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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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message

Publié à 15:02 par fandeloup Tags : message

tristesse

Publié à 14:47 par fandeloup Tags : fleur vie moi mort nature
tristesse

On m’a dit non, la liberté n’est pas ton droit.. On m’a dit non, ta vie ne t’appartient pas.. On m’a même dit que je n’avais pas d’âme Que je ne sentirais ni la lame, ni les flammes. Moi je suis né dans le froid d’un hangar avec mes frères et sœurs sans un regard .Moi je suis né seul, dans le noir .Sans que ma mère m’enseigne ses savoirs. Je n’ai jamais vu ni le ciel, ni la terre .Je n’ai jamais su à quoi ressemblait le vert. On m’a privé de ma nature et ma fierté d’animal, je n’en ai plus l’identité. Nourrit à la farine faite de mes frères. Battu et même marqué au fer. Saurai-je un jour ce qu’est devenir père ? Reverrai-je un jour ma mère ? La vie ne m’a fait aucune fleur. Je ne connais même pas leur odeur. Dans tout ce mal et toute cette douleur je n’existe qu’au travers de mes pleurs .Quand enfin ils sont venus me chercher je n’étais encore qu’un nouveau-né. J’ai pu enfin voir un bout de ciel gris. C’était alors le plus beau jour de ma vie. Mais cela n’a duré que quelques heures avant que m’envahisse à nouveau la peur. Devant moi un par un ils tombaient et je suis mort sans savoir qui j'étais.

tristesse

Publié à 13:58 par fandeloup Tags : nature sur monde place histoire argent
tristesse

En bref : Les humains sont impuissants à réchauffer ou refroidir la planète en conduisant des 4×4 ou en mangeant du bœuf

* Il semble par ailleurs de plus en plus évident que nous nous dirigeons vers un refroidissement planétaire et que l’élite le sait depuis longtemps **

La NASA admet que les changements climatiques sont dus aux modifications de l’orbite terrestre, et non aux 4×4 ou aux combustibles fossiles Depuis plus de 60 ans, la NASA sait que les changements qui se produisent dans les modèles météorologiques planétaires sont entièrement naturels et normaux. Mais l’agence spatiale, pour quelque raison que ce soit, a choisi de laisser le canular du « réchauffement climatique anthropique » persister et se propager au détriment des libertés fondamentales de chaque être humain.

En effet, et à l’instar des jours et des nuits, des saisons, des cycles lunaires et solaires, ainsi que des cycles propres à notre galaxie (tout comme pour l’ensemble de l’Univers), le réchauffement et le refroidissement terrestres sont cycliques et naturels. Prendre comme point de repère certaines parties du globe pour annoncer en fanfare des augmentations de températures globales n’est ni sérieux, ni digne de la science.

Donc, s’il n’y a pas de réchauffement, l’expression « réchauffement climatique anthropique » est un mensonge. En lieu et place, les scientifiques du GIEC auraient dû avoir l’honnêteté de parler de « changements climatiques », et ce depuis le début (1988). Mais honnêteté ne rime pas avec profit. C’est en 1958, pour être précis, que la NASA a pour la première fois observé que des changements dans l’orbite solaire de la Terre et des modifications de l’inclinaison de son axe sont responsables de ce que les climatologues appellent aujourd’hui le « réchauffement » (ou « refroidissement », selon leur intention du jour).

Mais jusqu’à présent, la NASA a échoué à rétablir les faits pour ce qu’ils sont et a plutôt choisi de rester les bras croisés à observer les libéraux/démocrates paniquer face à un monde censé prendre fin dans 12 ans à cause d’un excès de production bovine ou de pailles en plastique. Le Soleil est le plus grand facteur affectant le climat terrestre *** (...)

Mais plutôt que de se rallier à cette réalité fidèle, exacte et reconnue, les « climatologues » d’aujourd’hui, rejoints par des politiciens de gauche et des média grands publics complices, insistent sur le fait que ne pas recourir aux sacs réutilisables des supermarchés et ne pas avoir de véhicule électrique détruit la planète si rapidement que la seule solution réside dans une imposition absolue d’imposer des taxes climatiques mondiales.

« Dilapider des milliards d’euros pour des modèles mathématiques qui sont faux et ne peuvent rien prédire, c’est ridicule. Cet argent dépensé pour rien devrait être utilisé pour régler de vrais problèmes de pollution. Par exemple le sixième continent, ce gigantesque agglomérat de déchets qui flotte dans le Pacifique, pourquoi on ne le nettoie pas ? On pourrait aussi nettoyer et repeupler nos rivières, assainir nos sols, transformer des chancres industriels en cités où il ferait bon vivre. Ce serait bien plus utile que de s’acharner sur ce malheureux CO2, que nous produisons tous lorsque nous expirons et qui ne nous a rien fait. »

« Au lieu de voir les nuages comme la conséquence du climat, il s’agit en fait de montrer que le climat découle des nuages, car les nuages reçoivent leurs ordres des étoiles. » (...) Ceux qui perpétuent le récit des « changements climatiques anthropiques » nous vendent des fariboles. Car, et quand bien même l’être humain — de par sa façon de vivre aujourd’hui — est un grand pollueur de la planète, occulter, déformer ou encore minimiser la « réalité » du modèle de Milankovitch pourtant exact, admis et reconnu, permet à l’élite de continuer à manipuler les populations et à les maintenir dans une obscure ignorance qui les empêche d’apprendre la nature cyclique de leur histoire , ce qui leur permettrait de ne pas répéter les mêmes erreurs.

https://reseauinternational.net/la-nasa-admet-que-les-chan…/

loups

Publié à 10:59 par fandeloup Tags : vie sur france monde mort animaux animal oiseaux
loups

À feu et à sang !

Je hais et méprise les chasseurs, ces sous-hommes d’une abjecte lâcheté aux trognes d’ivrognes qui, déguisés en treillis militaires, armés d’armes de guerre sophistiquées, s’en vont donner l’assaut aux humbles et innocents animaux de nos forêts qui n’ont comme seul délit que d’être vivants et de servir de cibles. Les chasseurs sont les terroristes du monde animal. Ils portent en eux les gênes d’une barbarie cruelle héritée de nos ancêtres primitifs qui, ne pouvant pas s’assouvir sur l’être humain, se défoule sur les animaux . Cette jouissance de donner la mort est la preuve de l’impuissance qu’ils ont de donner la vie. L’exemple flagrant de cette honteuse perversité est le président de la fédération de la chasse ce prédateur au gros visage plein de suffisance

« Willy Schraen » qui a osé dire lors d’une interview : « j’aime la chasse parce que j’aime tuer ». C’est pas beau ça ??? Et Macron qui leur fait des courbettes et leur accorde des avantages contraires aux lois européennes alors qu’il n’a rien accordé à l'amélioration de la condition animale que j’attends depuis 47 ans. Tout ça pour avoir leurs voix aux prochaines élections, on se déculotte lâchement pour des voix aléatoires. « Macron attend des voix », c’est presque comme Jeanne d’Arc. « Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie » qu’elle soit humaine ou animale !

Avec les chasseurs, nos forêts ne sont plus qu’un cimetière ! Quant à la chasse à courre, c’est encore pire. C’est une mise en scène grandiose de ploucs qui se prennent pour des aristocrates, déguisés, ridicules, avec équipage luxueux, meute affamée avec l’intention de tuer avec préméditation un animal qui sera inhumainement poursuivi, forcé jusqu’à l’épuisement, jusqu’à l’halali et « servi » dans l’épouvante par un poignard qui lui déchirera le cœur sous les bravos et les rires des poursuivants.

Assassinat mondain, meurtre légal, interdit dans la plupart des pays de l’U.E mais qui continue son horreur absolue en France . Rares sont les exemples aussi flagrants d'une loi créée pour une minorité contre la volonté de la majorité. Il y a aussi la plus inadmissible des agonies donnée aux petits oiseaux, ces êtres si purs, si fragiles, si joyeux, c’est ce qu’on appelle la chasse à la glu, qui se pratique beaucoup dans le Var et qui consiste à enduire une branche de glu et à disposer à côté des graines. Le petit oiseau restera collé, ne pourra plus s’envoler et mourra d’épuisement. L’homme viendra le cueillir et en fera des brochettes. C’est notre ex piteux ministre de l’écologie qui l’a de nouveau autorisée alors qu’elle était interdite. Bon débarras.

Brigitte Bardot Présidente Cet éditorial a été publié dans l'Info-Journal numéro 110 (3ème trimestre 2019). À feu et à sang !

tristesse

Publié à 09:51 par fandeloup Tags : sur vie chez enfants femme travail nuit chien maison hiver
tristesse

Depuis leur expulsion, ce couple et ses enfants  vivent dans les bois de Savigny-sur-Orge

Une famille historique de la commune, dont les enfants  sont scolarisés ou travaillent à Savigny, se trouve en situation d’urgence. Un élu d’opposition compte alerter ce jeudi le conseil municipal sur la situation.

 Marie-Josée et Michel vivent sous cette tente avec une partie de leurs enfants depuis l’expulsion de leur logement en 2017.

Ses chapeaux à plume sont fait-maison. « J'en ai ramassé quelques-unes dans les bois, puis les ai collées entre elles avec de la glu, explique Michel. Il faut bien s'occuper. » Depuis ce maudit mois d'avril 2017, où sa famille a été expulsée de leur logement de Savigny-sur-Orge (Essonne), Michel vit dans les bois. À ses côtés, sa femme, Marie-Josée, et quatre de leurs six enfants . Ils ont donc élu domicile dans un recoin du Parc des Châteaux, à deux pas de l'Orge

. « En zone inondable », précise Michel.

Ce mardi matin, il faut parcourir un chemin boueux pour parvenir à leur antre. Soit une bâche assez large, fixée par des cordelettes et des bâtons, sous laquelle dort le couple. « Deux de nos enfants, âgés de 20 et 24 ans, dorment dans la tente d'à côté, et nos deux derniers (NDLR : âgés de 8 et 13 ans) sont hébergés de temps à autre chez une amie », poursuit Michel.

Assis dans leur salon improvisé, Michel et Marie-Josée retracent l'engrenage fatal qui a changé leur vie. Arrivés à Savigny en 1996, ils emménagent dans un petit studio. Ils connaissent diverses adresses, dans la cité de Grand-Vaux, puis rue Parmentier.

« Ce logement était insalubre : les prises gelaient l'hiver, les fenêtres étaient cassées… et on payait un loyer surévalué, développe Michel. C'était un marchand de sommeil. » Marie-Josée et Michel vivent sous ces tentes avec une partie de leurs enfants depuis l’expulsion de leur logement en 2017

Jusqu'à l'expulsion pour loyers impayés. Commence alors une longue errance dans différents parcs du département. « On est passés par celui du Port-aux-Cerises à Draveil, puis celui du Château, côté Morsang. On dort côté Savigny depuis sept mois », déroule Marie-Josée. Dans leur cahute, le sol est jonché de copeaux de bois, pour éviter la boue. Pablo, leur petit chien agité, est niché dans son fauteuil. « Pour faire nos besoins, on se rend parfois au Carrefour », confie Michel. Certains voisins leur apportent de la nourriture, des bâches ou de quoi s'habiller. « Quelqu'un nous apporte le café tous les matins », se réjouit-il. Un poêle à bois chauffe tant bien que mal la tente le soir. « La nuit, il fait 3 degrés, note Michel. Ce sont juste les premières fraîcheurs, le pire est à venir. »

Un élu veut mettre un pavillon de la ville à disposition Aujourd'hui, le couple se sent abandonné par les autorités publiques. Et notamment la mairie de Savigny, où leurs enfants ont effectué toute leur scolarité. Ils sont actuellement suivis par la Maison des Solidarités de Juvisy et la Direction départementale de la cohésion sociale d'Evry-Courcouronnes. Bernard Blanchaud, élu d'opposition (Nouvel élan pour Savigny) et candidat aux futures élections municipales, souhaite mettre à disposition un pavillon tout juste acheté par la ville, situé rue de la Liberté. « Un bail précaire permettrait de loger cette famille pendant l'hiver », propose-t-il.

 Contactée, la mairie de Savigny indique qu'une telle réquisition nécessite « une qualification juridique » et ne peut se réaliser du jour au lendemain. « En cas de situation d'extrême urgence, comme des incendies ou des cataclysmes, nous disposons d'une convention avec des hôtels sociaux, précise la municipalité. Dès qu'il en a été informé en septembre, notre CCAS a prévenu la cellule départementale compétente en matière de travail social auprès des familles. Cette compétence n'est pas communale. » Il y a quelques semaines, les dettes de la famille ont été épongées. Mais sans revenus fixes, impossible d'obtenir un logement. « J'ai été déménageur, jardinier, mais je n'ai jamais eu de travail fixe », indique Michel. Idem pour Marie-Josée, qui n'a connu que « le conditionnement en usine ». « Vous me voyez demander un travail alors que je prends une douche par semaine ? » demande Michel.

horreur

Publié à 17:55 par fandeloup Tags : google amis vie sur monde enfants fond place travail mort animaux animal
horreur

Gadhimai : retour de l’un des plus grands sacrifices d’animaux au monde…

Tous les 5 ans, des centaines de milliers d'animaux sont amenés devant le temple de Gadhimai pour y être sacrifiés...

Des centaines de milliers de cochons, buffles, chèvres ou pigeons risquent d’être sacrifiés au temple de Gadhimai, au Népal, malgré l’interdiction prononcée par les autorités religieuses en 2015. Les associations de protection animale s’efforcent de tout faire pour sauver un maximum d’animaux. Mais la Fondation 30 Millions d’Amis craint le pire !

Horreur ! C’est l’un des plus grands sacrifices d’animaux au monde: derrière les paillettes du festival de Gadhimai, à Bariyarpur (Népal), c’est un véritable bain de sang qui a lieu tous les 5 ans.

Entre 200 000 et 500 000 chèvres, porcs, rats, buffles et pigeons sont massacrés en raison d’une croyance religieuse. Le dernier épisode sanglant ayant eu cours en 2014, cette année les associations de protection animale multiplient les efforts pour éviter un nouveau carnage les 3 et 4 décembre 2019.

Malgré l’interdiction, le bain de sang devrait malheureusement avoir lieu Pourtant, cette tradition vieille de 265 ans qui veut que l’on sacrifie des animaux pour célébrer la déesse Gadhimai dans l’espoir d’une vie meilleure, prend du plomb dans l’aile depuis quelques années. Entre 2009 et 2014, le nombre d’animaux sacrifiés avait déjà chuté de 70%.

En 2015, le Gadhimai Temple Trust, organisateur de l’événement, a même décidé de mettre fin aux sacrifices. Or, malgré la promesse de l’interdiction, ces atrocités devraient perdurer. « Ceux qui pratiquent les sacrifices le font sans expérience et avec des instruments inadéquats, s’insurge l’association Animal Equality. Les animaux souffrent d’une mort lente et horrible. Les plus grands et ceux qui ont le plus d’énergie pour s’échapper, sont poursuivis. Une fois rattrapés, on leur coupe les pattes arrière pour les immobiliser. »

Les animaux souffrent d’une mort lente et horrible. Pour éviter le bain de sang, un travail de fond est réalisé par les ONG de protection animale avec les autorités et les populations locales. « Depuis trois ans, nous avons mené des campagnes de sensibilisation afin d’éliminer le mythe entourant les superstitions de l’abattage d’animaux, confie à 30millionsdamis.fr, Wendy Higgins, porte-parole de l’ONG Humane Society International (HSI).

Nous avons travaillé avec le gouvernement du Bihar, d’où sont principalement transportés les animaux, afin de mettre en œuvre l’ordonnance de la Cour suprême de l’Inde obtenue en 2014 interdisant le transport d’animaux par la frontière. Car une fois que les animaux ont atteint Gadhimai, aucun de nous ne peut faire quoi que ce soit le jour du sacrifice : c’est pourquoi tous nos efforts sont concentrés avant le massacre. »

Un massacre perpétré même devant des enfants ! La sensibilisation au sein des populations locales est d’autant plus importante que « les communautés sont très pauvres et peu alphabétisées », souligne Wendy Higgins. Les gens croient que s’ils ne sacrifient pas les animaux, leur prospérité sera affectée ou un malheur leur arrivera. »

Pire, les enfants sont également autorisés à assister au massacre « ce qui les désensibilise vis-à-vis de la cruauté envers les animaux », au surplus de les traumatiser. La Fondation 30 Millions d’Amis salue les efforts des associations sur place pour mettre fin à ce sacrifice.

Don

Publié à 16:48 par fandeloup Tags : centre sur bonne internet
Don

Don de corps à la science à Paris : le centre fermé et une inspection diligentée

Les corps légués à la science auraient été accueillis dans des conditions indignes à l’Université Paris-Descartes, selon des révélations de L’Express.

Les dépouilles ont été stockées dans des conditions indignes au CDC de l’Université Paris-Descartes.

 

« Ça m'a glacé d'effroi parce que c'est à l'opposé de ce qu'on doit être quand on est médecin ».

Le président de l'Union française pour une médecine libre (UFML), Jérôme Marty, a annoncé sur franceinfo ce mercredi que son syndicat va déposer plainte, au lendemain des révélations sur les dysfonctionnements au Centre du don des corps (CDC) de Paris. Dans une enquête publiée mardi soir sur son site internet , L'Express révèle que, jusqu'en 2018 au moins, le CDC de l'université Paris-Descartes a accueilli les milliers de dépouilles léguées à la science dans des conditions indignes : corps pourrissant faute de chambres froides climatisées, cadavres rongés par les souris et empilés les uns sur les autres…

Autre révélation : certains corps sont revendus, entiers ou démembrés, à des entreprises privées sans le consentement du défunt ou de ses proches, alors qu'ils sont censés être utilisés exclusivement pour la recherche médicale ou la formation des futurs médecins. « Une atteinte à la dignité » « Une atteinte à la dignité et à l'intégrité de la personne » dénoncée par Jérôme Marty.

« De son vivant, la personne a dit : je lègue mon corps à la science. Et son corps n'a pas été utilisé, soit parce qu'il a été mangé par des rats ou des souris ou qu'il a pourri avant qu'on l'utilise, soit parce qu'il a été dirigé vers d'autres missions comme celle de crash-tests ! », s'indigne-t-il.

« Les gens qui n'ont rien dit, qui ont laissé faire, sont à mon sens totalement coupables et cette affaire déconsidère profondément cette profession, je crains que cela déconsidère la profession et l'anatomie française », regrette-t-il encore.

Cette situation indigne aurait perduré pendant des années, faute de moyens pour rénover les locaux. Fin 2017, Richard Douard, alors président du CDC, Xavier de Bonnaventure, membre du comité d'éthique, puis la professeure Brigitte Mauroy, présidente de ce même comité, avaient démissionné, pour protester face à l'inaction des pouvoirs publics. Le centre fermé et une inspection diligentée Des travaux de rénovation, pour un montant de huit millions d'euros, ont fini par être votés, mais ne devraient pas être lancés avant le premier trimestre 2020.

Dans un communiqué diffusé sur son site, l'université Paris-Descartes explique que le ministère de l'Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation a décidé de « diligenter une inspection ». La fac précise que le ministère a aussi ordonné « la fermeture administrative provisoire » de son Centre pour le don des corps « pour que l'inspection s'opère dans les conditions nécessaires à sa bonne tenue ».

tristesse

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Le calvaire de cet éléphant a déclenché une vague d'indignation internationale

Après la publication par National Geographic d'une photographie de Gluay Hom, un jeune éléphant blessé en Thaïlande, les lecteurs scandalisés se sont mobilisés pour lancer un appel au secours. Nous revenons aujourd'hui sur son état de santé.

Ici photographié en juin 2019 au Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo en périphérie Bangkok, Gluay Hom est aujourd'hui âgé de cinq ans.

Ses pattes enflées ont guéri et il n'a plus de plaie ouverte. Il reste toutefois enchaîné sous le stade où il exécute ses numéros et sa condition physique reste un problème, selon les experts du bien-être animal qui lui ont rendu visite.

 En juin 2018, derrière un stade de la banlieue de Bangkok, en Thaïlande, je me tenais devant un jeune éléphant enchaîné à un poteau. Sa patte était enflée et bizarrement courbée. Il avait une plaie sanguinolente au niveau de la tempe à force de s'allonger sur un sol dur, et il ne parvenait pas à fixer son regard. Son nom : Gluay Hom. Cet éléphant retenu au Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo était alors âgé de quatre ans et son état ne lui permettait plus d'assurer ses représentations dans le spectacle organisé quotidiennement par l'établissement. À cette date, Kirsten Luce et moi-même étions en Thaïlande depuis un mois dans le cadre d'un reportage sur la réalité alarmante du tourisme animalier. Nous avions vu des centaines d'éléphants enchaînés dans des camps ou des enclos à travers tout le pays. Gluay Hom était le plus mal en point. Nous l'avons intégré à notre grande enquête sur le tourisme animalier. Immersion dans l'univers cruel du tourisme animalier.

IMMERSION DANS L'UNIVERS CRUEL DU TOURISME ANIMALIER.

Après la mise en ligne de notre reportage au mois de mai, nous avons reçu une quantité phénoménale d'e-mails, de messages et de publications sur les réseaux sociaux demandant des nouvelles de Gluay Hom, désormais âgé de cinq ans. Nombreux étaient ceux qui se demandaient pourquoi il n'avait pas encore été secouru. D'autres parlaient de mettre en place un financement participatif afin de le racheter à son propriétaire. Les gens voulaient savoir si son calvaire avait pris fin. Pour résumer, Gluay Hom va en quelque sorte mieux, selon les experts du bien-être animal qui lui ont rendu visite. Ses pattes enflées ont guéri et il n'a plus de plaie ouverte. Il reste toutefois enchaîné au même endroit sous le stade. Il est toujours très maigre. Il n'y a aucun moyen de lui venir en aide à moins que l'établissement ne le libère, le revende ou qu'il soit saisi par les autorités. Le propriétaire du zoo, Uthen Youngprapakorn, n'a pas répondu à nos demandes concernant l'état de santé actuel de Gluay Hom. Nous ne savons pas si Gluay Hom appartient personnellement à Youngprapakorn ou au zoo en tant qu'entité juridique. Cependant, lors de notre visite de l'année dernière, il déclarait que le simple fait que les animaux ne soient pas morts démontrait que l'établissement les traitait correctement. Des vétérinaires du Department of Livestock (en français, ministère de l'élevage, ndlr) de Thaïlande prélèvent des ... Des vétérinaires du Department of Livestock (en français, ministère de l'élevage, ndlr) de Thaïlande prélèvent des échantillons de sang de Gluay Hom pendant que des employés du zoo le maintiennent en place, lors d'une visite en avril 2019. Les résultats de tests sanguins antérieurs avaient révélé la présence de parasites dans le sang de Gluay Hom, il a aujourd'hui été soigné.

 Depuis juin dernier, les autorités du Department of Livestock de Thaïlande dont la juridiction couvre les questions liées aux éléphants en captivité, ont réalisé une série d'inspections du zoo de Samut Prakarn. Pour cela, ils ont sollicité l'aide d'Edwin Wiek, fondateur de Wildlife Friends Foundation Thailand, une organisation à but non lucratif axée sur la sauvegarde et la réhabilitation des animaux . Wiek et son équipe avaient déjà rendu visite à Gluay Hom et aux autres animaux du zoo de Samut Prakarn après que nous les ayons avertis de la situation en juin 2018. Wiek rapporte que son équipe avait trouvé les animaux dans un état « déplorable. » L'année dernière, toujours au moins de juin, des vétérinaires avaient prélevé des échantillons de sang de Gluay Hom et les tests avaient révélé la présence de parasites, pour lesquels l'éléphant a reçu un traitement. En décembre, les autorités du Department of Livestock et du Department of National Parks, Wildlife and Plant Conservation, responsable du contrôle des zoos, avaient ordonné à l'établissement d'arrêter d'utiliser deux éléphants émaciés dans leurs spectacles et de changer leur régime afin de leur faire reprendre du poids. À l'époque, Gluay Hom n'apparaissait pas dans ces représentations. Le quotidien Bangkok Post rapportait dans un article que les responsables dépêchés par le gouvernement « n'avaient relevé aucun problème au niveau des aspects physiques du zoo, mais qu'ils avaient recommandé à l'administration d'ajouter des activités et des outils permettant d'améliorer la vie des animaux dans leurs cages. » L'intervention des autorités s'est arrêtée là, indique Wiek. Le Department of Livestock et le Départment des parcs nationaux n'ont pas souhaité commenté la situation mais selon Wiek, les autorités gouvernementales n'ont pas officiellement reconnu de violations du bien-être animal au zoo de Samut Prakarn. Le 2 juin 2019, l'équipe de Wiek a de nouveau rendu visite à Gluay Hom et aux autres animaux. À l'exception de Gluay Hom, tous les autres éléphants ont repris leurs numéros. Wiek indique que dans l'ensemble, les conditions n'ont pas changé. La semaine dernière, le journal Phuket News publiait de nouvelles images sur lesquelles on distingue clairement les blessures infligées aux éléphants. Quoi qu'il en soit, le sauvetage de Gluay Hom reste un projet irréaliste. La loi thaïlandaise sur le travail des animaux de 1939 considère les éléphants domestiques comme une propriété, tout comme les autres animaux forcés au travail comme les chevaux et les ânes. Les 3 800 éléphants en captivité en Thaïlande peuvent être légalement détenus par des particuliers ou des entreprises, et utilisés comme bon leur semble. Cette loi, sur laquelle repose la façon dont sont traités les éléphants en captivité, ne protège pas leur bien-être, explique Wiek. « Nous ne pouvons pas nous appuyer sur la loi pour aider concrètement ces éléphants, » indique Wiek, qui est également conseiller honoraire au comité parlementaire sur les ressources naturelles et l'environnement. « Gluay Hom est un très bon exemple d'animal vivant dans d'horribles conditions qui devrait être saisi par les autorités. » Il existe en Thaïlande une loi sur sur le bien-être des animaux et la prévention de la cruauté, mais selon Wiek, elle est appliquée de façon irrégulière pour les éléphants en captivité.

UN SECTEUR FLORISSANT

Les éléphants sont la pierre angulaire du tourisme en Thaïlande. La majorité des 3 800 éléphants en captivité du pays travaillent dans des camps et exécutent des numéros ou interagissent avec les touristes. La Tourism Authority of Thailand (TAT), l'agence gouvernementale responsable de la promotion du tourisme en Thaïlande, n'hésite pas à promouvoir les balades à dos d'éléphants et les baignades avec ces animaux sur son propre site Web. Il y a encore quelques jours, le 13 juin, Samut Prakarn Crocodile Farm and Zoo figurait parmi les attractions recommandées sur le site Web de la TAT. Ce jour-là, National Geographic a envoyé un e-mail à la TAT pour recueillir leurs commentaires sur ce point, la page a été supprimée dans la foulée. L'agence n'a pas souhaité répondre à nos questions sur la recommandation de Samut Prakarn ou sur la suppression de la page. Le secteur de l'élevage des éléphants est hautement lucratif en Thaïlande : la revente d'un jeune éléphant élevé en captivité peut atteindre 22 000 $ (soit 19 500 €) selon les chiffres communiqués par l'agence gouvernementale Thai Elephant Conservation Center (TECC), responsable de l'élevage et du dressage des éléphants. Selon Wiek, le prix de ces animaux dépasse les 50 000 $ (45 000 €). L'importation illégale d'animaux capturés dans la nature et destinés au secteur du tourisme était une pratique très répandue jusqu'en 2012 d'après un rapport de TRAFFIC, une organisation de surveillance du commerce des espèces sauvages. Dans d'autres régions du pays, comme Ban Ta Klang, également connu sous le nom d'Elephant Village, le gouvernement subventionne le tourisme lié aux éléphants et offre un revenu mensuel aux dresseurs dont les éléphants sont capables de réaliser trois numéros et participent activement à des spectacles locaux. Prise en juin 2018, cette photographie de Gluay Hom a été publiée dans l'édition de juin ... Prise en juin 2018, cette photographie de Gluay Hom a été publiée dans l'édition de juin 2019 du magazine National Geographic. Elle a déclenché une vague d'indignation chez les lecteurs. Sa patte avant droite est enflée et inerte. Au niveau de sa tempe on distingue une plaie sanglante provoquée par le sol en béton sur lequel il s'allonge.

Le cas de Gluay Hom n'est pas unique parmi les éléphants captifs en Thaïlande. Au zoo de Phuket, un jeune éléphant émacié était au centre de toutes les attentions dans les médias thaïlandais et internationaux en avril après la publication par des activistes animaliers d'une vidéo montrant son corps squelettique. Officiellement baptisé Ping Pong mais également connu sous les noms de Jumbo, Dumbo ou Dodo dans la presse et pour le grand public, cet éléphant a fait l'objet d'une pétition ayant recueilli plus de 200 000 signataires qui demandait à ce qu'il soit transféré dans un sanctuaire. En réponse à cette levée publique de boucliers, les autorités du Department of Livestock de la province de Phuket se sont rendus dans l'établissement en avril. Comme ils avaient pu le faire à la suite du reportage de National Geographic sur Gluay Hom, ces représentants ont reconnu que l'éléphant était malade et ont ordonné au zoo de Phuket de ne pas l'inclure dans les représentations tant que son état de santé ne s'était pas amélioré. L'un de ces agents a déclaré au journal local The Phuket News que malgré son poids, l'éléphant était correctement hébergé, nourri et abreuvé. Le 20 avril, Ping Pong est mort. Son corps était devenu si faible que ses deux pattes arrière ont fini par casser alors qu'il luttait pour s'extirper d'une marre de boue, a révélé le gérant du zoo aux médias locaux. Cet incident est survenu quatre jour avant qu'il soit envoyé à l'hôpital où il a rendu son dernier souffle. Il était âgé de trois ans.

UN AVENIR INCERTAIN

Le futur de Gluay Hom dans l'industrie touristique est incertain. Wiek nous informe que la différence de valeur entre les mâles et les femelles atteint plusieurs dizaines de milliers de dollars, parce qu'ils sont difficiles à contrôler et onéreux à entretenir. Chez les éléphants, l'âge de la maturité peut varier grandement mais elle arrive généralement entre 20 et 40 ans. À ce stade débute chez les éléphants mâles un cycle hormonal appelé musth au cours duquel ses niveaux de testostérone grimpent en flèche et son agressivité envers l'Homme s'exacerbe. L'envergure de la réponse publique face au reportage de National Geographic sur Gluay Hom permet de faire pression sur le gouvernement thaïlandais pour qu'il saisisse l'animal, affirme Wiek. Il espère également que cet événement poussera la Thaïlande à adopter une loi introduisant des normes de bien-être pour les animaux dans les zoos. Wiek serait heureux de pouvoir accueillir Gluay Hom dans le refuge pour éléphants de son organisme Wildlife Friends Foundation mais pour lui, le fait de racheter l'éléphant à son propriétaire permettrait à ce dernier d'en acheter un nouveau, et cela ne ferait que perpétuer le cycle. « Le propriétaire ne devrait pas être récompensé financièrement pour son éléphant… L'éléphant doit être saisi. Malheureusement, ça ne marche pas comme ça en Thaïlande, » conclut Wiek. « Pas encore. Bientôt peut-être. »

Déni

Publié à 10:51 par fandeloup Tags : femme photo homme france voiture bleu nuit
Déni

Le corps d'un nourrisson découvert dans le coffre d'une voiture

Le corps d'un nourrisson d'un mois environ, en état de putréfaction, a été découvert dans le coffre d'une voiture dans la nuit de mercredi à jeudi à Thumeries au sud de Lille.

 Une femme d'une trentaine d'années a été placée en garde à vue, dans la nuit de mercredi à jeudi, suite à cette découverte. Selon les pompiers, c'est son mari qui a découvert le bébé juste après minuit. L'homme a fait un malaise en ouvrant le coffre. Il a été transporté en état de choc à l'hôpital. Selon une source proche du dossier, c’est lui qui a prévenu les gendarmes, après avoir trouvé le cadavre dans le coffre de la Citroën C3, à leur domicile.

Déni de grossesse ?

Il aurait affirmé ne pas s’être aperçu d’une quelconque grossesse de sa conjointe. L’enquête va devoir déterminer s’il s’agit bien du père et de la mère du nourrisson grâce à des tests ADN, s’il est né à terme, viable ou non, quand, dans quelles conditions et si sa mère a fait un éventuel déni de grossesse. Une autopsie va être pratiquée. Le parquet de Lille a ouvert une enquête, confiée à la brigade de recherches de Douai.

Working Kelpie

Publié à 10:25 par fandeloup Tags : travail sur
Working Kelpie

Un Working Kelpie Australien (comme Magia) au travail... Ces chiens si particuliers, adorent se promener sur le dos de leur Famille-Moutons qui l'accepte avec plaisir !