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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Ranguevaux : les gendarmes et la SPA saisissent des animaux au Refuge de Bouba
Des gendarmes, les services de l’État et la SPA ont saisi treize chiens, neuf chats, deux ânes et deux chèvres, ce matin, au Refuge de Bouba, à Ranguevaux.
Le propriétaire est encore en garde à vue dans les locaux de la brigade de Fameck.
Les enquêteurs le soupçonnent notamment de "travail dissimulé". Les animaux ont été enregistrés et transportés vers des refuges de la SPA, en attendant la suite de l’enquête.
Ce matin, à 6h15, une équipe d’intervention de la gendarmerie, soit une demi-douzaine d’hommes, est venue interpeller Jean-Claude Toppeta, dans sa ferme, sur les hauteurs de Ranguevaux.
Le propriétaire du Refuge de Bouba a été placé en garde à vue. Il a ensuite assisté à la perquisition des lieux, menée par une dizaine de militaires.
Cette opération est la continuité de l’enquête diligentée par les hommes de la brigade de Fameck après de la saisie de 70 chiens et 20 chats il y a un an, suite à une plainte déposée en novembre 2013 pour des conditions de détention inadaptées (lire RL du 19 août 2014).
« C’est sans doute l’épilogue d’un dossier complexe, confie un enquêteur. De nouveaux éléments nous ont amenés à revenir sur les lieux. Nous avons ainsi récemment appris que M. Toppeta aurait repris, a priori de façon illégale, son activité de pension et refuge. Après une série d’investigations, nous le soupçonnons à nouveau de travail dissimulé. »
Deux représentantes de la Mutualité sociale agricole étaient d’ailleurs sur place hier matin. Pour rappel, si aucune autorisation n’est requise jusqu’à neuf chiens, il faut, au-delà, solliciter un certificat de capacité, délivré par le préfet.
Une autorisation que ne posséderait pas l’homme. Deux ânes et deux chèvres Les animaux ont été identifiés grâce à leur puce électronique ou leur tatouage.
« Treize chiens ont été récupérés par le groupe Sacpa-Chenil et transférés dans la région lyonnaise.
Neuf chats ont été pris en charge par la SPA de Thionville-Œutrange.
Son homologue d’Arry a rapatrié dans ses murs deux ânes et deux chèvres. Seuls quatre chiens, au nom de M. Toppeta, ont été laissés sur place » , détaillent les adjudants-chefs Fraiz et Staub.
Un vétérinaire et des agents de la Direction départementale de la protection des populations étaient présents.
« L’état général des chiens est plutôt bon » , commente laconiquement le vétérinaire. Un seul animal se trouvait dans un des box de la partie fourrière, pour laquelle le gardé à vue bénéficie d’un agrément préfectoral en bonne et due forme.
Jean-Claude Toppeta, qui affirmait dans nos colonnes (lire RL du 25 mars 2015) « toujours avoir agi par amour des animaux et jamais pour l’argent » , ne récupérera pas ses chiens saisis l’an dernier. Ainsi en a décidé la justice.
Les animaux ont été confiés à la SPA aux fins de mise en œuvre d’une procédure d’adoption. Depuis le début, il est soutenu par les bénévoles de l’association L’Arche de Bouba et 1 268 personnes ont signé une pétition sur Facebook pour sauver le refuge.
Ce soir, l’homme est toujours en garde à vue, auditionné par les gendarmes, dans les locaux de la brigade de Fameck.