Fandeloup

Admire toutes ces beautés avec moi, ouvre grand les yeux, dans la joie planons ensemble dans cette magnificence qui redonnera envie à tous nos sens ! Aller viens avec moi, vers la beauté des cieux, dans le sillage de mes ailes, ouvre enfin tes yeux, vois comme la terre est belle, laisse de côté tes peurs, que sa splendeur transporte son doux miel à ton cœur

A 13 ans à peine ce garçon est déjà un vrai voyou, regardez ce que va faire son père pour le recadrer

 Ethan est un jeune garçon de 13 ans. Pour ce jeune âge c’est déjà un délinquant, il enchaîne les vols et se bagarre souvent. Pour remettre son fils dans le droit chemin son père l’inscrit participer au programme « Beyond Scared Straight » pour lui montrer l’enfer de la vie carcérale dans une prison où la plupart des détenus sont condamnés à vie . Le but est vraiment de créer un électrochoc.

Après avoir subi un bizutage, des humiliations et de brimade en prison, il décide changer radicalement. Un mois après l’immersion, c’est un nouveau Ethan.

Viens avec moi, vers la beauté des cieux, volons ensemble en ouvrant grand tes yeux, vois de la haut comment la terre est belle, admire toute ces merveilles à tire d'ailes ! Laissons de côté, un seul instant, toutes les horreurs du monde présent, oublions une minute, ces affres cruelles, pour les splendeurs que la terre nous rappelle !

BONJOUR

Doyen : Louna, de l’ombre à la lumière

Dans les beaux yeux vairons de Louna, 13 ans, une étincelle de vie est apparue depuis que Laurence a croisé son chemin. 30millionsdamis.fr a recueilli le témoignage de celle qui a fait revivre la chienne grâce à l’opération Doyens de la Fondation. Louna, sa maîtresse Laurence et Elroy en photos. 

2 âmes blessées qui se sont liées et ont trouvé le bonheur ensemble. Alors que Laurence vient de perdre sa chienne de 14 ans et fait face à une infinie tristesse, elle pense à adopter un chien qu’elle sauverait d’un destin difficile ; pour retrouver le sourire à deux.

C’est lors d’une journée d’adoption du refuge du pays de Landerneau (29), qu’elle rencontre Louna, une chienne husky qui soufflera ses 13 bougies en juillet.

« J’y suis allée juste pour voir. Je voulais sentir si j’étais capable d’avoir un autre chien, si mon désir d’en reprendre un était assez fort » explique-t-elle.

« Lorsque je me suis approchée de la cage de Louna, elle m’a marquée. Elle ne bougeait pas. Elle était effacée. Elle avait le regard tout terne, tout triste. Je l’ai regardée longuement sans qu’elle fasse un mouvement. Au bout d’un moment, je lui ai demandé : "Est-ce que tu veux venir vivre avec moi ?".

Et là, d’un coup, elle a sauté sur les barreaux de sa cage ! Ça m’a tellement émue… » se souvient avec tendresse Laurence. Du passé de Louna, Laurence ne sait rien. Si ce n’est qu’elle a échappé de justesse à l’euthanasie et qu’elle a été recueillie à temps par le refuge. Ce samedi 5 mars 2016, c’est aussi le jour de chance d’un autre toutou…

Gros, rebaptisé Elroy, un griffon de 4 mois, trouve son bonheur aux côtés du compagnon de Laurence qui craque pour lui. Le couple repart donc avec un chiot et un doyen pour un bel avenir en commun.

LOUNA SE DÉVOILE…

« Je ne vous cache pas que les débuts ont été difficiles, avoue-t-elle. Louna était très triste et cela a été compliqué à gérer pour moi. Je me posais beaucoup de questions, je me demandais si j’avais bien fait ? Si elle allait m’aimer ?Si j’allais réussir à la rendre heureuse ? J’avais encore en tête ma précédente chienne qui me suivait partout et je comparais… A côté, Louna était timide, effacée, distante. »

Puis au bout de quelques temps, Louna s’est révélée : « Petit à petit, nous avons vu le changement. Dans son regard d’abord. Quand je rentrais à la maison, je voyais qu’elle était contente de me voir. Son regard s’illuminait et elle remuait la queue. Quand je surprenais mon compagnon et les chiens en balade, Louna ne me voyait pas arriver mais me sentait. C’était fort ! » se souvient sa nouvelle maîtresse. Louna a également surpris le couple par son dynamisme et son goût pour le jeu !

« J’avais acheté un jouet pour Elroy et je me suis rendue compte que c’est Louna qui se l’était appropriée ! J’ai été vraiment surprise parce que mon autre chienne ne jouait plus en vieillissant. Finalement, nous avons deux gros bébés à la maison ! » sourit-elle. Depuis, les chiens ont développé une belle complicité et passent toutes leurs journées ensemble :

« Elroy entraîne Louna et Louna calme Elroy. Ils se font du bien mutuellement. »

REDONNER VIE À UN DOYEN

« Louna m’a aidée à remonter la pente. Grâce à ces deux toutous, je me sens bien quand je suis avec eux », témoigne sa maîtresse. Et pour retransmettre un peu de l’amour qu’on reçoit d’un chien, rien de tel que d’adopter un doyen !

« Je suis contente de voir qu’on peut redonner une étincelle de vie à un animal. C’est fantastique de voir à quel point ils peuvent s’attacher à nous en si peu de temps » explique Laurence. L’opération Doyens de la Fondation 30 Millions d’Amis a été lancée en 2005 pour donner leurs chances aux vieux animaux qui n’intéressent pas les visiteurs dans les refuges. La Fondation s’engage à régler les frais vétérinaires à hauteur de 600 euros pour toute adoption d’un chien âgé de 10 ans et plus. Ainsi, plus 5800 doyens ont été adoptés dans les 120 refuges participants.

Elle ne laisse pas son fils aller à des anniversaires, jusqu’à ce qu’elle reçoive cette lettre.

 Timothy est autiste, et pour cette raison, sa vie n’a pas toujours été simple. La plupart des choses qui sont naturelles pour les autres enfants représentent une difficulté pour lui. Pour les anniversaires, par exemple, il a beaucoup de mal à ce qu’il y ait de nombreux enfants surexcités autour de lui.

Mais un jour, une lettre très spéciale arrive dans la boîte aux lettres. Ces mots touchants font sangloter la maman, qui répond promptement :

            “Chère (super chouette) mère, Vous ne me connaissez pas et je ne vous connais pas non plus, mais mon fils, Timothy, s’assied parfois à côté de votre fils à l’école. Timothy est atteint d’autisme sévère. C’est aussi un petit garçon de 7 ans qui aime et joue avec tout son cœur. Il a besoin de beaucoup d’aide à l’école et parfois semble complètement inconscient de ce qui se passe sous son nez. Il veut des amis, mais ne sait pas comment s’en faire. Il veut jouer, mais ne sait pas comment demander. Il veut être inclus dans un groupe, mais ne sait pas comment s’y prendre. Nous, parents d’enfants ayant des besoins spéciaux, connaissent trop bien la douleur que nos enfants ressentent quand ils sont laissés de côté pendants certains temps forts.

Les événements sportifs, les sorties, les soirée pyjamas et même, les redoutables anniversaires. Je peux vous dire de tout cœur que mon fils n’a jamais participé à ces événements. Nous avons reçu de nombreuses invitations ces dernières années, généralement de la part d’enfants qui invitent toute la classe. Détrompez-vous, je suis reconnaissante.

Mais je me demande si les parents savent ce qui se passerait si j’emmenais Timothy ? Les absences, les crises de nerfs, … Je ne voudrais pas gâcher l’anniversaire. Donc, on refuse poliment. Chaque invitation. Jusqu’à ce que l’on reçoive votre invitation, avec votre mot spécial, qui disait :

“Carter s'assied à côté de Timothy à l’école et parle toujours de lui. J’espère qu’il viendra. On va louer un château gonflable et on peut attacher un petit toboggan en bas. On aura aussi des ballons d’eau et des pistolets à eau. Peut-être que Timothy pourrait venir plus tôt avant que les enfants ne soient trop nombreux.

Faites-moi savoir comment on peut organiser ça.” Vous avez écrit exactement ce qu’il me fallait voir ce jour-là, sans le savoir. Grâce à votre fils, il a été inclus dans un groupe.

Grâce à votre fils, il s’est senti aimé. Grâce à votre fils, il a une voix. Et je voulais que vous sachiez que grâce à vous je peux continuer. Grâce à vous, je peux supporter un autre rendez-vous. Grâce à vous, je peux supporter les regards.

Grâce à vous, j’ai de l’espoir pour Timothy. Je voulais juste vous dire que vous faites un boulot fantastique avec votre fils. Cette mère viendra sans souci, pour la première fois. Nous avons hâte. Sincèrement, La mère reconnaissante de Timothy.” Cette lettre montre à quel point un peu de sympathie et de compréhension peut changer les choses pour les gens. La mère de Timothy est souvent débordée. Mais cette lettre est comme une lumière à la fin d’un tunnel.

BONJOUR

Ils jettent leur bébé dans une boîte. Puis cet homme arrive, ce qu’il fait nous a laissé sans mots!

Chaque année à Séoul, des centaines de nouveau-nés sont abandonnés par leurs parents. Cette épidémie semble empirer au fil des années. Le pasteur Lee Jong-Rak reconnaît le problème et sait qu’il faut faire quelque chose pour aider ces enfants . Il a donc crée la « Baby Box » (boîte à bébés).

Il a construit une boîte, chauffé et avec des couvertures, pour protéger le bébé du froid. La boîte est intégrée à l’église. Chaque fois qu’un bébé vient d’y être déposé, une sorte alarme sonne pour le prévenir. L’objectif de cette boîte est de donner une alternative aux parents désespérés. Au lieu d’abandonner leur bébé dans la rue, où il est condamné à une morte certaine, ils peuvent le déposer dans cette boîte.

Beaucoup des enfants sont déposés avec une lettre, d’autres sans explication. Une jeune mère a laissé une note avec son bébé en disant « Je te laisse ici parce que je ne sais pas qui est ton père. Je suppose que cette boîte est plus sûre que la rue. Voilà pourquoi j’ai décidé de te laisser ici. S’il te plaît, pardonne-moi. » Lee et sa femme ont déjà adopté 6 des enfants.

Mais ils s’occupent de tous les enfants comme s’ils étaient leurs propres. Grâce à eux, ces enfants peuvent avoir une vie heureuse. Les femmes qui laissent leurs bébés dans cette boîte souhaitent une vie meilleure pour leurs enfants.

Un jeune réalisateur nommé Brian Ivie a entendu parler de l’histoire du pasteur et a décidé de filmer un documentaire appelé « The Drop Box. » Lee et sa femme font preuve d’une immense générosité. S’il vous plaît, partagez cette histoire avec vos amis.

A TOUS

Lorsqu’elle récupère son fils d’une petite fête, elle suspecte quelque chose. Elle se gare sur le bas-côté et pose ces 6 questions

La communication entre enfants et adultes n'est pas toujours aisée. Même si les enfants comprennent plus de choses que l'on ne croit, ils manquent souvent de vocabulaire pour se faire comprendre ; ajoutez à ça les questions parfois ambiguës des parents, qui dépassent complètement les enfants, c'est un vrai miracle qu'ils puissent arriver à communiquer !

Il est extrêmement important que les enfants aient confiance en leurs parents et parfois cela est même vital. Cette maman s'en est souvenu juste à temps, avant de causer des dégâts irrémédiables avec ses questions.

Comment peut-il arriver que de bons parents passent à côté d'abus sexuels perpétrés sur leurs progénitures ?

La réponse est simple : ils posent les mauvaises questions. Voici l'histoire d'une mère qui a été confrontée à ce genre de situations atroces : Un jour, mon fils est allé à une fête d'Halloween qui se tenait dans la maison d'un de ses copains.

Lorsque je suis allée le récupérer quelques heures plus tard, j'ai compris, par le sourire radieux qu'il affichait, qu'il avait passé un très bon moment. Avant de partir, je me tenais devant la porte aux côtés du père et de la grand-mère de son copain. Tous deux m'ont dit que mon fils s'était très bien comporté et qu'ils avaient été très heureux de l'accueillir.

Dieu merci ! Il n'y avait pas eu de bagarres ou de chamailleries ! J'ai fait monter mon enfant fou de joie dans la voiture et ai pris la route pour renter à la maison.

Mais soudain , j'ai eu comme un pressentiment étrange, j'étais mal à l'aise. Puis j'ai compris. Je me suis engagée à toute allure dans le parking le plus proche, tout le monde m'a klaxonné, mais je n'en avais rien à faire. J'avais la tête ailleurs.

Je savais que je devais parler à mon fils parce que j'ai traversé la même chose lorsque j'étais enfant. flickr/Memorial Student Center Texas

Je me souviens avoir été sexuellement abusée par un adolescent proche de la famille. Et je me rappelle les questions innocentes que ma mère me posait lorsqu'elle venait me récupérer chez eux : "Tu t'es bien comportée ? As-tu été polie et honnête ? Tu n'as pas fait de bêtises ?" Ce que ma mère ne savait pas :

1. l'adolescent qui vivait-là me menaçait avant qu'elle ne vienne me chercher (et parfois il se mettait derrière elle, les poings serrés et le regard menaçant lorsqu'elle était là) ;

2. ces questions, surtout devant la personne qui venait de m'abuser, ne faisait que renforcer l'idée que je devais obéir aux souhaits des personnes qui me gardaient lorsqu'elle n'était pas là;

3. le fait d'avoir répondu "oui" devant la porte, m'empêchait de revenir sur ce que j'avais dit (cela serait revenu à devoir me justifier de la raison pour laquelle j'avais menti avant). Lorsque les parents demandent à leurs enfants s'ils se sont bien comportés en face d'autres personnes, ces derniers se sentent obligés de donner une réponse affirmative. C'est pourquoi je me suis tournée vers mon fils et l'ai regardé droit dans les yeux. J'ai tout repris depuis le début et lui ai posé les bonnes questions.

Peut-être serait-il bon que vous posiez ces questions à vos enfants après qu'ils aient été gardés par d'autres personnes. Je lui ai alors posé ces questions en privée :

Est-ce que tu t'es bien amusé ?

Qu'est-ce que tu as fait ?

Quel a été ton moment préféré de la fête ?

Quel a été le moment que tu as le moins aimé ?

T'es-tu senti en sécurité ?

Est-ce que tu as envie de me dire ou raconter quelque chose en particulier ?

Faites de ces questions une habitude et laissez penser vos enfants qu'ils peuvent tout vous dire à l'instant T ou plus tard s'il le souhaite. L'erreur que j'ai faite aujourd'hui est couramment répandue. Nous pensons que du moment où nous posons des questions, nous restons maîtres de la situation. Or, il faut que les parents posent toujours les bonnes questions aux bons moments.

 L'auteure de cettehistoire est Tonya GJ Prince, une jeune Américaine de 22 ans. Elle poste régulièrement des contenus informatifs à propos des abus sexuels sur son site internet. Avec cette histoire, Tonya demande aux parents de ne pas seulement être à l'écoute de leurs enfants, mais de leur poser les bonnes questions. N'oubliez pas que les victimes d'abus sexuels ainsi que leurs proches devraient chercher une aide professionnelle pour aller de l'avant.