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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ce milliardaire est prêt à débourser jusqu'à 90 millions d’euros pour acquérir une île... Pour les migrants.
"La Grèce ou l'Italie, vendez-moi une île, je l'appellerai 'Indépendance' et les réfugiés y vivraient. Ils auraient même du travail, celui de construire leur propre pays comme bon leur semble."
Ce message paru sur Twitter est l'annonce faite par le milliardaire égyptien du nom de Naguib Sawiri.
Ayant fait fortune dans la télécommunication, monsieur Sawiri sensible à l’atrocité de la crise migratoire qui sévit actuellement en Europe dit qu'il est prêt à débourser jusqu'à 90 millions d'euros pour mettre la main sur une île grecque ou italienne.
Suite à la publication de la photo de l'enfant syrien de 3 ans du nom d'Aylan Kurdi décédé suite au naufrage de leur embarcation qui ralliait l’île grecque, les dures conditions dans lesquelles se passent ce trafic sont pointées du doigt, donc le projet de Naguib Sawiri s'il venait à se réaliser, il serait d'une grande aide pour ces immigrés.
Là, la faisabilité d'un tel projet est remise en question, l'intéressé lui-même à une télévision de son pays répondra : "évidemment que c'est faisable. Il y a des dizai
Autriche : quand l'hiver passe et que la neige fond, ce beau parc se transforme en un magnifique lac
Situé en dessous des montagnes autrichiennes d' Hochschwab, ce parc devient un endroit de plongée (le lac vert) durant l'été. Les arbres, les ponts, les bancs, tous les passages sont engloutis par l'eau.
Ce phénomène se produit tous les ans et elle dure trois voir quatre semaines. Ces eaux sont venues avec la fonte de la neige qui recouvre les montagnes durant l'hiver.
Marc Henauer, photographe professionnel, nous fait découvrir ce magnifique parc à travers des photos , il nous dit aussi "Sous l'eau, on pénètre dans un autre monde, magique.
Les rayons du soleil percent à travers la suface, ce qui donne des effets de lumière à couper le souffle. Alors, vous pensez que vous êtes dans une sorte de rêve, et vous vous attendez à voir des fées débarquer"
On voit un homme se garer devant la grille d'un établissement, sortir trois chiots du véhicule, les passer à travers les barreaux, laisser une gamelle d'eau et de croquettes, puis s'en aller.
Un commentaire accompagne la vidéo : "Voilà comment souvent on abandonne des animaux, sans aucun scrupule, dans notre refuge!
Ces images, capturées par une caméra de vidéosurveillance, ont été mises en ligne sur Facebook dimanche par la Société Protectrice des Animaux de Mulhouse (Alsace). L'association espérait ainsi sensibiliser l'opinion publique durant cette période propice à l'abandon des bêtes. Visionné depuis plus d'un million de fois, l'enregistrement a effectivement provoqué un déferlement de réactions sur internet .
Mais si certains s'indignent de la "lâcheté" du geste, nombreux aussi sont ceux qui prennent la défense de l'ancien maître. "Moi je remarque qu’il laisse un gros sac de croquettes, qu’il passe les chiots aussi doucement qu’il peut et qu’il leur met de l’eau. Ce n’est pas une personne insensible. Il n’a peut-être plus d’autre choix que de “donner” ces animaux…", commente ainsi Natacha sur la page du refuge. "Vous jugez mais vous ne savez pas son histoire. Il a peut-être perdu son travail et il n'a plus les moyens de s'en occuper. Il y a des gens qui les laissent sur le bord de la route, qui les jettent en forêt, ou même les noient. Malgré le fait qu'il les abandonne, il ne les laisse pas n'importe où.
Cette vidéo me laisse un sentiment mitigé, mais pas de haine.", abonde Vivien. "Le manque de moyens n'explique pas tout" Patrick Bauer, le directeur de la SPA de Mulhouse – que nous n'avions pu joindre jeudi après-midi – a expliqué au journal L'Alsace que la mise en ligne de la vidéo, réalisée en son absence, était un "cri de colère des soigneurs, qui voient ça toute la semaine.
Parfois, les gens jettent même les animaux par-dessus les grilles, on les retrouve avec des fractures…" Et l'ami des animaux de poursuivre : "Quelque part, cet homme aurait pu laisser les chiens ailleurs, c’est vrai, mais il aurait aussi pu venir nous les donner une heure trente après, quand nous étions ouverts.
Pour moi, c’est une forme de lâcheté". Si les propriétaires qui viennent eux-mêmes déposer leur chien ou leur chat doivent participer aux frais de soins et de puçage (entre 60 à 90 euros), le directeur de la SPA assure que pour le public qui "n’a pas les moyens de payer", les animaux sont de toute façon pris en charge. "Si cet homme était venu à 8h30 et nous avait dit : “Je n’arrive pas à assumer”, on ne l’aurait pas jugé".
Mais son équipe, visiblement excédée par certains posts sur les réseaux sociaux, ne cache plus son agacement. "Certains commentaires en disent long sur la mentalité des gens !
Quand on n’a pas d'argent on abandonne ses enfants ?
Pourquoi la mère des petits n'était pas stérilisée ?
Le manque de moyens n'explique pas tout !!!! La SPA qui est une association à but non lucratif , pourquoi pensez-vous que les abandons sont payants ?
Certes cette personne aurait pu faire un abandon plus cruel, mais elle ne sera pas responsabilisée pour autant ! Et sa chienne fera encore des portées...," s'agace le modérateur de la page de l'association, qui assène un peu plus tard : "Nous tenons à signaler que le refuge était ouvert ce jour-là.
Ce personnage n'avait qu'à se présenter avec ses couilles à l'accueil !" Ce à quoi une internaute réplique : "Ok il y a abandon, ok ça ne se fait pas et j'ai mal au cœur pour les chiots. Mais il laisse des croquettes et de l'eau tout en sachant que les chiots seront trouvés tout au plus 1h plus tard.... Parlez de mépris... de couilles... vous seriez fiers vous d'abandonner des chiots ?"
Carcassonne : Des chiens à l’abandon signalés par la SPA et découverts par la police
– Un chien d'une maigreur extrême découvert à Herminis. Un chien d’une maigreur extrême découvert à Herminis.
Sollicités par la société protectrice des animaux de Carcassonne pour avoir confirmation de mauvais traitements à animal, c’est un malheureux spectacle que les policiers municipaux ont constaté dans le hameau d’Herminis.
Les agents municipaux ont ainsi pu constater le triste sort réservé à quatre chiens réunis dans une cour. Une bassine d’eau croupie, une odeur nauséabonde d’excréments et d’urine, pas de nourriture apparente, et deux des quatre animaux dans un état sanitaire inquiétant, avec une apparence squelettique.
Rapport transmis au maire et au procureur
Des animaux visiblement à l’abandon, quand bien même les services de la police municipale ont pu rattacher cette cour d’Herminis à un homme domicilié dans le centre-ville de Carcassonne.
L’indéniable constat de ‘mauvais traitement envers un animal domestique tenu en captivité’ accompli (des faits punis d’une amende de 4e classe, Ndlr), les agents ont livré un rapport qui devait être transmis au maire de Carcassonne ainsi qu’au procureur de la République.
Le plus petit homme au monde est décédé selon le livre Guinness des records. Il ne faisait que 54,6 cm de haut:
«Guinness World Records est profondément attristé d'apprendre le décès de Mr Chandra Dangi qui détenait le titre d'homme le plus petit du monde«, a indiqué l'institution dans un communiqué, présentant ses condoléances à la famille du défunt. (archives, AFP) En novembre dernier, le livre Guinness des records avait organisé une rencontre entre Chandra Bahadur Dangi et l'homme le plus grand du monde, le Turc Sultan Kösen, qui mesure 2,51 m, près du Parlement de Westminster à Londres. «Je suis ravi de voir l'homme le plus grand du monde. J'étais curieux de rencontrer mon extrême opposé», avait alors déclaré M. Dangi, vêtu d'une tenue traditionnelle népalaise.
L’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, n'ont accueilli aucun réfugié syrien
Ce week-end, dans les pays du Golfe, le hashtag en arabe #Accueillir-des-réfugiés-syriens-est-un-devoir-du-Golfe a été très populaire sur Twitter.
Le site Albawaba a recensé et traduit quelques-uns de ces tweets. En décembre dernier, un rapport d'Amnesty international notait en effet que les six pays du Golfe –soit l'Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, Oman, Bahreïn et les Émirats arabes unis– n'avaient proposé aucune place d'accueil aux réfugiés syriens.
Dans un éditorial pour le magazine Quartz, le journaliste Bobby Ghosh écrit que ces pays devraient avoir honte. Selon les estimations d'Amnesty international, la Turquie a accueilli 1,6 million de réfugiés syriens, le Liban 1,1 million, la Jordanie 620.000, l'Irak 225.000 et l'Égypte 140.000.
«Les gouvernements saoudiens, qataris et émiratis savent très bien que les pays musulmans qui accueillent des Syriens ont beaucoup de mal à gérer un tel afflux.»
Construction de logements Le journaliste admet que ces gouvernements ont donné beaucoup d'argent aux pays d'accueil pour soutenir leurs opérations humanitaires envers les demandeurs d'asile, mais, selon lui, cet argent ne doit pas remplacer des aides encore plus concrètes:
«Le plus logique serait que de nombreux réfugiés soient acheminés de la Jordanie vers l'Arabie saoudite, via la longue frontière commune entre les deux pays.»
Nuages sur la protection animale
Il s’est passé ce jeudi 3 septembre un évènement capital pour la protection animale.
L’aboutissement d’un processus judicaire entamé en été 2014 et qui s’est achevé sur une défaite amère pour une petite association discrète, mais qui fait un boulot phénoménal depuis 7 ans : Cœur sur pattes.
Une association qui, sans aucune aide publique, a sauvé plus de 1000 chiens, particulièrement des éclopés, des seniors, des pas jolis, ceux dont personne ne veut. Un travail fou mené de main de maitre par Vanessa Myotte, la présidente, assistée d’une petite équipe de bénévoles et de familles d’accueil.
L’extrême sévérité des jugements des tribunaux de Montbéliard et Besançon est un avertissement très clair lancé aux associations de protection animale, et il a été énoncé comme tel. Le début de l’histoire se situe en juillet 2014 dans le Haut-Doubs, quand Vanessa, appelée à l’aide par une association suisse, intervient chez un quidam qui détient des chiens en piteux état, dans un minuscule enclos souillé de déjections.
Comme à son habitude, Vanessa appelle la mairie, la gendarmerie et un vétérinaire pour être dans un cadre réglementaire. Devant l’état de ces chiennes, saleté, maigreur, boiterie, otite et l’absence de vaccinations notées sur le carnet de santé, elle décide de retirer les animaux au quidam, chasseur de son état. Ceci bien sûr toujours en présence des gendarmes, et avec l’accord du chasseur.
Vanessa s’occupe rapidement de faire soigner les animaux, dont un est assez malade et quelques jours passent tranquillement… Quand soudain, le chasseur débarque chez elle, accompagné de quelques-uns de ses amis. « Ils étaient menaçants, intimidants, bien déterminés à récupérer les chiennes. Les gendarmes ont du intervenir » raconte Vanessa. Les jours suivants, un invraisemblable manège se met en place autour du petit chalet de cette mère de famille, seule avec deux jeunes enfants.
Des voitures tournent sans arrêt dans la petite rue d’ordinaire tranquille, de jour comme de nuit, stationnent devant chez elle, des individus en treillis font le pied de grue devant son portail, prennent des photos de la maison etc. Elle s’inquiète, met ses enfants à l’abri, appelle au secours des amis pour ne pas rester seule la nuit. La gendarmerie est prévenue, mais elle ne songe pas à porter plainte.
Les intimidations continuent, Vanessa ne dort plus, ne se sent plus en sécurité. Une première plainte pour violation de domicile, vol avec intimidation, séquestration de chiens est déposée contre Vanessa par le chasseur, mais elle n’aboutit pas. Une seconde plainte pour abus de confiance est retenue.
Le choc est rude, Vanessa confie qu’ « être poursuivie comme une criminelle m’a assommée. Je m’occupe de chiens maltraités depuis des années, je pratique toujours ainsi, sous couvert des gendarmes, avec l’appui d’un vétérinaire. Leur présence est gage de légalité, me semble t-il, sinon il y a problème ! » La plainte de Cœur sur pattes pour actes de maltraitance, elle, est classée sans suite...
Autre surprise, le procès est annoncé très vite. Mi-octobre elle est convoquée au tribunal de Montbéliard. A l’audience c’est un tir groupé, le président rivalise avec la procureure pour l’accusation, tonne contre ces associations, « shérifs » ou « zorros » qui se permettent de retirer des chiens à leurs propriétaires dans des « opérations commando », sans respecter les procédures légales, des chiens "un peu négligés certes, mais pas en danger", et il humilie publiquement Vanessa.
Les certificats de deux vétérinaires différents attestant de l’état des animaux, les photos, les vidéos, les très nombreux témoignages soutenant Cœur sur pattes et Vanessa ne semblent pas peser lourd face à la parole du chasseur. La gendarmerie, témoin essentiel, n’a même pas été entendue. Le procès est à charge, tout semble joué. Le juge remet la décision à plus tard, proposant que durant ce délai Vanessa rende les chiennes et indique qu’il sera tenu compte de sa décision pour une peine plus ou moins lourde.
Elle refuse et refusera toujours de rendre Ulline et Alpha, qui coulent aujourd'hui des jours paisibles, soignées et bichonnées. Le tribunal la condamnera en conséquence à 6000 € d'amende dont 3000 avec sursis, 1500 € de dédommagement pour le chasseur et 800 € de remboursement des frais d'avocat.
Vanessa fait appel de la décision, change d’avocat et se retrouve devant le tribunal de Besançon et là… Même punition ! Le président se fait procureur, accuse les associations d’outrepasser leurs droits : « vous qui arrivez avec votre étendard associatif…
« L’avocat de la partie adverse plaide et explique très clairement l’enjeu sous-jacent de cette affaire : il s’agit de faire comprendre aux associations de protection animale qu’elles ne peuvent pas impunément retirer des animaux à leurs propriétaires.
Le mot « chasseurs » n’est pas prononcé, mais pour Vanessa et ses amis présents à l’audience, le message est clair « On nous a bien fait comprendre qu’on ne pouvait pas s’attaquer à des chasseurs, c’est d’ailleurs logique, ils doivent commencer à s’inquiéter des interventions associatives, car ce cas n’est pas rare du tout. Si on ne peut pas parler de maltraitance au sens de battre les animaux, les négligences sont souvent telles qu’on peut parler de mauvais traitements. Dans les petits villages reculés, les animaux sont des utilitaires et pas des êtres sensibles ».
L’avocat indique que juridiquement, ils ne peuvent pas demander le retour des chiennes, pourquoi ?
Mystère ! Peut-être parce qu’elles n’appartenaient pas légalement au chasseur, qui avait omis de les déclarer à son nom, tout comme il avait omis de les faire vacciner et soigner ? Le réquisitoire assez ahurissant de la procureure, qui demande 1 an de prison avec sursis, 6000 euros d’amende pour l’association et 8000 pour Vanessa, estomaque l’assemblée.
Une brillante plaidoirie de l’avocate de la défense, maître Tascher, met un peu de baume au cœur de tout le monde, mais l’optimisme ne règne pas. Et jeudi, la sentence tombe : 1 mois de prison avec sursis, toujours des amendes incroyables, 6000 euros dont 3000 avec sursis pour Cœur sur pattes, 1000 euros pour sa présidente, 800 euros de frais de justice, 1500 euros de dommages et intérêts, qui risquent bien de signer l’arrêt de mort de l’association.
Mais c’est le but n’est ce pas ? Cœur sur pattes doit servir d’exemple, c’est la demande explicite de l’avocat du chasseur. Il faut calmer ces associations qui osent venir mettre leur nez dans les affaires de ceux qui pensent qu’un bien meuble ne peut pas être sensible et que les traditions cruelles sont un patrimoine à préserver. Ce procès est leur message. Ils ne feront pas de cadeau.