Fandeloup

Vivre, c’est se réveiller la nuit dans l’impatience du jour à venir, c’est s’émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c’est avoir des insomnies de joie

Un peu de chaleur, une minute de douceur, ils sont comme vous et moi. Des etres qui ont froids, au coeur, grand comme cà, seulement , ils ne peuvent le montrer. Leur larmes se figent sur un passé parfois rempli de joie,mais la vie une bataille de tout les instants ,un grain de sable parfois emporté par le vent se pose sur notre coeur et pour une minute de douceur ils ressentent de la chaleur. Ils s'accrochent à cette vie et je m'incline devant ce courage. Le manque d'amour est la plus grande pauvreté.

Le soleil change souvent d’horizon et de théâtre, afin que la privation le fasse désirer quand il se couche, et que la nouveauté le fasse admirer quand il se lève

Mes cris, mes larmes, sont étouffées par ton silence. Cette indifférence, qui me fait si mal. Cette absence qui me boulverse. Il n'y a plus de matin heureux. Plus de jours embellis par ta présence, ine me reste qu'une douleur permanente. Une envie d'en finir, de fuir, vous étes les seuls témoins de mon désarrois, alors excusez- moi. Une vie où j'ai façonné chaque contours, et que j'ai aimé,et puis , tu es entrée , tout c'est écroulé et en mille morceaux, tm'a laissé

Je me suis recroquevillée. Je n’ai plus envie de parler. Mon cœur est déchiré. Les palpitations sont démesurées. J’ai fait un arrêt sur image. Je n’arrive pas à tourner la page. Le chagrin me brise toute entière. Je me sens vide et amère. Mes larmes se brisent sur mes joues. Je ne ressens que du dégoût. Ma tête est pleine de pensées. Je n’arrive pas à les exorciser. J’ai mal au plus profond de moi. Tu me manques et je ne le supporte pas.Le manque on ne s’y habitue pas. Le vide on ne le comble pas. Aujourd’hui, les souvenirs remontent à la surface. Ma tristesse, je la prends en pleine face. Je ne veux pas oublier tous ces souvenirs. Je ne veux pas les voir partir.Mon désespoir est toujours aussi grand

Quand la vie impitoyable vous tombe dessus,on n'est plus qu'un pauvre diable broyé et déçu

Je partirai au petit jour ou dans la nuit, sans faire de bruit. Laissant la place, a ce qui fut moi.

Tiens, bouffe la seul, ta gamelle, ÉGOÏSTE !!

Mon cri reste à l’intérieur. Il me fait même parfois très peur. J’ai envie de dire aidez-moi. Mais mon cri s’étouffe à chaque fois. Je ne suis plus qu’une brisure,remplie de déchirures. Complètement désespérée.J’aimerai que l’on puisse m’aider

A TOUS