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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Oui, les peines d'amour ouvrent des abîmes insoupçonnés, des spasmes d'agonie qui, je crois, se rapportent en réalité à autre chose, qui vont au-delà de l'histoire d'amour particulière, qui touchent à quelque chose de très basique dans notre construction émotionnelle. A la pierre angulaire sur laquelle repose l'édifice que nous sommes. Le mal d'amour démolit et jette à terre
J'ai perdu le mal de ton absence, maintenant je vis avec ce vide chaque jour.
Quand tu ressens de la nostalgie, ce n'est pas un manque, c'est une présence, c'est une visite, des gens, des pays arrivent de loin et te tiennent un peu compagnie
A deux, l'espace change. Le silence n'est plus du silence même si l'autre se tait.
J'ai senti quelque chose se coincer dans ma gorge, me coupant le souffle. Il fallait que je m'y fasse. Cette idée que quelqu'un n'est plus là, on ne s'y habitue jamais.
A quels moments les souvenirs cessent ils de blesser ? A partir de quel moment cessent ils d'être des lames qui cisaillent les mollets ? Quand les disparus cessent ils d'être une pensée douloureuse pour devenir une pensée calme ? A quel moment peut on rouvive un album de photos sans éclater en sanglots, une boîte à musique sans la renfermer auussitôt ? Combien de temps cela exige-t-il ? A t-il une règle ? Une moyenne ??
Le monstre de Montauk
Cette carcasse d'origine inconnue s'est échouée sur une plage de New York en 2008 et déchaîne les passions depuis. Personne n'a pu identifier formellement l'animal mais les hypothèses vont bon train.
Certains croient en une expérience génétique ratée, un espèce animale encore inconnue ou un extra-terrestre... L'explication la plus plausible est que ce serait le cadavre d'un raton laveur qui est resté longtemps dans l'eau, d'où la perte de poils.
Vu que le corps a disparu après sa découverte, l'identification formelle reste impossible
Débat : Les zoos sont-ils bénéfiques pour les animaux ?
L’année dernière, le célèbre zoo de Vincennes ré-ouvrait ses portes après de grands travaux destinés à «améliorer les conditions de vie» des animaux dans ses murs.
En parallèle, le zoo de Copenhague faisait, lui aussi, la Une des journaux pour avoir euthanasié le girafon Marius et des lions en bonne santé.
Ces deux actualités, totalement antinomiques, exprimaient bien le paradoxe qui entoure les zoos : d’un côté, il y a la conservation des espèces ; de l’autre, il y a la captivité et les euthanasies (la Captive Animal Protection Society affirme que 10.000 animaux sont euthanasiés chaque année dans les zoos européens).
De quoi nourrir un vrai débat : les parcs zoologiques ont-ils une raison d’être ?
POUR :Françoise Lenoir, Présidente de la SECAS (Société d’Encouragement pour la Conservation des Animaux Sauvages) zoo2Je pense qu’à l’heure actuelle les parcs zoologiques sont utiles.
Aux 19ème et 20ème siècles les animaux étaient présentés comme des collections, en rang d’oignons dans des cages minuscules : le public était content, il les voyait aisément, mais l’animal était malheureux.
Bien sûr il y a encore en France des zoos qui sont horribles, et ceux-là devraient disparaître complètement, mais aujourd’hui les parcs zoologiques changent, comme le zoo de Vincennes ou celui de Doué-la-Fontaine.
Ces zoos-là montrent les animaux dans des conditions nettement meilleures, qui rappellent leur milieu naturel. Évidemment cela n’est pas la nature, mais comme 99% d’entre eux ne la connaissent pas puisqu’ils sont nés en captivité, ils sont tout-à-fait heureux dans de grands enclos bien aménagés, qui leur offrent la possibilité de se cacher, car l’animal n’a pas forcément envie de se montrer sans arrêt.
Les visiteurs se plaignent, en disant qu’ils ne voient pas les animaux : ils ne sont pas patients et veulent faire le tour du parc en une heure. Il faut qu’ils apprennent à patienter devant les enclos, ou alors, on peut faire un zoo avec du feuillage et des animaux en plastique, là, ils les verront (rires). De plus, il y a maintenant des enrichissements dans les zoos (jouets, objets cachant des friandises, etc.).
Par exemple, on met aux orangs-outans une boite percée, au fond de laquelle ils doivent aller chercher de la nourriture avec une brindille. Avant, on mettait un animal dans sa cage, on lui donnait à manger à heure fixe et c’était tout, l’animal s’ennuyait.
De plus, les parcs essaient de mélanger les espèces qui vivent ensemble dans la nature ; le zoo de Vincennes le fait : girafes, antilopes, autruches, et grues sont dans un même espace, comme en Afrique.
Cette cohabitation casse la routine. Plus qu’un regard vers un animal isolé, le zoo d’aujourd’hui est davantage une fenêtre ouverte vers la découverte de la biodiversité.
De même, quand nous préservons le gibbon à Bornéo avec notre association, on ne préserve pas que le gibbon, on préserve aussi la forêt et ses habitants : reptiles, insectes, oiseaux… Les zoos participent en outre à des plans d’élevage internationaux pour les espèces menacées.
Ils font des échanges entre eux : ainsi, un cheval de Przewalski va arriver du zoo de Pragues pour se reproduire avec une femelle qui est à la ménagerie du Jardin des Plantes, à Paris. Ceci permet d’éviter tout problème de consanguinité. Les zoos ont donc une utilité, puisqu’ils participent à la conservation des espèces, y compris in situ via des programmes d’action avec les pays d’origine pour éviter que les animaux disparaissent de la nature.
Vincennes, par exemple, a plusieurs programmes en cours pour les pumas, les lamantins, la loutre d’Europe, etc. Au zoo, on montre l’animal, car tout le monde ne peut pas voyager pour aller le voir dans son habitat naturel, et c’est tout de même mieux de voir l’animal sur pied qu’à la télévision.
Il y a aussi des pancartes et des guides qui sont là pour donner des renseignements sur les animaux, ce qui est très bénéfique car, d’après moi, la préservation passe par la connaissance. Les zoos sont là pour faire de la pédagogie, mais aussi pour s’occuper des animaux dans des conditions convenables.
En revanche, il est urgent d’apprendre aux gens à bien se comporter dans les zoos : quand j’y vois le comportement des humains, c’est quelque chose d’épouvantable, ça hurle de tous les côtés, ça tape sur les vitres, ça jette des cailloux… Dans un monde idéal, il n’y aurait plus de zoos.
Mais tant qu’il y aura des hommes sur la Terre cela ne sera pas possible, les braconniers sont prêts à tout, même à couper un arbre pour faire descendre un singe et son petit, tuer la mère, et revendre le petit comme un jouet. Les zoos sont une sorte de refuge contre ces maltraitances.
CONTRE :
Alexandre Philippot-Bonnavent, ancien porte-parole de 269 Life France zoo3Je suis membre d’un mouvement vegan, donc par définition opposé à toute forme d’exploitation des animaux. Cependant, j’ai souhaité me forger une opinion objective sur les zoos.
Bien entendu, les conditions de détention observées dans la grande majorité de ces parcs sont déplorables, les besoins primaires des animaux sont ignorés, dans un souci de rentabilité : piètres espaces vitaux, frayeurs dues à la proximité avec les visiteurs, absence de stimulation pour éviter l’ennui, animaux vivant naturellement en groupe se retrouvant isolés, ou à l’inverse espèces solitaires forcées à cohabiter avec d’autres spécimens, animaux utilisés pour le plaisir du public (contacts directs comme des caresses, animaux nourris de façon inadaptée par les visiteurs, et parfois même devant réaliser des numéros de cirque).
Ces ‘’mauvais zoos’’ sont souvent pointés du doigt par le public, qui aime les animaux, et constate de façon évidente les mauvais traitements subis.
Ce que je trouve beaucoup plus dangereux, ce sont les zoos ‘’nouvelle génération’’, cherchant à donner bonne conscience aux consommateurs. Bien souvent, les animaux exotiques (ou leurs parents) qui y sont présentés ont été prélevés dans la nature, parfois en tuant toute une famille pour récupérer les bébés…
Alors qu’il existe de nombreux documentaires, qui n’ont pas nécessité ces horreurs, qui montrent des images fantastiques d’animaux dans leur milieu, avec leur comportement naturel (qui n’est pas celui d’un animal enfermé, car la captivité les rend aliénés).
En outre, ces zoos soit disant éthiques prétendent contribuer à la sauvegarde des espèces menacées alors qu’il s’avère : que les animaux présents dans les zoos sont pour leur grande majorité des animaux qui ne sont pas menacés dans leur habitat naturel, mais simplement des espèces attendues par le public, logique purement commerciale ; qu’il est pratiquement impossible de réintroduire dans la nature des animaux élevés en captivité, quand la reproduction est possible ; que des animaux enfermés, nourris, soignés par l’homme et qui ne bénéficient pas de la sélection naturelle (permettant aux plus forts de survivre) sont des animaux qui perdent leurs qualités génétiques et voient leur espèce modifiée ; et, surtout, que les zoos donnent une fausse excuse pour éviter de se pencher sur la seule et unique solution pérenne pour sauver les espèces menacées, à savoir préserver leur espace naturel, et aider les populations locales afin qu’elles ne soient pas obligées de braconner ou de détruire ces espaces pour survivre.
J’aimerais également ajouter que montrer un animal enfermé à un enfant lui apprend que l’animal est un objet de divertissement. Aussi, je pense que les parents qui souhaitent faire plaisir à leurs enfants, devraient plutôt les emmener voir des animaux domestiques avec qui l’enfant pourra interagir.
Les dernières générations ne savent pas faire la différence entre une vache et un taureau, ni qu’un âne aime vivre avec d’autres espèces, ni qu’un chevreau aime qu’on le grattouille avant de faire des petits sauts pour manifester son bonheur d’être cajolé.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Etes-vous POUR ou CONTRE les parcs zoologiques, et pourquoi ? Dites-le nous dans les commentaires sous cet article.
Ne pas arriver à se dire les choses, c'est peut-être la forme la plus édulcorée de la sincérité, ne pas arriver à se parler c'est une façon de retenir les mots à soi, de les penser à un point tel qu'on n'arrive même plus à s'en détacher, de la sincérité à l'état brut.
un cerf a perdu sa mère : regardez sa réaction vs l'homme qui l'a trouvé ...il veut être adopté!
L'amour .. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus