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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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LA VISITE DE SAINT - NICOLAS .....
Un conte de Noël de Clément Clarke Moore
La nuit de Noël, dans toute la maison,
Nul être ne bougeait, pas même une souris,
Les chaussettes pendaient, près de la cheminée,
Espérant la venue du bon Saint Nicolas,
Les enfants se nichaient au creux des lits douillets,
Des rêves de bonbons dansaient dans leurs esprits,
Maman sous son fichu, et moi sous mon bonnet,
Préparions nos cerveaux au long sommeil d'hiver,
Quand de notre pelouse monta un tel fracas,
Que je sautai du lit voir ce qui se passait,
Volant à la fenêtre, aussi prompt que l'éclair,
Repoussant les volets, relevant le châssis.
La lune qui jouait sur la neige récente,
Donnait à chaque objet le lustre de midi,
Quand à mes yeux ravis, devinez qui parut,
Un tout petit traîneau, huit rennes minuscules.
Un petit vieux gaillard les menait prestement,
Je reconnus saint Nick dès le premier moment.
Plus rapides que l'aigle bondissaient ses coursiers,
Il sifflait et criait, interpellant chacun :
Allez, Fougueux ! Danseur ! Allez, Fringant ! Rusé !
Comète ! Cupidon ! Vite, Elégant ! Éclair !
Sautez en haut du porche ! Et vite en haut du mur !
Galopez, galopez ! Filez à toute allure !
Comme les feuilles mortes que chasse l'ouragan
Rencontrant un obstacle, remontent vers le ciel,
En haut de la maison bondissaient les coursiers,
Leur traîneau plein de jouets, entraînant Nicolas.
Alors, en un éclair, j'entendis sur le toit
Piaffer allègrement chaque petit sabot.
Quand je rentrai la tête pour me retourner
Je vis saint Nick bondir hors de la cheminée.
Revêtu de fourrure de la tête aux pieds,
Son habit tout couvert de cendres et de suie,
Et un ballot de jouets jeté sur son épaule,
C'était un camelot prêt à ouvrir son sac.
Ses yeux, comme ils brillaient ! Ses pommettes joyeuses
Ses joues au teint fleuri et son nez en cerise !
Sa drôle de petite bouche tendue comme un arc,
La barbe à son menton, aussi blanche que neige.
Il tenait une pipe serrée entre ses lèvres
Un cercle de fumée auréolait son front,
Il avait large tête et petit ventre rond,
Qui tremblait à son rire, comme un bol de gelée.
Joufflu, dodu, tel un joyeux lutin,
Je ne pus m'empêcher de rire en le voyant,
En un petit clin d'oil et un signe de tête,
Il m'assura bientôt que je ne craignais rien.
Sans prononcer un mot, il se mit à la tâche,
Et remplit tous les bas, puis se tourna soudain,
Un doigt le long du nez, pour un petit salut,
Avant de remonter dedans la cheminée.
Il reprit son traîneau, siffla son attelage.
Et tous s'évaporèrent, tels duvets d'un chardon
Mais je l'entendis bien crier en s'éloignant :
Joyeux Noël à tous ... et à tous bonne nuit !!!
La nuit des prédictions
De nombreuses régions disposaient cette nuit-là de rites prédictifs.
En Auvergne, les jeunes filles pouvaient aller à reculons prendre un morceau de bois au bûcher : on disait que leur futur époux serait aussi beau ou tordu que la bûche était lisse ou biscornue…
En Bretagne, la veillée de Noël commençait dès que l’on pouvait compter neuf étoiles au firmament, symbolisant les neuf mois d’attente de la Vierge avant la naissance du Christ. Celui qui voulait voir ses vœux exaucés devait faire le "jeûne des neuf étoiles", c’est-à-dire ne rien avoir mangé depuis le matin jusqu’au moment où ces neuf premières étoiles brilleraient au firmament.
Il pouvait ensuite, s’il maintenait son index droit dans l’eau du bénitier pendant toute la durée de la messe de minuit, apercevoir l’Ankou et le voir désigner de son doigt tous ceux qui devaient mourir dans l’année. On pouvait obtenir la même information du dernier trépassé si l’on avait le courage de demeurer dans l’ossuaire pendant toute la durée de l’office...
En Poitou et dans les Charentes, les agneaux noirs étaient très appréciés, puisqu’on n’avait pas à teindre leur laine, mais il en naissait peu. Pour savoir combien de moutons noirs allaient naître l’année suivante, les paysans pensaient qu’il fallait, le soir de Noël, regarder à minuit pile par le tuyau de la cheminée : il naîtrait autant d’agneaux noirs qu’on avait pu apercevoir d’étoiles.
En Languedoc, lorsqu’on frappait la bûche de Noël avec des pincettes, le nombre d’étincelles indiquait, disait-on, le nombre de gerbes à moissonner et le nombre de poulets à naître dans l’année à venir.
Les exemples pourraient ainsi être multipliés. Chaque région avait ses rites prédictifs.
La nuit des animaux qui parlent
Dans toutes les régions de France, les animaux recevaient cette nuit-là double ration de grain, de foin ou de fourrage pour qu’ils participent eux aussi à la fête. Puis on les laissait seuls à l’étable. Car, disait-on, ils étaient pourvus pendant la nuit de Noël (entre onze heures et minuit seulement dans certaines régions comme les Ardennes) du don de la parole. Du moins l’âne et le bœuf, en souvenir de leur aide deux mille ans plus tôt.
Mais pas question de les écouter, cela aurait porté malheur. On disait même que les bêtes évoquaient entre elles les noms des prochains morts de la famille(et que l’on pouvait en faire partie si on avait les oreilles trop longues…).
Dans la région de Saint-Flour, on ajoutait que, au douzième coup de minuit, les bêtes suspendaient leurs conversations et que les bœufs cessaient de ruminer pour ne pas réveiller le nouveau-né divin.
La nuit des trésors à découvrir ...
Dans de nombreuses régions, on assurait que des trésors pouvaient être découverts cette nuit-là seulement. Quelques exemples…
En Bretagne, les menhirs et les dolmens iraient, dit-on, boire cette nuit-là l’eau des rivières, dégageant l’or caché à leur pied (par exemple les menhirs de Plouhinec à la rivière d’Ethel). Mais il était fort dangereux d’aller chercher ces richesses car on risquait d’être écrasé par le retour des pierres si l’on n’était pas assez rapide… ou trop cupide.
Tous les sept Noëls, s’ouvrirait aussi la montagne du Roc’h-Karlez, entre Saint-Michel-en-Grève et Saint-Efflam : une ville magnifique apparaîtrait, avec ses rues illuminées. Mais pour la faire sortir de son tombeau, il faudrait être assez hardi pour s’y enfoncer au premier coup de minuit et assez agile pour être sorti au douzième coup…
En Champagne, le trésor du Diable serait caché à la Saboterie, au lieu-dit La Cabre-d’Or, et l’on pourrait s’en emparer pendant la nuit de Noël, le Diable étant obligé de rester en enfer sans pouvoir en sortir pendant toute la durée de la messe de minuit.
Le fabuleux trésor des templiers, dissimulé dit-on dans les souterrains du château de Gisors, appartiendrait seulement à celui qui le découvrira pendant les quelques instants que dure la lecture de la généalogie du Christ, lors de la messe de minuit à Noël.
En Sologne, le dolmen appelé Pierre-de-Minuit, à Pontlevoy s’ouvrirait comme une porte cette nuit-là sur un monde magique peuplé de fées et regorgeant d’or et de pierreries. Mais celui qui s’y aventurerait perd l’esprit et la pierre se referme sur lui.
Quant au dolmen du Val-d’Enfer, à Saint-Hilaire-la-Gravelle, il s’ouvrirait aussi la nuit de Noël, dévoilant de grandes richesses dans de salles souterraines. Mais on ne peut y entrer qu’au premier coup de minuit et il faut être ressorti avant le douzième...
Nous voici dans la première semaine de l' AVENT : c'est déjà la féérie de Noël ... J'ai plaisir de partager cette image avec vous !!! C'est cadeau si vous aimez .....
27 novembre 2011 : 1er Muharram, nouvel an musulman, jour de l’hégire, jour où le Prophète quitta La Mecque pour Médine.
voici la liste des mois du calendrier hégirien :
Muharram
Safar
Rabi‘ al-Awwal
Rabi‘ al-Akhir
Jumada ’l-Ula
Jumada ’l-Akhira
Rajab
Sha‘ban
Ramadhan
Shawwal
Dhu ’l-Qa‘da
Dhu 'l-Hidjja
Le Père Noël est une version américanisée du saint Nicolas européen... Il s'appelle là-bas Santa Claus (évolution de « saint Nicolas » en néerlandais) et fit son apparition au XIXe siècle. Le terme « père Noël » apparaît plus tardivement en France, au milieu du XXème siècle ..... Santa Claus ou père Noël, sa fonction principale est de distribuer des cadeaux à tous les enfants sages durant la nuit de Noël (du 24 au 25 décembre).
Le père Noël est aussi largement inspiré de Julenisse, un lutin païen scandinave qui apporte des cadeaux aux enfants, à la fête du milieu de l'hiver, la «Midtvintersblot» ou «Jol». De Julenisse, le père Noël a gardé la barbe blanche, le bonnet et les vêtements scandinaves.
Même si le mythe peut varier fortement d'une région à l'autre, notamment à cause du climat du 25 décembre qui peut aller du plein hiver dans l'hémisphère nord au plein été dans l'hémisphère sud, on l'imagine généralement comme un gros bonhomme avec une longue barbe blanche, habillé de vêtements chauds de couleur rouge avec un liseré de fourrure blanche ; il habite dans un pays nordique (recouvert de neige) et des lutins l'aident à préparer les cadeaux. Il effectue la distribution à bord d'un traîneau volant tiré par des rennes (ou sur une planche de surf en Australie). Il entre dans les maisons par la cheminée (s'il y en a une) et dépose les cadeaux dans des chaussons disposés autour du sapin ou de la cheminée (France), dans des chaussettes prévues à cet effet accrochées à la cheminée (Amérique du Nord), ou tout simplement sous le sapin de Noël.
Histoire
Saint Nicolas ou Nicolas de Myra, le personnage qui a servi de source d'inspiration au père Noël, aurait vécu au IIIe siècle au sud de la Turquie actuelle près d'Antalya. Il était évêque de Myra. Il fut contemporain de la dernière vague de persécutions et du Concile de Nicée, moment important du christianisme. Selon la légende, il aurait sauvé de la mort 3 enfants. À partir du XVIe siècle, la légende du saint s'enrichit avec le personnage du Père Fouettard qui donne des coups de fouets aux garnements. Ce personnage disparaît dans le passage au mythe de Santa Claus.
Au XIe siècle sa dépouille est volée par des marchands italiens mais ils laissent sur place un morceau de crâne et de mâchoire. Rapportée à Bari dans le talon de la Botte, la relique produirait des miracles.
En Europe, les rituels liés à l'approche de l'hiver sont ancestraux. Un tradition païenne voulait que pour exorciser la peur de l'obscurité les jeunes hommes se grimaient et allaient de maisons en maisons pour quémander des offrandes. Le vieux présidait ce cortège, il est appelé Noël dès le XIIe siècle en France. Au Moyen Âge, l'Église catholique veut remplacer les figures païennes par des saints. saint Nicolas, qui selon la légende aurait sauvé de la mort trois enfants, est alors présenté comme le saint protecteur des enfants. En mémoire, le 6 décembre de chaque année, un personnage, habillé comme on imaginait que saint Nicolas l'était (grande barbe, crosse d'évêque, mitre, grand vêtement à capuche), va alors de maison en maison pour offrir des cadeaux aux enfants sages.
À la Réforme, les protestants luthériens, qui rejettent le rôle patronal des saints, remplacent saint Nicolas par l'enfant Jésus (le Christkindl allemand). C'est au Pays-Bas que saint Nicolas se transforme après la Réforme en un personnage semi-laïc, Sinter Klaas. Étrangement, au Canada, les francophones catholiques utiliseront longtemps ce personnage de l'enfant Jésus, alors que Santa Claus se chargera de distribuer des cadeaux aux petits anglophones. De même, bien avant la popularisation du père Noël, les catholiques français attribuaient au Petit Jésus les cadeaux de la nuit de Noël.
Au XVIIIe siècle, les souverains allemands entament un processus de laïcisation, ils remplacent les figures chrétiennes par d'anciens symboles germaniques. C'est le retour du petit peuple des fées, des elfes et du vieil homme de Noël, habillé de rouge (Weihnachtsmann), qui distribue en traîneau des sapins décoré de cadeaux.
Parallèlement les États-Unis adoptent la coutume néerlandaise de fêter la Saint-Nicolas. Ce sont en effet les Hollandais qui fondent la Nouvelle-Amsterdam au XVIIe siècle, qui deviendra New York quand elle sera prise par les Anglais. Après la guerre d'Indépendance, ses habitants se souviennent de leurs racines hollandaises et Sinter Klaas revient par la littérature et les illustrateurs. Il s'agit alors d'un vieillard à barbe blanche portant un manteau à capuchon. Moralisateur, il récompensait les enfants sages et punissait les dissipés. Progressivement, cette « fête des enfants » est rapprochée de la célébration de la nativité.
En 1822, le pasteur américain Clément Clarke Moore publie un poème, « A Visit from St Nicholas », qui présente saint Nicolas comme un lutin sympathique, fumant la pipe, dodu et souriant, qui distribue les cadeaux en se déplaçant sur un traîneau tiré par huit rennes. Ce poème a joué un rôle important dans l'élaboration du mythe actuel. Publié pour la première fois dans le journal Sentinel de New York le 23 décembre 1823, il fut repris les années suivantes par plusieurs quotidiens américains, puis traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier.
C'est vers 1850 que le passage de la célébration de la Saint Nicolas à celle de Noël se fixe en Angleterre, en lien avec Charles Dickens et ses « Livres de Noël ».
En 1860, le journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly représente Santa Claus vêtu d'un costume rouge orné de fourrure blanche et d'une large ceinture de cuir. Pendant près de 30 ans, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste du journal, illustra par des centaines de dessins tous les aspects de la légende de Santa Claus et donna au mythe ses principales caractéristiques visuelles : un petit bonhomme rond, en noir et blanc, la pipe au bec comme un Hollandais, recouvert de fourrure. C'est également Nast qui, dans un dessin de 1885, établit la résidence du père Noël au pôle Nord. Cette idée fut reprise l'année suivante par l'écrivain George P. Webster.
En 1931, Santa Claus prit une nouvelle allure dans une image publicitaire, diffusée par la compagnie Coca-Cola. Le dessinateur Haddon Sundblom donna au personnage un ventre rebondi, un air jovial, son costume rouge (couleur fétiche de la société, alors que la couleur originelle du Père Noël était le vert) et une attitude débonnaire. Pendant près de trente-cinq ans, Coca-Cola diffusa de tels portraits de Santa Claus dans la presse écrite.
En France, les catholiques, qui depuis longtemps s'échangeaient des petits cadeaux le soir de Noël en l'honneur de la naissance du Christ, résisteront longtemps au « père Noël », patronyme qui désignera le personnage popularisé en France par les Américains, à la fin de la seconde Guerre Mondiale .....
Aujourd'hui Santa Claus est également utilisé le 25 décembre, dans des pays n'ayant pas de tradition chrétienne - tels que la Chine -comme outil de vente et comme occasion de faire des cadeaux, de décorer la ville et de réunir la famille.
Anecdotes
Le lieu d'habitation du père Noël est très controversé. Selon les Norvégiens il habite à Droeback, à 50 km au sud d'Oslo. Pour les Suédois, c'est à Gesunda, au nord-ouest de Stockholm. Les Danois sont persuadés qu'il habite au Groenland alors que les Américains le logent à NorthPole en Alaska. En 1927 les Finlandais ont décrété que le père Noël ne pouvait pas vivre au Pôle Nord car il faut qu'il nourrisse ses rennes, sa résidence était donc en Laponie, au Korvatunturi.
Malheureusement cette région est un peu isolée, ils l'ont donc fait déménager près de la ville de Rovaniemi. La Sibérie revendique également cet honneur, mais il y a sans doute confusion avec Ded Moroz, le cousin russe du Père Noël qui est fêté le 7 janvier avec sa fille Snegourotchka. Dans le Pacifique sud, l'île Christmas se revendique également comme une résidence secondaire du Père Noël. La Turquie, qui a gardé des reliques de Saint Nicolas dans la très touristique région d'Antalya, est aussi de la partie.
Le père Noël a 8 rennes. Rudolph, le dernier a été créé par le poète Robert L. May, en 1939. Il a un nez rouge lumineux. En anglais : Dasher, Dancer, Prancer, Vixen, Comet, Donder, Blitzen et Rudolph.
La petite fille aux allumettes
Il était une fois une pauvre petite fille qui vendait des allumettes aux passants .
C'était la fin de décembre, et les gens s'apprêtaient à fêter Noël ...
La petite fille avait très froid , car sa robe et son vieux châle étaient déchirés .
Ce jour-là , elle n'avait pas vendu une seule boîte d'allumettes .
Elle ne pouvait presque plus remuer les doigts , mais elle prit tout de même une allumette et la frotta contre la boîte.
Comme la flamme était chaude !
La petite fille approcha ses mains et , comme par enchantement , dans la lueur apparut un grand poêle allumé .
Elle allongea ses petits pieds vers la chaleur , mais à cet instant l'allumette s'éteignit
et la vision s'évanouit .
La nuit parut plus sombre encore et le froid plus vif .
Elle craqua une autre allumette en la frottant contre le mur et cette fois , la lumière fit apparaître des choses délicieuses à manger.
La petite fille tendit les bras vers les plats , mais cette fois encore , la flamme s'éteignit et tout redevint comme avant .
Pauvre petite fille ! Ses yeux se remplirent de larmes .
Elle leva le regard vers les fenêtres illuminées et pria pour qu'un peu de bonheur lui fût donné .
Elle craqua alors une troisième allumette , et le miracle fut encore plus surprenant.
Des milliers de petites bougies illuminaient un grand arbre décoré de guirlandes et de boules multicolores.
Comme il est beau ! sécria la petite ; et elle leva l'allumette miraculeuse .
Elle sentit la brûlure de la flamme au moment ou cette dernière s'éteignait .
L'obscurité remplaça la merveilleuse vision .
Tout de suite, elle craqua une autre allumette et vit cette fois apparaître
le doux visage de sa grand-mère .
Oh ! grand-mère , reste avec moi !
Pour l'empêcher de disparaître comme les autres visions , la petite fille se mit à craquer , l'une après l'autre , toutes les allumettes de la boîte .
Sa grand-mère la regardait tendrement .
Puis elle ouvrit les bras , et la petite fille s'y réfugia en disant :
Grand-mère , emmène-moi avec toi !
Au petit matin , les passants découvrirent la petite vendeuse .
Elle était morte , mais son visage portait le plus beau des sourires .
Désormais , la petite fille se trouvait là ou l'on ne connaît ni le froid , ni la faim , ni la souffrance .