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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
On l'appelait la Dame aux Chiens...
Elle est venue au Maroc en touriste ...il y a trente ans. Elle n’est plus repartie ... Elle a choisit de rester pour s'occuper des Animaux errants de Casablanca Elle s'est éteinte dimanche 10 avril à l’âge de 70 ans Elle ,c'est Mareis Walkenhorts ,une allemande qui consacré les 30 dernières années de sa vie aux Animaux abandonnés et maltraités
Repose en paix GRANDE DAME .
Plongez, au cœur du trésor de Brazey-en-Plaine, un lieu incroyable et surréaliste dans lequel séjournent deux cents véhicules qui seront vendus aux enchères sur place le 23 avril. Elles seront mise à prix, pour la plupart, à partir de 200 €.Plus d'informations dans l'onglet
Dans la vie on te blessera, dans la vie on te mentira, dans la vie beaucoup de personnes essaieront de te faire tomber, mais avec le temps les blessures se résorbent, la vérité éclate, et tu te relèves toujours. Tu auras mal au cœur mais avec le temps ça passera, car tout finit toujours par passer.
Sur son vaste piton rocheux, agressé, malmené par les flots, il reste droit, majestueux, solitaire, fier, sur son îlot. Ni les vents, ni la mer, ne semblent l’ébranler, quand gronde le tonnerre, ou les grandes marées. Défié tous les temps, jamais impressionné, car depuis si longtemps, c’est bien ses alliés. L’ ami des chers matelots, à la quête de directions, sur cette étendue d’eau, visible mais, bien loin. Sa lumière en fond de nuit, qui transperce, qui rassure, lorsque les étoiles ont fui, il devient seul, cet abri sûr. Me guidant comme toujours, sa présence m’éclaire, quand disparaît le jour, quand claquent les éclairs. au long de mes traversées, mes yeux rivés sur lui, ne pas me déporter, confiant, je l' envie. Face à ces déferlantes, s’abattant sur nos vies, sa main est si puissante, nous guide à l' infini ...
Sur son trône sculpté, préside le grand maître du temps, des grognements qui bourdonnent, les rouages du présent, s’approchèrent les années, conscientes de leur lourd devoir, demandant à nos chers aînés, de raconter leurs histoires. Pour parler des saisons, se levèrent les douze mois, louant la belle création, sa magique beauté, ses lois, vint le tour des semaines, que précédent les sept jours, Rappelant joies et peines, compagnons pour toujours. Voici le tour du moment présent, nommé aussi : aujourd’hui, Stipulant que maintenant, il faut empoigner la vie, Les heures défilèrent, du tôt matin à tard le soir, enfin toutes laissèrent, un grand vide de désespoirs. Puis passèrent très vite, les minutes et les secondes, chacune prenant la fuite, comme une fin du monde, Le maître brusquement se leva, des écrits sérrés à la main, Et lut, posé, à haute voix, les mots gravés sur parchemin. " Respectez vous toutes et tous, gardez scrupuleusement vos places, Nous gérons la vie de milliards d'humains, ici, pas de menaces, Sous les cieux, l' horloge du temps, restera définitivement ainsi, J' y veillerai prudemment, s'il vous plaît, aidez moi, mes amis"
Serait-elle au pire, au plus mal, si l 'on se fie à certains experts, car pour moi, ce n’est pas normal, de voir souffrir notre belle terre. Depuis longtemps à son chevet, ces scientifiques ont diagnostiqué, Son mal nous le connaissons bien, la terre nourricière, est fatiguée. Tu te portais si bien, au temps jadis, pouvant tout accepter, tout supporter, depuis ces temps anciens de vie, tu nous as tant partagé, donné. Jaillissant de tes multiples sources, fontaines, fleuves, nombreux ruisseaux, que l’homme dans ses folles courses, n’a pas su accepter les cadeaux. Ces longues fumées noirâtres, s’élevant vers les profonds cieux, Il est temps de s' élever, crier, gare! Stoppez, arrêtez ! de mes voeux. Il faut te soulager, soigner, panser, pour les générations futures, ta force et ta grande vitalité, préserver tes poumons si purs. Malgré cela, nous t’amputons, en dévastant monts et forêts, Au nom du soit disant progrès, ta vie s' enfuit, cela est bien vrai. Terre nourricière, tu est si malade, Terre maternelle, tu est de pis en pis, Nous sommes de plus en plus nombreux, alors, Humains, un peu de modestie.
Je ne sais d' où elle vient, mais en moi, elle habite, Cette envie de partir, voyager dans ces sites. M' interpèlle parfois, me possède souvent, un appel intérieur, attirances d' un temps. Un désir, si profond, qui me pousse, ici bas, Instinct animal, en moi, voire projeté au delà. Dépasser mes limites : Aventures, bondir. Ramener, partager, souvenirs pimentés, respecter, écouter, des avis partagés. Converser entre amis, sera le but ultime, et, repartir à la quête, de son graal intime ..
Moissonner tous ces bons mots, les capter, déposer en poèmes, Ceux qui ponctuent, de la vie, tirés de nos expériences suprêmes, Des mots si rayonnants, des instants tendres savoureux, mots ardents, de feux brûlants, des moments combien délicieux. Je préfère de loin pour ma part, les mots d' un ♥, sincères, et repousse le langage cru, de phrases parfois vulgaires, mais il persiste aussi, ces instants tant douloureux, exprimant en râles, en cris, les peines des moins heureux. Paroles d’or, d' un grand merci, inscrit par des êtres chers, ou d' autres très attendries, sussurées les matins d’hiver, celles écrites de réconfort, où se mêle toute souffrance, Au-delà de la future mort, en des temps de désespérance. La saveur de tous mes mots, de liesse et de tendre passion, La candeur de ces cadeaux, de réconciliation et de pardon, Mélancolie de certains discours, saupoudrés de fine tristesse, De temps en temps grossiers, échappant à notre sagesse. La magie de ces jolis mots, qui peut tous nous transformer, provoquer en nous ces sourires, pour nous unir, nous combler, tapisser au long de notre vie, pimenter de bonheur et de joie, afin d’illuminer notre existence, sans force, sans heurts, ni loi