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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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humour

Publié à 14:33 par fandeloup
humour

Psssssst ! PSSSSSSSSSSSTTT ..... Tu dors Matou ?

contre les démonstrations de rapaces

Publié à 14:24 par fandeloup Tags : chez nature animal animaux soi oiseaux patrimoine
contre les démonstrations de rapaces

Un collectif contre les démonstrations de rapaces

«L’homme a-t-il le droit de s’approprier la liberté d’un animal sauvage?»

C’est une des questions que se pose un collectif regroupant la LRBPO, Natagora, les Cercles Naturalistes de Belgique, Jeunes et Nature, Animaux en péril et GAIA.

 À l’heure printanière où reprennent les démonstrations de rapaces un peu partout dans le pays, un collectif d’associations entend bien défendre le bien-être animal.

La Ligue Royale Belge pour la Protection des Oiseaux (LRBPO) et des associations de protection de la nature(les Cercles Naturalistes de Belgique, Natagora et Jeunes et Nature) ainsi que du bien-être animal (Animaux en péril et GAIA) ont adressé un courrier au ministre wallon compétent, Carlo Di Antonio, afin de lui demander d’interdire les démonstrations de rapaces, indiquent-elles mercredi dans un communiqué commun.

Les démonstrations de rapaces à l’occasion d’événements publics sont de plus en plus communes, que ce soit dans les foires, dans les activités médiévales ou les visites de châteaux, expliquent ces associations.

«Ces démonstrations n’ont rien de commun avec la fauconnerie, cette chasse traditionnelle reconnue par l’UNESCO comme patrimoine immatériel de l’humanité. Les vrais fauconniers n’organisent pas de spectacles de rapaces et travaillent dans l’esprit de la tradition», soulignent les signataires du courrier. Ces derniers ajoutent que les démonstrations de rapaces sont contraires aux principes élémentaires du bien-être animal.

«L’enfermement, les conditions de détention et les périodes de jeûne forcées constituent des atteintes graves au bien-être de ces oiseaux. Depuis fin 2013, l’utilisation des animaux sauvages dans les cirques est interdite en vertu du respect du bien-être de ces animaux. Il est donc incohérent que les démonstrations de rapaces soient toujours autorisées.»

Les associations estiment par ailleurs que «ces spectacles sont opposés à tout principe d’éducation de la jeunesse et du grand public: ils créent un engouement dangereux à vouloir détenir chez soi des rapaces, espèces protégées par la loi, et donnent à penser que l’homme a le droit de s’approprier la liberté d’un animal sauvage».

Le Liban reçoit les armes françaises

Publié à 11:56 par fandeloup Tags : pouvoir cadre divers france texte
Le Liban reçoit les armes françaises

Le Liban reçoit les armes françaises financées

L'armée libanaise a été l'objet de plusieurs attaques de jihadistes ces derniers mois.

Après plusieurs mois d'attente, le Liban reçoit, lundi, sa première cargaison d'armes françaises, achetées grâce à un don saoudien, dans le cadre d'un vaste plan de modernisation des forces armées du pays du Cèdre.

La France lance, lundi 20 avril, avec une première livraison d'armes, financée par un don saoudien de trois milliards de dollars (2,78 milliards d'euros), un vaste plan de modernisation des forces armées du Liban, afin de mieux faire face à la menace jihadiste venant de Syrie.

Présent sur place, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, assiste pour la circonstance à la remise de 48 missiles antichar Milan à l'armée libanaise.

Au total, la France livrera 250 véhicules de combat ou de transport de troupes et matériel, sept hélicoptères Cougar, trois corvettes et de multiples équipements de reconnaissance, d'interception et de communication, détaille-t-on au ministère français de la Défense.

Ces équipements viendront renouveler, d'ici au printemps 2019, des matériels obsolètes ou insuffisants. Stabiliser le pays du Cèdre Paris et Ryad espèrent ainsi contribuer à la stabilité du Liban, qui reste fragilisé par de fortes divisions confessionnelles, et surtout pas des incursions jihadistes en provenance de Syrie.

Récemment interrogé par France 24, en marge de la Conférence sur la sécurité de Munich, le Premier ministre libanais, Tammam Salam, a évoqué, à l'heure où l'organisation de l'État islamique (EI) ne cesse d'étendre son influence sur les territoires syrien et irakien, "l'urgence" de la situation dans son pays.

"Il ne faut pas laisser ces sauvages [de l'EI] entrer au Liban", a-t-il déclaré. Selon l'ancien général et politologue libanais Hisham Jaber, 3 000 jihadistes sont postés près à la frontière syro-libanaise, prêts à pénétrer dans la plaine de la Bekaa. Le Liban comme la Jordanie, où Jean-Yves Le Drian s'est rendu samedi et dimanche, sont directement "affectés par le développement du terrorisme en Syrie et par un très grand afflux de réfugiés", souligne-t-on dans l'entourage du ministre français.

"Leurs appareils de sécurité nécessitent un appui extérieur". L'Arabie saoudite, irritée par la montée en puissance de l'Iran dans la région, entend aussi renforcer l'armée libanaise par rapport au Hezbollah, puissant mouvement politico-militaire chiite soutenu par Téhéran et qui combat les jihadistes au côté du régime de Damas. Moderniser l'armée libanaise À travers ce contrat franco-saoudien, "c'est une véritable transformation des forces armées libanaises qui doit s'engager" avec, outre la livraison d'équipements, un plan de formation de centaines d'officiers et sous-officiers pendant sept ans, explique-t-on au ministère français de la Défense.

L'armée libanaise (70 000 hommes) a déjà amorcé en partie sa mutation, aidée par des conseillers militaires américains et britanniques, relève Aram Nerguizian, expert au Centre d'études internationales et stratégiques (CSIS) de Washington.

Les États-Unis lui ont fourni une assistance militaire de plus d'un milliard de dollars depuis 2006. En février, ils ont encore livré 72 canons M198 Howitzer et pour plus de 25 millions de dollars d'obus, de mortiers et munitions.

Mais l'armée libanaise a un besoin urgent de divers matériels, notamment d'hélicoptères pour transporter ses unités d'élite et gagner en mobilité, souligne l'ancien général Hisham Jaber, qui chiffre ses besoins globaux à dix milliards de dollars et déplore que la livraison des premiers Cougar ne soit prévue qu'à la fin 2017.

"On a besoin de temps pour fabriquer, mais il y a sûrement des stocks d'armement neuf", lance-t-il, alors que Paris invoque des délais pour construire les appareils demandés. Des armes attendues avec impatience En 2015, les équipements livrés – appareils de vision nocturne, véhicules blindés et légers, drones légers, moyens de déminage – seront prélevés sur les stocks de l'armée française.Ces armes sont attendues avec d'autant plus d'impatience que les négociations avec Ryad ont commencé fin 2013.

L'Arabie Saoudite avait alors choisi la France comme partenaire en réaction au refus américain et britannique de s'impliquer militairement contre Bachar el-Assad, accusé d'utiliser des armes chimiques contre la rébellion, rappelle l'expert. Le riche royaume pétrolier a aussi accordé à l'ancien Premier ministre libanais, Saad Hariri, un milliard de dollars pour soutenir l'armée libanaise.

Mais cette transaction ne s'est pas encore concrétisée, selon Hisham Jaber. Téhéran a également annoncé son intention de fournir des équipements mais cette proposition ne fait pas l'unanimité au sein du pouvoir libanais, divisé par le conflit syrien et sans chef de l'État depuis près d'un an.

Une vétérinaire tue un chat

Publié à 10:37 par fandeloup Tags : photo femme mort internet animal chat
Une vétérinaire tue un chat

Une vétérinaire tue un chat avec une flèche et s’en vante sur facebook

Une vétérinaire du Texas a été renvoyée par son employeur pour avoir tué un chat en lui tirant une flèche dans la tête et s’être affichée sur Facebook avec l’animal mort, ont indiqué l’employeur et la police, qui a ouvert une enquête.

Kristen Lindsey a publié sur Facebook la photo d’elle, souriante, tenant au bout de sa flèche le félin mort, et a laissé comme commentaire : « Mort dès la première flèche, lol.

Le seul bon matou sauvage, c’est celui avec une flèche à travers la tête !

Prix du vétérinaire de l’année (…) accepté avec plaisir »

Lorsque les propriétaires de l’animal, un couple de personnes âgées, ont vu la photo sur internet, ils ont été horrifiés et profondément tristes.

Quant à l’employeur de Kristen Lindsey, la clinique vétérinaire Washington Animal Clinic, située au Texas, aux Etats-Unis, il a immédiatement licencié la jeune femme.

Les détenus néerlandais

Publié à 10:13 par fandeloup Tags : photo
Les détenus néerlandais

Les détenus néerlandais devront payer leurs séjours en prison

Une prison à la Haye, au Pays-Bas. Une prison à la Haye, au Pays-Bas.

Le ministre de la justice néerlandais a rendu publique lundi une loi condamnant les détenus et leur famille à verser à l’Etat 16 euros par jour passé dans leur cellule.

Aux Pays-Bas, les prisonniers et leur famille devront payer à l’Etat 16 euros, soit environ 20 francs, pour chaque jour passé en détention. C'est ce qu'a annoncé le ministre de la justice néerlandais lundi.

Ilsparticiperaient ainsi aux frais de justice et d’emprisonnement, aux dépenses liées à l’investigation de leurs crimes et à l’assistance aux victimes.

Des coûts que le gouvernement néerlandais ne veut plus assumer seul. Jusqu'à 11'600 euros de frais Cette loi s'applique aux prisonniers, mais également aux parents de mineurs incarcérés ainsi que les criminels enfermés en asile psychiatrique.

Ces personnes devraient recevoir pour un maximum de deux ans d'enfermement une facture de 11'680 euros (14'400 francs) payable sous six semaines, a précisé le gouvernement. Cette nouvelle mesure devrait rapporter 65 millions d'euros par an au gouvernement néerlandais.

bjr

Publié à 09:12 par fandeloup

bonne nuit

Publié à 19:29 par fandeloup

vivre

Publié à 19:17 par fandeloup Tags : mort
vivre

Toute humanité veut vivre, mais elle ne veut pas payer le prix et ce prix est le prix de la mort.

Combien coûte un détenu en France ?

Publié à 18:57 par fandeloup Tags : france société mode
Combien coûte un détenu en France ?

Combien coûte un détenu en France?

 Une journée de détention coûte environ 100 euros par jour en France.

D'après un rapport parlementaire, le coût d'un prisonnier varie d'un établissement à l'autre et diffère selon le mode de gestion de la prison.

Les chiffres apparaissent dans un rapport parlementaire publié ennovembre dernier et rédigé par le sénateur UMP Jean-René Lecerf.

Ces données permettent de connaître précisément le coût journalier d'un prisonnier en Franceen 2013: environ 100 euros par jour (alimentation, entretien, personnel), soit 36.500 euros par an.

Mais, derrière cette moyenne, se cachent d'importantes disparités. De fortes disparités d'un établissement à l'autre La journée en centre de détention (pour les courtes peines) s'établit en moyenne à 106 euros, 103 euros pour les centres pénitentiaires (différents types de condamnés), quand le coût en maison d'arrêt (pour les prévenus en attente d'une condamnation) est de 89 euros.

D'un établissement à l'autre, le coût d'une journée peut même passer du simple au double. Ainsi, celui d'une journée en maison centrale (191 euros/jour/détenu) est deux fois plus élevé que celui des autres établissements pénitenciers réunis (100 euros environ).

Cette différence est due au fait que les maisons centrales, qui accueillent les longues peines, disposent d'un personnel de surveillance plus nombreux que les autres établissements et nécessitent des investissements lourds en termes de matériels.

L'écart est encore plus grand s'agissant des mineurs: la journée dans ces établissements spécialisés et gérés en gestion déléguée coûte 500 euros par détenu. Une somme rondelette qui s'explique par un fort taux d'encadrement qui était, en 2011, de 1,2 encadrant pour un mineur.

Plus cher dans le privé que dans le public?

Mais les écarts ne s'arrêtent pas là. Il en existe aussi entre les établissements gérés par le public et ceux gérés par le privé.

D'après le ministère de la Justice, 64 prisons, sur les 191 établissements que compte la France, sont aujourd'hui gérées par le privé, sous trois formes de contrat: en gestion déléguée classique (54), en autorisation d'occupation temporaire-location avec option d'achat (AOT-LOA) (7) et en partenariat public privé (PPP) (3).

Dans tous ces établissements, les fonctions régaliennes restent à la charge des fonctionnaires (direction, surveillance, greffe) mais le reste est géré par une entreprise (maintenance, entretien, cantine, transport, accueil des familles, etc).

Généralement, les détenus incarcérés dans les établissements en gestion déléguée classique reviennent un peu moins cher à la société que ceux placés dans le public (90 contre 100 euros en moyenne).

Il existe néanmoins quelques exceptions: dans la maison centrale d'Arles, par exemple, la facture est plus élevée que dans le public (130 de plus par jour). «Un écart justifié par la petite taille de l'établissement (moins de 200 places) qui conduit mécaniquement à une hausse des coûts», explique-t-on au ministère.

Il en est de même dans les 10 établissements sous contrat AOT-LOA et PPP, où le prix à la journée est 30 à 60 euros plus cher que dans le public. Finalement, quel est le détenu qui revient le plus cher à la société:

celui du privé ou celui du public? «Une comparaison (entre privé et public. NDLR) est difficilement interprétable dans le sens où l'âge, la vétusté, la taille et le type de structure sont très disparates», répond le ministère de la Justice. Depuis la «loi Chalandon» de 1987, l'Etat est en mesure de confier la gestion des prisons à un ou plusieurs prestataires privés. Et depuis 2004, leur conception, leur construction et leur financement via notamment les PPP.

En France , deux prestataires de taille se partagent le gâteau depuis une vingtaine d'années: le groupe Sodexo, qui gère actuellement 34 établissements en France, et Gepsa, la filliale de GDF-Suez, implantée dans 16 prisons. Plus récemment, le groupe Bouygues, avec sa filiale Themis FM, a fait son entrée sur ce marché en signant en 2008 le premier contrat en PPP d'un montant d'un milliard d'euros avec le ministère de la Justice pour la construction et la gestion de trois prisons sur une durée de 27 ans.

Depuis, «quatre autres établissements en PPP ont été programmés et devraient ouvrir entre 2015 et 2019», indique-t-on place Vendôme. 12 euros pour un bracelet électronique Et qu'en est-il des condamnés bénéficiant d'un aménagement de peine? Sans surprise, ils coûtent moins cher à la société.

Sur les 60.500 personnes placées sous écrou, 17% sont concernées par ces dispositifs. Une journée sous bracelet électronique coûte 12 euros, comprenant les dépenses de fonctionnement et le coût de location du matériel.

Le placement à l'extérieur, qui permet aux détenus d'effectuer des activités en dehors de l'établisseement pénitentiaire, coûte quant à lui 31 euros par jour, en fonction des prestations fournies par la structure (repas, hébergement, accompagnement socio-éducatif). Quant au coût d'un condamné en semi-liberté (le détenu rentre dormir le soir en prison), il est de 50 euros, charges de fonctionnement et de personnel comprises.

«Moins coûteux qu'une journée de détention (...) les aménagements de peine doivent néanmoins être privilégiés selon leur efficacité qui peut être partiellement mesurée à travers le taux de récidive», avertit le sénateur UMP Jean-René Lecerf.

«Il ne saurait être une solution de facilité pour diminuer le taux d'occupation carcérale», écrit-il dans son rapport préalable à l'examen au Sénat du projet de loi de finances 2015.

* Le coût de la journée de détention est obtenu après calcul du coût budgétaire global d'un établissement rapporté au nombre de jours de détention correspondant.

humour

Publié à 17:55 par fandeloup
humour

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