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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je cueille en moi ces images pour en faire un paysage en harmonie avec la vie. Elles apparaissent comme par magie.
Au gré des saisons qui différent Ses couleurs restent éphémères Ses arômes aux couleurs du temps Enveloppent mon ♥ de sentiments
Il y a des jardins secrets qui, timides, se cachent de tous, d’autres bien plus hardis qui vivent au grand jour. Et puis il y a ceux qui se recueillent, qui aiment vivre au calme… Ces jardins ni fermés ni ouverts, qui invitent avec délicatesse. Ceux dont il faut, pour s’y promener quasi religieusement, franchir la grille en la refermant derrière soi, la voix pas plus haute que le murmure de ses gonds, faisant bien attention où l’on pose les pieds pour ne rien écraser, où l’on pose les yeux pour ne rien déranger… Cadeaux de promenades, jardins cathédrales et musées, véritables petits univers pleins d’humilité, qui racontent l’histoire de leurs murets de pierres, de cette vieille vieille terre, du soleil de la pluie des nuages, des étés des hivers, de la source, de la gourgue et du vieil arrosoir, et puis tous les tendres secrets de leur patient jardinier, chef d’orchestre de leurs symphonies, leur peintre et leur sculpteur, leur berger de l’âme
Regardant les arbres et les plantes, voyant leur effort pour vivre, j'ai mieux compris que les hommes se soient de tout temps fait la guerre. Du plus infime au plus majestueux végétal,chacun lutte férocement pour conquérir un territoire qui assure la nourriture et la lumière nécessaires à sa croissance et sa reproduction. Les faibles sont étouffés. Pas de pitié dans ce monde-là non plus
Si vous vous accrochez à la nature, à ce qu'il y a de simple en elle, de petit, à quoi presque personne ne prend garde, qui, tout à coup, devient l'infiniment grand, l'incommensurable, si vous étendez votre amour à tout ce qui est, si très humblement vous cherchez à gagner en serviteur la confiance de ce qui semble misérable, alors tout vous deviendra plus facile, vous semblera plus harmonieux et, pour ainsi dire plus conciliant. Votre entendement restera peut-être en arrière, étonné: mais votre conscience la plus profonde s'éveillera et saura
La sérénité n’exclut pas l’espoir ou l’aventure, le travail ou l’amour. Paisible et forte, elle éclaire le paysage de nos vies trépidantes. Douce et limpide, elle rafraîchit nos actes et nos rêves
Je préfère que mes deux pattes se trouvent sur la terre ferme. Mais au voisinage de la mer. J'ai besoin de ses odeur âcres. J'ai besoin de ses vagues qui meurent et naissent et meurent. J'ai besoin que mon regard se perde dans son immensité
Le vert absolu est la couleur la plus calme qui soit. Elle n'est le siège d'aucun mouvement. Elle ne s'accompagne ni de joie, ni de tristesse, ni de passion. Cette immobilité est une qualité précieuse et son action est bienfaisante sur les hommes et sur les âmes qui aspirent au repos
Tout sur terre nous interpelle, nous hèle, mais si finement que nous passons mille fois sans rien voir. Nous marchons sur des joyaux sans les remarquer.
Combien d'hommes vivent sans presque jamais contempler le ciel, ni de jour ni de nuit? Et parmi ceux qui le contemplent, combien pensent, le jour, aux étoiles invisibles qui brûlent sans bruit, là-haut dans l'azur ?