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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
un grand requin vs un autre requin : C. une surprise très spectaculaire pour les pêcheurs
Sondage : l’abandon en question
Aujourd’hui, ne pas abandonner son animal en pleine nature mais l’emmener directement dans un refuge est jugé tout aussi « cruel » par les internautes. Décryptage d’un récent sondage lancé sur 30millionsdamis.fr.
Un chien jeté négligemment par-dessus la grille ou quelques chatons abandonnés dans une caisse devant l’entrée… Des scènes devenues habituelles dans les refuges de France.
Car oui, le visage de l’abandon a changé : on retrouve moins de chiens attachés à un arbre ou jetés au bord d’une route que par le passé. Sans doute le fruit du long travail de sensibilisation et de dénonciation effectué par les associations de protection animale, à l’image d'une des dernières campagnes de la Fondation 30 Millions d’Amis.
En revanche, les animaux sont de plus en plus souvent abandonnés directement dans les refuges.
« UN ABANDON RESTE UN ABANDON »
Partant de ce constat, 30millionsdamis.fr a interrogé sa communauté via un sondage (voir plus bas) mis en ligne le 12/08/15.
A la question « Abandonner son animal dans un refuge plutôt que dans la nature c’est… ? », plus de 57 % des 4100 votants trouvent cela « toujours aussi cruel » contre 43 % qui pensent que cela « laisse [à l’animal] une chance de s’en sortir ».
Pour la majorité des votants, « qu'importe la façon d'abandonner, l'acte restera toujours aussi cruel et inacceptable ! » comme le résume Brigitte S. sur notre page Facebook.
Un avis partagé par Cécile F. : « Où que ce soit, abandonner son animal est cruel. Et le mot est faible. Ils nous donnent toute leur confiance et leur amour. A nous d'en être dignes. »
Constat identique pour Croc Blanc : « Que ce soit dans un refuge ou dans la nature, un abandon reste un abandon. Quand on adopte un animal, c'est pour la vie ». « DÉCULPABILISANT » Nombreux sont cependant ceux qui pensent que confier son animal à un refuge est « une bonne action ».
Stéphanie Slusarek, directrice du refuge Animaux sans foyer de Montgeron (91)*, le constate chaque jour : « En laissant leur animal au refuge, les gens pensent qu’ils font une B.A. Cela les déculpabilise totalement. Certains me disent même "il sera mieux chez vous que chez nous".
Moi j’essaie de leur faire prendre conscience qu’ils abandonnent leur animal et que la vie dans un refuge est loin d’être idéale. Ils prennent le risque que l’animal soit euthanasié si le refuge n’a pas de place ou qu’il soit emmené en fourrière ».
En effet, abandonner anonymement son animal aux portes d'un refuge est assimilé à un « abandon sauvage ». Les animaux qui y sont déposés doivent donc repasser par la case fourrière et risquent d’être euthanasiés si personne ne vient les récupérer. Sans compter le traumatisme psychique de l’animal qui se retrouve privé soudainement de son foyer …
Toutefois, pour 43 % de nos votants cela reste une solution « moins pire » que l’abandon dans la nature, comme l’explique l’internaute Lise R. : « Je vois que les gens votent "toujours aussi cruel".
C'est fort étonnant. Sachez qu'un chien abandonné dans la nature a 0 chance de s'en sortir. Dans un refuge, il est nourri, protégé, et au moins il a 1 chance de s'en sortir, de retrouver un foyer. Il n’a pas 80 % de chance de s'en sortir, mais une c'est pas mal. C'est tout de même mieux qu'un chien tabassé à vie, ou enterré vivant dans une forêt non ? ». « ENCOMBRANTS » D’années en années, le nombre d’abandons reste préoccupant.
Et cet été 2015 encore, ce sont des milliers de chats, de chiens et de NAC qui ont été délaissés parce qu’ils étaient soudain devenus « trop encombrants ».
Une situation vécue au quotidien par Stéphanie Slusarek du refuge de Montgeron : « On n’hésite pas à m’abandonner des chiens très malades, vieux ou même des chiennes enceintes ! La dernière fois, une famille est venue me déposer une chienne chihuahua qui allait mettre bas en me disant qu’ils ne voulaient pas gérer son accouchement et qu’ils viendraient la récupérer quand les chiots seraient sevrés ».
Un exemple criant qui montre combien la campagne 2015 contre l’abandon de la Fondation 30 Millions d’Amis est pertinente… « On me demande parfois si « je reprends des chiens » comme si c’était un objet qu’on peut retourner au magasin » lance la bénévole à propos de certaines personnes qui souhaitent se débarrasser de leur animal. Parmi tous ses combats, la Fondation 30 Millions d’Amis a fait de la lutte contre l’abandon une priorité.
A 5 ans, il défend sa mère qui allaite sa petite sœur en public. Et il ne manque pas de bagout !
Les réseaux sociaux fourmillent de formidables histoires. Celle-ci est particulièrement savoureuse. Elle nous est racontée par une mère de famille très fière de rapporter le comportement exemplaire de son fils.
Ce récit ravira tous ceux qui ont déjà eu des bébés à nourrir… où qu’ils se trouvent !
« Aujourd’hui, j’étais à l’hypermarché avec mes deux enfants : Airryn, presque six ans, et Addie, bientôt un mois. Nous faisions un tour quand Addie a réclamé à manger.
J’ai demandé à Airryn s’il avait faim lui aussi et il m’a répondu que oui. Nous sommes donc allés à l’espace restauration pour commander son poulet préféré.
Nous nous sommes assis pour manger et pour offrir à Addie le délicieux lait qu’elle préfère : celui de sa maman. J’ai donc dissimulé ce qu’il fallait et commencé à remplir son ventre.
Airryn mangeait son poulet quand une femme passant par là avec sa nourriture et ses enfants m’a regardée avec de grands yeux écarquillés.
Ensuite, elle s’est assise et j’ai encore vu qu’elle me regardait. Elle est venue vers moi et m’a dit brutalement : « Vous devriez savoir qu’il existe des chaises aux toilettes pour faire ça. Ma fille n’a pas besoin de vous voir nourrir la vôtre pendant qu’elle mange. »
J’allais commencer à parler quand mon fils m’a coupé la parole et lui a dit :
« Moi non plus Je n’ai pas besoin de voir votre enfant manger pendant que je mange ! »
Elle a répondu :
« Elle mange de la nourriture sans qu’aucune partie de corps ne soit montrée. »
Il a regardé en arrière, vers la fille, et a répliqué : « Je peux voir ses jambes alors que vous ne pouvez rien voir de ma sœur. »
Elle m’a demandé si je laissais parler mon fils de cette manière à tout le monde et je lui ai répondu :
« Comment, mais bien sûr ! »
Elle m’a répété que je devrais aller aux toilettes. Alors Airryn s’est levé et a marché vers sa table. Elle lui’a demandé ce qu’il faisait et il a répondu, ce qui m’a rendu très fière :
« J’allais vous aider à apporter votre repas aux toilettes. Car si vous pensez que ma soeur peut manger aux toilettes, je pense que ça ne vous posera pas de problème non plus de manger là-bas. »
Elle a répondu que mon fils était insolent. Ce à quoi j’ai rétorqué que, à cinq ans, il était juste bien éduqué. S’il vous plaît, partagez ceci avec une maman, des amis ou votre famille pour qu’ils sachent qu’une des choses les plus importantes qu’un parent ou un tuteur puisse faire, c’est de laisser un enfant parler pour se défendre ou défendre sa famille. C’est sain. »
C’est sain… et terriblement efficace. Surtout quand c’est un gamin si éveillé qui prend la parole ! L’allaitement est un choix et, qui plus est, le premier que nous offre la nature. Alors pourquoi faudrait-il se cacher pour nourrir un enfant ? Aller aux toilettes… ! Non mais quoi encore !
Ranguevaux : les gendarmes et la SPA saisissent des animaux au Refuge de Bouba
Des gendarmes, les services de l’État et la SPA ont saisi treize chiens, neuf chats, deux ânes et deux chèvres, ce matin, au Refuge de Bouba, à Ranguevaux.
Le propriétaire est encore en garde à vue dans les locaux de la brigade de Fameck.
Les enquêteurs le soupçonnent notamment de "travail dissimulé". Les animaux ont été enregistrés et transportés vers des refuges de la SPA, en attendant la suite de l’enquête.
Ce matin, à 6h15, une équipe d’intervention de la gendarmerie, soit une demi-douzaine d’hommes, est venue interpeller Jean-Claude Toppeta, dans sa ferme, sur les hauteurs de Ranguevaux.
Le propriétaire du Refuge de Bouba a été placé en garde à vue. Il a ensuite assisté à la perquisition des lieux, menée par une dizaine de militaires.
Cette opération est la continuité de l’enquête diligentée par les hommes de la brigade de Fameck après de la saisie de 70 chiens et 20 chats il y a un an, suite à une plainte déposée en novembre 2013 pour des conditions de détention inadaptées (lire RL du 19 août 2014).
« C’est sans doute l’épilogue d’un dossier complexe, confie un enquêteur. De nouveaux éléments nous ont amenés à revenir sur les lieux. Nous avons ainsi récemment appris que M. Toppeta aurait repris, a priori de façon illégale, son activité de pension et refuge. Après une série d’investigations, nous le soupçonnons à nouveau de travail dissimulé. »
Deux représentantes de la Mutualité sociale agricole étaient d’ailleurs sur place hier matin. Pour rappel, si aucune autorisation n’est requise jusqu’à neuf chiens, il faut, au-delà, solliciter un certificat de capacité, délivré par le préfet.
Une autorisation que ne posséderait pas l’homme. Deux ânes et deux chèvres Les animaux ont été identifiés grâce à leur puce électronique ou leur tatouage.
« Treize chiens ont été récupérés par le groupe Sacpa-Chenil et transférés dans la région lyonnaise.
Neuf chats ont été pris en charge par la SPA de Thionville-Œutrange.
Son homologue d’Arry a rapatrié dans ses murs deux ânes et deux chèvres. Seuls quatre chiens, au nom de M. Toppeta, ont été laissés sur place » , détaillent les adjudants-chefs Fraiz et Staub.
Un vétérinaire et des agents de la Direction départementale de la protection des populations étaient présents.
« L’état général des chiens est plutôt bon » , commente laconiquement le vétérinaire. Un seul animal se trouvait dans un des box de la partie fourrière, pour laquelle le gardé à vue bénéficie d’un agrément préfectoral en bonne et due forme.
Jean-Claude Toppeta, qui affirmait dans nos colonnes (lire RL du 25 mars 2015) « toujours avoir agi par amour des animaux et jamais pour l’argent » , ne récupérera pas ses chiens saisis l’an dernier. Ainsi en a décidé la justice.
Les animaux ont été confiés à la SPA aux fins de mise en œuvre d’une procédure d’adoption. Depuis le début, il est soutenu par les bénévoles de l’association L’Arche de Bouba et 1 268 personnes ont signé une pétition sur Facebook pour sauver le refuge.
Ce soir, l’homme est toujours en garde à vue, auditionné par les gendarmes, dans les locaux de la brigade de Fameck.
Les images pleines d’espoir d’un chien qui a perdu ses deux pattes avant sous un train et qui apprend à remarcher
ATTENTION: cette vidéo peut heurter la sensibilité de certaines personnes
Cette vidéo raconte l’histoire de Joy, un chien qui a été percuté par un train en Inde, et qui a perdu ses deux pattes avant dans l’accident.
La vidéo relate sa guérison et son incroyable faculté de réadaptation. Après avoir sauver le chien et lui faire quelques premiers soins, ils lui ont donné de la nourriture et de l’eau.
Ils l’ont emmené à l’hôpital où ils ont découvert que l’une de ses pattes a été gravement écrasée et il n’y avait aucun moyen de la sauver. Alors il a dû être amputé, mais ils ont été en mesure de sauver une partie de son autre patte.
Maintenant Joy a dû apprendre à vivre sans toute une patte et avec seulement une partie d’une autre. Les premiers pas ont été très difficiles, mais il a continué à essayer et pratiquer tous les jours, et chaque jour, il devenait de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il atteigne le point où il était capable de marcher sur ses pattes arrière sans l’aide de personne.
Il était capable de marcher comme un kangourou !