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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Pour preuve de l'existence de cet art à cette époque, en 1971, des archéologues ont découvert dans la tombe du prince Zhang Huai, décédé en 705 sous la dynastie Tang (618 à 907), une fresque peinte sur les parois de sa tombe. Elle représente deux valets portant, l'un un paysage en miniature, et l'autre un vase en forme de lotus, contenant un arbre avec des feuilles vertes et des fruits rouges.
La codification des bonsaïs la plus connue en Occident est celle du Japon :
L'art du bonsaï (ou Pun-saï à l'époque) gagna le Japon aux environs des VIe et VIIe siècles, propagé par les moines, qui enseignèrent également le bouddhisme. Ce fait est confirmé par le célèbre rouleau du moine bouddhiste Honen Shonin, de la période Kamakura (1192 à 1333), et la représentation de petits arbres alignés dans des coupes. Il faut savoir que les œuvres de ce moine retracent surtout la vie à la période Heian (794 à 1191). On peut donc raisonnablement en conclure que cet art apparut au Japon au plus tard en l'an 800.
Sous la dynastie Yuan (1279 à 1368), des ministres et des marchands japonais ramenèrent des arbres dans leur pays. Cependant cet art ne fut réellement intégré à la culture japonaise que lorsqu'un fonctionnaire chinois, Chu Shun-sui, fuyant la domination mandchoue en 1644, emporta sa collection avec lui. Il initia ainsi quelques Japonais à la culture des futurs arbres en pot appelés bonsaïs.
Pendant longtemps les bonsaïs furent réservés aux classes dominantes, féodales et religieuses, appréciant surtout les bonsaïs colorés. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas et bon nombre de Japonais s'adonnent à la culture des bonsaïs, renouant ainsi avec les traditions ancestrales.
La première exposition nationale de bonsaïs à Tokyo date de 1914. La culture des bonsaïs n'a été reconnue comme art au Japon qu'en 1934. Depuis lors, une exposition annuelle se déroule au musée d'Art de la capitale.
En Europe, les bonsaïs ont été introduits pour la première fois, lors de la troisième exposition universelle de Paris, en 1878, puis dans une exposition privée en 1909 à Londres. La première allusion aux bonsaïs a été faite par Paul Sédille dans la Gazette des Beaux-Arts de septembre 1878.
Bien que cette forme de culture d'arbres en pot existait déjà au Moyen Âge dans nos régions (cf. les orangeraies), on n'avait encore jamais tenté de recréer la nature à une si petite échelle. Il n'y a d'ailleurs que de lointains rapports entre les deux types de culture. On ne peut pas non plus voir les bonsaïs comme un art topiaire, bien que les bonsaïs, vietnamiens principalement, guidés dans leur croissance par des fils métalliques, aient à une époque représenté des formes animalières.
Aux États-Unis, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, des bonsaïs furent importés massivement du Japon. À partir de 1965, les bonsaïs furnent importés en grande quantité en Europe par Gerritt Lodder, aux Pays-Bas, puis par P. Lesniewicz, en Allemagne. Il fallut quelques années, et la participation de Rémy Samson pour voir les bonsaïs faire leur apparition en France, où il connurent un engouement marqué, au milieu des années 1980.
Les bonsaïs peuvent atteindre un âge très respectable. Le plus vieux bonsaï connu serait un Pinus parviflora, datant de l'an 1500, et toujours visible au Takagi Bonsai Museum de Tokyo.
Au fil des années, les techniques ont évolué, ce qui permet à l'amateur de changer la hauteur et la direction de la croissance de l'arbre, et dans certains cas de nanifier le feuillage de la même façon que l'arbre. Aujourd'hui, la culture des bonsaïs est un art : de la sculpture vivante. Il y a certaines formes classiques et traditionnelles que l'on peut trouver et suivre, mais la règle de base pour les bonsaïs personnels est « si tu aimes ce à quoi il ressemble, c'est un beau bonsaï ». Il convient tout de même de ne pas confondre un arbre planté dans un pot et un bonsaï. Même s'il ne rentre dans aucune forme classique, ce qui est rare, il devrait quand même respecter les règles de base de l'art.
Respirer, tout le monde sait le faire. Mais connaissons-nous vraiment les pouvoirs de notre souffle ? Pour les yogis, exercer sa respiration est l’un des secrets de la plénitude émotionnelle, physique et mentale.
La pièce est dans la pénombre. Pas un bruit, si ce n’est celui d’un souffle lent, profond, semblable à la respiration d’un enfant endormi. Inspiration. Silence. Expiration. Ce chuchotement feutré s’étire, jusqu’à durer parfois une minute. D’ordinaire, en ce laps de temps, un homme respire seize fois.
En yoga, cette pratique s’appelle la respiration psychique. Porte d’entrée vers un état méditatif, elle est aussi l’une des clés d’une technique ancestrale de guérison nommée Prana Vidya.
La source de l’énergie
En sanskrit, Vidya signifie connaissance, Prana la force de vie qui nourrit tout l’univers. « Cette notion n’est pas spécifique à la tradition indienne », note Christian Möllenhoff, fondateur de l’école de Yoga et Méditation Paris. C’est le Qi des Chinois, le Mana des Polynésiens, le champ d’énergie subtile exploré par les guérisseurs européens…
« Cette énergie est intimement liée à la respiration, explique l’enseignant. En chinois, le même mot peut désigner les deux. En suédois, le terme qui veut dire “souffle” fait aussi référence à l’esprit, l’essence. »Comme si respirer ne permettait pas seulement de remplir nos poumons d’air mais de canaliser le Prana, d’en irriguer notre corps subtil. « Notre façon de respirer est le miroir de ce que nous sommes et ce que nous vivons. Voyez comme elle s’accélère sous le coup d’un stress », comme un événement peut nous couper le souffle, comme nous soupirons de soulagement lorsqu’une situation se détend… « En influant consciemment sur notre respiration, nous pouvons agir sur notre état. En la forçant à se ralentir ou à s’interrompre un moment, nous confrontons les tensions et les peurs qui sont à l’origine de nos émotions, de nos pensées, de nos attitudes, et bloquent le Prana. Si le souffle devient calme, l’esprit cesse de s’agiter, l’énergie se libère, le corps psychique se purifie, la santé se renforce, la vie intérieure s’épanouit. »
Ainsi en va-t-il dans Prana Vidya. Lentement, consciemment, par la respiration psychique et la visualisation des différents points et canaux d’énergie qui parcourent le corps (« équivalents des méridiens de la médecine chinoise »), la pratique amène à ressentir et activer le « champ de Prana » pour dissoudre les blocages, réveiller et harmoniser les flux d’énergie… Jusqu’à parvenir, « une heure et demie d’immobilité plus tard », à une telle connexion et maîtrise de l’énergie psychique « qu’on peut la diriger vers une zone précise de son corps, mais aussi vers une autre personne, par la pensée », témoigne Christian Möllenhoff.
Dissoudre les tensions :
La technique est puissante, mais elle ne s’enseigne traditionnellement que dans le cadre d’une retraite d’au moins quinze jours, à des pratiquants expérimentés. « Il existe d’autres exercices de respiration plus accessibles et très efficaces », indique Christian Möllenhoff. Regroupés sous le nom de Pranayama (« maîtrise du Prana » en sanskrit), ils sont d’ailleurs à la base du yoga : « A l’origine, les postures physiques, ou Asanas, n’étaient là que pour préparer le corps à la respiration et à la méditation », souligne l’enseignant.
Si le Prana et la dimension énergétique de l’être ne sont pas adoubés par la science, plusieurs chercheurs se sont penchés sur les vertus du Pranayama. Ainsi, à la fin des années 80, une équipe de l’Université de Cologne a découvert, en étudiant la pression sanguine, le rythme cardiaque, et l’activité cérébrale de professeurs de yoga, que la respiration psychique les plongeait dans un état de relaxation dit « alpha », permettant à la fois de se détendre, reprendre des forces, se libérer des pensées quotidiennes, faire émerger des idées créatives, clarifier l’esprit et se recentrer. Soumis à des perturbations extérieures, les yogis ne sont pas sortis de l’état alpha, preuve que la pratique rend aussi moins réactif, plus robuste face aux aléas.
Les scientifiques de l’Université de Cologne ont également constaté que la respiration alternée – un autre exercice essentiel de Pranayama –, régulait le système nerveux, équilibrait l’activité des deux hémisphères du cerveau, et y augmentait non seulement les ondes alpha mais les ondes béta, symptomatiques d’un état de concentration et d’activité intense.
A la clé donc : une étonnante alliance d’énergie et de sérénité, de créativité et d’efficacité. « Quand j’ai commencé à pratiquer la respiration alternée, mon humeur s’est équilibrée, confirme Christian Möllenhoff. Au lieu d’osciller entre excitation et déprime, elle s’est ancrée dans un espace de contentement et de calme. Cet exercice accroît aussi ma vitalité. Si je fais la respiration alternée et psychique lorsque je suis fatigué, ensuite, spontanément, je vais m’attaquer aux tâches que je laissais traîner ! »
D’autres recherches, encore, pointent les effets sur l’asthme, les rhumes, les bronchites, les allergies respiratoires… « La respiration alternée m’aide à me défaire de mes migraines », constate également une élève de l’école de Yoga et Méditation. Christian, lui, a découvert qu’elle le rendait plus fort physiquement : « Un jour, après une séance, je me suis mis à charrier de lourdes pierres pour un projet de construction. Ma puissance m’étonnait moi-même ! »
En pratique :
Envie de vous lancer ? Commencez par la « respiration de vague », dont les effets peuvent être « impressionnants pour qui n’a jamais pratiqué ». Allongé au sol dans un endroit paisible, respirez profondément par le nez en gonflant votre ventre d’air, retenez le souffle puis faites passer cette « bulle » du ventre au thorax, puis du thorax au ventre, et ainsi de suite, jusqu’à ce que vous ne puissiez plus retenir le souffle. Expirez, laissez votre respiration se calmer, puis recommencez deux fois. Essayez aussi après expiration. « Pour moi, c’est un excellent moyen de dénouer les tensions, commente un élève de l’école de Yoga et Méditation. Physiques, d’abord, au niveau du ventre. Emotionnelles et mentales, ensuite, lorsque la sensation remonte vers la poitrine et la tête. »
« Si vous combinez cette pratique à la respiration alternée, les effets seront encore plus sensibles », poursuit Christian Möllenhoff. Assis le dos droit, aussi confortablement que possible, en tailleur, lotus ou demi-lotus, restez immobile quelques minutes. Une fois le calme établi en vous, posez l’index et le majeur de la main droite sur votre front. Fermez la narine droite avec le pouce, puis inspirez lentement par la narine gauche. Fermez-celle-ci avec l’annulaire, libérez la narine droite, et expirez doucement. Recommencez en sens inverse : inspiration par la narine droite, expiration par la gauche. Faites six autres cycles, sans vous arrêter. A mesure que l’exercice devient plus facile, augmentez jusqu’à onze cycles, puis tâchez de ralentir la respiration, de la rendre fluide et régulière.
Pour aller un cran plus loin, retenez le souffle après chaque inspiration, selon un rythme précis : comptez deux temps pour l’inspiration, huit pour l’apnée, quatre pour l’expiration. Faites cinq cycles. Quand vous êtes à l’aise, comptez trois, douze, six. Puis quatre, seize, huit… L’inconfort au départ est inévitable. Essayez de rester détendu, ne vous mettez pas la pression. Et concentrez-vous sur le compte des respirations, pour éviter que les pensées s’agitent et « consomment du Prana ». Si votre mental s’évade, revenez au souffle. « C’est le sésame d’une pratique calme et efficace », dont les bénéfices se feront rapidement sentir.
« Guidé par un bon professeur, on peut les ressentir dès la première fois », encourage Christian Möllenhoff, mais leur pérennisation passe par la régularité : « Pratiquer une fois par semaine, c’est déjà un bon début. »Tous les jours, c’est encore mieux, de bon matin à jeun ou à distance d’un repas, car « il est impossible de respirer lentement et de bien retenir le souffle si l’on n’a pas digéré ». A vous de jouer : expérimentez, observez combien la pratique change la face de votre journée. Petit à petit, elle pourrait même faire émerger d’autres perceptions, ouvrant à une nouvelle approche du réel… Mais ça, à chacun de le découvrir.
Quand vos efforts cessent,
soudain la méditation est là,
Sa bénédiction, son extase, sa splendeur.
Elle est là comme une présence,
elle est là lumineuse,
vous entourant et entourant chaque chose.
Elle remplit la terre toute entière
Et le ciel tout entier.
Cette méditation ne peut être créée par l’effort humain,
L’effort humain est trop limité.
Cette extase est infinie,
si bien que vous ne pouvez pas la manipuler.
Elle ne peut survenir que lorsque
vous vous êtes tout à fait abandonné.
Quand vous n’êtes plus là,
alors seulement elle peut survenir.
Quand vous n’avez plus de moi,
Plus de désirs, que vous n’allez nulle part ;
Quand vous êtes tout simplement
ici et maintenant,
Que vous ne faites rien de spécial,
Seulement être ;
alors, elle survient.
Elle arrive par vagues,
et les vagues deviennent un raz de marée.
Elle vient comme une tempête
et vous emmène dans une réalité
complètement nouvelle.
(Osho ajneesh)