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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Se rebeller contre l'esclavage

Publié à 15:13 par fandeloup Tags : danse vie homme amour mort animaux
Se rebeller contre l'esclavage

Responsable étant extrémistes ou intolérants envers les choix des autres gens se cache souvent la tentative humiliante de se justifier lorsque le ministère public soulève des sentiments de culpabilité.

S'il s'agissait d'un parent d'être violées ou tuées et cuit pour le plaisir du Palais de n'importe qui, certes ne serait pas tellement indulgent et susceptibles de faire appel pour le respect des choix des autres.

Se rebeller contre l'esclavage, la torture ou la peine de mort, lutte humaine contre les oppresseurs, ne constitue pas l'extrémisme idéologique.

Si le problème se pose uniquement parce que les victimes sont des animaux , considéré comme l'homme de choses. Quelle danse est la vie et la souffrance des autres, être un végétarien n'est pas une option comme une autre : le choix est entre la vie et la mort, entre la justice et de la tyrannie, entre l'amour et du dédain, entre civilisation et barbarie.

Être végétariens ou mangeurs de l'animales n'est pas du tout la même chose.

Sont deux réalités à antiodi : l'un est pour la vie, l'autre pour le plaisir du Palais à tout prix. Nous devons être prudents, mesurés pour ne pas heurter la sensibilité de ceux qui ne montrent pas de sensibilité à la douleur et la durée de vie des plus faibles et plus sans défense ? Nous sommes la voix de ceux qui n'ont pas de voix.

Si je considère comme un criminel qui avait décidé de réduire son salaire, vous vous ne faites pas accuseresti d'extrémisme ; Mais si je dis que c'est injuste et cruelle des personne qui démolit une créature, comme nous, vous m'accusez d'être extrémiste. C'est une question de sagesse et de sensibilité.

Aucune expression n'est suffisamment extrême pour dénoncer les dégâts à usage physique, mental, moral, spirituel, économique, social, environnemental, d'exterminer des innocents".

Hollande ne changera pas le statut des animaux :

Hollande ne changera pas le statut des animaux :

Hollande ne changera pas le statut des animaux : une discrimination comme une autre

La veille de l'ouverture du Salon de l'agriculture 2014, François Hollande a écarté dans une interview la possibilité de modifier le statut animal, certes "meuble" pour le Code civil, mais "être sensible" pour le Code rural. Une explication très loin de satisfaire notre contributrice, qui y voit une nouvelle manifestation de la "mentaphobie", soit le déni de la pensée animale à des fins déculpabilisantes.

Alors qu’il avait déclaré pendant la campagne présidentielle vouloir modifier le statut juridique de l’animal dans le Code civil, afin qu’il ne soit plus défini comme un bien mais comme un être sensible, François Hollande est revenu sur sa position dans un entretien publié dans "La France Agricole", la veille de l’ouverture du Salon de l’agriculture. Cette déclaration a déclenché de nombreuses réactions de désapprobation.

Parmi celles-ci, on notera la lettre co-signée par la sénatrice Chantal Jouanno et la magistrate Laurence Vichnievsky, et les milliers de photos d'animaux domestiques revendiquant un autre statut juridique publiées sur internet avec parfois beaucoup d’humour. Sous la présidence Hollande, le droit civil français risque donc de rester inadapté à la nature cognitive de l’animal.

En ce domaine, le changement déjà mis en œuvre ailleurs en Europe n’est pas pour maintenant (en Allemagne, le Code civil distingue entre les biens et les animaux depuis 1990, cf. Rapport sur le régime juridique de l’animal rédigé par Madame Suzanne Antoine, p 16). La théorie de l'animal-machine encore d'actualité En 1804, les juristes héritiers des théories cartésiennes de l’animal-machine ont défini le statut juridique de l’animal uniquement en fonction de l’exploitation qui en était faite.

Il paraissait inimaginable que les animaux soient autre chose que des objets appropriables, que l’exercice du droit de propriété permet ensuite de vendre, tuer pour leur viande, leur peau, leur fourrure, d’en faire des animaux "de cirques" ou "de laboratoires", etc.

La capacité des animaux à penser et à ressentir des émotions, pourtant évidente mais aussi avérée scientifiquement, est complètement occultée par cette classification.

Tout juste leur reconnaît-on aujourd’hui un intérêt à ne pas souffrir et s’efforce-t-on de limiter leurs souffrances par le jeu notamment des dispositions du Code rural qui les qualifie à juste titre d’êtres sensibles, et du Code pénal qui les protège contre la maltraitance et les sévices graves.

Outre la possibilité de faciliter les transactions commerciales, considérer les animaux comme des objets dénués de discernement présente un intérêt psychologique et moral certain.

Si l’on considère que l’animal est une chose, au sens courant du terme, il sera d’autant plus facile d’accepter qu’il soit utilisé comme matériel de laboratoire, ou qu’il soit retenu prisonnier dans une cage toute sa vie. Toute réflexion éthique se solde par l’idée très confortable et déculpabilisante que "les animaux n’ont pas de conscience", réflexe conditionné quasi unanime au pays du foie gras.

Le concept de mentaphobie : une question d'éthique Ce déni de la pensée animale porte un nom : la mentaphobie.

David Chauvet dont l’ouvrage "Contre la mentaphobie" vient de paraître aux éditions L’Âge d’Homme, a étendu à l’éthique le champ d’application de ce concept créé par l’éthologue Donald Griffin, qui recouvrait à l’origine la négation de la pensée animale en tant que faute scientifique uniquement.

Pour Griffin, on ne pouvait décrire convenablement le comportement des animaux sans prendre en compte leur conscience. L’éthologie cognitive a depuis confirmé le bien-fondé de cette assertion.

Si la mentaphobie conduit donc à exclure les animaux de notre sphère de considération morale, toutes les espèces animales ne sont pas touchées avec la même intensité.

La conscience animale : une reconnaissance à géométrie variable En général, toute personne qui vit avec un animal domestique qu’elle a adopté (au sens de l’avoir fait entrer dans sa famille et de le traiter comme un des siens, le terme "adopté" n’étant pas anodin) se refuse violemment à admettre que ledit animal, souvent chien ou chat, soit considéré, ne serait-ce qu’en droit, comme une chose.

Cette même personne sera en revanche très encline à balayer toute question morale sur le fait de manger des animaux (souvent bœuf, poulet ou cochon), ou encore de porter de la fourrure, en répondant que les intéressés n’ont que des instincts, ne réagissent qu’à des stimuli, qu’ils sont "faits pour ça" et qu’il n’y a, par conséquent, pas de mal à les tuer pour s’en servir comme des moyens au service de nos fins, mêmes les plus futiles. C’est ainsi que le meurtre des animaux dits "de boucherie" ou "à fourrure", entre autres, se trouve justifié.

Changeons notre regard sur les animaux !La notion de "mentaphobie" nous en apprend donc un peu plus sur les ressorts psychologiques du spécisme, discrimination fondée sur l’espèce, comme le racisme l’est sur la race et le sexisme sur le sexe.

La dénégation de la pensée animale légitime la discrimination spéciste, comme le déni de la capacité des femmes à raisonner convenablement a autrefois pu justifier qu’elles n’aient pas les mêmes droits que les hommes (droit de vote, droit d’ouvrir un compte en banque).

Et comme l’esclavage a pu en son temps trouver un fondement dans la prétendue infériorité des esclaves. Appréhender le fonctionnement de la mentaphobie ordinaire, la confronter aux découvertes scientifiques des 30 dernières années réduisant le champ du "propre de l’homme" quasiment à néant (puisqu’on a découvert que l’intentionnalité, le raisonnement, l’abstraction, l’empathie et l’altruisme sont courants chez les animaux, cf. les nombreux exemples cités dans "Contre la mentaphobie") participe de la réflexion contemporaine autour de la définition d’un autre rapport entre l’animal et nous. Comme l’explique David Chauvet, le sort des animaux est fortement tributaire de la représentation que nous en avons.

À l’heure où leur condition n’a jamais été aussi misérable, il est urgent de changer notre regard sur les animaux. Il faudra pour cela faire le choix de la vérité contre ce déni de conscience animale, comme nous y invitent les scientifiques signataires de la déclaration de Cambridge, et sortir enfin la mentaphobie de notre conscience collective.

ogre

Publié à 13:48 par fandeloup Tags : monde animal
ogre

Le Poisson-Ogre

Là où il vit, entre 500 et 5 000 m de profondeur, la nourriture est tellement rare qu'il doit pouvoir manger à peu près tout ce qu'il rencontre. Proportionnellement parlant, c'est l'animal qui possède les plus grandes dents au monde, il ne peut même pas fermer complètement sa mâchoire. Contrairement aux autres espèces qui vivent dans les profondeurs, il est puissant et robuste, lui, c'est un vrai prédateur.

etre

Publié à 13:17 par fandeloup Tags : monde amour nuit vie
etre

J'étais seule au monde quand j'ai croisé ton chemin. Tel un soleil dans la nuit tu as illuminé ma vie. Et au premier instant où tu as pris ma main, Tout mon être et tout mon amour tu as conquis...

enypniaste

Publié à 11:56 par fandeloup Tags : animal
enypniaste

Enypniastes

Ce petit bout de chou possède un éventail de pieds tubulaires fusionnés entourant une grande partie de leur extrémité antérieure.

Il utilise cet éventail comme principal appareil locomoteur.

L'animal est bordé d'une collerette qui sert essentiellement de stabilisateur, mais peut aussi servir pour les mouvements lents, de façon assez semblable à celle des céphalopodes.

santé

Publié à 11:35 par fandeloup
santé

Les carottes, bonnes pour la vue, c'est bien connu : qui a déjà vu des lapins avec des lunettes ?

octopus

Publié à 11:26 par fandeloup
octopus

Dumbo Octopus

Sorte de Flubber aux yeux de biche, ces créatures vivent dans les abysses à des profondeurs extrêmes, entre 500 et 4000 m, et sont parmi les espèces d'octopodes les plus rares.

Ils planent au-dessus du plancher océanique à la recherche de vers, bivalves, copépodes pélagiques et autres crustacés.

Ils se déplacent en créant des impulsions avec leurs bras, en tirant de l'eau par leur entonnoir, ou en agitant leurs "oreilles" comme des nageoires.

Ils peuvent utiliser chacune de ces techniques séparément ou toutes simultanément. Bref, la grande classe.

cirque

Publié à 11:10 par fandeloup Tags : animaux
cirque

Bagarre devant son cirque : le dompteur dépose aussi plainte Une rixe a éclaté samedi après-midi entre les membres du cirque «la Piste aux étoiles» et des défenseurs de la cause animale, adhérents de l’association Anima.

Le dompteur Roger Falck se dit écœuré par l’attitude des manifestants. Il a choisi de déposer plainte à son tour. « Je les ai sentis très désireux d’envenimer les choses. Une dame m’a gazé avec une bombe lacrymogène. Quand on fait une manif pacifique, on ne vient pas avec des lacrymos, ni avec des bâtons».

Cette version des faits n’est pas du tout partagée par les membres d’Anima. « Nous étions là pour informer que les animaux sauvages n’ont pas à faire des pitreries en captivité. Pas pour jouer les caïds.

Nous n’avons frappé personne. » assure Véronique Falzone, trésorière de l’association.

Outre la plainte de Roger Falck, huit autres procédures ont été engagées à l’encontre des dirigeants du cirque ; six par des membres d’Anima et deux par des passants.

requin lutin

Publié à 10:33 par fandeloup Tags : animal horreur
requin lutin

Ici, plus de lumière, pas trop de nourriture, et donc des créatures qui ont évoluées comme elles le pouvaient. Il faut savoir qu'à l’heure actuelle, 95% des Abysses restent inexplorés, ce qui vous laisse imaginer les créatures qu’il nous reste encore à découvrir.

 Le requin lutin (découvert en 1898)

Cette horreur, ou cette merveille (c'est comme vous voulez) n’est pas un requin comme les autres.

À première vue, il n’a rien de spécial, si ce n’est son aspect variolé… jusqu’à ce qu’il montre ses dents.

Cet animal peut en effet complètement détacher sa mâchoire supérieure de son crâne ..

précarité

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : soi moi chez enfants fille femmes
précarité

Précarité énergétique: elles racontent l’enfer du froid chez soi

Mots clés : Logement, pauvreté, précarité énergétique, chauffage,

La santé de Véronique et Jacqueline reste fragile après des années sans chauffage. Car comme le démontre une étude de la Frondation Abbée Pierre, les foyers qui peinent à se chauffer sont en plus mauvaise santé.

Aidées par des associations, ces deux femmes témoignent de l’impact de leur précarité énergétique sur leur quotidien.

Jacqueline Boulet, 53 ans, Le Pouget (Hérault)«?Je vais passer l’hiver avec un “Joli Mec”(rires)?! C’est la marque d’un poêle à granulés que m’a donné l’association Gefosat. Enfin, je vais pouvoir respirer. J’habite un mas hérité de mes parents, dont les murs sont fissurés, et que je ne pouvais plus chauffer depuis des années. Après ma séparation, j’ai fait une dépression et je me suis retrouvée au RMI. Impossible de payer jusqu’à 140?euros de facture d’énergie par mois. Ma fille a fait des bronchiolites en série et moi, une grave infection pulmonaire. Je fais toujours des apnées du sommeil, et je dors avec un masque à oxygène. Vivre à la campagne dans une maison froide et humide, c’est dur. On s’isole. On ne voit plus personne, on se renferme dans sa coquille. C’est encore dur pour ma fille de venir me voir dans cette maison où elle a trop de mauvais souvenirs.?»

Véronique Manouvrier, 48 ans, Flers-en-Escrebieux (Nord) «?Notre maison est pleine de courants d’air. Ça devient un vrai congélateur. Actuellement, il y fait 11 degrés. Mon mari a un emploi, mais, avec 1?900?euros par mois, on n’y arrive pas. J’ai arrêté les chauffages électriques, après avoir payé des factures de 3?000?euros par an. L’an dernier, j’ai dû verser 1?500?euros pour six mois à EDF dont les services ne sont pas très arrangeants. J’ai installé des feux à pétrole. Mais, même le fioul, c’est difficile de le payer en fin de mois. Je ne chauffe plus les chambres. Je me lève plus tôt pour allumer les chauffages d’appoint pour que mes quatre enfants se lèvent dans un peu de chaleur, et nous avons toujours des couvertures dans les pièces à vivre. Mon petit-fils d’un an, que je garde la journée, a les doigts gelés. Nous allons tout le temps chez le médecin, car mon fils asthmatique n’arrête pas d’éternuer. Le froid et l’angoisse m’empêchent de dormir. J’ai pris du poids, et j’ai mal au dos. Il faudrait que je fasse un régime, mais j’ai trop de soucis pour m’occuper de ça.?»