Fandeloup

La vrai couleur, c'est la couleur de l'Amour

Heureux qui, dès l'enfance, n'a jamais séparé l'amour de l'innocence.

Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants ; c’est l’indifférence des bons

La force de ceux qui aiment apaise même les tourments, la tendresse des femmes recèle tant de puissance.

Si nous nous trouvons tellement à l'aise dans la pleine nature..C'est qu'elle n'a pas d'opinion sur nous.

J'ai toujours aimé la nuit, il y a des tas de choses dedans qui parlent, qui chantent ou qui racontent.

Je marchais droit devant moi en me disant : "Peu importe où je vais, du moment que personne ne sait où c'est".

Maintenant il est vieux, il a du mal a marcher, il fait sa promenade sur le trottoir un dimanche après-midi, c'est bien il n'y a pas trop de monde, c'est calme, il peut penser. Il essaie, c'est dur. Dur de se souvenir de tout, dur de ne pas craquer. Il l'avait pas prévu ce petit panda en plein milieux du trottoir, ce panda, il a du mal a se le remémorer pourtant il le connaît. Un petit panda en peluche bien abîme par le temps, qui fait resurgir tant de nostalgie.

L'enfance, une partie de notre vie, sûrement la meilleure, la plus dure, la plus enrichissante, la plus frustrante, enivrante, innocente … Une période très vite oubliée, effacée et pourtant si regrettée. C'est dur de laisser ses jouets derrière sois, dire au revoir a l'ignorance, au fond c'était bien de ne rien savoir, ne rien connaître de ce monde.

Croire aux princesses, aux princes charmants, aux contes de fées … Nos atrocités dans ce monde c'était les sorcières et les monstres mais de toute façon ils ne gagnaient jamais. Maintenant on arrive plus a mettre de visage sur notre ennemi mais on a découvert que c'est plus les gentils qui réussissent dans cette société de coups bas. Mais alors après l'enfance on apprend des choses, on sait des choses mais on les comprend pas.

Ça sert a quoi alors de grandir ?!

A part retrouver une vieille peluche dans un placard, une peluche très vite délaissée, une peluche qui nous ramène le temps d'un instant dans la chambre d'enfants qu'on partageait avec nos frères et sœurs, remplit de jouets, ta maman criant qu'elle a fait des crêpes. Grandir c'est vivre en sachant mais sans le savoir.

C'est laissé cette peluche que t'aimais tant sur le bord d'un trottoir parce que maintenant c'est fini. Maintenant tu es trop grand. Il n'y a pas d'âge pour retourner en enfance ne serait-ce qu'un instant mais jamais éternellement, certains passages de notre vie restent flous et on aimerait se souvenir, se rappeler de tout, tout. Mais il a trop vécu, vu trop de choses.

L'enfance c'était qu'un petit détail pour lui mais maintenant il aimerait tant la retrouver. Il se rappelle, ce panda, son enfance. Une larme coule, une larme mêlée de joie et de tristesse. Une larme d'enfant.

A TOUS

J'ai créé ce blog pour ne serait-ce qu'un instant ressentir un mérite, m'imaginer que mes textes sont utiles.

Je n'ai presque plus la force d'écrire, est-ce parce que j'ai l'impression qu'elle ne sert finalement à rien ?

Est-ce car je me préoccupe trop de ces lecteurs fantômes, ces âmes qui s'arrêtent quelque part mais n'y restent pas ?

Alors à toutes ces personnes qui jugent les autres car ils ne pensent qu'aux nombres de fans sur leur page, n'est-ce pas le but ?

Oui je le dis j'adore quand le compteur de j'aime ne cesse d'augmenter. Quand les fans ne cessent d'accroître.

Si ils n'étaient pas là alors autant tout arrêter maintenant avant d'être déçu. Avant de tomber comme je le fais en ce moment.

J'ai envie de dire tellement de choses mais a peine quelques phrases sortent, j'aimerais crier mais rien ne vient, j'aimerais partir mais je ne peux m'y résoudre.

Trop d'images fusent dans ma têtes mais je me sens vide. Les gens m'étouffent mais je me sens seule. Tant de mots se bousculent dans ma tête mais aucun ne reste, aucun ne se place dans ce ramassis de conneries. Je suis perdue.

Continuer et tomber ? Arrêter et se noyer ?

J'ai peur, peur qu'on se foute de moi, de n'avoir aucun talent et aujourd'hui beaucoup de choses ne cessent de le confirmer. J'ai peur de vous laisser ou plutôt de me laisser, arrêter d'écrire, d'exposer ce que je ressens à travers une autre personne. Que cette autre partie de moi s'en aille. J'ai toujours l'impression que mes écrits ne sont jamais finis, aboutis. Toutes les feuilles seraient trop courtes pour y écrire ce que j'ai à dire. Alors je me contenterais de ça mais ce n'est qu'une infime partie de mes ressentiments.