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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
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· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Un sarcophage égyptien vieux de 3 000 ans va être ouvert pour la première fois en direct à la télévision américaine ...
C’est une première mondiale. Une chaîne de télévision ouvrira en direct un sarcophage égyptien vieux de 3 000 ans, situé sur un site découvert il y a peu.
La chaîne américaine Discovery Channel va proposer ce dimanche 7 avril une émission spéciale intitulée « Expedition Unknown : Egypt Live » et un voyage exceptionnel à ses téléspectateurs sur les rives du Nil.
L’animateur de l’émission Josh Gates, accompagné de l’égyptologue et ancien ministre égyptien Zahi Hawass et de Mostafa Waziri, secrétaire général du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, ouvrira un sarcophage égyptien vieux de 3 000 ans.
La retransmission depuis l’Égypte devrait durer deux heures. Josh Gates a expliqué, au micro de la radio américaine WBUR, ne pas connaître tout ce que renferme la tombe. « C’est ce qui fait la beauté de l’émission », s’est réjoui l’animateur, précisant que, dans cette région « peu visitée, il y a beaucoup de momies ».
Le sarcophage en calcaire de 3 000 ans se situe sur un site découvert il y a peu, tenu secret par la chaîne, dans « une région moins visitée du pays » que la célèbre vallée des Rois, où se trouvent les grandes pyramides.
Le site recouvre un vaste réseau de puits souterrains et de tunnels menant à une quarantaine de tombes, et dont plusieurs salles n’ont pas encore été fouillées. Josh Gates espère y trouver des « reliques et artefacts vraiment intéressants ».
La NASA paie des cobayes 16 500 € pour rester couché pendant deux mois ...
La NASA et l’Agence spatiale européenne recherchent des candidats pour vivre une expérience unique et très bien rémunérée.
La NASA et l’Agence spatiale européenne mènent actuellement des recherches sur les effets de la gravité artificielle sur le corps des astronautes. Pour conduire des tests cliniques, les chercheurs recherchent des cobayes…qui aiment particulièrement dormir et qui seraient prêts à rester allongés sur un lit centrifugeuse pendant 60 jours.
L’objectif est d’en apprendre plus sur les effets de la gravité sur le corps humain et sur les phénomènes que subissent les astronautes dans l’espace, indique un communiqué de l’organisation allemande.
Depuis le 25 mars, douze hommes et douze femmes ont déjà commencé à expérimenter les tests. Mais laNASA et ses associés ont besoin de nouveaux candidats, notamment des femmes âgées de 25 à 55 ans.
La somme proposée n’est pas dérisoire puisque les candidats sélectionnés toucheront 16 500 €, comme on peut le lire dans un communiqué de presse, qui précise que différentes activités seront proposées pendant ce séjour. Les lits sont légèrement inclinés pour être en raccords avec les conditions rencontrées par les spationautes.
L’expérience a lieu en Allemagne, près de Cologne, où se trouve l’Institut de médecine aérospatiale. À priori, tout le monde peut participer, à condition de répondre à quelques critères. Les candidates devront avoir un niveau d’allemand correct, mesurer entre 1,53 et 1,90 mètre, avoir une bonne santé, et être non-fumeuses.
La lecture et la télévision seront là pour égayer les journées des volontaires mais ils ne pourront pas se lever. Même cas de figure pour les repas, étudiés pour éviter la prise de poids malgré la sédentarité, qui devront être pris en position allongée.
Les personnes sélectionnées suivront une formation de cinq jours avant un repos obligatoire de quinze jours. À la fin des 60 jours de tests, une période de décompression de deux semaines est également prévue.
Un vol British Airways à destination de Düsseldorf atterrit à Édimbourg ...
Un avion qui devait se rendre à Düsseldorf (Allemagne) ce lundi a atterri par erreur en Écosse, à 800 kilomètres de sa destination. C'est l'histoire insolite du jour !
Ils se rendaient en Allemagne, ils ont fini en… Écosse. Les passagers du vol BA3271 de British Airways, à destination de Düsseldorf, ont connu une drôle de mésaventure ce lundi 25 mars.
Crédit photo : Bychykhin Olexandr / Shutterstock
Parti de Londres à 7h20, l’appareil qui les transportait s’est en effet trompé d’itinéraire pour finalement se poser sur le tarmac de l’aéroport… d’Édimbourg, sans que personne ne puisse expliquer comment une telle erreur a pu se produire.
« Tout le monde a cru à une blague »
Quelle ne fut donc pas la surprise des voyageurs lorsqu’ils ont atterri dans la capitale écossaise, à 800 kilomètres de la destination originelle de l’avion. Un tel scénario paraît tellement improbable que beaucoup ont d’ailleurs pensé qu’il s’agissait d’une plaisanterie.
« Quand le pilote a annoncé que l'avion allait atterrir à Édimbourg, tout le monde a cru à une blague », a ainsi raconté l’une des passagères à nos confrères britanniques de la BBC.
Très vite, l’équipage s’est aperçu que l’appareil avait emprunté le mauvais trajet mais ni le pilote, ni British Airways n’ont été en mesure d’expliquer les raisons qui ont engendré ce spectaculaire accroc.
Interpellée sur Twitter par un client, la compagnie britannique a ainsi reconnu ne disposer d’ « aucune information pour le moment ».
Ce vol faisait l’objet d’une sous-traitance de la compagnie allemande WDL Aviation, qui n’a pas été non plus capable d’apporter des précisions. Celle-ci a tout de même pris soin d’assurer que la sécurité des passagers n’avait été compromise « à aucun moment ».
Quant aux passagers, ils ne se sont rendu compte de rien durant le trajet car l’équipage parlait la langue de Goethe et ce n’est qu’en entendant l’annonce du commandant qu’ils ont pris conscience de la situation.
L'aéroport de London City, d’où l’avion avait décollé le matin même, a de son côté assuré que cette erreur résultait d’ « un mauvais plan de vol soumis par WDL Aviation ». L’engin, qui assure au quotidien des liaisons entre Londres et Düsseldrof/Francfort, s’était néanmoins rendu à Edimbourg la veille, dans le cadre d’un aller-retour prévu, ce qui pourrait expliquer cette confusion.
Pour la petite histoire, après ce petit détour qu’ils ne sont pas près d’oublier, les passagers ont finalement pu rallier Düsseldorf en fin de matinée. Tous frais payés évidemment !
Un plongeur avalé par une baleine, recraché vivant ...
Depuis plusieurs jours, les images de sa mésaventure affolent la toile : un plongeur sud-africain a échappé par miracle à la mort la semaine dernière après avoir été brièvement avalé par une baleine au large de Port-Elizabeth.
La Bible raconte que le prophète Jonas avait passé trois jours dans le ventre d’une baleine. Rainer Schimpf a connu la même expérience, mais quelques secondes seulement, alors qu’il se trouvait dans un banc de poissons.
« J’avais commencé à filmer des dauphins, des requins, des fous de Bassan, des pingouins et des cormorans qui se nourrissaient de sardines lorsque, venant des profondeurs, un rorqual de Bryde a subitement surgi, gobant tout sur son passage », a raconté à l’AFP le défenseur de l’environnement. « J’ai senti une pression autour de ma taille, j’ai su immédiatement ce qui était en train de se passer », a-t-il ajouté. « Ça n’a été l’affaire que de quelques secondes, avant que le rorqual réalise son erreur et ouvre la gueule pour me recracher ».
L’épouse du plongeur, Silke, et un photographe ont assisté avec effroi et dûment documenté la scène. Sur quelques images, seules les deux jambes de Rainer Schimpf émergent de la gueule du prédateur, un spécimen rare de rorqual de Bryde, des cétacés pouvant atteindre 15 m, se nourrissant de petits poissons et petits crustacés.
A peine remis de ses émotions, le plongeur miraculé n’a pas hésité longtemps avant de se rejeter à l’eau.
« On a vérifié que le matériel était OK, que je n’avais ni os brisé ou côte fêlée. Tout était en place », a-t-il raconté, avant d’ajouter avec un grand sourire : « dopé à l’adrénaline, je ne voulais pas rater cette séance d’appât, je suis retourné à l’eau, cette fois à la recherche de requins… ».
M. Schimpf, 51 ans, est loin d’être un débutant. Avec vingt ans d’expérience dans le métier et plusieurs récompenses à son actif, il est parfaitement conscient des risques qu’il court.
« Les prédateurs comme les baleines ou les requins foncent sur leurs proies et souvent notre visibilité est extrêmement réduite », constate-t-il. Mais pas question de renoncer à sa mission. « Notre détermination à garantir à l’environnement les plus grandes attention et protection reste sans faille ». « Et si je devais renaître », philosophe Rainer Schimpf, « j’aimerais que ce soit sous la forme d’une baleine ».
En attendant son éventuelle réincarnation, son interprétation involontaire de Jonas a fait de lui une vedette sur les réseaux sociaux. Les images de son expérience ont déjà dépassé la barre du million de vues sur YouTube.
(Source : AFP)
Au Japon, des retraités choisissent la prison faute de moyens ...
Des retraités japonais commettent de petits larcins pour se retrouver en prison. Une situation, révélée par nos confères du Monde, que les seniors japonais jugent préférable à la misère et à la solitude.
« En prison, il a chaud, il est nourri et s’il est malade, on s’occupe de lui… Comme il est récidiviste, il en a pris pour deux ans… Un jour il faudra peut-être que je fasse comme lui », raconte un retraité japonais qui parle ici d’un de ses amis à un correspondant du Monde.
Dans un article, le journaliste Philippe Pons raconte ainsi qu’au Japon, les temps sont si durs pour les retraités que certains préfèrent parfois commettre un larcin pour se faire incarcérer. Et trouver ainsi la sécurité, l’encadrement médical ou social qu’ils n’ont pas à l’extérieur. Des seniors qui disent
« préférer la prison à une vie au seuil de la pauvreté (ou en dessous) et à la solitude », confirme le correspondant du Monde.
Un phénomène qui s’aggrave :
La prison devient ainsi, pour eux, une sorte de maison de retraite qu’ils ne pourraient pas s’offrir. La délinquance de vieux Japonais « est un phénomène apparu depuis une décennie qui va en s’aggravant ». 21,1 % des personnes arrêtées en 2017 avaient plus de 65 ans alors qu’en 2000, cette tranche d’âge ne représentait que 5,8 % de la population carcérale, rapporte le correspondant du Monde. Les retraités qui se retrouvent en détention ont souvent volé de la nourriture ou de quoi améliorer l’ordinaire.
Ces détenus d’un certain âge « entendent mal et tardent à exécuter les ordres ; certains sont incontinents, d’autres ont des problèmes de mobilité et il faut parfois les aider à se nourrir et à se laver ».
Une population carcérale vieillissante qui engendre de facto « de nouvelles charges pour l’administration pénitentiaire ».
(Source : Le monde, Ouest France)
Les arbres sont connus pour donner un seul fruit selon leur espèce.
On sait comme tout le monde que les pruniers donnent des prunes, que les abricotiers donnent des abricots, que les amandiers donnent des amandes, que les pêchers donnent des pêches…
Avec cet arbre aux quarante (40) fruits différents, c’est autrement que cela se passe.
« Tree of 40 fruit » est le nom de cet impressionnant arbre.
Il doit sa présence au professeur Sam Van Aken de l’université de Syracuse, à New York.
Ce scientifique a voulu faire l’expérience qui devait révolutionner le monde. En rachetant un verger où se pratiquaient déjà des expériences et qui était sur le point de fermer, Il put créer peu à peu différents arbres à 40 fruits. Son travail s’étala sur de nombreuses années et c’est avec fierté qu’il put enfin faire voir le résultat au monde entier.
Découvrez ce fameux arbre aux 40 fruits à travers ces images :
Ces arbres aux 40 fruits ont des fleurs et des feuilles pleines de couleurs.
Les fruits aussi sont différents !
Appréciez ce mélange de fruits !
Découvrez les débuts de l’expérience : Les premières fleurs donnent déjà une idée des fruits que cet arbuste portera !
Encore un jeune arbre qui impressionnera plus tard !
Avec l’arbre aux 40 fruits, plus besoin d’avoir plusieurs espèces d’arbres pour faire une bonne salade de fruits ... Un seul suffira !
Var : des vacanciers trouvent les cigales trop bruyantes et veulent s'en débarrasser ...
Quand on pense aux vacances dans le sud de la France, le chant des cigales fait partie inévitablement du décor. Pourtant, dans le Var, certains touristes n’en peuvent plus…
C’est dans la ville de Beausset que le maire s’est retrouvée face à cet épineux débat. À deux reprises, des vacanciers lui ont demandé des mesures pour éliminer l’insecte, beaucoup trop bruyant à leur goût, comme l’explique l’édile auprès de France Bleu : « Ils m’ont demandé: est-ce que vous avez des produits insecticides pour passer sur des arbres ? Comment se débarrasser des cigales ? ».
Le chant des cigales, charme du Sud pour certains, nuisance pour d'autres ...
Selon lui, les touristes se sont agacés de ne plus s’entendre parler et ont donc arroser les arbres de pesticides pour les faire taire. De plus, ils ne partagent pas la même notion de « chant des cigales » puisqu’à leurs oreilles, ces insectes ne font que « crac crac crac … ça n’a rien à voir avec un chant ».
Des réclamations surprenantes et désolantes pour le maire de Beausset, qui n’a que de l’amour pour les cigales : « J’ai été très choqué. Les cigales font partie de l’emblème de la Provence. Quand on vient dans le sud, on sait qu’il y a des cigales. Nous, on est fiers de les avoir ».
En bref, si vous n’aimez pas les cigales, optez pour une autre région que le Sud de la France comme destination de vacances. Sinon, laissez-les chanter !
Grâce à son QI de 145, un jeune belge obtient son bac à seulement huit ans ...
Un jeune belge, âgé de seulement huit ans, décroche l'équivalent du bac en Belgique !
La Belgique connaît son nouveau génie. Laurent, surnommé le « petit Einstein » et né en 2010, a obtenu son diplôme d'études secondaires, l'équivalent du bac chez nos voisins belges, à seulement huit ans. En France, le plus jeune candidat a 14 ans, quasiment le double de son âge.
Le jeune garçon, vivant dans la petite ville d'Ostende, au bord de la Mer du Nord, aurait un QI d'au moins 145. A son âge, les tests de ne peuvent évaluer au-delà. La moyenne, à cet âge, est située entre 90 et 109, selon la RTBF, la radio télévision publique belge. « Pour lui, c'était difficile de jouer avec les autres. Il regardait comment cela se passait. Il faisait les choses différemment. Il ne savait pas quoi faire des jouets » raconte son père.
L'université dès septembre :
Laurent a des passions bien éloignées de celles de ses camarades de classe : « Ma matière préférée, ce sont les mathématiques» affirme-t-il devant les micros des médias belges. « Parce que c'est très vaste. Il y a la statistique, la géométrie, l'algèbre...».
Le Bac en poche, le jeune garçon va intégrer l'université, ainsi qu'une équipe de chercheurs une fois par semaine dès la rentrée. Selon ses parents, « s'il décidait, demain, de devenir menuisier, cela ne nous poserait aucun problème. Du moment qu'il est heureux ». Pour le moment, Laurent s'oriente vers une carrière d'ingénieur après avoir voulu être physicien, chirurgien et astronaute.
Une précocité remarquable puisqu'en France, la plus jeune candidate à avoir obtenu son bac était âgée de onze et dix mois, un record réalisé cette année.
Le Pin de Yamaki, Bonsaï planté en 1625, a survécu à Hiroshima et continue de prospérer ...
A la National Bonsai Foundation aux États-Unis, se trouve un arbre pas comme les autres ...
Un bonsaï, plus précisément un pin blanc du Japon, qui continue de prospérer près de 400 ans après avoir été planté et après avoir survécu au bombardement de Hiroshima en 1945.
Avec ses aiguilles verdoyantes et fournies, son tronc imposant et bien enraciné, ce végétal de 30 centimètres de haut pourrait ressembler à n’importe quel bonsaï en bonne santé. Et pourtant, c’est une incroyable histoire que traine ce petit arbre derrière lui :
Ce pin blanc du Japon (Pinus parviflora) est l’un des pensionnaires du musée de la National Bonsai Foundation, une organisation installée à Washington aux États-Unis qui abrite plus de 300 arbres miniatures.
Le bonsaï y est arrivé en 1976 mais son histoire remonte bien avant : il a été planté en 1625 par la famille Yamaki installée à Hiroshima au Japon et spécialisée dans l’élevage des bonsaïs depuis plusieurs générations.
A travers les âges, l’arbre a prospéré grâce aux soins apportés et s’est transmis au sein de la famille jusqu’au milieu du XXème siècle lorsque la vie des Yamaki a basculé.
Le 6 août 1945, peu après 8h15, Masaku Yamaki, maitre des bonsaïs, se trouvait dans sa maison avec sa famille lorsque la tragiquement célèbre bombe nucléaire « Little Boy » s’est écrasée à quelques kilomètres.
La bombe a détruit 90% de Hiroshima et tué sur le coup des dizaines de milliers d’habitants. Dans la demeure des Yamaki, la déflagration a fait exploser les vitres mais par miracle, Masaku et les siens n’en sont ressortis avec aucune blessure grave.
Protégés par le haut mur de la pépinière, les bonsaïs ont également survécu à la catastrophe, parmi lesquels le petit pin blanc du Japon.
Trente ans plus tard, en 1976, l’arbre toujours en vie a fait partie des 53 bonsaïs donnés par la Nippon Bonsai Association aux États-Unis pour célébrer leur bicentenaire.
A l’époque, toutefois, la seule information connue au sujet du petit pin était le nom de son propriétaire. Il a fallu attendre 2001 pour que l’histoire du bonsaï, le plus vieux de la collection japonaise du musée, ne soit révélée.
Le 8 mars 2001, le National Bonsai & Penjing Museum a en effet reçu la visite de personnes très spéciales, Shigeru Yamaki et son frère Akira.
Les deux ont demandé où se trouvait « l’arbre de leur grand-père » qu’ils n’avaient jamais vu parce qu’il avait été donné avant leur naissance.
Ils ont alors été amenés à rencontrer le responsable du musée à qui ils ont révélé toute l’histoire.
De retour au Japon, Shigeru a fait de nouvelles recherches sur son ancêtre et son illustre carrière de maitre des bonsaïs. Il est ensuite revenu aux États-Unis en ramenant des documents historiques confirmant que l’arbre était un spécimen précieux et très rare provenant de l’île de Miyajima située au sud de Hiroshima.
Selon sa famille, Masaru Yamaki qui a poursuivi, après le bombardement, sa carrière dans le commerce des bonsaïs, était fier de léguer son arbre aux États-Unis.
Une initiative qui n’a pas manqué d’émouvoir. « Après tout ce que la famille a traversé, rien que donner [un bonsaï] était spécial et donner celui-ci était encore plus spécial », a déclaré Jack Sustic, conservateur du musée repris par le Smithsonian Magazine.
« Le pin de Yamaki est réellement un témoignage de paix et de beauté, et nous avons la chance de rendre compte du miracle de sa survie en 1945 », a commenté dans un communiqué le musée abrité par l’U.S. National Arboretum.
L’année dernière, le végétal de 390 ans s’est révélé encore plus symbolique, à l’occasion de la commémoration des 70 ans du bombardement de Hiroshima.
(Source : Maxi Sciences)