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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Une vidéo publiée par Save the Children montre le destin d’une petite fille britannique ruiné par une guerre civile identique à celle qui se déroule actuellement en Syrie. Postée le 5 mars, elle a déjà été regardée par plus de 8,5 millions de personnes.
La fillette fête son anniversaire à Londres. Elle est entourée de ses amis et de sa famille. Elle est heureuse. Elle va à l’école, sourit beaucoup, fait de la balançoire, s’endort paisiblement. Au fur et à mesure des jours, les informations sur le début d’une guerre civile envahissent les écrans de télévision, les premières pages des journaux. Son quotidien bascule.
Elle se retrouve à lutter pour sa survie, porte un masque à gaz, vit dans une cave, à l’abri des tirs. La vidéo se termine par un gros plan sur la fillette qui fête à nouveau son anniversaire. Elle est assise dans un lit d’hôpital et a le regard vide. La vidéo se termine par ces mots, glaçants: "Ce n’est pas parce que ça ne se passe pas ici que ça ne se passe pas." Ce clip choc a été publié juste avant les trois ans du début du conflit en Syrie. La guerre a commencé le 15 mars 2011.
Selon Save The Children, un enfant syrien sur trois a été frappé ou touché par un tir depuis le début de la guerre. Plus de 5 millions d’enfants ont besoin d’aide.
(Source : RTL)
Photo d’illustration
Un jeune Norvégien de dix ans qui avait emprunté la voiture de ses parents pour aller faire un tour la semaine dernière a de nouveau sévi sur les routes.
L’enfant originaire de Dokka, une ville située à une centaine de kilomètres au nord d’Oslo, avait embarqué sa petite soeur âgée de 18 mois dans le véhicule familial il y a quelques jours pour rendre visite à leurs grands-parents, à 60 km de là.
Leur périple avait pris fin dans un fossé enneigé et le jeune conducteur avait prétendu être un nain et avoir oublié son permis de conduire.
Déterminé, le jeune garçon a cette fois-ci emprunté la voiture d’un proche chez qui sa famille était en visite, a indiqué la police locale jeudi.
Il a été contraint de s’arrêter après avoir parcouru une trentaine de kilomètres et un témoin de la scène lui a confisqué ses clés.
Les autorités, qui avaient considéré le dossier comme classé après le premier incident, n’ont pas été aussi indulgentes et ont signalé la famille aux services de protection de l’enfance.
"Personne n’a été blessé, mais c’est plutôt de la chance qu’autre chose", a déclaré un porte-parole de la police. "Les adultes de l’entourage de ce garçon doivent prendre les choses en main maintenant, avant qu’une tragédie se produise."
(Source : Reuters)
Des fillettes de 10 ans qui adoptent des tenues sexy et se maquillent comme des femmes, photographiées dans des poses lascives dans les pubs et les magazines, des marques qui proposent des soutiens-gorge rembourrés ou des strings en taille 6 ans… Le phénomène d’hypersexualisation des petites filles commence à inquiéter.
En décembre 2010, la campagne de publicité du magazine Vogue, qui mettait en scène des petites filles dans des postures extrêmement suggestives, avait déjà suscité l’indignation de plus de 150 pédiatres, dénonçant dans une pétition « l’érotisation et l’hypersexualisation des enfants dans la publicité ».
Leur emboîtant le pas, Roselyne Bachelot, ministre des solidarités et de la cohésion sociale, a confié en novembre dernier à Chantal Jouanno, sénatrice UMP (et membre de la commission des affaires sociales et de la délégation aux droits des femmes), une mission « d’observation et de régulation » de ce phénomène.
« La société est en train de s’hypersexualiser » !
Le phénomène « petite Lolita » semble certes moins important en France qu’Outre-Atlantique, où les concours de mini-miss fleurissent, et où de nombreuses adolescentes ont recours à la chirurgie esthétique et se font poser des implants mammaires.
« Avant 12 ans, le phénomène des Lolitas reste rare, assure Chantal Jouanno, car la société, les parents et les adultes en général sont globalement assez critiques à son égard. En revanche, ajoute-t-elle – et tous les observateurs convergent sur ce point –, la société est en train de s’hypersexualiser et les pressions sont extrêmement fortes sur les enfants et sur les jeunes adolescents. Il ne faut pas s’étonner si cette sexualisation devient pour nos enfants une norme. C’est une évolution particulièrement préoccupante. »
Les modèles qu’on propose aux petites filles et auxquels elles se réfèrent, leurs stars préférées (Shakira, Britney Spears ...), sont de plus en plus sexualisés. On voit des fillettes de 10 à 12 ans s’exhiber sur leur profil Facebook, dans des poses et des tenues directement héritées de leurs idoles.
De nombreux observateurs alertent aussi sur l’impact de la pornographie. « La banalisation des codes de la pornographie saute aux yeux dans les clips, les vidéos, certaines émissions de télévision, souligne Chantal Jouanno. Il s’agit d’une banalisation complète, car ils sont intégrés partout : on les retrouve dans l’usage des piercings, de l’épilation intégrale, dans les tenues vestimentaires. » Ils sont également très clairement relayés par les radios-jeunes.
« Les mamans jouent à la Barbie avec leur petite fille » !
Le marketing s’est emparé du phénomène, car la sexualité fait vendre et le jeunisme aussi. « Les marques ont compris, dans les années 1970, qu’elles avaient de l’argent à gagner sur les ados, constate le pédopsychiatre Stéphane Clerget. Maintenant elles ciblent les plus jeunes. Elles ont compris qu’il y avait actuellement une inversion des rôles : les adolescents sont devenus les nouveaux modèles des adultes. Les femmes veulent ressembler aux Lolitas, retravaillent leur visage sur photoshop pour avoir l’air d’avoir 12-13 ans. Beaucoup d’adolescents ont d’ailleurs peur de grandir, car les adultes veulent leur ressembler. »
Les parents ont leur part de responsabilité. Ils le reconnaissent d’ailleurs eux-mêmes, comme le montre l’enquête réalisée par le site Magicmaman.com : la quasi-totalité des mamans interrogées estiment que les parents contribuent au phénomène par une forme de laisser-faire ou de conformisme.
Si les fillettes troquent très vite leurs tenues enfantines contre des mini-shorts et des jeans moulants, c’est souvent en effet avec la complicité de leurs mamans, qui « jouent à la Barbie avec leur petite fille » et la considèrent comme « le bras armé de leur féminité », souligne Stéphane Clerget.
Elles ont une attitude ambiguë par rapport à leur précocité. « Elles s’en alarment, et en même temps sont fières d’avoir une enfant en avance pour son âge, qui s’habille en 12 ans alors qu’elle en a 8. C’est un leurre, ajoute-t-il, car ces fillettes ne sont pas adolescentes dans leur tête. » Or, il ne faut surtout pas les faire grandir trop vite, ni brûler les étapes ; surtout dans ce domaine.
« Laissez-leur le temps de l’enfance » !
Car on risque de court-circuiter chez les enfants une période indispensable à leur développement, qui leur permet aussi d’aborder plus sereinement l’adolescence, alertent unanimement les pédopsychiatres : la période de « latence ». « Entre 6 et 12 ans, explique Stéphane Clerget, la sexualité infantile est normalement mise en sommeil, et l’enfant consacre son énergie psychique aux apprentissages – il cherche à plaire en travaillant bien à l’école ou en étant bon en sport. »
Didier Lauru parle même d’« abus sexuel psychique », car cette « intrusion de la sexualité adulte » dans l’enfance vient contrecarrer un développement normal. Patrice Huerre observe que l’apparence des petites lolitas n’est que le résultat des attentes pressantes de leur entourage, qui incitent les enfants à grandir vite dans tous les domaines. « On voit de plus en plus d’enfants hyperactifs, dit-il ; je dirais plutôt qu’il y a de plus en plus d’enfants hyperactivés : il faut qu’ils apprennent vite, marchent vite. Il faut être excité pour exister ! »
Et ils peuvent être amenés, adolescents, à rechercher d’autres sources d’excitation (l’alcool, les scarifications…). « Laissez-leur le temps de l’enfance ! » lance-t-il aux parents. « On peut limiter certaines dérives, mieux protéger les enfants. On ne peut pas tout bloquer, certes, mais les parents restent les meilleurs pare-feu. »
« On veut des filles romantiques pas des bombes sexuelles » !
Marie-Laure de Salins, conseillère conjugale au Cler, qui forme des adultes à l’éducation affective des jeunes, plaide pour une éducation plus globale des enfants, qui « éveille leur conscience sur les manipulations » dont ils peuvent être l’objet.
« Les 8-12 ans sont de plus en plus visés par le marché de la mode, de la musique, du cinéma. Les fillettes veulent être populaires en séduisant, sont focalisées sur l’image de soi, le culte de la minceur ; elles manquent de confiance en elles, car elles veulent ressembler à leurs stars, font des fixations sur les relations amoureuses, vivent dans une grande dépendance émotive. »
Elle insiste aussi sur l’urgence de leur proposer d’autres modèles de relations que ceux inculqués par la pornographie « basés sur le machisme et la soumission ». « D’ailleurs, les garçons nous disent “on veut des filles romantiques” pas des bombes sexuelles ! », témoigne-t-elle.
Certains psychiatres relient cette sexualisation précoce à une série de troubles qui se développent chez des fillettes de plus en plus jeunes, comme l’anorexie et la boulimie. Ils alertent aussi sur l’impact qu’elle peut avoir sur leur sexualité adulte.
Dans la nuit de mardi 17 à mercredi 18 septembre, le Sénat a adopté un amendement prohibant les concours de beauté pour les moins de 16 ans.
La chambre haute a mis un coup d’arrêt à l’hypersexualisation des petites filles à l’occasion de l’étude du projet de loi sur l’égalité des femmes et des hommes. Les sénateurs ont ainsi interdit les concours de beauté pour les enfants de moins de 16 ans, en adoptant un amendement de la centriste Chantal Jouanno. L’ancienne ministre avait remis un rapport parlementaire dénonçant le phénomène en mars 2012. alerte sur les dangers de la sexualisation précoce des enfants et la nécessité de l’endiguer.
Les sénateurs ont accepté par 196 voix pour et 146 contre cet amendement qui s’inscrivait dans le projet de loi sur l’égalité des femmes et des hommes. Le texte prévoit une sanction de deux ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende pour les personnes qui organisent ces concours, « qui ne concernent que des filles », a souligné Chantal Jouanno.
« Ne laissons pas nos filles croire dès le plus jeune âge qu’elles ne valent que par leur apparence. Ne laissons pas l’intérêt commercial l’emporter sur l’intérêt social », a-t-elle lancé en soulignant la nécessité de protéger les enfants.
Pas d’amendement sur les enfants mannequins !Virginie Klès (PS), rapporteur du texte, s’était prononcée contre cet amendement en jugeant les sanctions trop lourdes. La ministre des droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem avait de son côté proposé un amendement parallèle, soumettant à une autorisation préalable l’organisation de ces concours.
Cet amendement est tombé quand celui de Chantal Jouanno a été voté. En revanche, un autre amendement de cette dernière encadrant l’activité des mannequins enfants a été rejeté.