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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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paques

Publié à 16:06 par fandeloup Tags : message

invitation

Publié à 15:54 par fandeloup
invitation

Je vous invite sur la proue du navire .. Direction le couché du soleil... avant.... qu'il ne disparaisse...

a adopter

Publié à 15:31 par fandeloup Tags : merci vie amour histoire chiens
a adopter

Merci de bien vouloir partager au maximum ce qui va suivre !

Pourquoi nos petits typés et racés épagneuls ont ils si peu de succès?

Les semaines, les mois passent..... Les premiers arrivés se confondent avec les derniers réceptionnés..... Tous gentils, arrivés parmi nous avec leur propre histoire, ces adorables compagnons n'ont à priori, pas vraiment la cote ..... et pourtant ce sont en règle générale de formidables chiens de famille, certes qui ont besoin de se dépenser, mais qui excellent côté fidélité....

Robuste, rustique et endurant, ils vous suivront là où vous irez sans jamais rechigner ! Ils vous accompagneront tout au long de leur vie et vous témoigneront toute leur gratitude jusqu'à leur dernier souffle.... Ne les oubliez pas nos petits épagneuls.....

Ils attendent désespérément qu'on pose un regard attentif sur leur petite gueule d'amour !

Si l'un d'entre eux vous a séduit, merci de nous contacter au refuge au 01.34.83.50.28 pour plus d'information

L’hybride mi-homme mi-animal :

Publié à 14:59 par fandeloup Tags : vie monde homme fond travail animal animaux livre papier extrait
L’hybride mi-homme mi-animal :

L’hybride mi-homme mi-animal : une catastrophe génétique

Les produits alimentaires génétiquement modifiés n’étonnent plus personne aujourd’hui. La situation est différente avec les hommes et les animaux génétiquement modifiés qui sont seulement en train d’émerger des laboratoires biologiques. Ces créatures risquent de modifier complètement le monde dans lequel nous vivons. De quoi sont capables ces chimères et présentent-elles une menace pour l’humanité ?

Pourquoi les scientifiques sont-ils en train se s’ingérer dans le code génétique des êtres vivants et le modifier ?

Le zoologiste Dmitri Issonkine livre son point de vue sur cette question dans un entretien accordé à La Voix de la Russie. « Il peut y avoir plusieurs réponses à cette question. D’abord, les chercheurs poursuivent leur intérêt scientifique pour mieux comprendre le processus de formation des embryons et des cellules, ainsi que la possibilité de lier deux codes génétiques différents entre eux. Deuxièmement, l’aspect médical n’est pas négligeable.

Les chercheurs désirent trouver un moyen de lutter contre les maladies incurables à l’aide des codes ADN des organismes étrangers qui sont résistants à telle ou telle maladie. Enfin, ce genre d’expériences pourrait être rentable du point de vue commercial à l’avenir, car les organes des animaux pourraient en principe être greffés et transplantés sur l’homme. »

Cependant, comme c’est le cas pour les produits issus des OGM, les organismes vivants génétiquement modifiés pourraient présenter une menace pour l’humanité. Toutes ces expériences menées dans l’ingénierie génétique devraient être soumises à des tests très longs pour comprendre les réactions de l’organisme d’un être vivant à la présence de cellules étrangères.

Et si toutes les expériences sont menées actuellement sur des souris en laboratoire, dont l’espérance de vie n’est pas très longue et sur lesquelles on peut observer des changements qualitatifs sur leur organisme pendant plusieurs générations, il est plus difficile d’effectuer ce genre d’observations sur des humains, dont l’espérance de vie est plus importante.

Selon la législation, toutes les « chimères hybrides » doivent être détruites au bout de deux semaines après leur naissance.

Mais comment pourra-t-on comprendre l’influence qu’ont les gènes modifiés sur les générations suivantes ?

Le gouvernement interdit donc délibérément de mener des études de fond sur le croisement entre les humains et les animaux . Cela n’existe probablement que sur le papier.

Qu’en est-il en réalité ?

On ne peut que faire des suppositions sur la manière de fonctionner des laboratoires fermés. Mais cela ne fait aucun doute que si ces laboratoires créent des hybrides issus du croisement de gènes, ils ne les détruisent pas au bout de deux semaines.

Pour les chercheurs, la partie intéressante des observations commence à la puberté, lorsque les caractéristiques de ces organismes changent. C’est à ce moment là qu’on peut observer le comportement de gènes à l’âge plus mûr, et tenter d’entreprendre un croisement entre deux hybrides.

Ces expériences de croisement des gènes sont aussi illégales que le clonage des êtres humains. Et ce genre d’expériences peut en effet aller très loin. Ainsi, le magazine Cell Research, publié par l’Institut de la biologie cellulaire de Shanghai et l’Académie des sciences de la Chine, a évoqué récemment un croisement réussi entre les gènes d’un homme et d’un lapin.

Pour réaliser cette expérience, les chercheurs ont libéré les ovules d’une femelle lapin de leur ADN en y introduisant le code génétique d’un humain. En tout, 400 embryons ont été obtenus de cette expérience, et les chercheurs ont extrait de ces embryons des cellules souches pour des expériences ultérieures. Les embryons ont été détruits par la suite.

Les chercheurs prévoient de construire à nouveau à l’avenir une série d’hybrides sur la base de l’ADN de l’homme et d’autres animaux. On ignore quel sera le résultat de ces expériences. On ignore aussi combien de temps durera l’interdiction sur ce genre de manipulations avec le code génétique des êtres vivants.

Car si ces expériences sont légalisées et que les créatures issues de ces expériences vivent parmi nous, notre monde changera de manière radicale. Et dans le bus que vous prendrez pour aller au travail, vous pourrez voir un homme-cochon, un homme-chèvre ou un homme-âne.

La Norvège reconduit son quota

Publié à 13:54 par fandeloup Tags : annonce monde cadre
La Norvège reconduit son quota

La Norvège reconduit son quota de baleines chassées pour 2014

La Norvège a fixé à 1 286, mardi 1er avril, le nombre des baleines susceptibles d'être harponnées dans ses eaux en 2014 entre le 1er avril et le 30 septembre.

Il s'agit d'un quota identique aux années précédentes, mais que les baleiniers norvégiens ne parviennent pas à remplir. « Cette année aussi, nous avons décidé d'un quota qui assure une continuité et un cadre satisfaisant pour le secteur de la chasse à la baleine », a déclaré la ministre de la pêche, Elisabeth Aspaker.

Ne s'estimant pas tenue par le moratoire international de 1986 auquel elle a formellement objecté, la Norvège est l'un des deux seuls pays au monde, avec l'Islande, à pratiquer la chasse commerciale à la baleine, Oslo et Reykjavik jugeant la population des espèces chassées suffisamment abondante.

Cette annonce survient au lendemain d'un important revers pour l'industrie de la chasse à la baleine : la Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné lundi au Japon, un gros chasseur de rorquals communs – espèce beaucoup plus grosse que le petit rorqual (ou baleine de Minke) chassé par les Norvégiens –, de mettre fin à cette pratique.

paysage

Publié à 13:07 par fandeloup Tags : monde
paysage

J'aimerais être riche, pour plusieurs raisons. Parmi toutes ces raisons, y en a une spéciale. Faire le tour du monde, voir les plus beaux paysages

beauté

Publié à 12:41 par fandeloup Tags : dieu horreur moi homme
beauté

La jungle possède sa part de beauté et d'horreur, où la pire menace est l'homme. Nous avons rencontré l'ennemi, mais nous ne se savons rien de lui. Mais j'ai appris quelque chose sur moi même. L'être humain est capables de choses que l'âme gardera à jamais. C'est une chose de se faire pardonner par Dieu, c'en est une autre de vivre avec ce fardeau.

partir

Publié à 12:16 par fandeloup Tags : amour
partir

Il y avait tant d'amour dans cette maison que je ne savais plus où placer le mien je partis alors chercher ailleurs quelqu'un, quelqu'une qui en aurait besoin ..

orques

Publié à 11:52 par fandeloup Tags : enfants vie monde article france 2010 histoire mort divers nature film
orques

Mars 2014. Nul ne peut mesurer la détresse des orques captives dans les delphinariums du monde entier. Ce qui est certain, c’est que leur souffrance loin d’être seulement physique, est également morale. Et pour quelques-unes, de la détresse à la folie, il n’y avait qu’un pas.

Vie de famille

Les orques mesurent de 7 à 9 m de long. Elles peuvent plonger jusqu’à 60 mètres et parcourir 160 km en une journée, avec une vitesse atteignant les 55 km/h. Elles vivent en sociétés matriarcales, comme les éléphants. Le plus souvent, un groupe se compose d’une mère, ses filles et leurs enfants, et compte jusqu’à 60 individus. Elles communiquent abondamment entre elles, notamment via des infrasons. Les scientifiques parlent d’un véritable langage, qui se déclinerait en dialectes différents suivant le groupe considéré.

Transmission du savoir

Les orques conservent des relations fortes même avec leurs fils adultes. Elles les aideraient dans la recherche de nourriture ou lors de mauvaises rencontres, d’après un article paru dans Science en septembre 2012. L’apprentissage des méthodes de chasse – différentes suivant le groupe considéré – est long et peut s’étaler sur plusieurs années. Certaines ont par exemple développé une technique d’échouage volontaire qui leur permet d’attraper les phoques.

Mourir de l’enfermement

Dans les bassins en béton des delphinariums, des orques se meurent. Leur taux de mortalité y est environ 3 fois plus élevé qu’en milieu naturel. La plupart sont nées dans la nature, arrachées à leur famille, comme Namu, le premier d’entre-elles, capturé en 1961 parce qu’il se refusait d’abandonner un petit, prisonnier d’un filet d’un pêche. Namu est emmené jusqu’à Seattle à l’aide d’un enclos flottant, suivi de près par sa famille : 40 orques qui n’auront de cesse d’échanger avec lui. Il mourra après un an de captivité, victime d’une infection bactérienne. Plus récemment, en juin 2010, l’orque Morgan, qui s’était perdue, était recueillie et soignée par le parc de Harderwick aux Pays-Bas. En dépit de la législation, et malgré sa promesse, ce dernier l’a ensuite envoyée à Loro Parque, à Tenerife, où elle participe au spectacle malgré son état préoccupant. Le verdict de la Haute Cour de la Haye devrait être rendu prochainement.

Des orques en colère

Captives mais pas seulement. Dans les delphinariums, les orques sont dressées à accomplir des numéros. Leurs relations avec les entraîneurs sont complexes et ces derniers peuvent témoigner de leur sensibilité. Dans un ancien Marineland du Pacifique, à Palos Verde en Californie, vivait Orky.

Lorsqu’Orky se mettait en colère, on pouvait distinguer divers stades. « D’abord, ses yeux s’injectaient de rouge. Puis (…), il pouvait vous asperger d’un petit jet d’eau. Si vous ne compreniez toujours pas, (…) il frappait l’eau de grands coups de queue (…).

Ou bien, si c’était à l’occasion d’une chevauchée avec un entraîneur sur le dos, il emmenait celui-ci au milieu de la piscine et ne le ramenait pas. Pour exprimer le dernier degré de l’irritation, il crachait violemment son jet d’eau. (…)

Une fois, un entraîneur particulièrement agressif et dominateur ne comprit pas les signaux (…) d’Orky (…).

Poussée à bout, l’orque (…) jaillit hors de l’eau (…), attrapa l’entraîneur dans ses mâchoires, puis le relâcha. » (In Linden, Les lamentations du perroquet, 2002, éditions Fayard). Si ce soigneur a eu la vie sauve, tous n’ont pas eu cette chance.

Tilikum

Tilikum est une orque mâle. Son histoire a fait l’objet d’un film sorti en juillet 2013, plusieurs fois récompensé et qui devrait être diffusé en France cet été. Capturé en 1983 au large de l’Islande, alors qu’il avait à peine 2 ans, ses conditions de détention sont sans doute à l’origine de son agressivité. Car Tilikum a tué 3 personnes… Mais c’est en 2010, suite à la mort de Dawn Brancheau, en pleine représentation, que le scandale a éclaté. Blackfish n’est pas que son histoire. C’est aussi un véritable plaidoyer pour les orques dont la place est dans la Nature… où jamais elles n’ont fait de victime humaine…

Une conférence pour aller plus loin

Les 18 et 19 mars prochain, la coalition ENDCAP et la coalition pour mettre fin à la captivité des cétacés, dont One Voice est membre, organisent à Bruxelles une conférence européenne pour la liberté des cétacés, en présence de Muriel Arnal, présidente de l’association. Son objectif est de proposer un forum d’échanges pour tous ceux qui s’intéressent à la problématique des cétacés captifs et militent pour y mettre un terme. En mettant en commun nos forces et en coordonnant nos actions, nul doute que nous mettrons un terme à la captivité des cétacés – en Europe, 34 delphinariums détiennent 286 orques… Grâce au film Blackfish, qui a ému et ouvert les yeux et les consciences, le contexte est favorable. Pour que plus jamais le loisir de quelques-uns ne cause une telle souffrance !

partir

Publié à 10:21 par fandeloup Tags : vie
partir

Partir ... C'est fermer la porte au négatif. Respirer,oser,risquer pour découvrir la vie. Se confronter à l'autre .Ne plus suivre cette ligne droite qui nous rend "Fous" et hors réalité. Rencontrer de belles personne.s Apprendre à vivre autrement. S'épanouir en explorant. Puis revenir ... Ou pas.