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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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pensée

Publié à 07:03 par fandeloup

bonne nuit

Publié à 19:34 par fandeloup Tags : bonne nuit bonne nuit

2 500 euros d’amende

Publié à 19:26 par fandeloup Tags : monde internet texte
2 500 euros d’amende

2 500 euros d’amende pour avoir dénigré un restaurant sur Internet

Le restaurant Loiseau des Ducs avait repéré un commentaire négatif sur le site Pagesjaunes.fr publié cinq jours avant l'ouverture de l'établissement.

Un internaute a été condamné à 2 500 euros d’amende, plus 5 000 euros de frais, poir rédigé un commentaire faux et malveillant visant un restaurant du groupe Bernard-Loiseau à Dijon.

L’information publiée par le quotidien local Le Bien public a été confirmée par Ahlame Buisard, directrice du groupe et gérante du restaurant Loiseau des Ducs à Dijon (1 étoile Michelin).

« On a voulu mener l’affaire jusqu’au bout et donner une leçon à ces personnes qui font des commentaires pour détruire », a-t-elle déclaré.

Publié cinq jours avant l’ouverture Le commentaire publié en juillet 2013 sur le site des pages jaunes par le pseudonyme Le Clarifieur, était cinglant, mais pas injurieux :

« Restaurant très surfait, tout en apparat, très peu de chose dans l’assiette, l’assiette la mieux garnie est celle de l’addition. » Problème : l’établissement n’avait pas encore ouvert ses portes à la date où le commentaire a été publié.

Le texte a de nouveau été supprimé puis à nouveau publié légèrement remanié sur le site des Pagesjaunes.fr. Selon le jugement en date du 6 octobre, le tribunal de grande instance de Dijon a estimé que l’avis publié cinq jours avant l’ouverture au public « ne peut pas correspondre à l’expression d’un avis objectif se fondant sur une expérience réelle ».

« Ces commentaires fautifs (…) du fait même de leur diffusion sur internet sur un site largement consulté par les internautes à la recherche des coordonnées d’établissements, visaient à dissuader de potentiels futurs clients de se rendre dans le restaurant critiqué. »



honteux

Publié à 18:57 par fandeloup
honteux

Un officier de police de cacao a trouvé trois pitbulls blottis dans un drain d'égout sur le côté de la route.



hommage

Publié à 18:48 par fandeloup Tags : exposition chez france mort nuit femmes
hommage

Eloge aux gars et aux femmes du BTP qui meurent sans éloge A tous ceux qui ne meurent pas au lit

 La semaine dernière, deux accidents graves du BTP ont entrainé la mort d’un ouvrier sur le chantier de l’écoquartier de Palaiseau et le l’évacuation après réanimation d’un autre ouvrier à Chambéry. Tous les deux ont été victimes de ces chutes qui sont une des principales causes de mortalité dans le BTP.

De ces ouvriers, vous ne saurez rien au travers des dépêches vite emballées des feuilles de choux locales. Mais nous, nous les connaissions sans même les avoir rencontrés car nous sommes travailleurs et travailleuses comme eux face aux dangers du chantier.

Parmi nos camarades, nous avons notre part de mutilations et de vies brisées. Alors, nous rendons hommages à tous les travailleurs et toutes les travailleuses du BTP qui chaque matin se lèvent pour gagner leur croûte avec la peur au ventre, à toutes celles et à tous ceux qui grimpent l’échafaudage avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité, à toutes celles et à tous ceux qui creusent la tranchée avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité, à toutes celles et à tous ceux qui épandent du produit dangereux avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité, à toutes celles et à tous ceux qui travaillent dans des conditions météos pourries avec cette peur, à défaut de le faire en sécurité.

Travailleuses ou travailleurs comme nous, nous leur rendons hommage quand ils sont fauchés par la mort de la façon la plus brutale. Nous nous associons à la douleur des familles et nous sonnons le glas pour nos collègues, nous le sonnons une fois tout les deux jours en France. Mais nous ne pourrons jamais nous contenter d’un recueillement à chacune de ces tragédies ouvrières, chaque mort du BTP a une cause et ce n’est pas la fatalité qui nous fauche. Non, c’est le patronat.

Par sa cadence de production infernale, par ses manquements en matière de sécurité, c’est le patronat qui nous tue. Au syndicat, nous n’avons pas eu d’accident mortel ou grave depuis plus de dix ans car entre camarades, nous apprenons à dire non à ce patronat assassin. Notre action quotidienne de syndicalistes combat cette "fatalité" patronale servant à masquer leur brutalité. Et chez nous, il n’y a plus de victimes.

Nous refusons d’un seul bloc les ordres à risques. Prendre des risques pour le patron est un suicide. Si le patron veut travailler sur un toit gelé, qu’il y monte lui même, ce lâche. Et nous n’oublions pas la cadence qui rend le métier dangereux. On se fait virer, mais on ne se fera pas tuer.

Le couteau du Hara-kiri, on leur laisse, on leur aiguise s’ils veulent. Les camarades du syndicat ne mourront pas pour eux, et même si nous ne sommes pas à l’abri d’être entrainés dans la mort sur les chantiers, nous n’irons pas de nous-mêmes.

l est trop tard pour ceux qui sont fauchés et nous les pleurons, comme nous pleurerons ceux qui se feront abattre par le patronat de cette semaine. Mais aux survivants quotidiens, nous leurs disons qu’il est temps d’apprendre à dire non, et de le faire avec le syndicat. Un patron ou un chantier, ça se remplace, pour vos familles, vous êtes des pères, des mères, n’en finit plus de ses éloges à la une de Pierre Berger, patron d’Eiffage, décédé à 47 ans d’une crise cardiaque dans la nuit, ce ne sont pas nos morts qui auront droit à une telle exposition médiatique.

Écrasés, brulés, explosés, décapités, démembrés, enterrés, empalés, broyés, nos morts sont moins glamours que celle d’un boy-band patronal. On les attend tous, ces médias de la brosse à reluire, sur les chantiers Eiffage venir faire l’éloge de l’ouvrier crevant par la faute du productivisme imposé par ces PDG du BTP qui meurent au lit en pétant dans la soie.

Ouvrières et ouvriers du BTP, vous n’êtes pas pour le syndicat que quelques lignes d’une dépêche, vous n’êtes pas seuls, venez nous rejoindre et construisons notre survie au patronat délinquant et à ses chantiers, ensemble !



humour

Publié à 18:02 par fandeloup Tags : chat

fraude

Publié à 17:54 par fandeloup Tags : chez
fraude

Fraude à l'assurance maladie : près de 200 millions d'euros en 2014, un record

Les assurés sont responsables de moins de 20 % des fraudes constatées. Les assurés sont responsables de moins de 20 % des fraudes constatées. (AFP/Fred Tanneau)

Le montant des fraudes détectées à l'assurance maladie s'est monté à près de 200 millions d'euros en 2014, en hausse de 17% en un an, et les professionnels de santé sont les premiers fraudeurs, affirme ce lundi le journal Les Echos.

Le quotidien économique souligne que ces chiffres «ne concernent que la caisse nationale d'assurance-maladie des travailleurs salariés» où «se concentrent 96 % des fraudes».

En 2014, le montant des fraudes et activités fautives détectées «s'est élevé précisément à 196,2 millions, contre 167,1 millions en 2013», précisent Les Echos qui évoquent un «nouveau record historique».

Un montant qui reste toutefois modeste en comparaison des 178 milliards d'euros de dépenses de santé en 2014, d'autant que les pénalités financières prononcées «n'ont pas dépassé 12,3 millions d'euros». Interrogée, l'assurance maladie n'a pas démenti ces chiffres.

Les professionnels, premiers fraudeurs Au cours des dix dernières années, la répression a permis de récupérer «1,4 milliard d'euros», selon le journal, et «près de 2.900 interdictions de donner des soins ont été prononcées par les ordres contre les professionnels de santé qui ont triché», tandis que «2.600 fraudeurs ont été condamnés à faire de la prison».

Les fraudes sont «principalement repérées chez les professionnels de santé», souligne le quotidien. «Avec 73,1 millions d'euros, ils ont détourné 37 % de ces 196 millions d'euros». «Le cas classique, c'est le médecin qui facture des visites à domicile fictives, en tiers payant, et qui remplit et signe les feuilles de soins à la place de l'assuré», explique-t-il. Viennent ensuite les établissements de santé, poursuit le journal, avec «52,6 millions d'euros (27 % du total)».

Les assurés sont pour leur part «les auteurs de moins de 20 % des fraudes, à 38,8 millions d'euros».



horreur

Publié à 17:13 par fandeloup Tags : enfants france mort animal animaux chien solidarité chiens
horreur

La Ferté-Gaucher

Les deux soeurs tortionnaires du chien Lucky à court d'explications à la barre du tribunal

Aucune émotion apparente à la barre pour les 2 sœurs de La Ferté-Gaucher qui avaient affamé leur labrador Lucky, et laissé mourir un Jack Russel décharné avant de l’enterrer.

L’audience s’est tenue mardi 27 octobre devant le tribunal correctionnel de Meaux, qui rendra sa décision mardi 10 novembre. Elles se tiennent debout, côte à côte, sans répondant, comme assommées à la barre, décrivent nos confrères du Pays Briard.

Elles n’en mènent pas large et semblent prendre conscience de la portée de leurs actes.

Les deux sœurs Perrault restent impassibles. Laura (26 ans, mère de 3 enfants) et Priscilla (19 ans) étaient jugées mardi 27 octobre pour ’’abandon volontaire d’un animal domestique apprivoisé ou captif’’. À leur domicile de La Ferté-Gaucher, pendant plusieurs mois, elles ont laissé deux chiens « dans un état déplorable, sans alimentation », explique la juge Christine Chasse.

Les muscles avaient fondu Début juillet, l’un des deux animaux , un croisé Jack Russel nommé Nala, est mort, avant d’être enterré par ses maîtresses.

« L’autopsie a révélé que Nala n’était pas décédé d’une maladie, mais de faim, poursuit la juge. Il était d’une maigreur telle que ses muscles avaient fondu, et n’avait plus que les os sur la peau. A la même période, le labrador Lucky est, lui, passé à deux doigts de la mort, après avoir vécu un an durant en décrépitude sous le joug de ses ex-maîtresses.

Il avait été confié au refuge de Villevaudé, sur décision judiciaire, après avoir été retiré par les gendarmes de Rebais à ses propriétaires.

Le chien squelettique pesait alors 13 kg. Aujourd’hui, il a pris 10 kg et a une nouvelle maîtresse. Âgé de 2 ans et demi, il a repris du poil de la bête.

« Dans vos témoignages, vous dîtes que ces chiens étaient ’’difficiles, qu’ils ne mangeaient pas, qu’ils n’aimaient pas les croquettes…’’ Prisicilla a été la plus franche en avouant ne pas avoir les moyens de les nourrir. On ne vous reproche pas vous problèmes financiers, mais le fait d’avoir gardé ces chiens dans ces conditions », s’adresse la juge aux deux sœurs qui vivent de petits boulots saisonniers.

Du bout des lèvres, presque inaudible, Priscilla concède tout juste : « C’est vrai, on aurait pu faire quelque chose… »

« Vous ne nourrissiez pas vos chiens. À aucun moment, ça n’a fait ’’tilt’’ ? Pourquoi avoir gardé ces animaux? », relance la juge.

« Par attachement », lâche Priscilla, sans conviction. Nala agonisait sous leurs yeux L’avocate de l’association ’’30 millions d’amis’’, qui était intervenue à temps pour porter secours à Lucky en détresse, prend la parole.

« Le labrador squelettique puisait dans ses ressources musculaires pour survivre, et ne présentait aucune pathologie. Les prévenues ont assisté jour après jour au délabrement de leurs deux chiens qui devaient sûrement se battre pour manger.

Elles ont vu Nala, âgé de 2 ans, agoniser sous leurs yeux. On ne meurt pas de faim en France, car il est toujours possible de se nourrir. Elles ont laissé dépérir leurs animaux en parfaite connaissance de cause, et n’expriment aucun remord. »

Un être humain faisant preuve de sensibilité Le substitut du procureur Karim Badène n’a pas été tendre non plus avec les sœurs fertoises, blondes.

« Je connais bien cette affaire. Découvert par les gendarmes, Lucky ressemblait à un lévrier. Jamais nourri, il avait à peine la force de se tenir debout. Je suis déçu par l’attitude des deux prévenues qui ne semblent pas se rendre compte de la gravité des faits, et qui n’ont jamais réfléchi à l’incidence d’avoir un chien, cet être humain qui demande des soins et qui fait preuve de sensibilité. Certes, elles ont des problèmes financiers : mais dans ce cas, il faut renoncer à acquérir un chien, ou alors le confier à une association. »

Cette affaire a suscité un « élan de solidarité, avec des dons. L’opinion a été touchée ».

Réquisition pour chacune des deux soeurs : « Six mois d’emprisonnement avec sursis, 1 000 euros d’amende, interdiction de détenir un chien, et confiscation du chien (Lucky) ». Invitées à prendre la parole une dernière fois, Laura et Priscilla sont quasiment restées de marbre. La décision du tribunal correctionnel sera rendue mardi 10 novembre à 13 h 30, à Meaux.



message

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : message

des chihuahuas affamés et enfermés

Publié à 16:12 par fandeloup Tags : revenu chez animaux chiens
des chihuahuas affamés et enfermés

Seraing (Liège): des chihuahuas affamés et enfermés pendant 2 semaines découverts dans une habitation!

Une Sérésienne de 33 ans vient d’écoper d’une peine d’amende de 600 euros ou 15 jours de prison pour avoir « oublié » ses deux chiens, des chihuahuas, enfermés seuls chez elle pendant deux semaines.

Ce sont des voisins de la trentenaire qui, entendant les aboiements et remarquant que personne ne semblait plus résider dans la maison, avaient prévenu la SRPA.

L’inspecteur de la SRPA s’était rendu sur les lieux le 18 septembre et avait laissé un marqueur sur la porte d’entrée. Il était revenu le 22 septembre, et le marqueur était toujours là.

Il avait alors prévenu la police du fait qu’il entendait des animaux à l’intérieur de cette maison désertée, mais qu’il ignorait si ceux-ci disposaient d’eau et de nourriture.

Le 29 septembre, les services de police constataient que le marqueur placé par la SRPA n’avait toujours pas bougé. La Sérésienne avait alors été convoquée sur place et avait fini par admettre que cela faisait un moment qu’elle habitait chez une parente à Ougrée et qu’elle n’avait plus mis les pieds chez elle. Les chiens avaient été découverts en très mauvais état, affamés et déshydratés.



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