Fandeloup

il faut apprendre a se rendre compte de l'importance des gens dans nos vie quand ils sont à nos côtés, pas quand ils sont déjà partis

Le doute est une maladie. Il contamine votre esprit jusqu'à que vous n'ayez plus confiance en personne, il va même jusqu'à altérer vos propres convictions..

Parfois il faut laisser aller tout comme il doit s'en aller, laisser faire les choses, suivez la vague de son propre destin et rester à voir où ça vous mène.

Ils sont rares mais il y des gens qui vous font sentir bien même sans être près d'eux....Ils te disent des choses sans jamais avoir l'air de quelqu'un qui veut t'apprendre quelque chose.... ils te parlent comme s'ils te connaissaient depuis toujours...... Ces personnes font du bien au ♥. Ils vous réconcilient avec la vie. Parfois ils arrivent quand on ne les attendait plus et sont le plus aimé des cadeaux.

Je ne connais pas les demi-mesures. Il n'y a pas d'intermédiaire en moi: le juste milieu, je ne sais pas ce que c'est. Tu as le choix entre me prendre totalement telle que je suis, ou ne pas me prendre du tout. C'est le principe de base.

La vie m'a appris... A dire adieu à des gens que j'aime, sans les supprimer de mon cœur. A sourire aux personnes qui ne m'aiment pas pour leur montrer que je suis différente de ce qu'ils pensent. A dire que tout va bien quand ce n'est pas vrai, afin que je puisse croire que cela va changer. A me taire pour mieux écouter. A apprendre de mes erreurs, après tout, je peux toujours faire mieux. A lutter contre l'injustice. A sourire quand ce que je désire le plus, c'est crier tous mes chagrins au monde.. A pardonner parce j'ai déjà eu besoin de ce même pardon, A rêver éveillée et ouvrir les yeux devant la réalité. A profiter de chaque instant de bonheur. A pleurer sans avoir honte de me montrer. A regarder et entendre les étoiles, bien que je ne sois pas en mesure de les comprendre. A apprécier le charme du soleil couchant, sentir la douleur d'un adieu et d'une fin.. et croire aux lendemains... La vie m'a appris et m'apprend encore , Car la vie est un éternel recommencement

MESSAGE

Cette mère entend un bruit sourd et se précipite vers la voiture . Lorsqu’elle voit a tête de son fils, elle tressaille.

 L'histoire se déroule au cours d'une chaude journée de l'été 2016 dans la ville ukrainienne de Zhovti Vody. Svetlana Tsirunova et Vasil Stuliy veulent à tout prix profiter des rayons du soleil et décident d'emmener les enfants à la plage. Toute la famille est contente de cette petite excursion, or, elle est loin de s'imaginer le tournant épouvantable que cette belle journée va prendre.

 Vasil trouve une place de parking près d'un parc où un homme tond le gazon sur une énorme tondeuse. Les enfants restent dans la voiture pendant que les parents récupèrent les sacs de plage. Ce qu'il se passe ensuite est digne des pires films d'horreur.

Soudain, Svelana et Vasil entendent comme une explosion suivie des hurlements graves de leur fille. Lorsqu'ils jettent un oeil sur la banquette arrière, leurs jambes les lâchent presque : leur fils de 4 ans gît inconscient sur les genoux de sa soeur. Il est en sang et un bout de métal est planté dans sa tête.

Les parents, sous le choc, se jettent dans la voiture et foncent vers l'hôpital le plus proche. Lorsque les médecins découvrent ce qui est logé dans le crâne de l'enfant, ils tombent des nues : une lame de tondeuse à gazon ! La police découvrira plus tard qu'il s'agit d'une lame venant des machines à proximité de la plage. Elle s'est cassée, a volé quelques mètres dans les airs, a cassé la vitre de la voiture et a fini sa course dans la tête du petit Danil. Les experts qui interrogent l'ouvrier et examinent la machine restent sans voix. Quelle est la probabilité pour qu'un accident de ce genre se produise ?

 La lame, de 45 cm de long et presque 5 cm de large, aurait pu tuer l'enfant sur le coup. Mais contre toute attente, Danil est en vie. Cependant, la situation est critique et il faut plusieurs jours avant que son état se stabilise. À cause des dégâts sévères occasionnés sur son cerveau, Danil est dans le coma. À ce moment-là, les médecins sont pessimistes et annoncent aux parents qu'il est fort probable que leur fils ne se réveille jamais.

 Lorsque l'accident est relayé par les chaînes d'information, (en ukrainien dans la vidéo ci-dessous), des centaines de personnes lancent une campagne sur internet afin de récolter des fonds pour aider à la famille à payer les soins médicaux de Danil.

Les parents de Danil prient désespérément pour leur fils et il semblerait qu'ils aient été entendus : dix jours après l'accident, le petit garçon ouvre enfin les yeux. Bien qu'il ne puisse toujours pas bouger ni parler, le fait qu'il ait repris conscience donne de l'espoir aux parents. Les médecins, quant à eux, restent toujours sur leurs gardes et préfèrent avertir les parents que leur fils risque de rester dans cet état toute sa vie. Mais il semblerait que le petit Danil en ait décidé autrement. Étant d'ordinaire très actif, il a du mal à supporter de rester au lit toute la journée. Très vite, il refait ses premiers pas et au bout de quelques semaines, il finit même par reprendre entièrement le contrôle de son corps.

Le rétablissement de Danil surprend tout le monde ! Semaine après semaine, il devient de plus en plus actif et très vite, ses parents le voient sauter partout et jouer comme les enfants de son âge. Svetlana et Vasil décident de prendre toutes leurs précautions, par conséquent, ils mettent un casque à Danil afin d'éviter d'éventuelles complications au niveau du crâne.

Danil n'a rien contre le port d'un casque, au contraire, il trouve qu'il a l'air cool ! À la fin de l'année 2016, Danil finit par retrouver l'usage de la parole. Il va sans dire que les médecins, pessimistes à son égard, sont très impressionnés par le rétablissement de ce petit garçon qu'ils croyaient à jamais perdu. o Mais Danil n'est pas encore entièrement sorti d'affaire, il lui faut désormais se faire implanter une plaque en titane pour remplacer son os arraché par la lame. Une fois la procédure terminée, plus rien ne pourra arrêter ce petit garçon de 4 ans ! Danil est aujourd'hui en pleine forme et a toute la vie devant lui et s'il a survécu à une lame de 45 cm dans la tête, il peut tout affronter !

Bonsoir mes amis ....... ☆┊　★ Derrière nos écrans, Ou l'on échange simplement, ☆┊　★ Se cache une amitié fidèle, Et sans querelle, Peu à peu on se découvre, ☆┊　★ Et tous les jours on se retrouve, On a beau être éloignés, ☆┊　★ Rien ne peut y changer, On ne se rencontrera peut être jamais, ☆┊　★ Mais le plus important c'est cette amitié.... Qui nous unis via nos ordis ....! ☆┊　★ Bonne soirée bisous tendresse Douce soirée sur coin de confidence

ENQUÊTE Besançon : un anesthésiste soupçonné de sept empoisonnements, dont deux mortels

Un médecin-anesthésiste de Besançon a été mis en examen pour avoir empoisonné sept patients, dont deux sont décédés. Un acte volontaire selon le parquet, qui l'a mis en examen.

Coup de tonnerre à la clinique Saint-Vincent.

Un médecin-anesthésiste de 45 ans a été déféré ce lundi devant le parquet de Besançon. Les investigations vont encore se poursuivre durant plusieurs mois, mais le parquet estime que les enquêteurs de la police judiciaire ont rassemblé suffisamment d’éléments à charge pour ouvrir une information judiciaire à son encontre.

Ce médecin, pourtant reconnu professionnellement, est accusé d’avoir commis au moins sept faits d’empoisonnement, dont deux fatals à ses patients. Et ce, entre 2008 et 2017. Durant cette période, le praticien suspecté a également exercé à la Polyclinique de Franche-Comté, qui a tenu à réagir via un communiqué. La direction de la clinique Saint-Vincent, elle, reste pour l'heure silencieuse.

Le parquet de Besançon écarte la piste de l'erreur médicale répétée. « Nous n’avons pas retenu le chef d’homicide involontaire, mais bien d’empoisonnements. Vu les doses administrées, ça ne pouvait pas être accidentel », explique la vice-procureure de la République, Christine de Curraize.

Faits commis entre 2008 et 2017

Les détails sur les motivations du praticien, qui nie farouchement les faits, resteraient à préciser... La thèse d'accompagnements de fin de vie hors protocole semble peu plausible, du fait de l'âge des patients (37 à 53 ans) d'une part, et de la nature des interventions chirurgicales incriminées d'autre part. Seule certitude : l'homme « ne connaissait pas personnellement les victimes », précise la magistrate bisontine.

Les deux personnes décédées en 2008 et 2016, un homme et une femme, ont comme les cinq autres patients fait un arrêt cardiaque suite à une opération. Mais eux n'ont pu être réanimées. La rumeur d'une enquête avait commencé à circuler depuis quelques semaines déjà dans les couloirs de la clinique de Saint-Vincent.

Des employés ont été entendus sous commission rogatoire, il y a peu, dans les locaux du commissariat de la Gare d'Eau à Besançon. L'annonce de la mise en examen du médecin - et de la gravité des faits reprochés - risque évidemment de créer une onde de choc importante pour l'établissement., qui a lui-même signalé des dysfonctionnements, relayés ensuite auprès des autorités par l'Agence Régionale de Santé.

Placé sous contrôle judiciaire Le professionnel de santé a été mis en examen ce lundi. Le juge des libertés et de la détention devait décider dans la soirée de son éventuelle incarcération. « Tant pour les besoins de l’enquête que pour limiter les troubles à l’ordre public », le parquet demandait un placement en détention provisoire.

L'audience a été longue. Le juge a finalement opté pour un placement sous contrôle judiciaire, avec à titre préventif, une interdiction d'exercer son activité de médecin. Aux yeux de la justice, l’empoisonnement est un crime formel, constitué par l’infraction en elle-même, quel qu’en soit le résultat. Autrement dit : que la victime décède ou non. Les peines encourues sont identiques au meurtre, 30 ans de prison, réclusion à perpétuité si le chef de préméditation est retenu.

Willy GRAFF willy.graff@estrepublicain.fr