéciale !

Publié à 12:40 par yvonne92110 Tags : animaux un apiculteur concoit une combinaison ane
Un apiculteur conçoit une combinaison très spéciale  !
Pour éviter à son âne de se faire piquer, cet apiculteur a conçu une combinaison très spéciale ...
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Pour parvenir à augmenter sa récolte annuelle de miel, l’apiculteur brésilien Manuel Juraci a imaginé une solution étonnante en faisant appel un partenaire de travail pour le moins singulier. Pour l’aider à récolter la précieuse marchandise laissée par ses abeilles, Manuel Juraci se fait aider par Boneco, un âne pour qui l’apiculteur a même imaginé une tenue de protection adaptée.

                                                                                                                                                                                                                                                                              Au Brésil où il réside dans la petite ville de Itatira, Manuel Juraci, 59 ans, ne passe pas inaperçu. Apiculteur de son métier, celui-ci a en effet une méthode bien à lui pour lui permettre de récolter plus de miel que les 120 autres apiculteurs qui travaillent dans la région de Ceará. Pour augmenter sa récolte, l’homme a en effet décidé de faire appel à Boneco, son âne avec qui Manuel travaille désormais main dans la main.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Un duo d’apiculteurs pas comme les autres :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Pour permettre à son animal de travailler avec lui sans craindre de se faire piquer par les abeilles, Manuel Juraci a imaginé tout spécialement pour Boneco une tenue réalisée sur-mesure et permettant de couvrir le corps, les pattes, l’encolure ainsi que la tête de l’animal. Pour protéger les autres parties du corps du quadrupède comme ses longues oreilles, Manuel Juraci a fait réaliser pour Boneco une sorte de bonnet avec une armature qui forme une coque permettant à l’animal de pouvoir bouger ses oreilles à loisir.

                                                                                                                                                                                                                                                                                             Pour finir, Juraci a également fait placer une moustiquaire montée sur des arceaux pour permettre à Boneco de conserver un champ de vision correct tout en se trouvant aussi bien protégé que son maitre. Avec une pareille armure pour aller travailler, l’âne et son propriétaire font régulièrement sensation dans la région en éveillant la curiosité à leur sujet. "L’âne est le seul dans tout le Brésil a pouvoir faire ce travail", confie Manuel interrogé par la télévision locale G1 Ceara.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Une invention qui pourrait faire école :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                      À la fois enchantée et intriguée par le costume créé par Manuel Juraci pour son âne, l’Association des producteurs de miel ne cache pas qu’elle aimerait à l’avenir voir davantage de ces tenues de protection vêtir d’autres ânes de la région. Inventeur reconnu localement, Manuel Juraci promet qu’il va désormais réfléchir à la question et produire d’autres costumes similaires pour les autres ânes de ses confrères apiculteurs. Même si celui-ci confie qu’il ne doit pas son succès seulement à son invention pour son âne, mais aussi aux efforts quotidiens du courageux Boneco.
                                                                                                                                                                                                                                                   (Source : Yahoo)

Quand les animaux font de l’art ...

Publié à 12:08 par yvonne92110 Tags : animaux quand les animaux font de l art
Quand les animaux font de l’art  ...
Quand les animaux font de l’art  ...
 
 

L’art animal est une réalité tangible qui se chiffre en milliards de dollars. Des toiles produites par des animaux se vendent de par le monde. Dressage ou talent spontané ? Les animaux sont-ils capables de faire de l’art ?

 

Si pour certains la crédibilité des performances artistiques de nos amis les animaux est questionnable, elle est, pour les galeristes, les acheteurs et les experts en création animale, une réalité tangible. « La création animale est un domaine extrêmement lucratif. En 2010, on a estimé que les ventes d’œuvres d’art exécutées par des animaux atteignaient 100 milliards de dollars US annuellement à travers le monde », avance le Magazine Animal en novembre 2011.

                                                                                                                                                                                                                                        Les vidéos de dressage à la peinture d’éléphants thaïlandais ou les rumeurs de trucages photos de chats en train de peindre laissent présager que les animaux ne seraient pas capables de créer seuls. Les experts de l’art nous vendent-ils des mérites inexistants ? Peut-être pas.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Certains animaux peignent sans contraintes. Ils prennent de la peinture et l’étalent sur des toiles. Ils restent concentrés le temps de leur performance. Ils répètent l’opération un grand nombre de fois. Si d’un point de vue esthétique leur production peut être questionnée, elle reste le résultat de leur désir … de peindre.

                                                                                                                                                                                                                  Un singe entre dans l’histoire de l’art :

                                                                                                                                                                                                            En 1956, Desmond Morris, un zoologiste et peintre surréaliste anglais, offre un crayon et du papier à son chimpanzé. « Quelque chose d’étrange se dessinait au bout de son crayon. C’était le premier trait de Congo. Il l’a poursuivi un peu, puis s’est arrêté. Allait-il recommencer ? Oui. Il a recommencé, encore et encore », raconte le zoologiste. Son singe de deux ans aime dessiner et peindre. Il fait même preuve d’un certain sens de la composition. Lorsque Desmond Morris peint avec lui, Congo s’empresse de rééquilibrer la composition générale. Ce chimpanzé a le sens de la symétrie. Rapidement ses sessions de peinture deviennent régulières. Et si son maître essaie de lui retirer une toile avant qu’il n’ait fini, Congo se met à pousser des cris et à se débattre. « Alors que quand j’essayais de le persuader de continuer à peindre après qu’il ait considéré qu’une peinture était achevée, il refusait de manière catégorique ». Congo est maître de sa production. Il peindra plus de 400 toiles, qui attirent rapidement la curiosité du monde de l’art.

                                                                                                                                                                                                                        Son travail suscite un tel intérêt qu’en 1957, l’Institut d’Art Contemporain de Londres monte une large exposition de ses toiles, jugées d’un style « expressionniste abstrait », s’il vous plaît. Le débat fait rage parmi les critiques. Est-ce de l’art ? Quoi qu’il en soit, une peinture de Congo trône dans le studio de Picasso. Miro et Dali comptent parmi ses collectionneurs. Congo décède en 1964 mais l’histoire ne s’arrête pas là. En 2005, trois de ses peintures sont présentées chez Bonhams, aux enchères. Elles sont vendues pour un total de 26 000 dollars, vingt fois le prix estimé au départ. A leurs cotés des œuvres de Renoir et Warhol sont retirées de la vente par manque d’offres . En 2010, la dernière toile réalisée par Congo se vend pour la somme de 10 000 dollars . « Les gens semblent penser que ces peintures sont une forme véritable de créativité », commente l’un des portes paroles de Bonhams. Pour Desmond Morris, il n’y a pas de doute, l’œuvre de Congo « est véritablement de l’art dans son sens le plus pur ».

                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Un cheval expose à la biennale de Venise :

                                                                                                                                                                                                                                          Surnommé « Cholla cactus » à cause de son tempérament sauvage, ce mustang né en 1985 dans le Nevada ne se laisse pas dresser si facilement. Si bien qu’au bout de 5 ans, ses anciens propriétaires le vendent à Renee Chambers, une ancienne danseuse. Tranquillement, elle l’amadoue et gagne sa confiance. Un jour où Renée Chambers repeint son enclos, Cholla manifeste de l’intérêt pour cette activité qui semble lui plaire. Il se saisit d’un pinceau avec la bouche et se met tant bien que mal à peindre aussi. Amusée, la propriétaire propose des pinceaux, des aquarelles et une toile posée sur un chevalet à Cholla. A son grand étonnement, au lieu d’envoyer valser le matériel ou de mordiller le pinceau, il se met à peindre. Choisissant lui-même ses couleurs, il fait bouger le pinceau avec la langue ou en déplaçant la tête. « Il va sans dire que ce cheval n’a pas été dressé pour peindre », précise son galeriste italien.

                                                                                                                                                                                                                              Cholla est-il un artiste ? Ce qui est sûr c’est que ses toiles d’un style épuré et graphique attirent rapidement l’intérêt des connaisseurs. Exposé de San Francisco à New York, le cheval reçoit en 2008 les « mentions d’honneur » au concours Artelaguna en Italie. Le président du jury souligne « la nature provocative du geste ». A peine un an plus tard, ses œuvres sont présentées à la Giudecca 795 Art Gallery lors de la Biennale de Venise, l’une des plus grandes manifestations mondiales d’art contemporain. Le succès est tel que la galerie décide de prolonger l’exposition de 4 mois et Renee Chambers de reverser une partie des ventes à des associations de défense des mustangs au Nevada. Cholla est mort en 2013.

                                                                                                                                                                                                                                                    Première « dog » performeuse :

                                                                                                                                                                                                                            Pour ses 30 ans, Archer Hastie reçoit un cadeau spécial. Tillamook Cheddar, « Tillie » pour les intimes, est une chienne Jack-Russel. Tillie a 6 mois lorsque son heureux propriétaire la voit en train de gratter la page de son bloc-notes de manière insistante. Il décide d’insérer dans son carnet une feuille de carbone pour rendre visibles les traces de griffes que sa chienne persiste à faire. Il est surpris par la qualité de l’image qu’il découvre. Archer Hastie met alors à disposition de sa chienne un morceau de papier enduit fixé sur un panneau de mousse ainsi que des peintures non toxiques. Tillie est ravie. Se plaçant sur le panneau, elle raie le support avec ses griffes, le lèche afin de mélanger les couleurs. Le tout est accompagné de grognements et d’aboiements de satisfaction. Sa technique est décrite comme étant « vigoureuse et frénétique ».

                                                                                                                                                                                                                                               A 9 mois, Tillie fait sa première exposition à Brooklyn. Ses toiles seront montrées dans plusieurs pays dont la Belgique et le Japon. En 2002, elle apparaît sur la chaine de télévision CNN. En 2005, The Art Newspaper la décrit comme « l’animal artiste la plus accomplie ». Tillie bénéficie aussi d’une vie de famille, et l’un des petits auxquels elle a donné naissance en juillet 2005 sera gardé auprès d’elle. Ce jeune Jack-Russel ne manifeste aucune envie de créer comme sa mère. Tillie poursuit sa carrière en se produisant maintenant en direct. Depuis 2007, elle crée ses tableaux sur scène, accompagnée d’un groupe de jazz expérimental. Les aboiements de la chienne participant à la musique. Une biographie intitulée « Portrait of the dog as young artist », en référence à Bob Dylan, vient de lui être dédiée.

                                                                                                                                                                                                                            De plus en plus d’animaux artistes seraient repérés de part le monde. Certains sont clairement dressés. Tous ne le sont pas. Un autre chimpanzé se serait mis à peindre au zoo de Niteroi au Brésil. Voyant Jimmy s’ennuyer dans sa cage, son soigneur aurait eu l’idée de lui apporter de quoi peindre. La démonstration quotidienne de Jimmy est devenu l’attraction de toute la ville. De nombreux chats ont peint sur des portes de frigos, de placards, ou sur des feuilles accrochées au mur – lorsque leurs propriétaires sont suffisamment attentifs pour détecter leurs envies artistiques. Il est difficile d’évaluer si ces animaux font de l’art. Il n’en reste pas moins qu’ils produisent des peintures de manière relativement spontanée et désintéressée, qui se retrouvent sur le marché de l’art.

                                                                                                                                                                                                                                              (Source : INREES)

Un photographe montre le côté des Pit-Bulls !

Publié à 13:02 par yvonne92110 Tags : animaux
Un photographe montre le côté des Pit-Bulls !
Un photographe montre le côté des Pit-Bulls  ...
  

1   Les chiens apportent joie et de la compagnie l’homme — peu importe la race. 

                                                                                                                                                                                                                                          La force musculaire des pit-bulls ont leur a valu un label comme étant agressifs ou dangereux, mais où des milliers de chiens endurent les abus et se retrouvent enfermé dans des refuges, il y a eu un coup de pouce pour aider ces animaux à remanier leur réputation.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Le photographe Douglas Sonders a commencé sa série de photographies, pas un tyran, en 2012 pour aider les chiens dans le besoin, spécialement ceux qui sont étiquetés comme races de bully, un terme utilisé pour 14 races y compris en France avec le Bulldogs et le Terriers de Boston.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Le but est de servir comme une campagne de relations publiques positive à partager que malgré ce qu’ont fait certains humains mauvais pour ces chiens, ils sont par nature doué et très facile à former.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Sonders a été inspiré par son propre pit-bull, Emma ... Emma provenait d’un refuge de haute-kill et a été secourue et placée en famille d’accueil. Personne ne voulait lui en raison de son apparence. En dehors de son amour pour se faufiler sur mon lit  il s’est parfaitement comporté, dit Sonders.

                                                                                                                                                                                                                                                   Tout comme Emma, plusieurs autres pit-bulls ont reçu de superbes portraits pour A Bully, y compris Junior, qui appartient à un expert du comportement des chiens, César Millan.

                                                                                                                                                                                                                                                          Depuis sa création, la série de photos a gagné du soutien et de la popularité. Récemment, Sonders rejoint Millan pour une télévision le " Love My  Pitbull" sur National Geographic Wild, qui mettait l’accent sur l’aide à changer le stéréotype des pit-bulls comme une race agressive.

                                                                                                                                                                                                                                                       Il a débuté comme une campagne photo, mais s’étend actuellement de courtes vidéos et articles sur l’inspirante des pit-bulls qui ont été confrontés à la chance … et de continuent à faire des impacts positifs sur leurs communautés.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                      (Source : Mashable)

Les loups avancent sur Paris ...

Publié à 16:13 par yvonne92110 Tags : animaux les loups avancent sur paris
Les loups avancent sur Paris   ...
Les loups avancent sur Paris  !
 
 

La préfecture de la Meuse a annoncé qu’un loup avait été identifié dans le département, à seulement 250 kilomètres de Paris.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Un loup a été identifié pour la première fois dans le département de la Meuse, à 250 kilomètres à peine de Paris, trois ans après sa réapparition dans les Vosges en région Lorraine. C’est ce qu’a annoncé ce mardi la préfecture de la Meuse.

                                                                                                                                                                                                                                                                  Le canidé a été photographié le 18 avril par un appareil automatique de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), après plusieurs attaques de troupeaux enregistrées depuis octobre 2013 dans le sud du département, précise un communiqué.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     « À ce jour, nous recensons 13 attaques, exclusivement sur troupeaux ovins, totalisant une trentaine de victimes, pour un montant indemnisé de 5 000 euros », indique la préfecture. « Une étude sur la vulnérabilité du système pastoral à la prédation du loup en Meuse a été lancée ».

                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Revenu en 1992 dans les Alpes :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                        La plupart des prédations enregistrées depuis le début de l’année ont été constatées au nord de Bar-le-Duc, le chef-lieu du département, dans un secteur proche de Saint-Mihiel.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Eradiqué du territoire français en 1937, le loup, espèce désormais protégée par plusieurs conventions internationales, est revenu en 1992 dans les Alpes française, en provenance d’Italie.

                                                                                                                                                                                                                                                               Dans la Marne en 2011 :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Sa présence sporadique dans d’autres massifs tend à devenir permanente, comme c’est officiellement le cas depuis 2012, dans les Vosges, entre Alsace et Lorraine, où une meute d’au moins quatre individus a été identifiée au printemps dernier.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Canus Lupis, qui est également présent dans le Jura, semble poursuivre sa marche vers le nord et l’ouest de la France. Le 31 janvier dernier, le cadavre d’un adulte tué par balle a été découvert par un chasseur à Coole, dans la Marne, soit à 160 kilomètres de Paris.

                                                                                                                                                                                                                                                                       (Source : Ouest France)