Fandeloup

Jacques LegendreUn sénateur UMP veut remplacer le Français par l'Arabe comme langue d'apprentissage dans les écoles arabisées ! 

Le chamois blanc a été abattu

Le chamois blanc tiré samedi, photographié cet été. Lorsqu'on abat des ours, on nous dit que c'est parce qu'ils sont "trop grands et inadéquats à notre petit pays".

Quand on abat un loup, c'est parce qu'il s'agit d'un "prédateur dangereux" pour les chèvres et les moutons.

Que pourrait-t-on bien dire lorsqu'on abat un chamois blanc? Que c'était pour avoir "un trophée exceptionnel"?...

Cette dernière déclaration est pourtant celle du chasseur ajoulot qui a tiré l’un des deux chamois blancs du Clos du Doubs, samedi dernier. Et comme le tir était parfaitement autorisé, notre homme "assume" son acte.

Le tir a été effectué dans des conditions légales, mais les personnes attachées aux deux chamois blancs, promeneurs et photographes, réagissent.

Landes: Le jeune homme porté disparu retrouvé mort

Un avis de recherche suite à la disparition du jeune Sullivan Franchi, 18 ans, avait été lancé jeudi par la gendarmerie de la Gironde.

Les gendarmes ont indiqué ce lundi avoir retrouvé le corps de l'adolescent, près du lac de Parentis-en-Born, commune des Landes où il était scolarisé en terminale, indique le site Sud-Ouest.fr.

L'hypothèse du suicide est celle privilégiée à ce stade de l'enquête. Sullivan avait quitté le domicile familial, près de Parentis-en-Born, à VTT, le 19 mars vers 19h30, et restait depuis introuvable.

La macabre découverte a été effectuée par l'une des très nombreuses personnes venues spontanément participer aux recherches, ce lundi, vers 9h45.

Un renard blanc abattu dans l'Aisne : "ça m'a vraiment fait mal au coeur"

Jean-Loup Ridou, photographe animalier, est en colère. Depuis deux ans, un renard blanc, un animal très rare, vivait dans le secteur de Cuiry-lès-Iviers, au sud de Vervins (Aisne).

Mais début février, il a été abattu par un chasseur, au nom de la régulation de l'espèce.

L'arme de Jean-Loup Ridou, c'est son appareil photo avec lequel il piste les animaux.

En 2013, après des jours d'attente, il réussit enfin à photographier un renard blanc, d'une espèce très rare. Il ne s'agit pas d'un albinos, mais d'un animal atteint d'une particularité génétique de dépigmentation du pelage appelé leucisme.

La disparition d'un renard blanc dans l'Aisne

Un reportage de Marie Roussel, Benoît Henrion, Patricia Mock.

Intervenants : Jean-Loup Ridou, photographe animalier et Guénaël Hallart, naturaliste local.

Extraits du documentaire "L'odeur de l'herbe coupée" de Franck Vigna.

Le renard blanc vivait dans le secteur de Cuiry-lès-Iviers, au sud de Vervins dans l'Aisne. "Il sortait deux-trois fois par jour pour prendre des bains de soleil", raconte Jean-Loup Ridou.

Mais début février, le renard a été tué par un chasseur. La Fédération de chasse confirme, mais n'a pas souhaité nous répondre en interview. Pour elle, c'est un non sujet : cet animal a été abattu comme n'importe quel autre. "Ça m'a fait vraiment mal", explique le photographe ajoutant "je me suis dit : il y a peut-être des enfants qui n'en reverront plus jamais".

Chaque année dans l'Aisne, les chasseurs tuent environ 12.000 renards, au nom de la régulation de l'espèce.

Accusé de bien des maux, il est pourtant lui-même le prédateur naturel de certains nuisibles.

Etats-Unis : une femme innocentée après 23 ans dans le couloir de la mort

Toutes les charges ont été abandonnées lundi à l'encontre de Debra Milke, une femme d'origine allemande, qui a passé 23 ans dans le couloir de la mort.

Toutes les charges ont été abandonnées lundi à l'encontre de Debra Milke, 51 ans, qui a passé 23 ans dans le couloir de la mort aux Etats-Unis.

Cette femme d'origine allemande avait toujours clamé son innocence après le meurtre de son fils de 4 ans en 1990 en Arizona (sud-ouest).

Mais elle avait été condamnée à mort sur la base du seul témoignage non corroboré du principal enquêteur, qui avait prétendu avoir recueilli ses aveux.

La juge Rosa Mroz du comté de Maricopa a formellement prononcé la relaxe lundi, en présence de Debra Milke, l'accusation ayant perdu son dernier appel devant la cour suprême de l'Etat.

Debra Milke a éclaté en sanglots à l'annonce de cette relaxe tant espérée avant de tomber dans les bras de ses partisans. Elle a pu quitter le tribunal libre, le bracelet-électronique qu'elle portait à la cheville lui ayant été aussitôt retiré rapporte le site de ABC 15 Arizona. Debra Milke, libérée sous caution depuis 2013, devient ainsi la deuxième femme jamais innocentée du couloir de la mort aux Etats-Unis, et la 151e personne à l'être depuis 1973, dont neuf en Arizona, selon le décompte du Centre d'information sur la peine capitale (DPIC).

La conduite «scandaleuse» du principal enquêteur Après 23 ans dans le couloir de la mort, sa condamnation avait été annulée il y a deux ans par une cour d'appel, en raison de la conduite «scandaleuse» du principal enquêteur et du silence des procureurs à propos des agissements de ce dernier.

Le 17 mars, la Cour suprême de l'Arizona a refusé d'entendre l'ultime recours de l'accusation et la juge a abandonné toutes les charges lundi. VIDEO. Etats-Unis : Debra Milke innocentée après 23 ans dans le couloir de la mort Selon le détective «corrompu», Armando Saldate, cette femme divorcée avait avoué avoir engagé deux tueurs pour assassiner son fils de 4 ans et toucher une prime d'assurance.

Mais Debra Milke avait démenti, et aucun enregistrement ni témoin n'avaient jamais corroboré ces allégations, peut-on lire dans un communiqué du DPIC qui dénonce la carrière peu scrupuleuse du policier, pour qui «les procureurs de l'Arizona sont accusés de mauvaise conduite dans la moitié des cas de peine capitale».

Deux hommes ont plaidé coupable

Le 2 décembre 1989, Debra Milke avait accepté que son colocataire, Jim Styers, accompagne son fils au centre commercial pour voir le père Noël. Jim Styers, accompagné de son ami Roger Scott, avaient en réalité conduit «le garçon dans un ravin isolé à l'extérieur de la ville où Styers avait abattu Christopher de trois balles dans la tête», selon la décision de la cour d'appel.

Les deux hommes, Roger Scott et Jim Styers, ont plaidé coupable et ont été condamnés à mort séparément pour le meurtre du garçonnet. A l'origine de l'affaire, ils avaient déclaré qu'ils avaient accepté de tuer l'enfant pour espérer toucher une partie de l'assurance vie. Ils sont toujours dans le couloir de la mort en Arizona.

La vraie confiance est sans objet. Elle se nourrit d'étonnement.

Je m'endors en pensant comme chaque soir que le plus beau est à venir

A petits pas je marcherai très très longtemps. A petit pas j'arriverai en Chine ou au Japon .Si j'ai le temps a petits pas j'irai très loin. Un jour demain ou l'an prochain

Il y a quelque chose en toi qui est indestructible, que personne ne peut dérober, ni souiller, ni trahir.

je n'aurai pas dû entrer dans ce champ pour cueillir des coquelicots. je le savais, pourtant : les coquelicots, il faut les aimer avec les yeux, pas dans les mains. Dans les yeux, ils flambent. Au bout des doigts, ils fanent