Fandeloup

Ne voile pas tes yeux au soleil , laisse sa lumière t'imprégné de chaleur et de légèreté....

Vitry : une mère voilée agressée à la sortie d'une école

Vitry, ce mercredi midi. Une mère de famille en a attaqué une autre, voilée, avec un couteau devant l’école Joliot-Curie, vendredi dernier.

 Acte islamophobe ou coup de folie ? Vendredi après-midi, une mère d’élève voilée a été menacée à deux reprises par une autre maman munie d’un couteau à la sortie de l’école Joliot-Curie, à Vitry, sous les yeux des parents.

La mère attaquée a écopé de dix jours d’ITT, de même que son fils de 6 ans qui a assisté à la scène. Son témoignage a été publié sur le site internet du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF).

« J’ai récupéré ma fille de 8 ans puis je me suis rendue à l’autre sortie pour chercher mon fils, raconte, ce mercredi, Lola, 29 ans. J’étais penchée sur lui quand j’ai entendu cette femme crier ‘Salope je vais te retirer ton voile’. Je ne la connaissais pas du tout, je n’imaginais pas qu’elle s’adressait à moi. Elle s’est rapprochée en continuant à me dire ‘je vais te tuer, Dieu ne te connaît pas’, en fouillant dans son sac. Elle a sorti un couteau et essayé de me porter des coups, que j’ai réussi à éviter. Elle était dans une rage indescriptible. Ce qui me choque le plus je crois, c’est que personne n’ait rien fait ».

Elle finit par s’éloigner, « couteau à la main pour aller chercher son fils », constate Lola, mais revient à la charge alors que la maman de 29 ans est en train de prévenir la police.

« Là un monsieur avec un parapluie est enfin intervenu pour l’éloigner », raconte-t-elle.

Comparution au tribunal en septembre L’auteure présumée a été interpellée et placée en garde à vue au commissariat de Vitry. Elle comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Créteil le 21 septembre.

D’après Me Karim Achoui, son avocat, qui exerce au barreau d’Alger, elle sera poursuivie pour menaces avec arme à l’encontre de Lola, pour menaces de mort et outrage envers des policiers et pour usage de cannabis.

« Le lendemain elle était dehors, il n’y a eu aucune mesure d’éloignement », déplore Lola. Son avocat, Me Karim Achoui dénonce un « dysfonctionnement » du fait qu’aucune « mesure d’interdiction » n’ait été prise à l’encontre de cette femme.

« Je fréquente cette école depuis deux ans, je n’ai jamais eu de souci. Nous sommes de toutes les religions et de toutes les origines, des parents, simplement », raconte cette maman qui s’est convertie il y a six ans.

« Je ne force personne à croire en ce en quoi je crois, ni à s’habiller comme moi. Avec tout ce qui se passe, des gens font sans doute l’amalgame, mais de là à vouloir poignarder… » Très « choquée », elle n’a pas remis ses enfants à l’école depuis.

« Mon seul but aujourd’hui, explique-t-elle, c’est qu’ils puissent y retourner ».

Pour le parquet de Créteil, l’enquête n’a pas mis en évidence de mobile religieux dans le passage à l’acte. L’agresseusse déjà connue pour ses accès de violence L’auteure présumée de l’agression n’en est pas à son coup d’essai.. Vendredi dernier, Souad*, une mère de famille qui habite le quartier, assiste médusée à la tentative d’attaque au couteau et reconnaît la personne qui brandit la lame : « c’est la voisine d’une amie.

C’est une malade », souffle-t-elle. L’agresseuse est connue dans le quartier pour ses excentricités. Elle résiderait rue Roger-Derry, à quelques dizaines de mètres seulement du groupe scolaire Joliot-Curie. « Je sais qu’elle vit seule avec son fils et qu’elle a un grain. Tout le monde le dit », lâche Frédéric, un voisin d’immeuble. « Elle a même déjà attaqué la secrétaire de l’accueil de l’OPH (NDLR : Office public de l’habitat) », trésaille Souad.

« On n’avait pas de problème avec elle jusqu’à la mi-novembre 2015 », relate la secrétaire en poste au centre d’accueil de l’OPH Roger-Derry.

« Un jour, elle est venue se plaindre, qu’elle n’arrivait pas à avoir de logement, explique-t-elle encore secouée.Elle m’a menacé verbalement et m’a insulté de raciste. J’ai déposé une main courante. Elle a aussi asphyxié des collègues au siège de l’OPH ».

Le 27 novembre 2015, la femme aurait pénétré au siège de l’OPH, rue de Burnley, et fait usage de gaz lacrymogène contre un agent. L’attaque avait entraîné la fermeture des centres d’accueil, du siège technique des Boulistes ainsi que du siège de l’OPH.

Les refuges sont surpeuplés à la fin de la période de chasse. Les chiens manquent cruellement d'espace vital et leur agressivité est exacerbée...

Les plus petits, les plus faibles sont en danger...La petite SORY y a laissé sa vie

Nous venons d'apprendre la mort de SORY, adorable petite bodeguera. Lorsqu'il y a surpopulation dans un refuge, ce qui est le cas en ce moment, il y a des risques importants d'agression et les plus faibles payent de leurs vies. Cette petite puce était la joie de vivre, elle n'avait pas encore deux ans. Elle restera dans nos cœurs à jamais.

DE L'ÉNERGIE À PLEINES MAINS

Ingrid Mignotte : “J’apprends tous les jours, et c’est cela qui me plaît”. Naturopathe et magnétiseuse, Ingrid Mignotte vient d'installer son cabinet rue Vanoise. Elle puise ses racines dans le lointain Guatemala, mais est arrivée sous nos cieux quand elle n'était guère plus haute que trois pommes.

Aujourd'hui établie à Champagney (39), Ingrid Mignotte s'est écartée du destin d'enseignante en espagnol qu'elle s'était imaginé, pour suivre une voie naturelle tracée depuis toujours.

"Un jour, on m'a dit que les natifs des 10 et 11 août avaient la possibilité de barrer les brûlures", révèle-t-elle. 

En Bourgogne, sur la piste d'un tueur en série de chats Des disparitions de chat inquiétantes en Côte-d'Or.

Depuis l'été 2015, au moins 26 chats ont disparu dans cette ville située en périphérie de Dijon. Trois seulement ont été retrouvés, empoisonnés ou abattus. Des témoins rapportent la présence d'un automobiliste qui, la nuit, tente d'écraser les félins.

Mieux vaut ne pas être un chat dans la ville Quetigny, en Côte-d'Or.

Depuis la fin de l'été 2015, au moins vingt-six chats ont disparu dans la cité bourguignonne, située en périphérie de Dijon, dans des circonstances troublantes, raconte France Bleu Bourgogne. Trois seulement ont été retrouvés.

De quoi alerter la présidente de l'association Chat-libre et sa présidente, Stéphanie Chevalier, qui n'exclut pas la présence d'un «serial cat killer» dans les rues de la ville.

Cette amoureuse des chats se dit «agacée» par ces disparitions qui «déroutent beaucoup de gens», mais ne compte pas rester les bras croisés. Elle mène depuis quelques semaines une véritable enquête de terrain en recueillant de nombreux témoignages en vue de porter plainte vendredi à la gendarmerie de Quetigny.

«Nous verrons si les forces de l'ordre acceptent de nous suivre dans cette démarche», explique-t-elle au Figaro. Les faits rapportés par Stéphanie Chevalier sont pour le moins troublant. Depuis plusieurs mois, des chats disparaissent dans une zone précise de la ville, de la mairie jusqu'aux alentours de la gendarmerie.

«Une dame a perdu son chat il y a quelques semaines. Elle nous a alertés qu'elle l'avait retrouvé à 40 kilomètres de là avec une patte cassée. L'animal a forcément été déplacé en voiture, on ne sait pourquoi», raconte la présidente du Chat-libre.

Au même moment, un voisin de cette dame a également perdu son chat au début du mois avant de le trouver avec une patte rasée. Là encore, les raisons d'un tel comportement ne sont pas connues. La liste des chats disparus s'allonge à Quetigny.

 L'hypothèse d'un trafic de peau

Au-delà de ces disparitions inquiétantes, l'association fait part de nombreux cadavres découverts au petit matin à Quetigny, mais également dans une commune voisine, à Chevigny-Saint-Sauveur. France Bleu relate notamment un incident particulièrement violent.

Début février, une femme voit son chat partir de la maison pour aller dans le jardin aux alentours de 21 heures. Sa maîtresse s'aperçoit alors qu'il est sur le bord de la route. Alors qu'elle s'empresse d'aller chercher l'animal, sa maîtresse entend une voiture «qui roulait à toute allure». Le véhicule a accéléré avant l'impact, et a grillé un feu rouge pour s'enfuir.

«Il s'agit d'un acte gratuit contre les chats. Je comprends que des gens n'aiment pas les chats, ce n'est pas nouveau, mais de là à tuer tous ceux que l'on croise, il y a des limites», s'emporte Stéphanie Chevalier.

D'autres chats ont été retrouvés empoisonnés ou avec du plomb dans le corps. Toutefois, la présidente de Chat-libre hésite à faire un lien entre les disparitions et les tueries de chats, qui ont pourtant commencé à la même période.

«Peut-être qu'un petit malin s'amuse à percuter les chats en voiture la nuit ou à les empoisonner. Mais les disparitions sont d'une tout autre nature. La concomitance des deux événements est peut-être un hasard», poursuit-elle. Car si l'automobiliste percute sans distinction des chats errants comme domestiques, les félins enlevés sont pour la grande majorité d'entre eux pucés et stérilisés. Et Stéphanie Chevalier d'émettre une hypothèse, invérifiable pour l'heure:

«Nous ne sommes pas loin de la Suisse, on peut donc penser à un trafic de peau. Mais nous n'avons aucun élément». Quoi qu'il en soit, Stéphanie Chevalier appelle le ou les auteurs de ces actes à arrêter immédiatement. «Si une personne veut faire le ménage, il ne va pas le faire longtemps, je le garantis!», argue-t-elle. La présidente de Chat-libre craint pourtant d'avoir à faire à un cas d'une tout autre ampleur.

«Nous avons de plus en plus de témoignages qui étendent considérablement la zone géographique des disparitions. J'ai bien peur que nous soyons face à un phénomène bien plus large qu'un simple jeune qui veut s'amuser.» La piste d'un tueur en série de chats est donc relancée.

Les ongles à fourrure sont la nouvelle tendance poilue

Voici les ongles poilus, une création de Jan Arnold, PDG et cofondateur du vernis à ongles CND. Et ces ongles ne sont pas seulement un concept – ils ont récemment fait leur apparition au défilé d’hiver 2016 de Libertine.

Ils abandonnent ce singe de labo sur une île déserte. 30 ans après ils le retrouvent dans CET état! C’est abominable!

Ponso est un chimpanzé de 40 ans qui a une vie des plus misérables. Il a été capturé alors qu’il était encore tout jeune par un laboratoire médical. Entre les mains des hommes, il a subi les pires expériences imaginables.

Le centre sanguin de New York (NYBC) a conduit une série de tests médicaux sur une dizaine de chimpanzés dans les années 1970-80.

Ponso était l’une des victimes et il a énormément souffert - physiquement et psychologiquement - d’avoir été le cobaye de ce laboratoire. Une fois que les animaux n’ont plus eu d’utilité, ils ont tout simplement été abandonnés sur une île déserte au large de la Côte d’Ivoire.

Cette île est inhospitalière, il n’y a ni eau ni nourriture et l’équipe médicale sait très bien que les animaux finiront par mourir de faim et de soif. C’est exactement ce qu’il se passe. Tous les compagnons de Ponso meurent affamés. Même sa compagne et leurs deux enfants périssent dans des souffrances indicibles.

Seul Ponso parvient à survivre. Et depuis 30 ans, il est seul, abandonné sur cette île. Sans rien avoir à boire ni manger et sans aucune compagnie. Il survit grâce à la gentillesse de Germain, un villageois qui vit sur le continent. Parfois, il lui apportent des bananes et du pain. Et malgré tout ce qu’il a enduré entre les mains des hommes, sa réaction lorsqu’ils voit un humain est à fendre le coeur.

Ponso accueille les visiteurs à bras ouverts. Il manque terriblement de compagnie et se réjouit de voir les quelques personnes qui viennent le nourrir de temps en temps.

Récemment, Estelle Raballand, la directrice du Centre de Conservation des Chimpanzés, lui a rendu visite. Quand il l’a vue, le visage du primate s’est immédiatement fendu d’un sourire . Il l’a prise dans ses bras et lui a fait un gros câlin. Il a même ri en voyant qu’elle s’approchait. Il a adoré qu’elle s’occupe de lui et qu’elle le caresse.

Comme tous les chimpanzés Ponso est un animal extrêmement intelligent qui ressent des émotions très proches de celles que nous connaissons. Il a besoin non seulement d’eau et de nourriture pour vivre mais aussi de compagnie et d’amis. La solitude est en train de le tuer depuis 30 ans.

Un SDF sauve la vie d'un boulanger qui lui offre son commerce

Michel se donne six mois pour former son nouvel apprenti, et de lui céder sa boulangerie pour un euro symbolique.

En décembre dernier, à Dole, dans le Jura, Michel Flamant est sauvé par Jérôme, sans-abri. Ce dernier pourrait bientôt reprendre le commerce.

Entraide.

Le 3 décembre dernier, Michel Flamant, boulanger, a frôlé la mort. En cause, une intoxication au monoxyde de carbone provoquée par un brûleur défectueux de son four.

"Ce jour-là, je crois que le bon Dieu était un peu avec moi", raconte-t-il au micro d'Europe 1. Car Jérôme, un sans-abri de 37 ans, passait par là.

Le sortir de la misère. "C'est un monsieur qui faisait la manche devant la boutique, donc, de temps en temps, il passait, venait boire un café et manger un croissant ou deux pour casser la croûte. Ce jour-là, il m'a vu en mauvaise posture, il est descendu, et puis il voyait bien que je n'étais plus là du tout. Même les pompiers m'ont dit 'à dix minutes près, vous étiez boulevard des allongés'. En remerciement, je l'ai fait travailler un petit peu avec moi et j'ai compris qu'il voulait se sortir un peu de la misère", explique-t-il.

L'incident, qui a entraîné une douzaine de jours d'hospitalisation, l'a rapproché de Jérôme. D'ordinaire très solitaires, les deux hommes travaillent désormais ensemble au fournil. Et Jérôme veille sur son boulanger. "Moi pour aller, ça va très bien. Je fais tout pour conserver ce travail-là. On est tous contents que ça aille mieux pour Michel. C'est le meilleur", confie-t-il.

Un euro symbolique.

Michel, qui devrait être en retraite depuis un an, cherche à céder son commerce. Le boulanger se donne donc six mois pour former son apprenti pas comme les autres, avant de prendre la retraite et de lui céder sa boutique pour un euro symbolique. Si Jérôme dort encore parfois dans la rue, Michel a décidé de se porter caution pour lui trouver un appartement. Et enfin, le sortir du pétrin.

Une belle histoire qui ferait un beau scénario de film : À Dole dans le Jura, un SDF sauve la vie d'un boulanger. Pour le remercier, le boulanger décide de former son sauveur et de lui céder son commerce dans 6 mois pour 1 € symbolique !

Détente

A TOUS