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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La peine de mort rétablie au Canada pour les pédophiles, batteurs de femme, Violeurs et tueurs d'enfant !!
Le premier ministre du Canada, Stephen Harper déposera cette semaine son projet de loi visant à rétablir la peine de mort pour les pédophiles, batteurs de femme, violeurs et tueurs d'enfant !!
Les criminels qui seront reconnus coupable de ses crimes seront lapidés par la foule la journée même en face de leur palais de justice respectif.
Un peu extrême comme sentence mais sa décision serait ainsi pour dissuader tout individu de commettre de tels crimes et actes de violence.
Aucun bien n'est comparable à la douceur et au bonheur d'aimer un homme qui nous paraît digne des plus tendres affections de notre cœur, qui nous aime, qui nous le dit, qui nous le répète à chaque instant du jour et de la nuit, dont tous les désirs se confondent avec les nôtres
Je rêve de ce jour ou tout humain pourras vivre en harmonie sur cette grande bleue.
Elle perd son enfant, ce que lui répond le chimpanzé est inattendu...
Les animaux ont tant de choses à dire ! Washoe est une chimpanzé qui est née en septembre 1965 en Afrique de l'Ouest et décédée en octobre 1965.
Elle a vécu à l'Institut de la communication du chimpanzé et de l'humain à Ellensburg. Elle a appris le langage des signes, ce qui sera un succès.
Voici sa touchante histoire!
Washoe est le premier animal à avoir appris le langage des signes Ses propriétaires Allen et Béatrix Gardner ont voulu démontrer que les singes étaient capables d'apprendre un langage pour communiquer avec les humains.
Des biologistes et des linguistiques considéraient à l'époque que c'était impossible. Pourtant, grâce à ses capacités, la chimpanzé a réussi à apprendre 250 signes !
En 1976, Washoe a eu un bébé qui est malheureusement décédé le jour de sa naissance. Deux ans plus tard, elle a eu un autre bébé nommé Sequoyah qui est mort au bout de deux mois d'une pneumonie.
Quand ses éducateurs lui ont repris le petit, la femelle a signé "rendez-le moi" plusieurs fois. Ces derniers ont pu lui expliquer que son bébé était mort, elle est alors tombée en dépression. Kat, une des gardiennes de Washoe, quitta l'institut quelques temps ce qui attrista l'animal.
A son retour, elle lui expliqua les raisons de son absence Le bébé de Kat était lui aussi décédé. Washoe compris ce que cela voulait dire étant donné qu'elle aussi avait connu la perte d'un enfant. Elle toucha la joue de la soigneuse et fit le signe "pleurer" en glissant son doigt comme si une larme coulait.
Ce geste était étonnant puisque les singes ne peuvent pas pleurer mais elle avait réussi à faire le lien entre la tristesse et les larmes. Pour que Washoe aille mieux, son éducateur Roger Fouts lui ramena un bébé chimpanzé de 10 mois nommé Loulis en disant "J'ai un bébé pour toi" La femelle était ravie, elle courait partout et elle signait "mon bébé".
Cependant, quand Roger est arrivé avec le petit, Washoe était déçue car elle pensait revoir Sequoyah. Malgré tout, Loulis s'accrocha à la fourrure de sa nouvelle maman et s'endormit paisiblement.
Le lendemain, les deux singes étaient unis comme s'ils étaient de la même famille. Au bout de quelques jours, le bébé signaient même quelques mots que sa mère lui avait appris.
L'institut a accueilli 15 singes en tout qui parlaient entre eux grâce aux langages des signes. Plus tard, d'autres primates ont également appris ce langage mais Washoe restera un symbole !
DES ÉLEVAGES DE CHIENS INDUSTRIELS EN FRANCE
En France , il existe désormais des élevages industriels d’animaux de compagnie.
Chiens et chats y sont élevés en batterie, au détriment de leur bien être et de leur capacité à devenir des compagnons équilibrés.
L’élevage de chiens en France revêt désormais de drôle de formes. Des pseudo-éleveurs multiplient les races, qui s’entassent dans des locaux rarement adaptés et parfois à la limité de l’insalubrité. Ils les forcent se reproduire sans considération pour les handicaps ou les tares génétiques.
Pire, les animaux sont isolés, craintifs, et ne sont pas sociabilisés du tout. Les chiots qui naissent dans ces conditions, si toutefois ils survivent, ne pourront jamais devenir des adultes équilibrés car il leur manque des bases importantes du comportement de leur espèce…
Pour eux, l’humain est loin d’être un compagnon de confiance. Pourtant ces élevages douteux fournissent les animaleries. Certains sont mêmes les fournisseurs officiels de grandes chaînes de ces magasins.
Contrairement à d’autres, l’argent ne manque donc pas. Pourtant, les chiens ne vivent pas dans de meilleures conditions et leurs besoins en termes de comportement ne sont pas non plus satisfaits.
Les chiots qui naissent là connaîtront une vie de malheur, ponctuée d’abandons quand ils ne seront pas rapidement euthanasiés après avoir mordu…
Devoir de mémoire : "Nous pardonnons, mais nous n'oublions pas". Près de 300 ans, l'esclavage vécue dans l'âme et dans la chair, et la pire pratique de l'humanité. Joseph N'Diaye, ancien Gardien de la Maison des esclaves de Gorée,livre ses sentiments avant son dernier souffle (2009). A conter à nos enfants!
Boubacar Joseph Ndiaye (15 octobre 1922 - 6 février 2009) se présentait comme le « conservateur en chef » de la Maison des Esclaves à l’île de Gorée (Sénégal).
Il reste l’une des figures sénégalaises les plus connues dans le monde entier, notamment des touristes, même si les travaux scientifiques récents sur la traite négrière et l'histoire de l'île ont conduit à remettre ses propos passionnés en perspective.
Biographie
Issu d’une famille d’origine goréenne, Boubacar Joseph Ndiaye est né le 15 octobre 1922 à Rufisque (Sénégal). Il a effectué ses études primaires à Gorée, puis a rejoint l'École professionnelle Pinet-Laprade de Dakar. Il a ensuite travaillé comme compositeur-typographe. Appelé sous les drapeaux dans l’Armée française en 1943, il a participé à la libération de la France avec la première armée française. Il a participé à la bataille du mont Cassin en tant que tirailleur sénégalais. Sous-officier parachutiste, il a aussi servi en Extrême-Orient, dans la première demi-brigade de commandos parachutistes coloniaux.
Ancien combattant 1939-45 et Croix de Guerre, officier de l’ordre national du Lion, chevalier de l’ordre national du Mérite, chevalier de l’ordre du Mérite sénégalais. Il est nommé Conservateur de la Maison des Esclaves de Gorée en 1962 et exercera cette fonction jusqu’à sa mort. Il est décédé à Dakar le 6 février 2009 à l'âge de 87 ans2 des suites d’une longue maladie et repose au cimetière layène de Cambérène à Dakar.
Les célèbres aphorismes de Joseph
Maison des Esclaves. Depuis quatre décennies, le charisme — non dépourvu d'humour à l'occasion — du maître des lieux ne laisse aucun visiteur indifférent, chaque fois qu'il raconte l'enfer quotidien des esclaves qui auraient été détenus dans cet endroit sinistre, avant d'être expédiés sans ménagements vers le Nouveau monde où d'autres vicissitudes les attendaient.
Gorée, dans son récit, devient une véritable plaque tournante de la traite des Noirs. Plusieurs travaux ont remis en cause de manière circonstanciée le récit défendu avec ferveur par Joseph Ndiaye : un article d'Emmanuel de Roux, journaliste du quotidien français Le Monde,
« Le mythe de la Maison des esclaves qui résiste à la réalité » a suscité quelques remous au-delà de la communauté des spécialistes. Une autre polémique a éclaté au sujet de la paternité réelle du livre de Joseph Ndiaye destiné aux enfants, Il fut un jour à Gorée.... Grâce à la détermination de Joseph Ndiaye, la célèbre maison n'en a pas moins été restaurée par l'UNESCO en 1990 et beaucoup s'accordent encore à lui reconnaître la valeur d'un lieu de mémoire, fût-il plus symbolique qu'historique.
Le réalisateur algérien Rachid Bouchareb s’est inspiré de cette forte personnalité pour le personnage d’Alloune (interprété par Sotigui Kouyaté), dans Little Senegal (2001) : un vieux guide de la Maison des esclaves part en Amérique à la recherche de ses ancêtres.
Par ailleurs, Joseph Ndiaye lui-même a joué son propre rôle dans le long métrage documentaire américain The Healing Passage: Voices from the Water (2005), de Saundra Sharp et, plus récemment, dans Retour à Gorée, un film suisse mettant en scène le chanteur Youssou Ndour (2008). Les téléspectateurs français ont pu le découvrir au cours de la défunte émission de Thierry Ardisson, Tout le monde en parle, dont il a été l'invité le 6 mai 2006.
Un trafic de chiots en pleine rue dans le Vieux-Nice
Des chiots vendus sous le manteau dans le Vie
Sur les trottoirs de la ville, devant les églises du Vieux-Nice, des mendiants avec de petits chiots font la quête. Une manière d'attendrir les passants, mais aussi d'essayer de faire du profit en vendant les pauvres bêtes.
Un trafic de chiots serait opéré par des sans-papiers des pays de l'Est dans le centre de Nice. Ils toucheraient aussi d'autres quartiers de la ville. Les autorité ont, semble-t-il, du mal à trouver la parade pour le faire cesser. Certains n'ont que quelques jours. Pas sevrés, ils risquent la mort.
Et pourtant, ces chiots, qui viennent de naître, sont en vente sous le manteau dans les rues du Vieux-Nice et également rue de France, quartiers Notre-Dame ou Gambetta.
Une habitante du quartier ancien, qui tient à garder l'anonymat par peur des représailles et que l'on nommera Hélène, remue ciel et terre depuis plusieurs mois pour mettre un terme à ce trafic. En vain. «Les trafiquants, ce sont des hommes des pays de l'Est qui font la manche devant les églises», accuse cette «activiste», comme elle se qualifie.
Animalerie clandestine en plein air Un jour, en se promenant dans le Vieux-Nice, elle est tombée par hasard sur un de ces hommes assis par terre avec un chiot sur un carton. «Il faisait la quête. L'animal était là pour attendrir les passants. Mais pas que. Quand je lui ai parlé du chiot, il m'a dit qu'il était à vendre.»
Depuis, cette femme a vu le quartier se transformer en «animalerie clandestine. C'est un vrai trafic.» D'où viennent ces animaux ? «De trafics avec les pays de l'Est ou de reproduction locale», confirme Françoise Leblanc, enquêtrice de la Société de défense des animaux.
«Un jour, en demandant des explications sur la naissance d'un chiot à un de ces sans-papiers, je suis tombée sur le carnet d'une chienne, qui était toujours au nom de la propriétaire. Elle voulait se débarrasser de son animal. Elle l'a donné et ils l'ont fait se reproduire.
Sa progéniture s'est retrouvée sur le trottoir», incrimine Hélène, qui n'ose imaginer les conditions dans lesquelles vivent ces animaux. «Ils sont souvent porteurs de maladies comme la parvorise, qui est mortelle, voire de la rage», prévient la SDA.
Les prix affichés varient entre 100 et 200 euros, quant aux races, c'est souvent des animaux «croisés portes et fenêtres». Mais Hélène a aussi vu des petits labradors et même dernièrement un jeune bouledogue anglais.
Les autorités se renvoient la balle Quant aux autorités, que ce soit la police municipale, la police nationale, la préfecture, «on dirait qu'elles se renvoient la balle», souffle Hélène, qui a alerté le maire en novembre 2014. Début mars 2015, elle a reçu une lettre du directeur de la police municipale, où il assurait que ses agents portaient «un intérêt particulier» à sa requête.
Le 8 décembre dernier, un fonctionnaire a rencontré Hélène, «afin d'établir un point précis de la situation.» Mais,avance le responsable, «la police nationale ne peut prendre les dépôts de plainte que dans les cas où la maltraitance sur animaux est matérialisée. Nous leur transmettons néanmoins vos informations quant aux suspicieux de trafic animalier.»
La pression est-elle suffisante ?
Les associations s'activent et arrivent parfois à faire bouger les lignes. Mais face aux profits potentiels, les trafiquants, pendant ce temps, prospèrent. Les assoc’ tentent d’impliquer la police niçoise Il y a dix jours, elle a vécu une petite victoire.
Françoise Leblanc, enquêtrice à la SDA, la Société de défense des animaux, avec l’aide de policiers municipaux, a réussi à récupérer quelques chiots auprès d’un SDF qui ne semble pas avoir de problèmes de fin de mois et arrive en ville le matin «en Mercedes noire.»
De son côté, Célia, de l’association Au service des animaux, estime que la police niçoise est «plus efficace et plus sensible ici que dans bien d’autres communes des A-M.»
Pour cette protectrice des animaux, «si on est témoin de tels agissements, il faut alerter une association, même si toutes ne répondent pas toujours présentes.»
Pourquoi ?
Tout simplement, cela permettra à l’association de pouvoir récupérer les chiens et éviter la mise en fourrière. Enfin, dernier conseil à toutes les personnes qui veulent donner leur chien et passent parfois des annonces sur des sites en ligne, « il faut que les femelles soient stérilisées afin de ne pas servir à la reproduction. »
SDA : 04.93.88.71.47. Au service des animaux : 06.61.25.31.72.
Drame de Puisseguin : l'époux d'une des victimes témoigne
Lui-même conducteur de camion, il connaît bien la route où s'est produit vendredi le terrible accident de Puisseguin. Le témoignage douloureux de Gérard, époux de Maryse, l'une des victimes.
Tayac (Gironde), de notre envoyé spécial Jean-Marc Ducos
Gérard, 61 ans, montre une photo de sa femme, Maryse, qui était partie en excursion avec ses amies du club de Petit-Palais. Tayac (Gironde), hier.
Gérard, 61 ans, montre une photo de sa femme, Maryse, qui était partie en excursion avec ses amies du club de Petit-Palais. (LP/Jean-Marc Ducos.)
La porteuse de pain de Lussac a disparu dans la tragédie de Puisseguin. Maryse Renaud, 55 ans, boulangère itinérante, n'est pas rentrée vendredi soir pour nourrir Aldi et Eden, deux splendides chiens de chasse au regard pétillant, ces braques allemands qu'elle affectionnait tant.
Cette figure locale a, pendant vingt et un ans, entre Lussac et Puisseguin, déposé à la porte des clients le pain préparé par Gérard, 61 ans, son mari.
« Je suis anéanti et je tente de faire front comme je peux », lâche cet homme « désemparé et déboussolé ». Caressant avec amour les deux chiens adorés, il prévient :
« Mémère ne viendra plus vous voir. » Maryse ne donnera plus aux braques leur petit bout de gâteau chaque soir. Maryse, « fine cuisinière de gibier », ne préparera plus à la perfection les bécasses ramenées de la chasse par son mari...
« Elle est partie en toute confiance avec ses amies du club. Je la revois encore ce matin-là me disant : Je ramènerai une bouteille de vin de Jurançon. Nous devions dîner samedi avec des amis, l'occasion d'un bon moment », témoigne très digne Gérard, soutenu par sa fille qui cherche des photos de Maryse dans d'immenses albums.
« C'est souvent elle qui faisait les photos, d'ailleurs », précise Gérard Renaud qui avoue avoir eu comme une prémonition, cette semaine : « C'est difficile à croire, mais dans mon rêve je voyais un car qui tombait... »
Il en a encore des frissons. Dans le salon, il y a dans une boîte les décorations artisanales fabriquées ces derniers jours par la boulangère et qu'elle devait vendre sur un marché de Noël.
« Elle disait : Avec cet argent , je ferai un cadeau pour Jonas. C'est notre petit-fils », reprend Gérard en débarrassant un panier de champignons sur la table.
«Elle me manque terriblement» « Je suis perdu. Je plane. Je ne sais pas où je suis. Nous n'étions pas préparés à aller au cimetière. Et dire qu'elle ne voulait pas être incinérée. Triste ironie du sort, non ? Quand cela vous tombe dessus, c'est votre univers qui s'écroule. La maison va être bien grande maintenant pour moi tout seul ! Elle me manque terriblement », confie Gérard Renaud.
« Je suis tétanisé », lâche-t-il avant de stopper net. L'émotion est trop forte. Alors, cet enfant de la Charente et du pays de Brouage convoque de précieux souvenirs. Il raconte comment il a connu Maryse « lorsqu'elle était apprentie, entre 1970 et 1972, dans une épicerie avant de devenir la porteuse de pain d'une boulangerie ».
Ou comment il a fait construire « avec Maryse » il y a vingt-trois ans cette demeure simple sur un grand terrain. Puis Gérard évoque ses deux vies professionnelles.
« J'ai été boulanger-pâtissier, mais quand il a fallu devenir patron, Maryse a eu peur. Elle n'a pas voulu se lancer, et elle avait des problèmes de genoux. Alors je suis devenu chauffeur routier pendant plus de vingt ans. »
Forcément, le drame revient dans la conversation. Cette route « minable » de Puisseguin, comme il dit, Gérard la connaît bien, lui qui faisait la tournée des châteaux viticoles avec son 19 tonnes.
« Quand il n'y a pas de poids sur une remorque, c'est plus dangereux. Si on ne contrôle pas sa vitesse, on peut être embarqué. Je suis certain que ce routier s'est fait piéger par excès de confiance et s'est mis en portefeuille », analyse Gérard.
Quant à la société de cars, l'époux de Maryse a sur elle un avis tranché.
« C'est une maison sérieuse. C'était le transporteur attitré de ce club. L'an dernier, ils avaient accompagné le club pendant une semaine en Alsace sans problème », dit Gérard, rassurant d'une main fébrile Aldi et Eden, orphelins de leur maîtresse.