Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

ruine

Publié à 11:28 par fandeloup
ruine

Le passé détient les clefs du présent. Chaque chapitre de l’évolution influence et laisse ses traces sur les chapitres suivants. Cela s’applique aussi bien à la personnalité humaine qu’à l’univers dans son ensemble



sauvetage

Publié à 11:07 par fandeloup Tags : chiens aimer ange livre chien animal heureux histoire belle fond chez homme monde rose vie
sauvetage

Le bouleversant sauvetage d'un chiot jeté dans un canyon de 106 mètres

 HÉROS

sauvetage chien jeté dans un canyon Riley, c'est le nom d'un chien dont le sort émeut des milliers de personnes à travers le monde depuis plusieurs jours.

Le pauvre animal a été jeté au fond d'un canyon de plus de 100 mètres alors qu'il était un tout jeune chiot. Privé d'eau et de nourriture, le chien était promis à une certaine...

Mais c'était sans compter sur la miraculeuse arrivée de son ange gardien : Zak Anderegg. Il tombe nez à nez avec un chien à l'agonie

Le jeune homme, adepte d'escalade et de randonnée, se baladait dans les canyons de l'Arizona lorsqu'il est tombé sur un chien à l'agonie.

Pas de doute, l'animal ne s'est pas rendu seul dans un tel endroit. Il est impossible d'y accéder sans équipement d'alpiniste. S'il s'est retrouvé là, c'est que quelqu'un l'y a emmené...

Zak Anderegg est remonté aussi vite qu'il était descendu dans le canyon pour aller chercher de l'eau et de la nourriture, et tenter de sauver l'animal effrayé et décharné.

Ce sauvetage, Zak l'a filmé et mis en ligne sur Youtube il y a un an (voir la vidéo ci-dessous).

Après avoir regardé le chien se ruer sur la nourriture et reprendre quelques forces, le jeune alpiniste l'a sorti de son piège. Riley était bien trop faible pour pouvoir se tenir debout.

Zak l'a donc immédiatement conduit chez un vétérinaire. La nouvelle vie de Riley Après plusieurs jours de soins, le chien a pu quitter la clinique, auprès de son nouveau maître.

Car Zak a décidé d'adopter Riley, d'offrir à ce chien abandonné une nouvelle chance, de l'aimer et le choyer pour le restant de ses jours. Voilà déjà 4 ans que Zak et Riley coulent des jours heureux. Le chien n'ayant plus que la peau sur les os est aujourd'hui un magnifique toutou en parfaite santé.

Et des nouvelles du chien sont régulièrement données aux quelque 23 000 fans qu'il réunit sur Facebook. "Il est devenu un membre précieux de ma famille.

Il est sans doute l'un des chiens les plus doux que j'ai jamais connus" affirme Zak qui a trouvé en Riley le compagnon de randonnée parfait. Cette belle histoire, Zak la raconte dans un livre intitulé Rescuing Riley, Saving Myself: A man and his dog's struggle to find salvation. Les anglophones, car le livre n'a malheureusement pas encore été traduit, peuvent se le procurer



rose

Publié à 10:25 par fandeloup Tags : rose
rose

La rose des sables est une roche évaporitique formée par la cristallisation lenticulaire de minéraux solubles, et dont la disposition rappelle les pétales d'une rose.

La formation des roses des sables provient de l'évaporation d'eau infiltrée. Ces cristallisations sont très souvent rencontrées dans les terrains tendres (sable, argile), principalement dans les déserts. Le principal minéral concerné par ce processus est le gypse ; mais des roses des sables peuvent aussi être composées d'autres minéraux, comme la baryte.

Les roses des sables peuvent parfois atteindre de très grandes proportions et peuvent dépasser la centaine de kilogrammes.



Comportementalisme et éducation canine

Comportementalisme et éducation canine

Eduquer dans le respect : une évidence, pourtant bien malmenée...

Vertement décriées par tout un versant du monde cynophile, les méthodes positives sont souvent pointées du doigt comme inefficaces, au mieux douces et dingues, au pire « dangereuses ». Pourquoi ? Ne nous voilons pas la face : dans le monde de l’éducation canine, deux écoles s’affrontent. Les tenants des méthodes positives contre les partisans des méthodes coercitives. Idéologie contre idéologie pourrait-on dire. Les uns crient au laxisme, les autres à la maltraitance, les détracteurs des méthodes positives n’hésitant d’ailleurs pas à soutenir qu’elles ne s’appliquent qu’à des chiens d’un naturel docile, et qu’en réalité, elles relèvent d’une sorte de « non éducation », d’un phénomène de mode un peu «néo-baba »…

« Positif » ne veut pas dire « laxiste »

Tout d’abord, il faut absolument battre en brèche une idée reçue : éducation positive rimerait avec « laisser tout faire ». Les « pros » de la coercition sont encouragés dans leur opinion par les agissements de certains particuliers : séduits par un discours a priori facile, ces propriétaires confondent allègrement « positivité » avec permissivité.

Le résultat ?

Des chiens « no limit », exemples parfaits pour alimenter le discours des « antis ». Or, osons l’affirmer : « positif » ne veut pas dire « laxiste ». Eduquer positivement, c’est… éduquer ! Non, les tenants de l’éducation positive ne laissent pas leurs chiens mordre le facteur, détruire leur appartement, tirer à la laisse ou manger dans leur assiette ! Et oui, les défenseurs de l’éducation positive apprennent les bonnes manières à leur chien, mais ils le font sans crier, sans vociférer, sans frapper, en respectant la réalité éthologique de leur animal. Car, rappelons-le, punir n’apprend pas à bien se comporter. Punir sanctionne, c’est tout, et encore faut-il que la punition survienne au bon moment, et qu’elle « parle » au chien. Confronté à des corrections verbales et physiques à la chaîne, des corrections qui, dans son univers, ne font pas sens, le chien n’apprend qu’à tenter d’éviter les coups et le courroux. Bien pire, il finit par se résigner, cesse de réfléchir, se « soumet » aux diktats. Et non, chez les partisans des méthodes positives, les chiens ne mangent pas dans l'assiette de leurs maîtres !

Et chez les humains

Les méthodes coercitives appliquées aux enfants sont aujourd’hui bannies. L’on connaît les risques qu’encourent les enfants éduqués par des brimades, des coups, des punitions, bref des maltraitances à répétition. L’on sait en effet que la violence engendre la violence, mais aussi la peur et des troubles du comportement et de la relation sociale.

Quel parent accepterait aujourd’hui que son enfant soit giflé, malmené, frappé par son professeur ?

Pourtant, personne ne s’interroge sur les violences faites aux chiens. Ainsi, nombre de propriétaires continuent de confier leur compagnon à quatre pattes, que par ailleurs ils disent chérir de tout leur cœur, à des éducateurs « virils », adeptes des colliers à pointes, des décharges électriques et des contraintes à tout-va.

Est-ce là le chemin idéal vers une cohabitation harmonieuse ? Vers une confiance réciproque ?

Nos chiens, pas plus que nos chats, nos chevaux ou nos enfants, ne méritent qu’on leur inflige pareil traitement. C’est barbare, mais aussi contre-productif. Un chien brutalisé à répétition risque un jour de se retourner contre son tortionnaire: il y aura été acculé, agira en état de légitime défense, mais aucun avocat ne viendra défendre sa cause. Il sera catalogué « dangereux », puis euthanasié sans autre forme de procès…

Ignorer les mauvais comportements, récompenser les bons

Evidemment, comme dans toute éducation, il convient de poser des interdits et de mettre des règles en place. Ce sont là des étapes indispensables, bases de la vie sociale, mais qui doivent se faire dans le calme, avec fermeté et sans violence, d’une manière compréhensible pour le chien.

Les tenants de l’éducation positive vont indiquer à leur chien ce qu’ils aimeraient lui voir accomplir, puis le féliciter pour sa coopération. En cas de comportement non désiré, ils vont interrompre l’animal, puis réorienter son action vers quelque chose d’acceptable.

Bien sûr, il est difficile d’éduquer sans punir : ainsi, l’ignorance intentionnelle est un excellent moyen de faire comprendre à l’animal qu’il a dépassé les bornes. Les insistants seront mis à l’écart du groupe : rien de tel pour se calmer !

D’ailleurs, si l’on prend la peine de regarder les chiens interagir, l’on se rend compte que souvent, ils choisissent de se détourner d’un congénère qui les ennuie plutôt que d’entrer en conflit pour des broutilles. Une attitude extrêmement limpide entre chiens, dont nous pouvons nous inspirer pour communiquer efficacement avec nos compagnons.

En méthode positive, l’on va aussi apprendre au chien à gérer sa frustration et ses émotions, à ne pas exiger un contentement immédiat de ses désirs. Tout cela se fera au rythme de l’animal, selon ses capacités, son caractère, son tempérament.

Enfin, là où les partisans de la coercition rééduqueront le chien « grogneur » (par exemple) avec force secouages et placages, les comportementalistes-éducateurs, formés aux méthodes respectueuses, réfléchiront à ce qui a pu conduire ce chien-ci à menacer.

Surtout, ils envisageront le grognement comme un élément « sain », dans le sens où le chien a prévenu - il aurait en effet pu mordre directement. En outre, n'oublions pas que les rééducations musclées présentent plusieurs dangers, et notamment celui d’induire un passage à l’acte plus rapide: l’animal risque d’apprendre à zapper la phase « menace ».

Rééducation à l'ancienne, à la «César Millan», avec technique de l'alpha-roll

Cette année, un « professionnel du chien », maître ès cruautés, annonce sa venue en Suisse : César Millan, dont les émissions outre-Atlantique diffusent à grande échelle les méthodes antédiluviennes, propageant par ailleurs un discours nauséabond (et fallacieux), qui justifie(rait) à lui seul toutes les violences faites aux chiens : ceux-ci ne poursuivraient qu’un but, « dominer » leurs propriétaires* (dans le sang si possible).

Il semblait important, dans ce contexte, de rappeler que la brutalité n’est pas une fatalité mais un choix, réfléchi et consenti, avec moult conséquences dommageables, tant pour le chien que pour le maître. Et que de vraies solutions existent, éthologiquement convenables (mais certes moins spectaculaires !), pour apprendre au chien à vivre en société humaine, paisiblement et sans conflits. Marie Perrin

Attention, DINOS ! DINOS, ou Dog in Need of Space :

l’acronyme, créé par l’Américaine Jessica Dolce, désigne un chien qui ne supporte pas l’intrusion d’« indésirables », congénères ou humains, dans sa « bulle ».

Décryptage.

Le terme DINOS, qui pourrait être traduit par « chien ayant besoin d’espace », renvoie à des chiens qui, pour une raison ou pour une autre, ont beaucoup de mal à tolérer que l’on s’approche trop près, ou trop vite d’eux. Rappelons tout d’abord que chaque chien possède une distance critique, une zone dont le périmètre varie d’un individu à l’autre, varie aussi selon les circonstances et selon l’état émotionnel de l’animal.

En cela, les DINOS sont semblables à tous les autres chiens, le « besoin d’espace » étant fondamental (et ce, d’ailleurs, que l’on soit un chien ou un humain).

La différence entre les DINOS et les autres, comme le rappelle

Jessica Dolce, c’est que les DINOS ont besoin d’encore plus d’espace. Et qu’ils ne parviennent pas à s’adapter en cas de non-respect de cet impératif.

Pour mieux comprendre ce qu’est la distance critique, prenons l’exemple de la salle d’attente d’un médecin. Certaines personnes vont s’asseoir juste à côté d’un autre patient, tandis que d’autres personnes laisseront une chaise, voire deux chaises entre elles et leur voisin.

D’autres encore, en cas de proximité trop grande, se sentiront même défaillir : leur rythme cardiaque va s’accélérer, leur poitrine s’oppresser, leur souffle se raccourcir.

Normalement, cette intolérance ne concerne que les étrangers, ou les individus hors cercle intime. Néanmoins, certaines personnes auront les mêmes difficultés avec leurs amis, voire leurs proches.

Tout comme les DINOS.

Certains DINOS pourront ainsi avoir des réactions jugées disproportionnées même avec leurs maîtres, ou leur entourage.

Comment réagit un DINOS ?

Un DINOS réagit de la même façon qu’un chien confronté à une situation anxiogène. Rappelons qu’en cas de peur, un chien a trois possibilités : se figer, faire front ou fuir. Le chien DINOS va réagit à l’insupportable contrainte de la même manière : il va tenter de se soustraire, de rétablir l’équilibre en s’en allant mais, en cas d’échec, ou s’il est entravé, il passera peut-être à l’attaque.

Pourquoi un chien est-il un DINOS ?

Parmi les causes de ce trouble que l’on pourrait qualifier de « phobique », Jessica Dolce cite des raisons organiques - médicales comme une maladie, une blessure, une opération, ou liées à l’âge, avec des douleurs arthrosiques ou une cécité.

Mais aussi comportementales comme une mauvaise gestion émotionnelle, une grande réactivité, l’anxiété, la peur ou une intolérance aux autres – animaux, congénères, humains. Certains chiens sont devenus des DINOS parce qu’ils ont été mal socialisés (à leur espèce), ou peu familiarisés (aux autres espèces), qu’ils ont fait de mauvaises rencontres ou vécu des expériences qui les ont fragilisés, ou qu’ils ont été victimes d’abus et de violences.

Certaines races sont également plus exposées que d’autres - pourrait-on postuler que les chiens-loups de Saarloos sont tous des DINOS en puissance ?

Autant de raisons qui doivent impérativement être repérées par les propriétaires, puis prises en compte dans la vie de tous les jours. Les DINOS ont besoin d’être appréhendés avec plus de tact que les autres chiens. Ils ont aussi besoin qu’on fasse attention à eux, qu’on anticipe leurs réactions et qu’on les gère avec plus de délicatesse.

Le repérer, le prendre en charge, vivre avec lui...

L’on peut évidemment tenter de travailler sur la distance critique du chien DINOS, de réduire peu à peu sa bulle de confort par des exercices progressifs, en renforcement positif. Un travail de longue haleine visant à rendre le DINOS moins réactif, plus tolérant. Mais le plus simple finalement, n’est-ce pas de prendre acte de la personnalité du chien, et de faire en sorte de ne pas le mettre dans l’embarras ?

De veiller au comportement des gens croisés dans la rue, ou qui viennent en visite ? Cela peut passer par des aménagements tout simples : le DINOS aura besoin de son petit coin à lui, où personne ne viendra l’embêter, où il pourra se retirer en toute quiétude. Il aura aussi besoin qu’en promenade, son maître veille à ce que personne ne l’aborde sans crier gare, et qu’une distance minimale entre lui et les autres lui soit toujours garantie.

Enfin, un chien DINOS pourra tout à fait interagir avec des congénères, mais il lui faudra plus de temps pour entrer en contact, pour se sentir en confiance.

Les DINOS ont globalement besoin qu’on supervise mieux les présentations. Certains sites proposent aujourd’hui des accessoires dédiés aux DINOS, comme des tee-shirts, des laisses, des rubans. Une communauté et une page Facebook ont même été créées pour ces chiens un peu particuliers, qui viennent peut-être nous rappeler que les chiens ne sont pas des peluches mais des êtres vivants envers lesquels nous, humains, avons des devoirs.

Et notamment celui de respecter leurs émotions, leurs sentiments, leur personnalité. Et d’agir avec eux d’une manière éthologiquement et « caninement » convenable. Marie Perrin



il y a

Publié à 08:37 par fandeloup Tags : air jardin hiver histoire fond enfants
il y a

Dans nos vies ill y a toujours un banc. Un petit coin offert pour arrêter le temps.. Banc caché ou perdu sur un chemin.En France ou ailleur, un banc pour reposer son âme,pour ne penser à rien ,mais simplement regarder les mouvements du vent et entendre le petit silence. Petites larmes .Flaques blanches de l'eau. Un banc pour des passants,des impatients,pour la joie des enfants. Sur un petit chemin,un banc tout bariolé .Un banc repeint en blanc. Un banc presque oublié délaissé, ravagé, abandonné,rouillé et fatigué .Un banc d'été ou d'hiver pour les curieux,le nez en l'air. Un banc d'émotions folles,de saisons qui s'envolent .Un banc poétique pour les amoureux de la chanson .Un banc pour la rupture. Un banc pour des blessures. Un banc pour se dire pardon .Si tu viens t'asseoir un moment,je t'inventerais des histoires de bancs. Histoire de faire passer le temps.



bisous

Publié à 19:43 par fandeloup

cerises

Publié à 19:34 par fandeloup Tags : bonne
cerises

5 bonnes raisons de consommer des cerises :

1. Soulager les douleurs articulaires La riche couleur rouge de la cerise vient des anthocyanines, antioxydants également présents dans le raisin et le vin rouge, et qui inhibent la formation d’enzymes associées à l’inflammation; par conséquent, ils pourraient contribuer à soulager les douleurs musculaires et articulaires.

 

2. Protéger le côlon Ce petit fruit renferme également de la quercétine, un flavonoïde exerçant une activité anticancérigène. Les résultats d’une étude publiée récemment dans le Journal of Nutrition indiquent qu’elle contribue à prévenir la formation, dans le côlon, de lésions susceptibles de se transformer en tumeurs.

 

3. Réguler le taux de cholestérol La cerise est riche en pectine, fibre soluble qui fait baisser le taux de «mauvais» cholestérol, contribuant ainsi à prévenir la cardiopathie.

 

4. Favoriser la vue La cerise acide renferme 19 fois plus de bêta-carotène que le bleuet. Cette substance, qui est un précurseur de la vitamine A, contribue à une bonne vision et à la santé de la peau.

 

5. Faciliter le sommeil Cette proche cousine de l’abricot, de la pêche et de la prune est l’une des rares sources alimentaires de mélatonine, hormone intervenant dans la régulation du cycle circadien de l’organisme et favorisant le sommeil.



humour

Publié à 18:57 par fandeloup Tags : chien
humour

Ce qui est le plus plaisant avec un chien c'est qu'on peut faire l'idiot avec lui et que non seulement il ne vous fera aucun reproche, mais il va faire l'idiot lui aussi.



déchet

Publié à 18:49 par fandeloup Tags : vie divers animaux oiseaux
déchet

Les déchets plastiques menacent la vie marine, selon l'ONU Le rejet dans les océans de déchets plastique causent des dégâts estimés à au moins 13 milliards de dollars et menacent la vie marine, le tourisme et la pêche, a averti l'ONU à l'ouverture de sa première Assemblée sur l'environnement lundi à Nairobi.

«Les matières plastiques jouent un rôle crucial dans la vie moderne mais les impacts environnementaux de la façon dont nous les utilisons ne peuvent être ignorés», a estimé dans un communiqué Achim Steiner, le chef du Programme de l'ONU pour l'environnement (PNUE) dont le siège est à Nairobi.

«Il faut prendre les mesures appropriées pour empêcher dès le début les déchets plastique de se retrouver dans l'environnement, ce qui se traduit par un seul objectif fort : réduire, réutiliser, recycler», a-t-il ajouté.

Les déchets plastique tuent la vie marine, soit parce qu'ils sont ingérés par des animaux tels que tortues ou baleines, soit parce qu'ils «endommagent les habitats naturels essentiels tels que les récifs coralliens», explique le PNUE dans un rapport, ajoutant que de petits fragments de plastique avaient été retrouvés jusque dans les glaces polaires.

Le PNUE fait également part de ses «inquiétudes concernant la pollution chimique, la propagation d'espèces invasives (telles que des champignons) par les fragments plastiques et les dégâts économiques causés aux secteurs du tourisme et de la pêche dans de nombreux pays».

L'essentiel des déchets plastique terminent au milieu de l'océan dans les vastes «continents de plastique», lieu de convergence de divers courants marins, mais les conséquences croissantes des micro-plastiques (morceaux de moins de cinq mm de diamètre) sont particulièrement inquiétantes, estime le PNUE.

«Leur ingestion a été constatée à grande échelle dans les organismes marins, notamment les oiseaux, les poissons, les moules, les vers et le zooplancton (...) devenant au final une source de produits chimiques dans notre nourriture», poursuit le PNUE.

La nouvelle Assemblée des Nations unies pour l'Environnement (UNEA), qui se réunit dans la capitale kényane jusqu'au 27 juin, se veut, selon l'ONU, «une plate-forme mondiale pour l’élaboration de politiques environnementales au plus haut niveau» et permettra de «placer l’environnement sur un même pied d’égalité que les questions liées à la paix, la sécurité, la finance, le commerce ou la santé».

L'UNEA, qui se réunira ensuite tout les deux ans, doit aborder à Nairobi des questions telles que la criminalité liée aux espèces sauvages, le braconnage ou la réforme des subventions aux combustibles fossiles.



a savoir

Publié à 17:53 par fandeloup
a savoir

Une fenêtre entre-ouverte ne suffit pas !!! Il faut le faire savoir... PARTAGEZ en masse afin d'éviter des morts !!



Première page | <<< | 2633 2634 2635 2636 2637 2638 2639 2640 2641 2642 2643 2644 2645 2646 2647 2648 2649 2650 2651 2652 | >>> | Dernière page