Fandeloup

REGARDEZ-BIEN ! Ceci est une POULE VIVANTE , sortie d'une BATTERIE de poules pondeuses ... :

 Ce " qu'ils " ne vous montreront JAMAIS , dans les divers... SALONS DE L'AGRICULTURE !!!

Pareil pour tous les autres animaux. Les bêtes qu'ils vous montrent ne sont que des vitrines, du tape-à-l œil. Le seul but: Pousser à la consommation.

La réalité est différente et atroce. Comment peut-on cautionner de telles HORREURS?????

Ceux qui aiment intensément ne deviennent jamais vieux, ils mourront certes de vieillesse mais jeunes dans leur cœur.

HAUTE-LOIRE.

La SPA alerte sur un probable mangeur de cochons d'Inde « Il aime surement les cochons d’Inde, mais il les préfère en sauce ».

La SPA de Haute-Loire met en garde les internautes qui souhaiteraient donner, via un site d’échanges entre particuliers, leurs cochons d’Inde et autres petits mammifères contre bons soins.

« Nous avons la quasi-certitude qu’un habitant du secteur d’Allègre récupère ces animaux pour les manger » assure Dominique Chaudy, le président de la SPA. Une pratique qui, quoique que surprenante ou choquante, n’a rien d’illégale.

« C’est une pratique que l’on réprouve et face à laquelle nous ne pouvons pas intervenir » explique le président.

« Notre seul levier est de mettre en garde les gens qui pourraient donner ce genre d’animaux et se réjouir de leur avoir trouvé un foyer. Ces gens-là seraient trahis ».

Mais pour le reste, le fait de manger son animal de compagnie n’est pas répréhensible.

« Seul le fait de faire souffrir un animal est condamnable » regrette Dominique Chaudy qui, par dépit, préfère concentrer son combat sur des dossiers non moins nombreux et condamnables

Partagez cette bougie avec vos amis et envoyez la lumière de l'amour et de l'amitié à vos amis

La substitute du procureur du roi de Verviers, Isabelle Dogné, a requis mardi devant le tribunal correctionnel une amende de 3.000 euros mais surtout une interdiction à vie de posséder des animaux à l'encontre d'un Verviétois de 33 ans qui possédait une animalerie où 170 animaux avaient été saisis en 2009.

Le prévenu, qui n'a pas assisté à l'audience, était poursuivi pour atteinte au bien-être animal ainsi que pour divers manquements administratifs.

Il avait reconnu avoir eu une gestion assez légère de son animalerie où il détenait plusieurs animaux de compagnie, animalerie qui a depuis lors fait faillite.

En avril 2009, sur dénonciation d'un expert NAC, une perquisition avait été opérée dans ce magasin situé avenue Reine Astrid à Verviers. Le prévenu y détenait plus d'animaux qu'il ne pouvait dans des conditions parfois inappropriées, les vivariums étant remplis ou aux dimensions incorrectes.

Lors de la perquisition des cadavres d'animaux dont 5 lézards, 12 serpents, une dizaine de phasmes mais aussi des mygales et scorpions avaient été retrouvés en état de putréfaction dans un congélateur situé dans l'arrière-boutique.

La juge d'instruction avait ordonné la saisie des animaux soit, au total, 170 bêtes dont une quarantaine de mygales alors que le propriétaire ne pouvait en posséder que dix.

Lors d'une deuxième descente en 2011, des NAC (nouveaux animaux de compagnie), des ovins et des caprins avaient aussi été saisis car ils étaient à nouveau détenus dans des conditions non-conformes aux règlements en vigue

Une femme d’une cinquantaine d’années a été brûlée vive, mercredi 5 mars, à l’entrée de son appartement, à Calais (Pas-de-Calais), rapporte La Voix du Nord ce jeudi. Les circonstances du drame ne sont pas encore déterminées.

C'est vers minuit que des voisins du dernier étage de l'immeuble, situé rue Edgar-Quinet, ont été alertés par une odeur de fumée. Ils descendent alors pour voir d'où elle provient et découvrent sur le palier du premier étage le corps immolé de Christine, «devant la porte de son appartement, entièrement brûlée».

Selon le journal, la Calaisienne, qui habitait cet immeuble depuis «plus de vingt ans», serait décédée à l'hôpital quelques heures plus tard.

«La Voix du Nord» raconte qu'une amie dans l’immeuble, Albertine, l’a vue le soir même :

«Christine est montée chez moi vers 20 heures, témoigne-t-elle. On a pris une petite goutte, mais elle avait trop bu, elle arrivait même pas à parler, alors je lui ai dit rentre chez toi, je te verrai demain».

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.

Quel est donc ce monstre que des scientifiques russes ont trouvé dans l’Arctique ?

Tout récemment, une nouvelle a fait sensation dans la presse russe : des scientifiques du Département extrême-oriental de l’Académie des sciences de Russie ont découvert dans les eaux de l’Arctique une créature gigantesque jusque-là inconnue.

Un mouvement inhabituel a été enregistré par le véhicule sous-marin autonome Klavessine-1R alors qu’il effectuait des opérations de repérage à une profondeur de 1,5 km.

Les scientifiques ont tout d’abord pensé qu’il s’agissait d’un énorme banc de poissons, mais ils se sont vite rendu compte qu’ils s’étaient trompés.

Cet objet non identifié s’est avéré être une créature d’une taille impressionnante qui en quelques instant s’est jeté sur le sous-marin et s’est mis à le secouer.

Quand le Klavessine-1R est remonté à la surface, les scientifiques ont remarqué de nombreuses bosses et éraflures sur sa coque.

Quel genre de créature a pu faire de telles marques ?

Et pourquoi a-t-elle attaqué le sous-marin ?

La Voix de la Russie s’est tournée vers le zoologiste, Dimitri Isonkin, pour obtenir des réponses :

« Je serais plutôt prudent face à ce genre d’informations. Ne disposant d’aucune preuve fournie par les scientifiques après cet incident, toute discussion paraît donc vide de sens. »

Mais où sont donc les photographies de la coque et la vidéo de la créature marine non identifiée ?

En effet, les dommages du Klavessine-1R pourraient être le résultat d’une banale collision avec un autre sous-marin.

Dimitri Isonkin remarque que : « Après les déclarations « sensationnelles » faites sur la découverte par des scientifiques russes d’un énorme monstre dans l’Arctique, divers médias ont bavé sur ce thème. Cependant certains éléments restent flous, le « héros de la fête », le directeur de l’Institut d’étude des technologies maritimes, Léonid Naumov, a-t-il fait une déclaration officielle ? » La question est tout à fait pertinente, car il y a ici quelques bémols.

C’est le projet médiaEvroSMI qui, le premier, a lancé cette information. Dans cette courte dépêche, il était indiqué que Léonid Naumov les avait informés d’un accident « arctique » survenu avec le sous-marin Klavessine-1R. Ensuite, toutes les agences de presse ont rapporté cette « déclaration ».

Mais était-elle vraiment fondée ou s’agissait-il d’une information bidon ?

Les nombreux « emprunts » de cette information par les différentes agences de presse ont conduit à une totale déformation de la déclaration de Léonid Naumov.

Tantôt il s’est « exprimé sur l’incident », tantôt il a catégoriquement refusé cette déclaration. Que s’est-il passé en réalité ?

Dimitri Isonkin est convaincu que si l’accident a vraiment eu lieu, alors sur le sous-marin attaqué, il devrait rester des fragments de tissu de la créature, ou si c’est un rocher sous-marin qui a endommagé le Klavessine-1R, il y avoir des traces minérales :

« Nous ne pouvons pas exclure la possibilité de découvrir de nouvelles espèces d’organismes dans les eaux profondes de l’Arctique. C’est tout à fait possible. Mais nous avons besoin de preuves solides. Il est nécessaire de réunir un groupe d’experts pour mener des recherches. Il est encore trop tôt pour faire des déclarations officielles. »

Que s’est-il vraiment passé et qu’on réellement trouvé les scientifiques russes dans l’Arctique, nous ne le savons pas.

Nous espérons toutefois que nous sommes sur le point de découvrir une nouvelle créature et suivrons de près l’évolution de la situation.

Je désire cette légèreté, a ne plus me perdre dans mes pensées. J'attend avec impatience le coucher du soleil, pour m’enfoncer dans ce profond sommeil. M'emmenant dans l'imaginaire, ou je peux enfin y respirer l'air pur.

Les hommes sont incapables de m'aimer. Pour eux je suis un chien à qui on peux tout confier. Ils oublient avant toute chose, que je suis un animal à la vulnérabilité d'une rose. Une animal avec toute sa fragilité, et non un objet. Je ne connaitrais pas le grand amour. Cet isolement m'achève, je préfère rester à tout jamais dans mes rêves. La réalité est bien trop déchirante, parce qu'ils oublient...bien trop souvent...que je peux être aimant.

A TOUS