aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Nature : mot galvaudé ! A l'heure du tout numérique, du tout artificiel,... Chimère, chimérique... Qui se souvient de la VRAIE heure, l'heure du soleil ??? MOI!
Guerre en Libye: Il sauve 250 animaux au péril de sa vie et les restitue à ses maîtres
ARCHE DE NOÉ
Le vétérinaire a pris soin de dizaines d'animaux pendant la révolution au péril de sa vie...
Une initiative héroïque au milieu du chaos. Jalal, un vétérinaire libyen, a pris soin de dizaines d’animaux domestiques pendant la révolution, et au péril de sa vie, les a conduits en Tunisie d’où les bêtes ont pu retrouver leurs maîtres.
Au début de la révolte libyenne contre le régime de MOuammar Kadhafi en février 2011, nombre d’étrangers ont été pris de court et n’ont pu emmener leurs animaux, explique Jalal Kaal. Jalal Kaal.
250 animaux domestiques, dont « 200 chats et chiens» Dans le mouvement de panique, certains l’ont appelé de l’aéroport pour qu’il puisse récupérer les animaux chez eux.
Le vétérinaire tripolitain explique alors être allé dans plusieurs quartiers de la capitale pour chercher les animaux, et ce en dépit des combats dans la capitale.
Jalal a alors secouru quelque 250 animaux domestiques, dont « 200 chats et chiens», des tortues, des cochons d’Inde et un perroquet. Il les a installés dans sa clinique, située dans la banlieue sud-ouest de Tripoli, mitoyenne avec un ex-bâtiment des renseignements généraux.
Bravant bombes et roquettes « Les roquettes tombaient si près de chez nous que le faux plafond de la clinique s’est effondré », raconte-t-il. Bravant bombes et roquettes, il se rendait chaque jour à la clinique pour nourrir et s’occuper de ses « réfugiés ». « Avec mes enfants , nous sortions les animaux par groupes pour une promenade ou quelques câlins », explique cet homme grand et mince aux yeux souriants.
Un Tchadien l’a épaulé tout au long de cette aventure. « Rien ne vaut les larmes de joie des maîtres que j’ai réunis avec leurs animaux » Selon Jalal, des entreprises pour lesquelles travaillaient les expatriés avaient contacté des agences de fret pour sortir les animaux par avion mais, très vite, ce plan est tombé à l’eau lorsque l’aéroport de Tripoli a fermé en raison des violences.
Seule solution : évacuer les animaux par la route. Direction la Tunisie. Aujourd’hui, les salles de la clinique sont délabrées et les cages ayant hébergé les animaux sont vides. « Je dois tout casser et tout reconstruire en plus moderne », dit Jalal. « Certains propriétaires d’animaux n’ont toujours pas réglé leurs factures mais rien ne vaut les larmes de joie des maîtres que j’ai réunis avec leurs animaux ».
Malgré son exploit, l’homme reste modeste. « Je suis terrifié par la guerre. Je n’ai jamais touché à une quelconque arme. Je peux vous avouer que je suis un grand trouillard », confie-t-il avec un sourire timide.
Souvent les gens ne veulent pas voir ou entendre la vérité, parce qu'ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites.
Médoc : il a chassé un sanglier blanc
Jimmy Blasi, chasseur de 29 ans, a tué un gibier peu ordinaire lors d'une battue à Hourtin Médoc : il a chassé un sanglier blanc Jimmy Blasi présente fièrement le sanglier blanc qu’il vient de tirer.
Avec une solide expérience de la chasse derrière lui, à 29 ans, Jimmy Blasi a déjà réussi quelques beaux coups de fusil.
Mais celui de dimanche tiendra probablement une place de choix dans son album de souvenirs !
Membre de l'équipe d'Hugues Blanc, il participait donc à la battue aux sangliers organisée ce jour-là. Une battue qui s'annonçait d'ailleurs difficile vu le peu de traces relevées…
Toujours est-il que, sans entrer dans les détails, Jimmy Blasi met le « doigt » sur des traces de pieds intéressantes et que s'organise la traque avec les griffons du piqueux Bernard Sicaud, un fidèle venant à l'occasion de chaque battue de sa Charente Maritime !
Repéré, le « cochon » ne s'en laisse pas compter et use de toute sa science pour essayer d'échapper à ses tourmenteurs. La partie de cache-cache dure près de deux heures avant que finalement le brave « solitaire » ne tombe sous une balle logée en plein cœur par Jimmy Blasi.
Un trophée rare !
Pour ce dernier, tirer un « cochon » n'est pas un événement extraordinaire et son adversaire du jour ne pesait guère que 70 kg. Mais outre sa bravoure, l'animal se distinguait par sa teinte très claire, un sanglier blanc, non pas un albinos car il ne présentait pas d'yeux rouges, non pas un cochonglier ou un sanglochon hybride, vu la forme caractéristique très allongée et droite de son crâne de sanglier… alors peut-être un animal présentant une anomalie génétique ?
Toujours est-il que la pauvre bête finira « à la casserole » comme ses congénères… et que Jimmy Blasi qui repartait le soir même pour une nuit à la tonne, a bien peu de chances de retomber un jour sur pareil gibier !
Laisser son chien constamment vivre en extérieur est de la maltraitance.
Certains chiens préfèrent passer la majeure partie de leur temps dehors.
«De nombreux chiens adorent la nature, et certains préfèrent rester en extérieur, notamment dans les régions rurales. Néanmoins, il est important de savoir reconnaître le moment où les chiens doivent retrouver leur famille, et se mettre à l’abri.» ;
«Les chiens peuvent très facilement surchauffer dans un climat ensoleillé, et réciproquement, ils peuvent souffrir d’hypothermie dans des conditions climatiques froides et humides.»
Selon le Dr. Rob Proietto, vétérinaire new-yorkais. Moi même (éditrice) possède un chien qui aime rester pendants de longs moments dans le jardin.
Elle à une niche étanche en cas de pluie – il arrive qu’elle ne veuille pas rentrer – avec ses jouets et un coussin douillet. Mais je ne la laisse pas dehors en cas de température élevée ou au contraire très froide.
Point-d-exclamation Nous ne qualifions pas les personnes laissant simplement leur chiens en extérieurs, de maltraitants. Si le chien à accès à au moins une pièce à l’intérieur du foyer, une vie sociale et de quoi s’abriter en extérieur en cas d’intempérie ou de forte chaleur (ombre), avec un point de confort (couchage) – ce qui est rudimentaire – vous n’êtes pas de mauvaises personnes !
Mais forcer un chien à vivre perpétuellement en extérieur est un geste malveillant et mauvais pour l’animal – des raisons qui ne sont pas que météorologiques.
Stop aux massacres animaliers rejoins l’insistance des refuges et autres groupes de protection animalière (pour qui les chiens doivent vivre en intérieur avec leurs maîtres, notamment en cas de météo difficile), a dire que priver un chien de compagnie humaine en l’obligeant à vivre en extérieur est une forme de maltraitance animale, qui émousse les instincts naturels du chien…
Des milliers de chiens vivent toujours dans des jardins, parfois attachés au bout d’une chaîne.
« L’un des actes les plus cruels imaginables, c’est d’attacher un chien à une chaîne pendant une longue période », explique Goldberg (de la Humane Society de Broward County, à Fort Lauderdale, en Floride) « C’est cruel, et c’est de la maltraitance ! Les chiens maintenus au bout d’une chaîne regardent le monde passer devant eux, et ils ne peuvent qu’imaginer ce que serait une vie de liberté. »
Cet homme a pu voir de ses propres yeux le désastre d’une vie constante en extérieur pour un chien.
« Il y a plus de 10000 ans, les hommes ont domestiqué les chiens : ils recherchent notre compagnie, et en ont besoin. » explique Goldberg. « Votre chien ne sera heureux en extérieur que si vous vivez avec lui, là dehors. »