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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

Publié à 09:07 par fandeloup Tags : moi vie news homme chez photo femme mort fille femmes air
horreur

Pakistan : brûlée vive à 16 ans par sa mère pour s'être choisi un mari

Le meurtre de Zeenat mercredi matin est le troisième en autant de mois d'une jeune fille accusée d'avoir bafoué l'honneur de sa famille au Pakistan.

 Zeenat n'avait que 16 ans quand elle a épousé un jeune homme contre l'avis des siens. Une audace qui lui a couté la vie lorsque sa mère excédée l'a brûlée vive dans leur modeste maison à Lahore. Le meurtre de Zeenat mercredi matin est le troisième en autant de mois d'une jeune fille accusée d'avoir bafoué l'honneur de sa famille au Pakistan.

Des centaines comme elle sont tuées chaque année, mais très rarement par une femme, et encore moins leur mère. Perveen Bibi a tué sa fille mercredi matin, un peu plus d'une semaine après son mariage. Le 29 mai, Zeenat s'était unie à Hasan Khan, un voisin de 20 ans dont le grand défaut, aux yeux de sa famille, est d'être d'ethnie pachtoune alors qu'ils sont pendjabi.

Sa soeur aînée Shazia, encore sous le choc, accuse Zeenat d'être allée trop loin. Mais elle avait plaidé auprès de sa mère pour qu'elle rompe les liens avec elle plutôt que lui faire du mal. «J'ai essayé d'empêcher notre mère de la punir trop sévèrement, mais elle l'a ramenée à la maison. Elles ont commencé à se disputer, Zeenat insultait notre mère tous les jours jusqu'à ce que cela arrive», raconte-t-elle.

C'était une maisonnée de femmes, depuis la mort du patriarche et le départ des sept frères et soeurs de Zeenat, dont deux travaillent à Dubaï et soutiennent financièrement la famille. Les relations s'étaient lentement dégradées et «notre mère était désespérée par la désobéissance» de sa benjamine, «elle pensait que s'il y avait eu un homme à la maison, il aurait réussi à la cadrer».

Autour d'elle, quelques voisines et femmes de la famille sont rassemblées, le visage tendu, dans l'air brûlant du patio séparant les deux seules pièce de la maison où le drame a eu lieu. Seule une voisine pleure discrètement dans un coin.

«C'était une gentille jeune fille, Perveen n'aurait pas du faire ça», regrette cette mère de famille, Sadaqat. Mariés quatre jours En haut des marches menant au toit-terrasse, un morceau d'étoffe brûlée et des marques de suie au sol, rappellent les derniers instants de la jeune fille insoumise au visage rond et doux.

La mère a reconnu les faits et la police a saisi du kérosène sur place, selon un responsable de la police provinciale, Haidar Ashraf. Après le meurtre, Perveen est sortie sur le pas de sa porte, se frappant la poitrine en signe de deuil.

«Elle criait -j'ai tué ma fille pour s'être mal comportée avec moi et avoir sali le nom de notre famille en se mariant à sa guise-», raconte sa soeur, Naseem Bibi.Hassan Khan, le jeune mari de Zeenat Bibi a expliqué à la télévision locale Geo News qu'ils s'étaient enfuis puis qu'il avait accepté, à contrecoeur, que sa jeune épouse retourne chez sa famille après la promesse qu'aucun mal ne lui serait fait.

«Après le mariage, nous avons vécu ensemble quatre jours, puis sa famille nous a contactés. Ils nous ont promis qu'ils organiseraient une fête de mariage, puis que nous pourrions vivre ensemble», a-t-il expliqué. «Zeenat ne voulait pas rentrer chez elle, elle m'a dit qu'elle serait tuée. Elle a fini par accepter après qu'un oncle lui a assuré qu'elle serait en sécurité.»

Les deux familles sont désormais en litige pour savoir qui enterrera le corps après l'autopsie. Hassan Khan montre un document avec une photo de sa femme Zeenat Bibi, qui a été brûlée vive par sa mère, à Lahore le 8 Juin, 2016.

 

bonne nuit

Publié à 19:24 par fandeloup

condamnés par la justice

Publié à 19:18 par fandeloup Tags : france bleu moi nature animaux pouvoir
condamnés par la justice

Dordogne : condamnés par la justice car les grenouilles de leur mare font trop de bruit

Annie et Michel Pecheras devant la mare de la discorde. Annie et Michel Pecheras devant la mare de la discorde.

Benjamin Fontaine Annie et Michel Pecheras habitent Grignols à quelques kilomètres de Périgueux, en Dordogne. Ils viennent d'être condamnés par la cour d'appel de Bordeaux a combler leur mare. Le coassement des grenouilles gêne leurs voisins installés à une dizaine de mètres du point d'eau.

Vivre à la campagne c'est courir un risque (!). Celui d'être réveillé par le chant du coq, le beuglement d'une vache...ou le coassement des grenouilles.

A Grignols à une vingtaine de kilomètres au sud de Périgueux, Annie et Michel Pecheras sont en guerre ouverte avec leurs voisins. Ces derniers les poursuivent en justice pour les contraindre à combler leur mare de 300 mètres carrés.

Ils seraient épuisés par le coassement des grenouilles pendant la saison des amours. Ils ont perdu leur procès en première instance mais la cour d'appel de Bordeaux vient de leur donner raison. Les ennuis ont commencé en 2012 "C'est un endroit très paisible, moi je viens me reposer ici une demi-heure tous les soirs, regarder les animaux," raconte Annie, les larmes aux yeux.

Évoquer ce qu'elle appelle "son paradis" et l'idée qu'il puisse disparaître la fait souffrir. "Je ne comprends pas que l'on puisse s'en prendre comme cela à nous alors qu'on vit paisiblement dans ce village." Les ennuis avec leurs voisins de la maison mitoyenne ont commencé un peu avant 2012.

Il y a bien eu des tentatives de conciliation mais elles n'ont rien donné. "Ils ne sont jamais venus" explique les plaignants. Des nuisances estimées à 63 décibels Un expert aurait jaugé la nuisance à 63 décibels. "C'est vrai que ça fait du bruit, mais il n'y a pas plus d'une trentaine de grenouilles, il ne faut pas exagérer," soupire Michel. "On est à la campagne, c'est malheureux de ne pas pouvoir supporter le bruit des animaux."

Les voisins assurent que la situation est pourtant invivable, ils remettent aussi en cause la légalité de la mare. "Elle est au cadastre, je l'ai même déplacée, avant elle était au pied de leur mur, je pensais bien faire," se défend Michel. "Il y a des choses plus importantes à traiter dans les tribunaux" Déboutés par la cour d'appel de Bordeaux, qui vient de rendre son jugement, les époux Pecheras ne comptent pas en rester là. Pas question pour eux de remplir ce trou d'eau.

"Les grenouilles sont des espèces protégées, on ne va pas les chasser!" déclare Annie. La prochaine étape pour ces anciens restaurateurs c'est la cour de Cassation. Ils espèrent faire reconnaître l'utilité de leur mare. "Si les pompiers doivent venir éteindre un feu, c'est le point d'eau le plus proche," argumente Michel qui a également contacté l'association de défense des animaux sauvages, l'Aspas.

Son porte-parole, Michel Giraud est prêt à les soutenir. "Une mare c'est une zone humide et c'est très important pour la biodiversité et les grenouilles sont très importantes, même si je reconnais que leur coassement peut être pénible, mais cela dure deux mois...il faut arrêter de vouloir aseptiser la nature !"

S'ils venaient à perdre devant la cour de Cassation, les époux Pecheras pourraient être contraints de verser plusieurs milliers d'euros à leurs voisins.

Un jeune homme jugé

Publié à 18:20 par fandeloup Tags : possession vie homme nuit animal chien
Un jeune homme jugé

Versailles: Un jeune homme jugé pour avoir enterré sa chienne vivante

Un homme de 22 ans est jugé ce mercredi à Versailles pour avoir enterré sa chienne vivante en août dernier à Carrière-sur-Seine… La chienne avait été retrouvée enterrée vivante en bord de Seine. Ce 1er août 2015, à Carrière-sur-Seine (dans les Yvelines), par un promeneur.

Repérant une forme étrange aux abords de l’eau, l’homme s’approche et entend une respiration. Il distingue alors la truffe d’un animal , qui dépasse à peine, et creuse. Il s’agit d’une chienne, un dogue de Bordeaux, dont la laisse a été lestée de pierres. Affaiblie et choquée, elle est rapidement prise en charge par des vétérinaires. Rapidement retrouvé par les enquêteurs, son propriétaire est jugé ce mercredi pour « acte de cruauté », bien qu’il démente les faits.

Une chienne « devenue un poids », selon la Présidente du tribunal « Je n’ai jamais maltraité mon chien », s’est défendu à la barre du tribunal correctionnel de Versailles son propriétaire, qui n’a pas souhaité d’avocat. Le jeune homme de 22 ans, cheveux ras, barbe fine et épaules larges, maintient que l’animal s’est enfui alors qu’il le promenait en pleine nuit, quelque temps avant le drame.

A la barre, le suspect a également évoqué des problèmes personnels et professionnels, arguant que son « seul réconfort » dans la vie, était de «s’occuper de sa chienne».

Une thèse qui peine à convaincre la présidente. « Votre chien, il est dans un tel état que s’enfuir sans que vous ne le retrouviez, ça pose un peu question », lui a-t-elle lancé pendant le procès, en faisant référence à l’âge et au handicap de la chienne. Elle avance l’hypothèse d’une chienne devenue « un poids » pour le prévenu.

 Le procureur a par ailleurs avancé la thèse selon laquelle le suspect a « peut-être été dépassé par la possession de ce chien » âgé et boiteux. Bien que s’il voulait s’en débarrasser, « il aurait pu l’amener à une association ». Quant à la version du prévenu, « si quelqu’un avait croisé la chienne dans la nuit, il n’aurait pas pris le temps de creuser un trou… », a encore émis comme réserve le procureur.

Pour « acte de cruauté » mais aussi pour avoir copieusement insulté les policiers qui l’ont interpellé, l’accusateur a requis à son encontre six mois d’emprisonnement avec sursis et l’interdiction à l’avenir de détenir un chien. Le Jugement sera rendu le 29 juin.

liberté

Publié à 17:56 par fandeloup

refus

Publié à 17:17 par fandeloup Tags : monde france histoire
refus

Un député du Rhône refuse que l’arabe soit enseigné au CP

Comme une vingtaine d'autres députés, Philippe Cochet a cosigné une lettre ouverte à Najat Vallaud-Belkacem. Publiée dans Valeurs Actuelles, elle enjoint la ministre de l'Education Nationale à retirer sa proposition d'enseigner une LV1 dès le CP, et notamment l'arabe.

"Dans un contexte où des millions de Français se questionnent sur leur identité collective, où les tensions sociales et communautaires se font de plus en plus pesantes, vous proposez l’apprentissage de la langue arabe dans le primaire, dès le CP.

Sur le plan de la méthode, qu’il s’agisse de l’anglais, de l’italien ou de l’arabe, c’est une décision stupide : la priorité est d’abord d’apprendre la langue de la République, avant de vouloir échanger avec le monde.

La France n’est pas un "pays monde", détaché d’un substrat culturel, et l’école n’est pas là pour former des voyageurs ou des apatrides, mais des citoyens. Des citoyens qui comprennent et respectent les lois de leur pays, rédigées en français depuis l’édit de Villers-Cotterêts", écrivent notamment le député-maire LR de Caluire et ses collègues parlementaires.

"Vous qui êtes le fruit de cette histoire et de ce métissage, vous qui avez suivi un parcours d’excellence, vous qui pourriez être un symbole de l’assimilation et de la méritocratie, qui furent le projet de la République depuis son origine, vous devez servir d’exemple, et non pas trahir les mânes de Jules Ferry. Votre parcours comme modèle pour la jeunesse de France ne vous crée que des devoirs envers celle-ci", concluent-ils, en interpellant Najat Vallaud-Belkacem.

vertu

Publié à 16:38 par fandeloup Tags : monde
vertu

 La plus noble des vertus reste la gentillesse, mais le monde d'aujourd'hui en a fait une faiblesse.

humour

Publié à 16:16 par fandeloup Tags : humour

Ce policier refuse de quitter ce chiot

Publié à 16:09 par fandeloup Tags : travail bonne homme chez
Ce policier refuse de quitter ce chiot

Ce policier refuse de quitter ce chiot jusqu’à ce qu’il soit adopté.

"C’était clairement une action altruiste. Il ne pensait pas à rentrer chez lui dormir. Il pensait à ce qu’il pouvait faire pour aider cette petite chienne à survivre".

L’officier de police Kareem Garibaldi des services de police de Lakeland en Floride, a trouvé une petite croisée femelle pit-bull/boxer pendant sa patrouille du samedi, au petit matin. Il l’a presque écrasée, car elle courait en liberté. Il était épuisé après avoir travaillé durant de longues périodes, mais il a passé les deux jours suivants au chevet du chiot jusqu’à ce qu’elle soit adoptée. Parce que le chiot n’avait pas de puce électronique ni de collier, il n’avait aucun moyen de trouver son propriétaire.

Donc il l’a ramenée au poste de police, et lorsque sa période de travail s’est terminée, il l’a ramenée chez lui. Le jour suivant Kareem Garibaldi a de nouveau cherché sa famille, sans succès.

Après sa journée de travail de 12 heures, sa troisième en autant de jours, il a emmené le chiot à la SPA de Floride pour un examen. La responsable de la sécurité du refuge, Connie Johnson, arrivait tout juste au travail lorsqu’elle a vu la scène touchante.

« Je suis entré, et c’est alors que je l’ai vu avec le chiot, » a déclaré Connie Johnson à The Dodo. « Il était épuisé, la chienne était épuisée, et ils dormaient. C’était l’un de ces moments qui vous prennent aux tripes. Il était si déterminé à lui apporter de l’aide. » Il a passé trois heures à attendre pendant que les vétérinaires l’examinaient. Elle avait quelques mites, mais était plutôt en bonne santé.

« C’était clairement une action altruiste. Il ne pensait pas à rentrer chez lui dormir. Il pensait à ce qu’il pouvait faire pour aider cette petite chienne à survivre, » a jouté Connie Johnson. « À un moment, il s’est juste réveillé pour voir si elle allait bien avant de se rendormir. »

Une fois qu’elle a été libérée, Kareem Garibaldi a ramené le chiot au poste. Un standardiste lui a accordé un regard et est tombé sous le charme. Hope (Espoir), comme elle a été baptisée, a été adoptée ce jour-là. « C’est ce type d’officier au grand cœur qui rend les services de police de Lakeland vraiment unique, » a publié un autre officier sur Facebook. « Après avoir travaillé un long week-end, l’officier Kareem Garibaldi a quand même trouvé l’énergie pour aider le meilleur ami de l’homme. »

Connie Johnson est d’accord avec l’opinion exprimée. « Ce gentil homme a un tel cœur. Il s’inquiétait vraiment du devenir de ce chiot. »

fusionner

Publié à 15:13 par fandeloup
fusionner

Il te faut intégrer , fusionner et ne devenir qu'un....