aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Chaque être humain possède des capacités et des dons infinis. De même que dans le bourgeon, la fleur et son fruit sont virtuellement présents, en vous tout existe de façon potentielle. Le moment est venu pour vous de développer les fleurs les plus belles, les fruits les plus goûteux, les parfums les plus subtils. Soyez pleinement humain, ouvrant votre calice vers le ciel et la terre afin qu’il se transforme en corne d’abondance et que du désert jaillisse une oasis.
On peut y passer la journée si il le faut. Je ne rentrerai pas là-dedans
Peu importe tes talents ; sois un artiste, un créateur de vie dans lequel passe le courant. Sois un artiste responsable de tes rêves. Ne condamne aucune idée avant de l'apprivoiser. Admets l'étonnant. Laisse-toi surprendre par tes forces. Sois un artiste généreux. Partage ton imagination comme le maître de la nature. Vois au coeur de tes capacités une bénédiction...
La famille n’est pas uniquement par le sang. Ce sont les etres de ta vie qui te veulent dans la leur. Ceux qui t’acceptent et qui t’aimeront toujours tel que tu es.
Elle a sacrifié son enfant pour devenir riche
Une cliente raconte
J’ai été témoin d’un fait qui m’a vraiment marqué. Cela s’est passé, il y a près de 10 ans, ici à Abidjan. Le sort a peut-être voulu que ce jour-là, je sois témoin des faits. Parce qu’avant, si cette histoire m’avait été racontée par quelqu’un, je n’y aurais pas cru.
Il y a quelques années, en effet, j’étais une cliente fidèle d’un grand salon de coiffure, à Angré. L’établissement recevait généralement de grandes dames. Tous les week-ends, c’était plein et il fallait souvent des heures d’attente avant d’être reçue. Dès fois, il fallait même réserver. Cela s’expliquait simplement par le fait que le service était satisfaisant. L’avantage pour moi est que je n’habitais pas loin du salon. Cela m’arrangeait. Des clientes traversaient la ville d’Abidjan, rien que pour venir se faire belles dans ce salon. Elles conduisaient de grosses cylindrées pour la plupart, ou bien, elles se faisaient déposer par leur chauffeur. Elles avaient les moyens, comme on dit. Et cela se voyait.
Avec la propriétaire du salon, je me suis liée d’amitié. Il y a longtemps que je fréquentais son salon. Donc, on se connaissait. Quand je venais, c’était souvent elle, d’ailleurs, qui me proposait de nouveaux modèles de coiffures, selon les tendances du moment. Car, étant jeune, j’aimais être classe et très style. Connaissant son agenda, je programmais mes rendez-vous généralement en semaine, dans la soirée. A ces heures-là, il y avait moins de monde. Les week-ends étaient toujours chargés.
Un soir, il s’est passé quelque chose d’incroyable. Ce jour-là, en plus de moi, il y avait deux autres clientes dans le salon. Les filles (le personnel) s’occupaient de ces deux femmes, tandis que la patronne s’occupait de moi. On causait, on riait. La télé du salon était allumée, mais le son avait été baissé de sorte que nous puissions nous entendre, sans avoir à crier. On était en pleine causerie, quand, un moment donné, j’ai cru entendre une voix. Elle n’avait rien à voir avec les nôtres. Elle semblait plaintive. Mais rapidement je n’y ai plus prêté attention. Ça pouvait être une impression, d’autant que cette voix semblait provenir de nulle part.
La causerie se poursuivait donc. Peu après, l’une des dames qui était avec nous est partie, après qu’on ait fini de la coiffer. Quelques minutes plus tard, j’ai entendu la même voix. Elle avait été bien audible. Cette fois, tout le monde l’avait entendue. Subitement, c’était le silence dans le salon.
Imaginez un instant, vous entendez une voix, et personne ne sait d’où elle provient ! Le plus intrigant, c’est que c’était clairement la voix fluette d’un enfant. Or, il n’y avait pas de gosse avec nous.
Saisies d’inquiétude, nous sommes restées silencieuses. Et c’est là qu’on a entendu de nouveau : «J’ai soif !» Nos regards se sont croisés, puis on s’est toutes tournées vers l’endroit d’où venaient ces mots. Mais, il n’y avait personne là. La place était vide. Seulement, on a découvert une clé de voiture posée sur le siège. Cette clé était liée à une amulette, à l’aide d’une ficelle.
La vue de cet objet à la forme bizarre a tout de suite provoqué la panique dans le salon. Personne n’osait s’en approcher.
Et, alors, on a entendu encore : «J’ai soif, je veux boire !» La voix qu’on entendait provenait donc de là ! Affolées, on a quitté précipitamment le salon, avec le cœur qui battait à 100 kilomètres à l’heure. Ni la gérante du salon, ni nous-mêmes les clientes n’avions jamais rien vu de tel. Sans perdre une minute, la patronne a appelé le prêtre de sa paroisse pour lui expliquer cette mystérieuse affaire.
Quand il est arrivé, quelques minutes après, accompagné d’un autre collègue, elle lui a montré l’objet. Puis, nous avons attendu dehors. Les prêtres sont entrés dans le salon, ils ont pris l’objet et nous ont rassurées. Ils nous ont dit de ne pas nous inquiéter. C’est l’un des prêtres qui a expliqué, plus tard à mon amie (la patronne du salon), qu’il s’agissait d’un fétiche. La voix qu’on avait entendue provenait bien de là. Selon le religieux, la propriétaire de l’objet (dont nous ignorons l’identité, puisque personne n’est venu réclamer la clé) avait fait un sacrifice humain, pour s’attirer la fortune.
Elle avait donné son propre enfant en sacrifice. En conséquence, le fétiche avait pris l’âme de l’enfant. Pour maintenir sa richesse à flots, la dame devait souvent faire des sacrifices de sang d’animaux, chaque fois que le fétiche le lui demandait. D’où les paroles « j’ai soif » que nous avions entendu l’autre jour. Quand mon amie m’a expliqué cela, j’ai eu froid dans le dos. J’avais du mal à imaginer comment, après 9 mois de grossesse, une femme peut sacrifier son enfant pour de l’argent.
Sachant qu’un jour où l’autre, elle devra en payer le prix. On n’a jamais su si cette femme a fait exprès de laisser sa clé là, ou si elle l’avait vraiment oubliée. Toujours est-il que depuis lors, personne n’est venu demander cette clé. Cette histoire, j’y pense quelquefois, avec effroi. Le temps n’a jamais réussi à me la faire oublier.
Dans la hiérarchie artistique, les oiseaux sont les plus grands musiciens qui existent sur notre planète.
Ces jumelles partagent tout dans leur vie
Lucy et Anna, des jumelles australiennes de 28 ans, jouent le jeu à fond pour ne devenir qu’une seule et même personne.
Pour arriver à leurs fins, elles partagent tout: job, chirurgies esthétiques, compte Facebook et moments intimes avec le même petit copain.
Entre délires et inceste.
« C’est toujours à deux ou rien », préviennent-elles. Rien ne peut séparer Lucy et Anna. Ces jumelles de 28 ans, vivant toujours chez leur mère à Perth (Australie), rêvent de ne former qu’une seule personne.
Entre les implants mammaires, les nouvelles lèvres, les faux cils et le mascara permanent, elles ont dépensé ensemble plus de 150.000 €.
Ça, c’est pour le physique…
Même job
Dans leur vie quotidienne, Lucy et Anna ne se quittent pas d’une semelle. Elles travaillent dans le même magasin et elles possèdent aussi le même compte Facebook. L’idée d’une éventuelle séparation est tout simplement impossible.
Même homme
Leur complicité prend une autre dimension quand les jumelles avouent partager le même homme dans leur vie intime.
« Nous nous partageons » « On sort avec un homme actuellement. Nous nous partageons. Ce n’est pas vraiment bizarre pour nous. Pour les hommes, dans leur coeur et leurs rêves, ils veulent deux petites copines. Nous avons les mêmes goûts, donc cela semble évident que nous allions partager le même garçon aussi », ont admis Lucy et Anna sur le site « PerthNow ».
Triangle amoureux malsain
L’heureux élu s’appelle Ben Byrne, électromécanicien. Et il n’est pas vraiment mécontent de ce triangle amoureux plutôt malsain. De leur côté, l’inceste ne semble pas effrayer Lucy et Anna plus que ça… Inceste « Nous sommes ensemble quand nous faisons l’amour et si nous aimons le même homme , alors que ce soit ainsi. C’est toujours à deux ou rien », ont conclu ensemble ces deux Australiennes.
Et je me souviens... De ton doux groin,ta force de vivre et pourtant tout doucement tu t'en allais à tout jamais.Que de souffrance pour toi,juste pour le plaisir de l'humain
Les hommes sont incapables de m'aimer.