Fandeloup

Je paie le prix le plus fort, celui de l'inconfort, celui des doutes et des remords, il y a des chemins qui sont pris à l'insu de notre plein gré inaccessibles et pourtant à notre portée mais qui permettent d'accéder à l'ascension de ce que l'on est au fond de nous et vers pourquoi l'on nait par dessus tout... ça prend des années, ça prend toute une vie.

Merci Mère nature d'être qui tu es... Que votre journée soit celle de tous vos jours car demain rien n'est certain, alors profitez, profitez... et surtout prenez soin de vous et de ce qui vous entoure

Il y a le passé qui se rappelle de moi dans un doux parfum de n’importe quoi… Mais c’est pas vrai… il y avait toi

Nous ne sommes que des brouillons insatisfaits se victimisant dans le paraître de ce monde qui n’a que nous d’imparfait, nous ne sommes que des victimes de pensées se complaisant dans le râlement sur des maux entendus, lus, vus et l’on ne sait plus ce que c’est que de rêver ou simplement d’être, juste être, et l’on n’ose plus jouer les fous parce que l’on nous cataloguerait limite gourous et malheur de ne pas être bien vu pour des inconnus n’ayant de vécu, on ne sait plus se mêler de son cul… Mais si l’on étale ses mots, si l’on ouvre son cœur, si l’on porte un regard sans dard, rien ne va mal parce que tout est spécial, simplement on s’y prend mal et l’on fout tout en l’air parce que si l’on ne revendique pas, si l’on ne critique pas, si l’on ne juge pas… on existe pas… Foutaise… si l’on acceptait ses imperfections, on y verrait du bon et on tolèrerait le moins bon parce qu’on s’écouterait avec délicatesse et de la complaisance intérieure naîtrait pour nous alléger l’esprit devenu meurtri... Aimez-vous bordel et laissez de coté les querelles qui ne sont que des illusions bidons et rentrez en intimité dans votre corps bienfait et vous comprendrez peut être qu’être dans sa bassesse n’a de cesse de vous élever pour continuer à nourrir les chapitres de… l’histoire de votre vie

Chaque être doit gagner sa liberté. Le combat que chacun est amené à livrer se déroule loin des champs de bataille, il se passe à l’intérieur. C’est une lutte pour libérer le meilleur de soi.

Devant ma tombe ne pleure pas .Je n'y suis pas, je ne dors pas. Dans le ciel je suis mille vents qui soufflent .Je suis l'éclat du diamant sur la neige. Je suis la lumière qui éclaire les champs. Je suis la pluie d'automne tombant doucement.

Devant ma tombe ne pleure pas .Je ne suis pas mort, je n'y suis pas. Je suis les rivières qui courent, libres Je suis les étoiles de l'infini, je brille Je suis les rêves qui n'ont pas de fin .Je suis le soleil qui caresse tes matins. En hiver je suis la neige qui tombe à ta fenêtre .Au printemps je suis les fleurs dans ton jardin. En été je suis les vagues de ta mer secrète. A l'automne je suis les feuilles où tu t'endors. Je ne suis ni vérités ni torts. Je suis la rose que tu tiens sur ton cœur .Douce et amère comme tes larmes intérieures. Je suis l'ange qui a toujours veillé sur toi

Ce que j’ai appris ?

J’ai appris la tolérance, à accepter les gens tels qu'ils sont pour qui ils sont, sans vouloir les changer, les contrôler ou les commander !

J’ai appris l’humour et la dérision ! Même dans les cas les plus extrêmes de la vie, voir une personne sourire est le plus beau des cadeaux !

J’ai appris la générosité, donner sans compter aux personnes que l’on aime le plus.

J’ai appris à ne rien attendre en retour, donner pour donner sans rien attendre en retour.

J’ai appris l’humilité, savoir qui je suis et ne pas avoir besoin de l’exposer ni le prouver à personne, parce que tout simplement je sais qui je suis.

J’ai appris le courage, affronter encore et encore, avec volonté et ténacité.

J’ai appris la sagesse, accepter ce qui est pour ce qui est.

J’ai appris la bonté, la gentillesse du cœur et le don de soi.

J’ai appris le partage, savoir donner le meilleur sans penser à soi au préalable.

J’ai appris la confiance, par la confiance totale que j’ai reçue et que j’ai pu donner.

J’ai appris le respect, le respect de ma personne et respecter ce qui m’entoure.

J'ai appris la dignité, se respecter et s'aimer dans la fidélité de ma personne.

J’ai appris la fidélité, infaillible à l’amour et aux engagements que l’on prend.

J’ai appris l’authenticité, être qui l’on est au-delà du paraître et des apparences.

J’ai appris l’intégrité, vivre ma vérité et qui je suis jour après jour.

J’ai appris la sensibilité, ressentir dans mon cœur la profondeur d’une émotion

. J’ai appris le pardon, pour toutes les fois où j’ai pu blesser et le pardon que j’ai reçu en retour.

J’ai appris l’amour, l’amour sans conditions dans sa plus grande splendeur et manifestation.

J’ai appris le deuil, ressentir la séparation d’un cœur blessé et en souffrance de manque.

En portant un autre regard sur ce que l'on est, la vision devient automatiquement différente...

Tauromachie -

L’ONU dit non à la présence d’enfants aux corridas

Il y a quelques jours, dans le cadre d’une session sur le thème des droits de l’enfant, l’ONU* a exprimé son opposition à la présence et à la participation d’enfants lors de corridas.

Une position défendue et saluée par la Fondation 30 Millions d’Amis. « Une telle pratique est contraire à la Déclaration des droits de l’enfant ».

Ce sont les mots du Comité international des droits de l’Enfant pour qualifier la corrida (5/2/14). Cet organe international de l’Organisation des Nations Unies (ONU) vient en effet de rédiger une recommandation adressée au Portugal, seul pays devant rendre compte cette année de la mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l’enfant (CIDE) à ce sujet.

Un véritable rappel à l'ordre international -  « Violence physique et mentale »

C’est à la suite de la remise d’un rapport présenté par la Fondation Franz Weber - un organisme suisse spécialisé dans la protection des animaux - dans le cadre de sa campagne Enfance sans violence que l’ONU a exprimé, pour la première fois, une position officielle sur la présence des enfants lors des corridas.

Dans son article 19, la Convention garantit en effet « le droit pour tous les enfants âgés de moins de 18 ans (garçons et filles) à un niveau de vie favorable à leur développement physique, psychologique, moral et social ainsi que l'obligation pour les Etats parties d'adopter les mesures assurant cette protection de l'enfant ».

Pour Sara Oviedo, vice-présidente du Comité, « la participation d’enfants et d’adolescents à des activités liées à la tauromachie constituait une violation grave des articles de la Convention relative aux droits de l’enfant ».

Le Comité demande par ailleurs au Portugal de prendre des mesures législatives et administratives afin de protéger tous les enfants impliqués dans la formation et les spectacles de tauromachie, ainsi qu’en leur qualité de spectateurs.

Il conseille aux autorités lusitaniennes - car il ne s’agit que d’une recommandation - de relever l’âge minimum de 6 à 12 ans pour assister aux corridas. Il préconise également la mise en place de « mesures de sensibilisation en rapport à la violence physique et mentale liée à la tauromachie et son impact sur les enfants ».

Position hautement symbolique Ce véritable rappel à l’ordre international a particulièrement résonné aux oreilles des anti-corrida français :

« Cette convention légitime le combat que nous menons depuis de longues années, explique Thierry Hély, porte-parole de la Fédération des Luttes pour l'Abolition des Corridas (FLAC). Elle montre que l’ONU, organisme suprême des droits de l’homme et du progrès social, reconnaît et condamne sans équivoque la violence de la corrida ».

Une position hautement symbolique qui pourrait être de bon augure : alors que l’Espagne souhaite faire reconnaître la corrida au patrimoine mondial de l'Unesco*, comment l’organisme culturel de l’ONU pourrait-il désormais exprimer une position contradictoire ?

«C’est en inculquant aux enfants le respect de la vie sous toutes les formes (...) qu’ils deviendront des adultes meilleurs.

 Comme le souligne le journal espagnol El Diario , ce positionnement pourrait en outre s’adresser à d’autres pays où la corrida s’exerce toujours en toute légalité : dans le collimateur des opposants à la corrida, les écoles taurines « où sont formés les tortionnaires de demain » rappelle Thierry Hély.

En Espagne, où l’on dénombre plus de 40 écoles tauromachiques, aucun âge n’est requis pour intégrer ces dernières. Seule une autorisation parentale suffit. En France, il faut être âgé de 7 à 8 ans pour rentrer dans l’une des 8 écoles taurines :

« Ces enfants sont exposés à une forme d'activité violente qui en outre présente des risques pour leur intégrité physique », rappelle la Sri-Lankaise Hiranthi Wijemanne, membre du Comité des droits de l’Enfant. Une condamnation sans appel de ces structures « éducatives » qui subsistent également dans certains pays d’Amérique Latine.

« C’est en inculquant aux enfants le respect de la vie sous toutes les formes et le rejet de toutes les maltraitances et les cruautés envers leurs semblables et les animaux qu’ils deviendront des adultes meilleurs » s’est félicitée Reha Hutin, Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis.

La Fondation 30 Millions d’Amis, qui œuvre pour l’interdiction de ce spectacle barbare aux cotés de la FLAC, salue un positionnement responsable et courageux de l’ONU. Elle invite par ailleurs chacun à signer la pétition demandant le retrait de la tauromachie du patrimoine culturel immatériel de la France, qui a déjà réuni à ce jour près de 160 000 signatures.

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