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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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bruce

Publié à 09:40 par fandeloup Tags : enfants chien chiens chats vie
bruce

BRUCE -

Bruce est un élégant croisé Cane Corso âgé d’un an. C’est un jeune chien plein de vie, aimant le contact avec l’humain, sympathique. Son passé nous est inconnu; il a été trouvé sur la voie publique et n’a jamais été réclamé.

Bruce a une base d’obéissance (« assis », rappel) et il ne demande qu’à progresser et comme il est très gourmand, c’est la combinaison parfaite pour faire des progrès !

Il est un peu excité à la sortie de son box car il a hâte de se dégourdir les pattes (comme les autres chiens, il ne sort qu’une heure par semaine !) mais une fois au parc et bien dépensé, il se révèle plus calme. Il aura besoin d'adoptants dynamiques et disponibles.

Une vie en pavillon est à privilégier, mais n'exclut pas de longues promenades en extérieur ! On préférera un foyer sans enfants en bas âge. Bruce est sociable avec ses congénères (mais il conviendra de venir faire les présentations avec votre chien au refuge afin de tester leur affinité).

De même, Bruce ne montre à première vue aucune agressivité envers les chats de notre refuge (à confirmer par un test plus approfondi en chatterie).

Notre beau Bruce vous attend au refuge (Chenil Milou), venez le découvrir ! Il enchantera votre quotidien, c'est certain !

RACE: croisé Cane corso

SEXE: Male

DATE NAISSANCE: 10/2013

REFUGE SPA GRAMMONT - GENNEVILLIERS 30, avenue du Général de Gaulle 92230 Gennevilliers

Téléphone : 01 47 98 57 40

Email : spa-gennevilliers@orange.fr Horaires :

http://gennevilliers.spa.asso.fr/horaires Conditions d'adoption :

http://gennevilliers.spa.asso.fr/conditions-adoption

L'hystérie, la démence... pour accabler les femme

Publié à 08:54 par fandeloup Tags : animal femmes histoire mort femme article chez homme
L'hystérie, la démence... pour accabler les femme

L'hystérie, la démence... pour accabler les femmes, toutes sortes de maladies ridicules ont été inventées dans le passé T

Hystériques, folles à lier, désaxées, névrosées... : parce qu'elles sont considérées comme instables et émotives, les femmes ont longtemps été soupçonnées par le corps médical d'être sujettes aux maladies mentales.

La preuve avec ces 6 pathologies "typiquement féminines" et totalement invraisemblables inventées pour maintenir les femmes à leur place, comme le révèle le site américain Mic.

La "bicycle face" C'est sans doute l'un des maux touchant les femmes les plus idiots jamais imaginées, affirme Mic.com.

En 1895, le journal The Springfield Republican publie un article dans lequel il met en garde les femmes contre les ravages causés par la bicyclette. En se déplaçant régulièrement en vélo, elles prenaient le risque d'être victimes du syndrome de la "bicycle face" (littéralement, le visage du vélo), c'est-à-dire de voir leur visage rester irrémédiablement figés dans une grimace d'effroi.

L'épuisement, l'insomnie, les palpitations cardiaques, les maux de tête et la dépression étaient aussi considérés comme des effets secondaires d'une pratique régulière de la bicyclette chez les femmes. Surtout, la bicyclette a été le premier moyen de transport que les femmes pouvaient prendre seules et sur de longues distances sans avoir besoin d'un homme à leurs côtés.

En cela, le vélo est lié à l'émergence du féminisme. Le magazine Vox souligne d'ailleurs qu'en Angleterre, les Suffragettes étaient de grandes amatrices de bicyclette, et que son adoption par de nombreuses femmes a grandement contribué à révolutionner la tenue des femmes, qui, pour mieux pédaler, ont fini par abandonner le corset.

L'utérus vagabond Grand classique des pseudo-pathologies féminines, le syndrome de "l'utérus vagabond" trouve ses racines dans la Grèce Antique : Hippocrate, considéré comme le père de la médecine, le décrivait comme "un animal dans un animal" (sympa...) qui ferait vibrer le corps de la femme et affecterait ses humeurs et sa santé.

L'une des "prescriptions" pour lutter contre le syndrome de l'utérus vagabond a d'ailleurs longtemps été de tomber régulièrement enceinte pour empêcher l'utérus de se balader. Un médecin byzantin aurait également conseillé aux femmes qui souffraient de ce mal de crier ou d'éternuer pour maintenir leur utérus en place.

L'hystérie Tout droit dérivé du syndrome de l'utérus vagabond, l'hystérie (utérus en grec) est restée fortement associée à la féminité, en dépit des efforts au XIXe siècle de Charcot, Janet, Freud, Breuer, etc. qui ont chacun démontré l'existence d'hystéries chez les hommes.

D'après les médecins de l'époque, l'hystérie se traduit par "la maladie de l'utérus", aux symptômes aussi variés que "l'anxiété, l'insomnie, l'irritabilité, la nervosité, le fantasme érotique, des sensations de lourdeurs dans l'abdomen, l'oedème pelvien et la lubrification vaginale".

Le remède prôné par les médecins et les sages-femmes ?

Un "massage des organes génitaux jusqu'à l'orgasme" des femmes souffrant d'hystérie grâce aux premiers vibromasseurs de l'histoire. Pour une fois qu'une fausse maladie (et sexiste de surcroît) sert à quelque chose...

La surcharge émotionnelle Parce qu'elles sont incapables de maîtriser leurs émotions et en perdent forcément à un moment ou à un autre la raison, les femmes sont aussi les premières et principales victimes des lobotomies, ces opérations chirurgicales archaïques ayant pour but d'interrompre certains circuits neuronaux pour traiter les maladies mentales.

La première lobotomie de l'histoire a d'ailleurs été réalisée sur une femme au foyer du Kansas en 1936. Walter Freeman, le psychiatre qui a prescrit l'opération, aurait diagnostiqué une "surcharge émotionnelle ayant conduit à la maladie mentale".

Il en aurait conclu que le seul remède qui vaille soit de couper certains nerfs dans le lobe frontal (siège de la personnalité et des fonctions cognitives supérieures) pour stabiliser la maladie mentale de la patiente. Avant d'être privé d'exercer en 1967 suite à la mort d'un de ses patients sur la table d'opération, Walter Freeman a eu le temps de réaliser au moins 3 500 lobotomies dans 23 États américains.

Selon les experts, les États-Unis ont pratiqué plus de 50 000 lobotomies au début des années 50. Une pratique répandue dans de nombreux pays, parmi lesquels la Suède. Le Journal of the History of the Neurosciences: Basic and Clinical Perspectives estime que 63% des lobotomies réalisées dans le pays ont été pratiquées sur des femmes.

bonne nuit

Publié à 20:04 par fandeloup Tags : bonne nuit bonne nuit

Un métier n’est pas là pour vous emprisonner

Publié à 19:51 par fandeloup Tags : moi article photos travail heureux musique nuit soi jardin google pouvoir vie
Un métier n’est pas là pour vous emprisonner

« Un métier n’est pas là pour vous emprisonner mais pour vous rendre libre »

Daniel Testard est un boulanger atypique. Il ne travaille que deux jours par semaine pour pouvoir s’occuper de son jardin, pratiquer le chant et la musique, écrire et s’exercer à la méditation.

Il ne vend pas lui-même son pain : il fait confiance à ses clients qui paient directement leurs achats, dans une corbeille. Il récupère l’eau de pluie, qu’il filtre et incorpore aux farines de blé anciens, biologiques, qu’il se procure illégalement.

« J’ai toujours résisté à l’idée que soit on augmente son chiffre d’affaires, soit on disparaît. »

Une pratique construite depuis 30 ans, à Quily, dans le Morbihan, qui vise à bâtir une vie harmonieuse où le travail n’aliène pas mais rend libre. Un petit livret à la couverture orange, une impression ancienne, un objet que l’on a envie de garder précieusement. Il l’a écrit il y a quelques années, après avoir réinventé son métier. Parce que la formule vaut le coup d’être dupliquée, il voulait la partager...

Avec son idée, il est possible de retrouver des commerces dans les villages, de la vie dans les campagnes. Des artisans qui sont heureux et qui ne manquent de rien. À la base, il y a beaucoup d’envies : être proche de sa famille, produire sa nourriture, avoir du temps pour soi, écrire, avoir deux mois de congé l’été pour partir. La solution, il l’a inventée à partir de ces idées-là.

Et au final, cela correspondait bien à son métier passion, à son métier d’origine, la boulange. Deux jours de pain dans la semaine, parce qu’il aime faire naître la vie dans la pâte, il aime son monastère panaire, ermite dans la nuit à converser avec les étoiles. Il participe ainsi à la vie du pays dans lequel il vit, 700 pains pour nourrir 150 familles, peut-être 300 à 500 consommateurs.

Et comme il ne pouvait pas vendre son pain en même temps qu’il le faisait, Daniel a choisi de ne pas le vendre lui-même. Il a ouvert son fournil à ses clients, qui viennent chercher leur pain quand ils le souhaitent et qui payent directement dans la caisse.

« L’avantage du système, c’est que personne n’est prisonnier de l’autre. Les gens peuvent venir quand ils veulent, même la nuit, même le lendemain, et moi, je peux être là ou pas là. »

Comme il faut autant de temps pour vendre son pain qu’il n’en faut pour le fabriquer, il gagne ainsi deux jours par semaine de liberté. Et cela dure depuis 30 ans... Pour voir la suite du reportage (photos, sons, vidéos). Reportage réalisé par le site SideWays, web-série documentaire présentant des initiatives solidaires, positives et originales, qui sont « des idées pionnières ou bien des remèdes au système actuel, dans lequel de moins en moins de personnes se retrouvent », expliquent les initiateurs du projet, Hélène Legay et Benoit Cassegrain de l’association Contre-courant.

Chaque épisode se décline sous un même format : une vidéo de 5 min, un article multimédia et un espace de discussion avec les protagonistes et les auteurs.

un « massacre inefficace »

un « massacre inefficace »

Tuer les requins pour éviter les attaques, un « massacre inefficace »

Plusieurs pays, dont la France , ont décidé de tuer des requins près de leurs côtes pour éviter les attaques.

Ils font fausse route selon Sébastien Mabile, avocat spécialiste du droit de la protection de la nature.

Sébastien Mabile est avocat au barreau de Paris et spécialiste du droit de la protection de la nature. « Terra eco » : Après une attaque, la France a tué des requins à la Réunion en juillet dernier.

En Australie-Occidentale, un plan d’élimination des requins a été lancé ce dimanche.

Pourquoi les Etats ont-ils de plus en plus recours à ces pratiques ?

Sébastien Mabile : A ma connaissance, cette pratique est assez nouvelle. Les gouvernements lancent ces campagnes pour répondre à la recrudescence des attaques que l’on constate depuis quelques années (le muséum d’histoire naturelle de Floride compte 53 attaques dans le monde en 2008, 67 en 2009, 82 en 2010, 78 en 2011 et 80 en 2012, ndlr).

Mais c’est une réaction uniquement politique et médiatique qui montre pour moi l’incapacité des gouvernements à gérer ce problème réel. Cette hausse du nombre d’attaques est en effet due à l’importante augmentation du tourisme balnéaire et en particulier de la pratique du surf.

Dans le même temps, les populations de requins blancs, bouledogue et tigre (les trois espèces susceptibles d’attaquer les hommes, ndlr) sont elles en constant déclin. Tuer les requins proches des côtes comme le font la France et l’Australie n’est donc pas utile selon vous ? C’est même totalement inefficace.

D’abord parce qu’on va s’attaquer près des côtes à des espèces qui sont pélagiques (qui vivent en pleine mer, ndlr). Ensuite parce que le nombre d’animaux prélevés est négligeable. A la Réunion, on a prélevé quelques spécimens.

La campagne en cours en Australie devrait aboutir au même résultat, on tuera au maximum quelques dizaines de requins. C’est tout à fait ridicule par rapport au nombre de requins concernés, ce n’est pas comme ça que l’on réglera le problème.

A l’échelle de l’espèce, cette prise n’aura pas d’impact, surtout si on compare ces campagnes à la pêche pour les ailerons (elle tue plus de 100 millions de requins chaque année selon la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, ndlr). Mais elle donne un très mauvais signal. On dit que les requins se rapprochent des côtes à cause de la raréfaction des stocks de poisson en pleine mer.

Si c’est le cas, il faudrait donc effectivement prendre des mesures pour les zones côtières... Certains chercheurs estiment en effet que la surpêche pourrait contraindre une partie des requins à chercher de la nourriture plus près des côtes.

Mais le requin est une espèce encore très peu connue et il est difficile de le confirmer. Par ailleurs, on constate que les victimes d’attaque sont en grande majorité des surfeurs, les attaques de baigneurs sont très exceptionnelles.

C’est donc bien l’augmentation de la pratique du surf qui explique la recrudescence des attaques, plus que cet éventuel déplacement des requins. Et il faut bien noter que ces attaques sont certes dramatiques mais qu’elles restent très limitées par rapport à d’autres attaques de prédateurs ou ne serait-ce que par rapport aux nombre de décès liés aux piqûres d’abeilles par exemple.

Pourquoi cible-t-on en particulier le requin ? Y a-t-il un fantasme autour de ces animaux?

Oui c’est évident. Le requin a l’image d’un animal méchant et mangeur d’homme. Cette image perdure, et il est clair que le film Les Dents de la mer a fait le plus grand mal à cet animal. Cette mauvaise image, qui est fausse, est l’un des facteurs qui explique que le requin fasse l’objet d’une protection insuffisante alors que près d’un quart des espèces de requins sont menacées de disparition.

Réhabiliter l’image du requin est un travail de longue haleine et les campagnes d’élimination sont en cela un très mauvais signal.

Que peut-on faire ? Est-ce à l’être humain à réapprendre à cohabiter avec les requins ?

Ces attaques de requins posent des questions éthiques. Quand il est dans la nature, c’est à l’homme de s’adapter aux risques. Quand un alpiniste décède dans une avalanche, c’est malheureux mais on ne pense pas à déclencher des avalanches dans toutes les montagnes pour éviter les drames.

Avec les requins, ce devrait être pareil. On sait que les attaques de requins sont ciblées sur certaines plages et on sait que les requins chassent principalement la nuit, à l’aube ou au crépuscule. Aux surfeurs de s’y adapter. Si certains veulent assumer ces risques, libre à eux de le faire, je ne suis pas du tout pour les priver de cette liberté. Mais cela ne doit pas justifier des massacres inutiles.

A mon avis, le gouvernement australien ferait mieux de s’attaquer à la question du changement climatique et aux importants feux de forêt qui ont fait bien plus de morts dans le pays ces dernières années que les attaques de requin.

la steppe de Mongolie

Publié à 17:44 par fandeloup Tags : animaux mode travail chez homme monde vie pouvoir
la steppe de Mongolie

Perdu dans la steppe de Mongolie, cette tribu a développé un mode de vie juste extraordinaire

Depuis le début de son existence, l'Homme a avancé à pas de géant. Il est sortit des caves et des terres sauvages, a construit des villes et des maisons que les générations précédentes n'imaginaient même pas...

Et pourtant, certaines tribus résistent à la mondialisation oppressante et ne changeraient leur mode de vie pour rien au monde.

Partez en immersion dans l'une d'entre elles, chez les Dukhas de Mongolie !

Cette tribu nomade vit dans la steppe depuis plusieurs siècles déjà, si bien que ses membres (dont il reste seulement 44 familles, soit environ 400 personnes) connaissent leur environnement sur le bout des doigts.

A tel point qu'ils ont développé une relation très particulière avec les animaux (loups, aigles, ours, élans, etc...) qui les entourent. Leurs capacités sont folles, aucun autre humain ne pourrait en faire autant ! Grâce au travail du photographe Hamid Sardar-Afkhami, qui a récemment rendu visite à la tribu au cours d'un de ses reportages, on a la chance de pouvoir découvrir cette population tout simplement extraordinaire !

C'est juste fou non ? Un peuple impressionnant et qui mérite le plus grand respect !

Le député UMP Dominique Tian épinglé

Publié à 16:59 par fandeloup Tags : photo vie moi france article travail patrimoine
Le député UMP Dominique Tian épinglé

Le député UMP Dominique Tian épinglé pour un compte en Suisse non déclaré

FRAUDE FISCALE ?

– Dominique Tian a dissimulé un compte en Suisse comptenant 1,5 million d'euros, explique Mediapart. L'élu rétorque avoir rapatrié ses avoirs en 2014, mais il pourrait bien être rattrapé par la justice. La Haute autorité pour la transparence de la vie publique a en effet saisi le parquet de Paris vendredi.

Dominique Tian avait un compte en Suisse, non déclaré, crédité d'environ 1,5 million d'euros.

L’élu UMP, souvent au front pour dénoncer les fraudeurs au RSA, les fonctionnaires abusant des arrêts maladie ou la gabegie de l’aide médicale d’Etat dissimulait un compte en Suisse.

Et plutôt bien fourni à en croire les chiffres qu’il a lui-même communiqués à Mediapart, qui a publié un article samedi, au lendemain de la saisie du parquet par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique dans ce dossier.

Vendredi, l’institution créée au lendemain du scandale Cahuzac avait en effet émis un doute sérieux quant à "l'exhaustivité, l'exactitude et la sincérité de sa déclaration de situation patrimoniale" adressée en mai 2012. En clair : l’élu bucco-rhodanien est soupçonné d’avoir dissimulé son compte en Suisse, crédité d’environ 1,5 millionsd’euros, ainsi qu’un hôtel en Belgique.

L'élu assure avoir régularisé sa situation Contacté par Mediapart, l’élu assume et assure être à présent droit dans ses bottes.

"En 2014, j'ai réactualisé ma déclaration de patrimoine , ainsi que ma déclaration d’impôt sur la fortune", affirme-t-il à nos confrères, qui précisent que Dominique Tian a profité de la cellule de régularisation mise en place en 2013 – et qui a rencontré un vif succès – par la France pour rapatrier ses avoirs. "J'ai tout déclaré.

Et aujourd'hui, ce sont les élus honnêtes, comme moi, qui se retrouvent poursuivis par la HATVP ? Un esprit mal intentionné dirait qu'il valait mieux ne pas régulariser !", persifle l’élu qui jure qu’il payera les pénalités.

ourquoi n’a-t-il pas mentionné son compte sur sa déclaration de patrimoine ?

À Mediapart, Dominique Tian assure qu’il s’agit d’un compte ouvert par "son père", décédé il y a "environ 10 ans". Un héritage dont il aurait appris l’existence tardivement, et qu’il a rapatrié grâce à la cellule mise en place en 2013, "faite pour ça".

Quant à l’hôtel en Belgique, l’élu explique ne pas l’avoir signalé, car il estime qu’il s’agit d’un outil professionnel qui n'a pas à y figurer, tandis que la HATVP dit que c'est un bien personnel". Un élu en guerre contre la fraude sociale Si le nom de Dominique Tian ne vous dit rien, l’élu est connu pour ses prises de position très fermes sur la fraude aux aides sociales ou aux arrêts de travail.

En 2011, ce dernier publiait un rapport sur le sujet, rapport toutefois truffé de chiffres approximatifs et de postulats discutables pour asseoir son argumentaire, comme le soulignait à l’époque lemonde.fr. La même année, au 20 heures de France 2, il appuyait avec force la volonté du gouvernement d’instaurer trois jours de carence pour les fonctionnaires en arrêt maladie, et expliquait qu’il s’agissait bien d’une mesure pour lutter contre la fraude : "il y a un pic d’absentéisme pendant les congés scolaires et pendant les ponts du mois de mai", assurait-il.

Enfin, en 2013, dans le quotidien Valeurs actuelles, classé à droite, il expliquait que "pendant longtemps, en France, on a fraudé les aides sociales, impunément. Bien souvent, il suffisait d’oublier de cocher une case sur un document administratif pour bénéficier d’une allocation. Et de jouer ensuite les innocents, en cas de problème". Une déclaration qui risque de lui revenir en pleine face.

horreur

Publié à 15:59 par fandeloup Tags : bébé enfant fille femme divers photo
horreur

Tours : une grand-mère tue sa petite-fille de six mois à coups de couteau

 Une femme âgée de 53 ans a été interpellée lundi après avoir poignardé de 12 coups de couteau sa petite-fille de six mois dont elle avait la garde.

Le bébé n'a pas survécu à ses blessures.  La grand-mère a été interpellée après les faits. La grand-mère a été interpellée après les faits.

Quelques heures après son interpellation, un médecin légiste l'a examinée et a demandé qu’elle soit hospitalisée en psychiatrie. Lundi, une grand-mère âgée de 53 ans a eu un véritable coup de folie, alors qu'elle gardait sa petite-fille âgée de 6 mois.

Le drame a eu lieu dans l'après-midi dans un appartement de Tours Nord (Indre-et-Loire), au domicile de la fillette et de ses parents. C'est là que la quinquagénaire a asséné 12 coups de couteau au bébé, révèle Europe 1.

Grièvement blessée, la fillette n'a pas survécu à ses blessures. "Les secours ont été appelés vers 19 heures par le père de l'enfant qui, en rentrant à son domicile a trouvé sa petite fille décédée de plusieurs coups portés par une arme blanche" a précisé le parquet de Tours ce mardi matin dans un communiqué.

Elle reconnaît les faits En raison de son état, la quinquagénaire n'a pu être entendue par les enquêteurs. Mardi matin, son geste restait inexpliqué. Toutefois, le parquet de Tours précise que la grand-mère maternelle qui a été "découverte prostrée à côté de l'enfant" avait "verbalement reconnu les faits auprès d'un membre des secours".

Le corps du nourrisson devait lui être autopsié dans la journée.

les abeilles de France sont au plus mal

Publié à 15:54 par fandeloup Tags : chez france mort texte carte hiver
les abeilles de France sont au plus mal

En ce printemps, les abeilles de France sont au plus mal

Les pertes sont impressionnantes. Dans certaines régions, les apiculteurs ont perdu 50 à 60 % de leurs ruches et la production de miel a chuté en dessous des 10 000 tonnes.

En cause, un hiver catastrophique, et surtout l’utilisation de pesticides agricoles. Si le gouvernement continue de ne rien faire, les conséquences pourraient être très graves.

Comme chaque année, à la fin de l’hiver, Loïc Leray, apiculteur professionnel en Loire-Atlantique, vient faire sa visite de printemps. Une à une, il inspecte ses 350 ruches pour savoir si ses abeilles ont bien passé l’hiver.

« Sur les douze ou treize premiers ruchers, tout se passait bien. J’avais une mortalité raisonnable, deux à trois ruches perdues sur vingt-cinq », raconte-t-il. Mais dans les derniers ruchers, c’est l’hécatombe. « Plus une seule abeille ! Elles étaient vides, alors qu’il y avait de la nourriture à l’intérieur. »

La mauvaise surprise fait remonter le souvenir d’une autre catastrophe. « Ça me rappelle l’épisode du Gaucho, quand on a été confrontés aux premiers insecticides néonicotinoïdes. »

Phénomène d’ampleur

Loïc n’est pas le seul à faire face à une telle perte. Partout en France, les syndicats d’apiculteurs recueillent des témoignages similaires. « On n’a jamais vu des gens perdre la totalité de leurs ruches. Si ça continue comme ça, dans deux ans on n’a plus d’abeilles en France», déplore Yves Védrenne, président du Syndicat national d’apiculture.

De la Vendée à la Gironde, dans le bassin du Rhône, en Côte d’Azur et dans le nord de la France, les cas de surmortalité se multiplient. S’il est encore trop tôt pour obtenir des chiffres nationaux, Cédric Diot, du Syndicat national d’apiculture, estime, d’après les premières enquêtes, que 50 à 60 % des ruches de ces régions seraient décimées.

« Normalement, la mortalité hivernale tourne autour de 10 à 15 %. » Un constat que le syndicat opère aussi bien chez les apiculteurs professionnels que chez les amateurs. A la PrADE, unité scientifique de protection des abeilles, les scientifiques commencent leurs premières analyses. « On a constaté une perte de la quasi totalité des colonies dans les Bouches-du-Rhône », nous dit le chercheur Axel Decourtye.

Comment expliquer une telle hécatombe ?

Une combinaison de facteurs fragilise les abeilles. D’abord, l’hiver a été particulièrement difficile. Les températures n’ont jamais été stables, alternant journées chaudes ou froides, sans possibilité pour l’insecte de s’adapter.

« Dès que le temps est meilleur, la ruche se disloque et doit donc consommer plus de nourriture. Et dès qu’il fait froid, les abeilles se regroupent. Les apiculteurs nous décrivent toujours la même chose : des abeilles amassées ensemble, mortes, et autour, assez de nourriture pour passer l’hiver », explique Cédric Diot.

« On n’ a jamais vu ce phénomène à cette échelle. » Mais les professionnels mettent surtout en cause les pesticides. « Quand on fait une transposition de la carte de la mortalité avec celle des grandes cultures céréalières et maraîchères, tout correspond. » Dans ses ruches de Loire-Atlantique, Loïc Leray accuse lui aussi les pesticides d’être à l’origine de ses pertes.

« Les apiculteurs ont réussi à faire suspendre les néonicotinoïdes sur certaines cultures, mais ces produits sont toujours autorisés pour les céréales. Après les récoltes, nos collègues agriculteurs font un couvert végétal. Ils sèment de la moutarde ou de la phacélie pour capter l’azote. » A l’arrivée de l’automne, ces couvre-sols fleurissent.

« Les abeilles sont très attirées par cette source de nectar et de pollen, elles font des stocks pour l’hiver. Mais les produits chimiques utilisés précédemment sont suffisamment présents pour les intoxiquer. Quand on revient en mars, tout est mort. »

Face aux pesticides, l’apiculteur ne sait plus quoi faire. Il y a quelques années, il a bien tenté d’installer ses abeilles en ville, à Nantes :

« Je voulais prouver que quand elles étaient éloignées des pesticides, elles se portaient mieux. Et c’était le cas ! »

Mais aujourd’hui, les apiculteurs font face au frelon asiatique, un redoutable tueur d’abeilles qui a trouvé refuge en ville. Tout aussi féroces, les acariens Varroa parasitent et tuent les insectes. En 2014, ils ont bénéficié d’un hiver chaud et développent des résistances aux insecticides. Face à la catastrophe, le mutisme du gouvernement Le 19 mars, l’Assemblée nationale a voté l’interdiction des néonicotinoïdes pour 2016, contre l’avis du gouvernement.

« La partie est loin d’être gagnée pour autant », déplore Loïc Leray. « Il faut maintenant que le Sénat adopte le texte. D’où l’intérêt pour nous, apiculteurs, de convaincre nos chers politiques de revenir sur terre et de ne pas écouter les lobbies de l’agroalimentaire et la FNSEA ». Yves Védrenne, président du Syndicat national de l’apiculture, a averti le ministre de l’agriculture « en ne lui donnant que des faits vérifiables. » Mais il ne s’attend pas à une vraie réaction.

« Il ne se passera rien, comme d’habitude. Ils nous disent que des projets sont en cours, mais il n’y a pas d’argent pour les projets. Alors ils sont en train de nous bricoler une modification de la filière pour que ce soit les apiculteurs qui payent la recherche sur les abeilles. » Quelles sont les conséquences d’une telle perte ?

« Si l’abeille disparaît, elle emporte 47 % de la masse alimentaire avec elle, faute d’insectes pollinisateurs », dit Loïc Leray. Une chute déjà amorcée. En 2014, la production de miel n’a pas dépassé la barre des 10 000 tonnes alors qu’il y a vingt ans, les apiculteurs arrivaient à en produire 40 000 avec la même quantité d’abeilles. La France en consomme chaque année 45 000 tonnes.

« Le miel vient de Chine, d’Argentine ou du Chili. Ils sont encore épargnés par l’agriculture moderne, mais ne vont pas tarder à être eux aussi touchés. »

Que demandent les apiculteurs ?

Déjà, que le gouvernement tienne ses engagements, comme le classement du frelon asiatique en danger sanitaire de première catégorie. Une décision attendue depuis trois ans et qui rendrait obligatoire la lutte contre le nuisible. Mais aussi qu’il applique un vrai plan de développement durable de l’apiculture, dont la dernière version, qui voulait favoriser l’installation des jeunes sans s’attaquer à la question des pesticides, a été rejetée par les apiculteurs en 2013.

Autant de décisions qui pourraient prévenir le déclin des abeilles et des apiculteurs. Un déclin déjà amorcé, pour Loïc Leray. « Mon fils souhaite reprendre mon exploitation, mais je lui ai déconseillé. Comment dire oui à un jeune qui souhaite se lancer, s’il risque de perdre 40 % de son cheptel chaque année ? »

Des gouffres s’ouvrent chaque jour

Publié à 14:30 par fandeloup Tags : article papier google mer rouge
Des gouffres s’ouvrent chaque jour

Des gouffres s’ouvrent chaque jour autour de la mer Morte

La formation de trous béants autour de la mer Morte s'accélère de manière exponentielle. Aujourd’hui, il y en aurait plus de 3000 !

Des gouffres de dizaines de mètres de profondeur apparaissant du jour au lendemain, engloutissant en quelques minutes des champs entiers… La formation de centaines de dolines transforme peu à peu les rives de la mer Morte en gruyère !

Et le phénomène s’accélère à un rythme exponentiel, menaçant habitations et installations touristiques ou industrielles. En janvier, une portion de la route 90, l’artère principale qui longe la mer Morte sur la rive israélienne, s’est ainsi affaissée brutalement de 5 centimètres. Les premières dolines ont été découvertes dans les années 1980. Et en 1990, on en comptait une quarantaine.

Aujourd’hui, il y en aurait plus de 3000. À ce rythme, l’ensemble du bassin aura sombré d’ici à 2050 ! Avec le risque d’engloutir des vies humaines. Des dépressions dues à l’exploitation humaine Les dolines sont des dépressions de forme circulaire ou elliptique qui peuvent atteindre des dizaines de mètres de diamètre.

Les plus grandes, les méga-dolines, s’ouvrent sur plus d’un kilomètre de diamètre et plus de 100 m de profondeur. Elles se forment dans des terrains soumis à une dissolution chimique. Et c’est justement le cas de la mer Morte, dont le niveau ne cesse de baisser. En cinquante ans, sa surface a régressé d’un tiers.

Cette mer fermée, qui était une vaste masse d’eau il y a 18 000 ans, est aujourd’hui la zone immergée la plus basse du globe (429 mètres en dessous du niveau de la mer). Et ses eaux continuent à s’abaisser de 1,45m en moyenne par an.

Depuis les années 1950, en effet, les eaux des rivières affluentes ont en effet été exploitées intensément par Israël, la Jordanie et la Syrie pour les besoins d’une démographie en pleine explosion, d’une industrie touristique en plein essor et pour l’exploitation minière (potasse et magnésium).

Quelque 800 millions de mètres cubes sont ainsi détournés chaque année, et la mer Morte ne reçoit plus que 5 % de son flux historique.

En se retirant, les eaux très salées de la mer Morte laissent derrières elle des terrains truffés de poches de sel. Les nappes phréatiques, les pluies, les eaux de ruissellement, les rivières sont autant d’eaux douces qui lessivent et dissolvent

ces poches, laissant en lieu et place des cavités vides en sous-sol. Sans soutien, le sol de surface finit par s’effondrer brusquement. Si plusieurs cavernes se superposent, un effondrement en cascade peut laisser la place à un profond trou béant (un aven).

L’érosion peut poursuivre son œuvre et plusieurs avens rapprochés se fondre en un seul gouffre gigantesque (un ouvala).

PIPELINE. Israël, la Jordanie et l’Autorité palestinienne ont décidé d’agir en construisant un pipeline de 200 km de long reliant la mer Rouge à la mer Morte. L’objectif est de transférer quelque 100 millions de mètres cubes d’eau chaque année vers cette dernière.

Le projet n’existe pour l’heure que sur le papier ses détracteurs sont nombreux. Car cet apport d’eau n’est pas suffisant pour enrayer la baisse du niveau de la mer Morte et le risque est grand par ailleurs de détruire l’écosystème spécifique de la mer Morte en y faisant proliférer notamment des algues rouges.