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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Russie : la «mamie éventreuse» avoue plusieurs meurtres dans son journal intime
Soupçonnée d’avoir démembré l’une de ses connaissances, une retraitée de Saint-Pétersbourg
La tueuse en série Tatiana Samsonova est surnommé par les médias ma «Mamie éventreuse».
Très vite surnommée par les tabloïds, «Granny the Ripper» -en français «Mamie éventreuse» -
Tamara Samsonova, 68 ans, a été arrêtée cette semaine car suspecte dans le meurtre d'une personne âgée de 79 ans. Elle est soupçonnée de l'avoir empoisonnée, d'avoir découpé son corps et de l’avoir dispersé près d’un étang de de Saint-Petersboug.
Le torse décapité, un bras et une jambe ont été découverts par la police. Mais son journal intime révèle des détails bien plus effrayants sur son passé...
Selon le Moscow Times, c'est grâce à des caméras de surveillance, situées non loin du lieu de la découverte des membres de la victime, que Tamara Samsonova a été identifiée.
Trois jours avant la découverte du corps, elle a été filmée par des caméras de vidéosurveillance entrant dans ce qui semble être un hall d'immeuble dans un accoutrement digne de la fameuse série «Dexter». Capuche sur la tête, la sexagénaire est aperçue un sac plastique à la main.
La suspecte filmée transportant ce qui pourrait être les membres de sa victime Très vite, la police retrouve la mamie et l’interroge. Lors d’une fouille dans son appartement, les enquêteurs découvrent un petit carnet dans lequel elle confesse non pas un mais plus d'une dizaine de crimes.
Le tout agrémenté de détails macabres. Les récits sont écrits en russe, anglais et allemand, rapporte le Daily Mail. «Un journal intime a été trouvé. La femme y décrit des meurtres qui ont eu lieu il y a plus de dix ans.
La police étudie toutes les affaires non-résolues depuis 20 ans», raconte une source policière. Si la police n’a aucune preuve véritable que la «Babuchka Yaga» -d'après un personnage terrifiant des contes russes- soit l’auteur des meurtres décrits dans le journal intime, certains détails tendent à le confirmer.
Scie, couteau et sang dans l'appartement En effet, selon les médias russes, un meurtre aurait eu lieu en 2000 dans l’appartement de Samsonova. En 2003 également, elle se serait disputé avec son colocataire et l’aurait également tué. C’est chez elle qu’elle aurait découpé les corps.
La police a retrouvé dans l’appartement une scie, un couteau et découvert des traces de sang dans la salle de bain, précise le Daily Mail. Par ailleurs, en 2005, la mamie macabre avait déclaré la disparition de son mari.
Le corps de ce dernier n'a jamais été retrouvé. Enquête sur au moins 14 meurtres Depuis le début de sa détention, Tamara Samsonova aurait raconté plusieurs histoires dont certains détails s’opposeraient. Elle aurait par exemple expliqué à la police qu’elle était une actrice puis qu’elle était diplômée de l’Académie de Vaganova, héritière de la prestigieuse Ecole impériale du ballet russe.
Elle a ensuite changé sa version et raconté qu’elle avait travaillé toute sa vie comme employée dans l’un des hôtels les plus prestigieux de Saint-Petersbourg. Dans le cadre de l’enquête, Tamara Samsonova fait l’objet d’une expertise psychiatrique, rapporte les médias russes. L’investigation concerne désormais 14 meurtres.
Ce chien doux a été enchaîné à une voiture sur une laisse extrêmement serré pendant des jours; selon un témoin oculaire, il est nourri et reçoit de l'eau, mais la chaîne est toujours là.
Le chien a besoin d'être secouru immédiatement et le propriétaire doit être poursuivi, car aucun animal mérite un tel traitement.
Agissez maintenant, signer la pétition et montrer votre soutien pour ce chien impuissants!
Une vidéo qui montre comment le chien est forcé de vivre a été postée sur Facebook par un citoyen concerné, Ian Munro. L'homme appelé 311 (utilisé pour la situation de non-urgence à New York); il a été assuré que son appelé seraient réorientées vers les agents de police, mais cela n'a pas encore eu lieu.
Les allées et venues de chien sont 888 Longfellow Avenue Hunts Point, Bronx, New York.
Le manque d'intérêt provenant de l'application de la loi locale est tout simplement incroyable.
Aider à faire une différence!
S'il vous plaît signer et partager la pétition largement afin que nous puissions sauver ce chien.
Source: https://www.facebook.com/ian.munro.39/videos/10200684313826987
/YouSignAnimals.org
North Sentinel : l’île que personne ne peut approcher
Un îlot de 72km au large de l’Inde fait parler de lui dans le monde entier. Depuis des milliers d’années, les Sentinels, une tribu d’autochtones, habitent la petite île de North Sentinel et en interdisent l’accès à tout visiteur.
Recemment, des internautes se sont amusés à remplir la page Google + de l’Ile pour témoigner de leurs « fausses merveilleuses vacances ». La destination est notée 4.4 sur 5 alors qu’aucun touriste ne peut y mettre un pied.
Le daily mail (journal anglais) a alors rapporté l’histoire de ce peuple méconnu avant que le site de France Tv info ne la retransmette. Mais, pourquoi cette île est-elle si mystérieuse ? Faux avis d’internautes à propos de l’île.
Le peuple repousse les visiteurs à coups de lance La population globale de la tribu ne dépasserait pas les 400 personnes. Ces derniers se nourrissent essentiellement de poisson et de tortues et ne sont pas cannibales.
Ils vivent en harmonie avec leur île et ne disposent pas de structure sociale particulière. Les quelques observateurs qui ont réalisé des expéditions sur l’île North Sentinel qualifient le mode de vie de la tribu d’« ancestral ».
Selon eux ils n’auraient pas évolué en 15 000 ans. Ces informations proviennent en particulier de l’aventurier Trilokinath Pandit, relayé par The Independant. L’universitaire indien a tenté d’entrer en contact avec la tribu dans les années 60, avant de réussir à jeter l’ancre sur l’île en 1991.
Les Sentinels sont réputés pour leurs comportements particulièrement hostiles. La première fois que l’aventurier indien a tenté de débarquer sur l’île, plusieurs indigènes ont tenté de les tuer, lui et son équipe, à coup de lances et de flèches.
Mais Trilokinath Pandit n’a pas abandonné et a réitéré ses approches pendant trente ans. Dans un documentaire de Documentary Chanel, on peut voir que les cadeaux régulièrement offerts par l’équipe sont moyennement appréciés, si les noix de coco et les objets en cuivre sont conservés, le cochon est tué sur la plage et enterré sans être mangé. (1h20)
Un autochtone fait signer au Garde-côte de s’en aller.
Même si les relations sont cordiales avec Trilokinath Pandit, la tribu continue de repousser les autres observateurs essayant de s’introduire sur leur territoire. En 2006, deux pêcheurs qui se trouvaient sur l’île ont été tués par les Sentinels. La tribu est menacée d’extinction Survival International, une association qui milite pour les droits des peuples indigènes décrit les Sentinels comme la société « la plus vulnérable de la planète ».
En raison de leur isolement complet, ils ont plus de risques de tomber malade et d’être décimés par des épidémies comme la grippe ou la rougeole. Dans un communiqué, le directeur de Survival International, Stephen Corry, a dénoncé la colonisation de l’île Andaman par les Britanniques dans les années 1800.
Toute la tribu a été décimée par une maladie après leur passage. Pour empêcher l’extinction d’une autre tribu, l’association veut protéger les Sentinels des étrangers qui pourraient s’introduire sur leur terre.
Vous êtes un amoureux du milieu aquatique, vous allez adorer voir ces belle images réalisées par le photographe Christopher Swann qui vont vous couper le souffle.
Le photographe qui a une expérience vieille de 25 ans en observation de ces bêtes du milieu marin que sont les dauphins et les baleines, il s'y connaît naturellement mieux que n'importe qui en ce qu'il s'agit des comportements de ces magnifiques bêtes.
Là, il a décidé de partager avec nous ses plus belles captures de ces magnifiques créatures dans toutes les positions imaginables. Fascinant !
Un garçon d'un an devrait savoir aujourd'hui s'il subira des greffes de peau aux pieds, après avoir été brûlé grièvement lundi, en s'amusant dans des jeux d'eau à Georgetown, en banlieue de Toronto.
L'enfant a marché sur des panneaux de métal au sol, à quelques mètres de l'aire de jeu. Ces plaques recouvrent les valves du système d'eau des jets, comme c'est souvent le cas pour nombre de municipalités.
Or, le métal, exposé au soleil, était brûlant, raconte sa mère, Jill Pelvin. L'enfant a aussi été brûlé à la main droite. Il a été transporté d'urgence à l'Hôpital pour enfants de Toronto, où les docteurs lui ont prescrit de la morphine pour apaiser sa douleur.
Il devait rencontrer à nouveau des spécialistes, aujourd'hui, pour la suite de son traitement. Les autorités municipales ont installé une clôture autour des portes de métal, à la suite des événements. L'avertissement « Danger » est apposé sur les plaques, ce qui n'est souvent pas le cas dans des aires de jeux d'eau semblables à Toronto, par exemple.
Néanmoins, Mme Pelvin envisage de poursuivre sa municipalité pour négligence.
Une porte-parole municipale indique qu'une enquête est en cours.
Vous êtes un amoureux du milieu aquatique, vous allez adorer voir ces belles images réalisées par le photographe Christopher Swann qui vont vous couper le souffle. Le photographe qui a une expérience vieille de 25 ans en observation de ces bêtes du milieu marin que sont les dauphins et les baleines, il s'y connaît naturellement mieux que n'importe qui en ce qu'il s'agit des comportements de ces magnifiques bêtes. Là, il a décidé de partager avec nous ses plus belles captures de ces magnifiques créatures dans toutes les positions imaginables. Fascinant !
Des photographies saisissantes qui montrent l'envers du décor des mines d'or au Burkina Faso
Il y a 5 jours par Corentin C'est tout un paradoxe : le Burkina Faso est l'un des pays les plus pauvres du monde et pourtant, il se classait au quatrième rang des pays d'Afrique producteur d'or en 2012. Le photographe Matjaz Krivic est allé voir l'envers du décor de cette production faramineuse, à la rencontre des mineurs et de ceux qui travaillent dans l'ombre pour déterrer le précieux métal.
Une grande partie de l'or provient de relativement petites mines, dans lesquelles les enfants travaillent aux côtés de leurs parents de l'aurore jusqu'au crépuscule, parfois plus. Ils ne sont payés qu'en fonction de la quantité d'or qu'ils sont capables de trouver, et parfois cela peut prendre plusieurs semaines, plusieurs mois ; sans recevoir de rémunération.
Les conditions de travail sont extrêmement dangereuses, comme dans de nombreuses mines à travers le monde : les mines s'effondrent fréquemment, l'environnement de travail est totalement pollué par des produits chimiques dangereux tels que le mercure, utilisé pour extraire l'or. La demeure d'un chercheur d'or. Des mineurs viennent des quatre coins du Burkina Faso pour travailler sur des sites comme celui de Djuga, où ils vivent dans des boîtes de paille, sans aucune infrastructure.
Objets inutilisés ?
Matjaz nous raconte l'histoire de Yakuba, un jeune garçon de seize ans, qui a passé quatorze heures épuisantes dans un tunnel profond de 50 mètres. Il raconte également que l'année précédente, son oncle et deux de ses amis sont morts après qu'une des mines avoisinantes s'est effondrée sur eux.
Ce jour-là, Yakuba et ses collègues de fortune n'ont pas réussi à trouver d'or. Parfois, cela peut prendre jusqu'à deux semaines rien que pour récolter la quantité d'or nécessaire pour un seul smartphone.
Des milliers de Burkinabés, le plus souvent des jeunes, travaillent dans des mines partout dans le pays. Peu nombreux sont ceux qui ont pu aller à l'école au moins une fois. Un fonctionnaire gouvernemental vient pour localiser un nouveau filon d'or près de la surface. Son détecteur peur repérer de l'or jusqu'à un mètre de profondeur. Il est payé par les mineurs mais n'est pas vraiment bon marché.
Habituellement, ce sont les femmes qui creusent à la surface tandis que les hommes s'engouffrent sous terre dans les mines. Les femmes, les enfants comme les hommes doivent creuser le sol avec leurs propres mains. Bien qu'il y ait des seaux et des cordes pour transporter le minerai des mines jusqu'à la surface, il n'y a pas toujours de cordes pour permettre aux jeunes de remonter eux aussi. Il n'est pas facile de trouver prise à même la roche et le moindre faux-pas peut être fatal.
L'Organisation internationale du travail considère l'exploitation minière comme étant l'une des pires formes de travail d'enfants dans le monde, notamment pour les risques immédiats sur leur vie mais aussi pour les problèmes de santé à long-terme qu'ils peuvent contracter avec l'exposition à la poussière, aux produits toxiques ou aux métaux lourds.
Des milliers de jeunes vivent et travaillent sur ces sites. Ils sont les enfants des mines. La plupart n'a jamais été à l'école et pour beaucoup d'entre eux, les mines sont leur seules maisons. L'Organisation internationale du travail considère l'exploitation minière comme étant l'une des pires formes de travail d'enfants dans le monde.
Matjaz raconte également l'histoire de Nuru, un jeune garçon de treize ans qui ne peut pas se souvenir depuis combien de temps il travaille à la mine. Il n'a jamais été à l'école et ne sait pas comment lire ou écrire. Il pense tout de même que faire le mineur est un meilleur sort que de travailler dans les champs de là il est originaire parce que là "tu cultives la terre mais tu ne gagnes rien du tout".
Les mines, certaines profondes de 50 mètres, sont creusées à la main. Il y a toujours des cordes pour remonter les seaux de minerais jusqu'à la surface mais il n'y a pas toujours de cordes pour les jeunes, qui doivent tâtonner pour monter et descendre dans les trous, chercher des prises dans le noir.
Le moindre faux-pas peut être fatal. Suleyman, 51 ans, et son équipe ont passé les deux dernières semaines à creuser une nouvelle mine. A six heures du matin, ils étaient en train de faire un tunnel lorsqu'ils ont frappé un filon d'or.
Tous ces trous deviennent impraticables lors de la saison des pluies car le sol est dangereusement fragile. Yakuba, 16 ans, travaille dans la mine avec son père. Son "bureau" est un tunnel étroit et dangereux, profond de cinquante mètres. L'air y est lourd, chaud et humide, rempli de poussière omniprésente qui rend ses bras noirs et son visage blanc.
Il porte une lampe-torche sur sa tête tandis qu'il pilonne du minerai depuis les murs d'un endroit dans lequel il peut à peine s'asseoir. On peut à peine respirer là-dedans mais, en guise de pause, Yakuba s'allume une cigarette. "Ici, le sol est solide mais parfois, la terre est très fragile.
Des fissures apparaissent dans le trou et ça fait peur", explique Arzuma, 24 ans, alors qu'il soulève un lourd sac rempli de rocailles hors de ce trou profond de 20 mètres. Nobila, 16 ans, vient d'un village Jalgo à seulement 26 kilomètres des mines de Djuga. Il y travaille seul depuis trois ans. Dès qu'il reçoit un peu d'argent, il le ramène toujours chez lui, pour sa famille.
Il est 19h. Assis au bord d'un conduit de la mine, Nobila prépare la fragile lampe en plastique attachée à son front avec un élastique, alors qu'il se prépare à descendre dans les ténèbres pour une nouvelle garde de nuit.
Nuru, 13 ans, ne se souvient pas depuis combien de temps il travaille là. Il n'a jamais été à l'école et ne sait pas comment lire ou écrire. Il est contrarié car son frère, avec qui il travaille, est en colère contre lui pour ne pas avoir traité suffisamment de matériau via une machine qu'ils sont obligés de louer quotidiennement.
Cependant, travailler dans une mine est un meilleur job que de travailler dans les champs dans son village. A midi, les mineurs se rassemblent pour le déjeuner. Habituellement c'est un bol de riz cuit avec un peu d'huile et quelques morceaux de poisson, mangés à la main à partir d'un pot commun.
Après une courte pause, le forage continue jusqu'à ce que la nuit tombe. Dans un champ d'or aussi bien reconnu, les trous sont creusés toujours plus près les uns et des autres. Parfois, les forages excessifs créent des faiblesses dans la terre, causant ainsi l'effondrement des murs.
L'année dernière, quatre mineurs sont morts lors qu'une ligne de puits trop près les uns des autres s'est effondrée, enterrant les mineurs. Des jeunes filles épuisées attendent sous la chaleur brûlante à l'entrée de la mine.
Ce sera leur cinquième charge de pierres ce jour-là. Chacune des filles porte une charge pesant approximativement 25 kilos sur une distance d'environ deux kilomètres comportant une descente de 300 mètres vers le village temporaire de Djuga.
Lorsqu'il n'y a pas assez d'argent pour louer un pulvériseur afin d'écraser la roche, les hommes le font à la main, frappant les pierres avec des bâtons durs pour les rendre plus petites. Les femmes creusent à la surface où elles séparent de façon répétée les particules les plus lourdes de la poussière qu'elles tamiseront ensuite pour trouver de l'or.
On a demandé à Nuru, 13 ans, de travailler avec le pulvérisateur. "Tout ce que mon frère et moi gagnons, nous le ramenons à nos parents." Isa, 26 ans, et son équipe tamisent le sol pour trouver de l'or sur un site près de Gangaol.
Abdul, 14 ans, fait partie des centaines d'enfants travaillant aux mines de Djuga. Lors de la saison des pluies, il y a de l'eau pour se laver le corps et se débarrasser de la poussière après une longue journée. Lors de la saison sèche, l'eau disparaît.
Les enfants , qui sont au travail depuis le lever du soleil, dorment littéralement dans la saleté à côté du trou dans lequel ils travaillent. Nuru, 13 ans, et Kongo, 15 ans, ne sont couverts que d'une couverture et dorment l'un collé à l'autre pour se tenir chaud pendant la nuit.
Suleyman, 51 ans, dans sa mine près de Gangaol, montre un morceau d'or qu'il essayera de vendre à un marchand local venant de Bani. "C'est le temps des vacances" dit-il, "je vais m'acheter une nouvelle chemise pour bien paraître au Ramadan". De petites paillettes d'or sur une vieille balance, prêtes à être vendues légalement à un marchand approuvé par le gouvernement au prix officiel.
Ils feront certainement la sourde oreille à tous ces enfants des mines qui souffrent et meurent rêvant de leur propre "El Dorado", tout ça pour que nos smarphones fonctionnent.
Vous êtes un amoureux du milieu aquatique, vous allez adorer voir ces belles images réalisées par le photographe Christopher Swann qui vont vous couper le souffle.
Le photographe qui a une expérience vieille de 25 ans en observation de ces bêtes du milieu marin que sont les dauphins et les baleines, il s'y connaît naturellement mieux que n'importe qui en ce qu'il s'agit des comportements de ces magnifiques bêtes.
Là, il a décidé de partager avec nous ses plus belles captures de ces magnifiques créatures dans toutes les positions imaginables. Fascinant !
On sait tous que le Coca-Cola n'est pas bon pour la santé et surtout en grande quantité.
Certaines personnes boivent 2-3 canettes de Coca-Cola par jour et cela est vraiment trop, en fait une seule canette de Coca-Cola par jour est de trop.
Voici une petit graphique qui vous illustre très bien ce qui se produit dans votre corps quelques temps après avoir bu une seule canette de Coca-Cola:
Vous êtes un amoureux du milieu aquatique, vous allez adorer voir ces belles images réalisées par le photographe Christopher Swann qui vont vous couper le souffle.
Le photographe qui a une expérience vieille de 25 ans en observation de ces bêtes du milieu marin que sont les dauphins et les baleines, il s'y connaît naturellement mieux que n'importe qui en ce qu'il s'agit des comportements de ces magnifiques bêtes.
Là, il a décidé de partager avec nous ses plus belles captures de ces magnifiques créatures dans toutes les positions imaginables. Fascinant !