Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

un jour

Publié à 16:25 par fandeloup Tags : vie homme amour
un jour

Un jour on trouve l'amour et l'on compte des jours qu'on ne savait pas compter,qu'on n'avait pas trouvés .Des jours si pleins de joie qu'on n'en rêvait même pas et des jours faits d'épreuves ,et des jours faits d'averses mais qu'à deux on traverse avec une force neuve. Un jour on trouve l'amour,un homme de tous les jours. Un homme sans vanité sur qui l'on peut compter,sa vie entre ses mains .On ne craint plus demain et si l'on tremble un peu on serre un peu plus celle de l'homme qui nous appelle la prunelle de ses yeux. Un jour on trouve l'amour. On ne compte plus les jours. On rêve juste des années qui restent à partager

regard

Publié à 15:34 par fandeloup

sommeil

Publié à 15:28 par fandeloup Tags : société fille nuit papier heureux air enfants animaux chez
sommeil

Quelle position pour dormir?

La réponse dépend de vos besoins.

- Que vous soyez plutôt du genre à dormir sur le côté, sur le dos ou le ventre, il y a de fortes chances que vous changiez rarement vos habitudes de sommeil. D'après une étude conduite en 2012 par la société de décoration Anna's Linens, 74% des Américains dorment sur le côté alors que 16% déclarent préférer dormir sur le ventre, et 10% sur le dos. Dans l'hexagone aussi, plus de la moitié des Français dorment sur le côté. S'il est difficile de dire ce que ces préférences dévoilent de nos personnalités, ces différentes positions ont de réelles conséquences sur le sommeil et la santé.

6 astuces pour mieux dormir

Ne cherchez pas à savoir quelle heure il est. Vous rendrez compte qu'il est déjà trois heures du matin ne fera que vous stresser davantage. Planquez votre réveil sous votre lit, vous l'entendrez, mais vous ne le verrez pas.

Aidez votre esprit à se détendre La nuit on pense à tout, à tout ce qu'on doit faire, ce qu'on devrait faire, ce qu'on aurait dû faire. D'où l'intérêt d'avoir un plan pour tenir éloigner cette angoisse. Quand vous sentez que votre esprit commence de tourner à toute vitesse ou encore quand vous êtes réveillé par le stress, prenez une fille de papier et notez tout ce que vous avez à faire. Cela vous permettra de faire le ménage dans votre tête.

Pensez à un lieu qui vous plaît Votre cerveau continue de bourrer? Rebecca Scott, docteur et experte en troubles du sommeil au New York Sleep Institute recommande de "penser très fort à une expérience positive ou à quelque chose ou quelqu'un qui vous aura rendu heureux." Pour le psychologue Robin Haight, il peut aussi être utile de se représenter dans un lieu confortable, à la plage, dans les bois ect...

Luttez contre les bouffées de chaleur Pendant la ménopause, la diminution des niveaux d'oestrogènes peut provoquer des bouffées de chaleur. La nuit, elles sont susceptibles de vous réveiller. Si cela arrive souvent, gardez votre chambre fraîche. Ouvrez une fenêtre, installez un ventilateur ou l'air conditionné. Portez des vêtements plus légers, faites de même avec vos draps. Parlez-en aussi avec votre médecin. Il pourrait vous proposer un traitement à base d'hormones ou encore des antidépresseurs.

Propriété privée! Tenez les enfants et les animaux éloignés de votre chambre à coucher. C'est parfois difficile, mais vous y gagnerez en tranquillité. Sauf si on s'agite devant votre porte.

Faites le black out La lumière et le bruit, aussi légers soient-ils sont susceptibles de vous déranger bien plus que vous ne l'imaginez. Éteignez votre téléphone et mettez le à charger hors de votre vue. Une chambre noire de chez noire aura des effets bénéfiques sur votre sommeil. De la même manière dégagez toutes les sources de lumière claire. Les veilleuses sombres ou la lumière de votre réveil ne perturberont pas vos niveaux de melatonine, vous pouvez donc en brancher dans les couloirs si jamais vous avez besoin de vous lever au milieu de la nuit. N'hésitez pas non plus à installer des rideaux occultant sur vos fenêtres.

cigalle

Publié à 14:39 par fandeloup Tags : nature
cigalle

La nature dit toujours quelque chose... soyons à son écoute.

honteux

Publié à 14:27 par fandeloup Tags : vie homme enfants france société photo mort cadre voiture bébé
honteux

Nord : un père oublie son bébé plusieurs heures dans sa voiture Le nourrisson a miraculeusement survécu.

Le nourrisson a miraculeusement survécu.

 Cette négligence aurait pu coûter la vie de son enfant. Un père de famille, cadre d'une société , a oublié ce mardi son bébé de sept mois, endormi, dans sa voiture sur le parking de son entreprise à Wasquehal, dans le nord.

L'enfant est resté plusieurs heures dans le véhicule en partie exposé au soleil durant la matinée. Il a été découvert lorsque le père a voulu récupérer sa voiture lors de la pause-déjeuner.

L'homme, âgé de 34 ans, choqué, a expliqué avoir oublié de déposer son enfant à la crèche et être préoccupé par un important projet professionnel. A l'arrivée des secours, le bébé était déshydraté, assoiffé mais conscient.

Il a été transporté au service pédiatrie du centre hospitalier de Roubaix mais ses jours ne seraient pas en danger. Une campagne de sensibilisation Aux Etats-Unis, une campagne de sensibilisation a été diffusée par l'Etat de Géorgie pour la protection des enfants contre la chaleur en voiture.

Baptisée "Look again", la vidéo fait témoigner professionnels et parents et invite à regarder à plusieurs reprises qu'aucun enfant n'a été oublié à bord d'une voiture.

Début juin, un nourrisson de trois mois est mort après avoir été oublié par ses parents pendant plus de quatre heures dans une automobile dans l'Aude.

A quand une campagne de ce type en France ?

sauvetage

Publié à 13:51 par fandeloup Tags : amis travail dieu bébé
sauvetage

 La réunion de la mère éléphant avec son bébé est trés émouvante! Dans le parc national d' Amboseli au Kenya, un bébé éléphant de 8 mois est tombé dans un puits et il ne peut plus sortir.

Grâce au dévouement et aux efforts des gens de l'ATE (Amboseli Trust for Elephants), le petit éléphant a été sauvé et il a été réuni avec sa mère.

Partagez cette vidéo touchante avec vos amis et montrez votre soutien au travail impressionnant de ces gens pour protéger la faune sauvage!

les soldes toute l'année

Publié à 11:54 par fandeloup Tags : paris france

Magasins d'usine : les soldes toute l'année Des grandes marques à prix réduits, c'est ce que proposent les outlet centers ou centres de marques. En France, on en compte plus d'une vingtaine. Un succès qui n'a cessé de grandir depuis le début de la crise. Les consommateurs, dont le budget moyen consacré aux vêtements à chuté, sont de plus en plus nombreux a les fréquenter. Reportage à Usines Center Paris Outlet (95).

abandon

Publié à 11:29 par fandeloup Tags : image
abandon

Et pourtant... Le coupable, le responsable, se trouve toujours du même côté de la laisse, le côté qui n'est pas présent sur cette image...

Fin de vie

Publié à 11:15 par fandeloup Tags : vie homme article
Fin de vie

Fin de vie : le Conseil d'Etat se prononce pour l'arrêt des soins de Vincent Lambert

Vincent Lambert est en état « pauci-relationnel » depuis un accident de la route il y a près de six ans.

Tétraplégique, il est totalement dépendant, bouge les yeux, ressent la douleur mais on ne sait pas s’il comprend lorsqu’on lui parle.

La décision du Conseil d'Etat est tombée ce mardi. La plus haute juridiction administrative française s'est déclarée en faveur de l'arrêt des soins de Vincent Lambert, cet homme de 38 ans maintenu en vie dans un état végétatif depuis sept ans.

La plus haute juridiction administrative française a jugé légale la décision médicale prise par le CHU de Reims de mettre fin aux traitements de Vincent Lambert.

Il a ainsi suivi l'avis du rapporteur public, qui avait préconisé vendredi l'arrêt des soins, estimant que le patient était maintenu «artificiellement» en vie, ce qui relevait d'une «obstination déraisonnable».

La famille de ce patient, inconscient depuis un accident de la route, se déchire, les uns réclamant la poursuite du traitement qui le maintient en vie, les autres exigeant son arrêt.

Ancien infirmier en psychiatrie de 38 ans, Vincent Lambert est hospitalisé au CHU de Reims après un accident de la route en 2008 qui lui a occasionné, selon les médecins, des «lésions irréversibles».

Les parents saisissent en urgence la Cour européenne des droits de l'homme

La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a par ailleurs annoncé mardi avoir été saisie en urgence par les parents de Vincent Lambert, qui espèrent qu'elle s'opposera à l'arrêt des soins du tétraplégique.

La CEDH a été saisie d'une demande d'intervention sur la base de l'article 39 de son règlement, qui prévoit qu'elle peut imposer aux Etats des mesures urgentes et provisoires, «à titre exceptionnel, lorsque les requérants seraient exposés -en l'absence de telles mesures- à un risque réel de dommages graves et irréversibles».

EN BREF

Le rapporteur public du Conseil d'Etat s'est prononcé ce vendredi contre le maintien en vie de Vincent Lambert, tétraplégique et muet depuis un accident de voiture en 2008.

Les parents, catholiques, souhaitaient le maintien de leur fils en vie tandis que son médecin, son épouse et son neveu prônaient l'arrêt des soins.

Pour comprendre pourquoi il est si difficile de trancher, il faut plonger dans les conflits d'une famille déchirée.

Nous republions l'article "Vincent Lambert, condamné au silence", paru dans le "Nouvel Observateur" du 6 février 2014.

"Vous êtes bien sur le portable de Vincent Lambert". Une voix, grave, chaleureuse, se fait entendre à l'autre bout du téléphone, désormais celui de son épouse Rachel. Cela fait cinq ans que la voix du répondeur résonne dans le vide. Fantôme obstiné, rappelant le Vincent Lambert d'avant l'accident de voiture fatal, ce trentenaire, tout juste père, infirmier, qui avait la vie devant lui.

Vincent Lambert est aujourd'hui cloué sur un lit d'hôpital. Muré dans le silence. Le jeune homme de 38 ans est dans un état "pauci-relationnel, de conscience minimale plus", comme disent les médecins. Il ne peut pas interagir avec ses proches. Même pas d'un clignement de paupière, comme dans "le Scaphandre et le Papillon" qui racontait le calvaire d'un homme atteint d'un locked-in syndrome. Il a été dépossédé de lui-même.

Il n'est même plus le Vincent qu'ont connu ses proches, mais le Vincent Lambert de "l'affaire". Objet d'une bataille entre l'équipe médicale, soutenue par son épouse et une partie de la famille, en faveur de l'arrêt des traitements, et ses parents qui, à coups de référés, s'y opposent. Héros malgré lui d'un feuilleton macabre, où les projecteurs médiatiques se sont braqués sur l'espace intime d'une chambre d'hôpital désormais fermée à clé, gardée par des vigiles et des caméras de sécurité.

Désir de vivre ?

On peut tout faire dire au silence. Ceux de Vincent Lambert sont scrutés par les juges, les médecins, sa famille.

Vincent se tait, mais c'est cela qui est troublant, il peut sourire, grimacer, voire pleurer. Chacun peut interpréter ces signes comme il le veut. D'un côté, les parents de Vincent, Pierre et Viviane (qui n'ont pas souhaité nous répondre), en sont persuadés : les larmes de Vincent étaient des larmes de joie, joie "d'avoir été sauvé" une première fois en mai, quand les traitements ont repris, puis une seconde fois, aujourd'hui, alors que le tribunal administratif s'est opposé le 16 janvier à l'arrêt des soins.

Dans cette bataille, les parents et leurs proches, mus par des convictions religieuses tranchées - ils sont proches de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, qui a été excommuniée un temps par le Vatican pour ses positions intégristes - se sont adjoint les services de Me Jérôme Triomphe, avocat également de l'association de fondamentalistes catholiques Civitas :

C'est la première fois depuis 1981 qu'un avocat plaide pour un condamné à mort, a-t-il déclaré sur Radio Courtoisie. Pour l'instant les autorités religieuses ne sont pas intervenues, honte à elles, elles devront en rendre compte devant le Tout-Puissant."

Le camp pro-vie n'a reculé devant rien : des huissiers sont venus jusque dans la chambre d'hôpital pour constater la tentative "d'assassinat". Les photos de Vincent sur son lit ont été diffusées dans les médias et dans des blogs comme Riposte catholique, le site de la "réinformation catholique au quotidien", farouchement opposé à l'avortement, ou même à la loi Leonetti, qualifiée de loi d'euthanasie.

On disséquait le "beau sourire de Vincent" et "son visage apaisé". "Il va bien, regardez", a lancé l'un des avocats lors d'une audience, en brandissant un cliché montrant Vincent sur un fauteuil devant l'hôpital, lors du mariage de sa soeur. "Il n'aurait jamais voulu qu'on l'exhibe comme ça", se désespère François, son neveu et ami, qui s'est porté partie civile, comme l'équipe médicale.

Ou désir de mourir ?

De l'autre côté, l'épouse de Vincent, et Rachel, soutenue par plusieurs frères et soeurs de son mari. Teint translucide, yeux clairs, elle tient on ne sait comment. Cela fait cinq ans qu'elle était à son chevet, tous les jours. Elle a mis sa vie entre parenthèses, déménageant pour suivre son mari d'un hôpital à l'autre, embarquant avec elle leur fille : la petite avait quelques mois quand l'accident est survenu. La vie de Rachel est depuis ce jour-là une vie d'attente. Attendre, espérer et tomber. Attendre en réanimation :

Et ce premier choc : quand on l'a sorti du coma artificiel, il a enroulé les bras. Je suis infirmière, je sais ce que ça veut dire... C'est très mauvais signe."

Attendre pour avoir une place dans un centre d'éveil de Berck, attendre plusieurs mois l'amélioration qui ne vient jamais, puis partir. Attendre pour obtenir une place à Liège, où des spécialistes ont cartographié le cerveau de Vincent, révélant toutes les zones lésées, et proposé une euthanasie refusée par Rachel.

Espérer encore un miracle avec une opération de la dernière chance, qui ne donnera rien. Se raccrocher à ces 80 séances d'orthophonie, pour tenter d'établir une connexion. En vain. Le jeune homme avait dit à son épouse, à son frère Joseph qu'il ne souhaiterait pas vivre ainsi, si un jour ce genre de choses lui arrivait, mais il n'a rien écrit. Reste donc ces "gestes d'opposition aux soins" notés par l'équipe médicale et sa femme, ces grimaces. Mais comment vaincre le silence ?

Je veux juste qu'on respecte mon mari et ce qu'il a été. Faire entendre sa voix", dit Rachel.

Avec l'hôpital de Reims, elle a déposé un recours devant le Conseil d'Etat et attend l'ultime décision juridique dont dépend le sort de Vincent Lambert [le Conseil devrait se prononcer à nouveau le vendredi 20 juin].

Instrument d'une "croisade"

Accusé de n'avoir pas suffisamment informé les parents, le docteur Kariger explique : "Pour nous, la personne référente était Rachel, simplement parce qu'on la voyait tous les jours." Contrairement aux parents de Vincent, qui, habitant dans le sud de la France, venaient le voir quatre fois par an. Joseph, son frère, qui soutient l'équipe médicale, s'interroge :

Aujourd'hui, ma mère est partie dans un combat qui n'est plus seulement celui d'une mère pour son fils. Mes parents auraient pu louer un appartement à Reims pour être plus proches de Vincent. Mais ma mère ne pouvait pas quitter la Drôme, où elle s'est installée pour se rapprocher du monastère Sainte-Madeleine du Barroux, où l'un des mes demi-frères a longtemps été moine. La religion, c'est tout pour elle."

Très catholiques, Viviane et Pierre Lambert avaient pourtant déjà l'un et l'autre une famille quand ils se sont rencontrés. Lui était gynécologue, militant anti-avortement, elle, assistante, distribuait aussi des tracts pro-vie. Les enfants Lambert ont grandi dans cet univers corseté, élevés dans des pensions de la Fraternité Saint-Pie-X. Vincent, lui, se révolte durant l'adolescence, c'est un garçon entier, extrême, avec sa part d'ombre, ses blessures secrètes et une rancoeur sourde contre ses parents, celle de ne pas avoir été assez protégé enfant.

Comme leur aîné, Joseph et Marie ont choisi de s'éloigner de cette religion écrasante à la maison, où il fallait le dimanche "faire le chapelet". Seule leur soeur Anne est restée du côté des parents. Elle s'est également portée partie civile, même si elle semble dépassée par la tournure qu'ont pris les événements.

Vincent avait profondément rejeté les valeurs de mes parents, je leur en veux beaucoup de l'utiliser pour leur croisade", note Joseph qui ne leur a quasiment plus adressé la parole depuis mai.

A l'hôpital, autour de la chambre de Vincent, s'anime un étrange ballet. On se croise, on s'évite. Dans un silence hostile. "Dans cette histoire, il n'y a que des victimes", observe le docteur Kariger. Et Vincent dans tout ça ? A t-il conscience de la guerre farouche qui se livre autour de lui ? Le jeune homme a fait une crise d'épilepsie et sa température est instable. Veut-il manifester sa détresse d'avoir été condamné à vivre ou celle d'être sous la menace d'une condamnation de mort ? On peut faire dire tant de choses au silence.

nature

Publié à 09:47 par fandeloup Tags : nature
nature

La nature fait toujours, selon les conditions dont elle dispose et autant que possible, les choses les plus belles et les meilleures