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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Fixez mes yeux et relaxez vous. Vous voyez mes yeux, rien que mes yeux, vous ressentez une envie irrésistible de revenir sur cette page encore et encore, jusqu'à devenir cinglé, je vous l'ordonne! Et maintenant réveillerez-vous en oubliant tout ceci! Et voilà!
Je jure votre honneur que je dirai toute la vérité et rien que la vérité, je n'omettrai, ne rajouterai, ni ne changerai rien! Mais ne me demandez pas où est le jambon et la crème fraîche, pour na pas commettre un grave parjure!
- Que lui voulez-vous à mon petit? Foutez le camp!
- Ouai maman, ce sont eux, y ne font que m'embêter!
Paraguay : elle devient mère à 11 ans après un viol
Une fillette de 11 ans, violée par son beau-père, a accouché jeudi à Asuncion, capitale du Paraguay.
Une fillette de 11 ans, violée par son beau-père, a accouché jeudi à Asuncion, capitale du Paraguay, pays où l'avortement est interdit et où les grossesses de mineures sont nombreuses.
Lorsque la fillette était enceinte de cinq mois, elle s'était vu refuser un avortement mais avait été admise dans un hôpital d'Asuncion.
En janvier 2014, la mère de la fillette, qui a deux autres enfants de 8 et 13 ans, avait rapporté aux autorités judiciaires de Luque, banlieue d'Asuncion, des rumeurs d'agressions sexuelles de la part de son concubin, sans pour autant déposer plainte. Le procureur avait ordonné une expertise psychologique.
L'affaire avait été classée sans suite. Le Dr Dolores Castellanos, de l'Hôpital de la Croix-Rouge d'Asuncion, a précisé que la fillette se remettait normalement de l'accouchement par césarienne pour donner naissance à une fille de 3,5 kg.
L'enfant a été baptisée Milagros («Miracles» en espagnol). «C'est un tragique rappel que le Paraguay doit revoir dans l'urgence sa législation draconienne sur l'avortement», a dénoncé Amnesty International.
Selon les chiffres officiels, 19% des grossesses concernent des mineures au Paraguay, pays de 7 millions d'habitants.
Écoute, mon pauvre petit: je suis vieux, misérable, seul et dans la rue. Tu n'est pas logé à meilleure enseigne, car la pauvreté, c'est ce qui se partage le plus facilement.
Mais tu sais quoi? Je vais quand même partager ma vie avec toi et ce serait le diable qu'on ne puisse trouver quelque chose à bouffer aussi: les poubelles regorgent de bonnes choses de ceux, qui ne veulent rien partager et qui jettent tout... alors on fait équipe?
Un ancien pédiatre condamné pour agressions sexuelles 20 ans après les faits
Un ancien pédiatre a été condamné à quatre ans de prison, dont trois avec sursis, jeudi 13 août, par le tribunal correctionnel d’Angers. Un ancien pédiatre a été condamné à quatre ans de prison, dont trois avec sursis, jeudi 13 août, par le tribunal correctionnel d’Angers (Maine-et-Loire) pour des agressions sexuelles de jeunes filles mineures qui étaient ses patientes entre 1986 et 1992.
Agé aujourd’hui de 83 ans, l’homme n’était pas présent au tribunal pour entendre le jugement, pas plus que les quatre femmes dont les constitutions de partie civile avaient été retenues au terme de l’instruction. « L’essentiel est qu’il soit reconnu coupable.
Maintenant, ce qui est terrible, c’est de savoir que beaucoup de victimes n’ont pas pu ou voulu faire valoir leurs droits », a réagi la mère d’une des victimes.
« Je ne trouve pas ça cher payé au regard de ce qu’il a fait », a commenté une ancienne patiente du médecin. L’ex-pédiatre, connu à Angers, avait failli échapper à la justice.
En 2000, une première plainte contre lui avait été classée sans suite. Mais l’affaire avait été relancée en 2012 à la suite de la plainte d’une autre femme. Au total, quatorze anciennes patientes du praticien ont affirmé aux enquêteurs avoir été victimes d’attouchements alors qu’elles étaient enfants ou adolescentes.
Mais pour la majorité d’entre elles, les faits se sont révélés prescrits. Trous de mémoire Lors de l’audience le 16 juin, le ministère public avait requis cinq années d’emprisonnement, dont deux ferme. Le retraité avait nié les faits, invoquant pour sa défense de nombreux « trous de mémoire », l’impossibilité matérielle de se retrouver isolé avec ses patientes et le caractère infondé de certains gestes médicaux qui lui sont attribués.
A la barre, l’une des victimes présumées avait ainsi raconté avoir subi des agressions lors d’examens pour un « eczéma pubien ». « Ça n’existe pas », lui avait rétorqué l’ex-médecin. « C’est écrit sur le carnet de santé que vous avez signé », lui répondra-t-elle plus tard. Et d’ajouter : « Je suis soulagée de pouvoir parler, de voir que je ne suis pas toute seule ».
Depuis, le parquet d’Angers a enregistré au moins une nouvelle plainte d’une ancienne patiente du pédiatre. Pour viols, cette fois-ci.
Il n'y a pas d'erreur dans la vie, il n'y a que des leçons. Il n'existe pas d'expérience négative, il n'y a que des occasions de mûrir, d'apprendre et d'avancer le long de la voie de la maîtrise de soi. La force vient de la lutte. Même la douleur peut être une enseignante.
Le sexagénaire avait traîné sa chienne attachée à sa voiture : du sursis
C’est une affaire de sévices graves sur un animal domestique peu banale qui a occupé les juges du tribunal correctionnel de Bonneville, hier en milieu d’après-midi.
Les faits remontent au 23 avril dernier. Alors que sa chienne avait l’habitude de s’enfuir et de divaguer, son propriétaire avait tenté de la faire monter dans sa voiture pour rentrer à la maison.
Devant le refus de l’animal, l’homme, âgé d’une soixantaine d’années, avait alors décidé d’attacher son chien au véhicule et de le traîner sur plusieurs centaines de mètres sur l’asphalte. Il voulait punir sa chienne
Brûlures graves aux coussinets et plaies béantes sur l’ensemble du corps, c’est l’état dans lequel se trouvait la bête au moment où elle a été transportée chez le vétérinaire.
Elle a ensuite été soignée puis remise à l’association Animaux secours à Arthaz, dont l’objectif est la défense des animaux sur le territoire français, et qui s’est porté partie civile dans cette affaire.
À la barre du tribunal, l’homme semble ne pas avoir de regrets, expliquant qu’il avait voulu punir sa chienne. Des propos jugés inquiétants par la partie civile, réclamant l’interdiction définitive pour cette personne de détenir des animaux domestiques. Le procureur, quant à lui, parle de grave cruauté et de comportement de type sadique, rappelant que le prévenu souffre d’alcoolisme chronique.
La défense, enfin, a tenté de démontrer que si les faits sont particulièrement désagréables, le personnage ne l’est pas forcément, arguant que ce jour-là, il n’était pas dans son état normal du fait d’une alcoolémie très importante.
Au final, l’homme a été condamné à 4 mois de prison avec sursis et à une amende de 1 000 euros. Il devra en outre verser environ 1 800 euros de dommages et intérêts à la partie civile. De plus, il s’est vu condamner également à l’interdiction définitive de détenir un animal. Sa chienne lui a été confisquée et remise à l’association d’Arthaz.