Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

merci

Publié à 08:39 par fandeloup

bonne nuit

Publié à 20:45 par fandeloup

Cinq familles devant la justice

Publié à 20:39 par fandeloup Tags : vie monde bonne chez amour enfants société photo divers fille bébé solidarité
Cinq familles devant la justice

Les parents des 5 familles qui incriminent les vaccins dans le handicap de leur enfant.

Les enfants, de g. à d.: Naomie, Lolita, Lucia, et Terry. Nello, hospitalisé ce jour-là, n'apparaît pas sur la photo.

 Le 07 février 2014 Mise à jour le 07 février 2014 Vanessa Boy-Landry Ensemble, cinq familles demandent des comptes aux laboratoires GSK, Pfizer, et Sanofi.

Elles attendent de la justice la reconnaissance des effets secondaires des vaccins et une indemnisation pour leurs enfants aujourd’hui handicapés. Me Hartemann, leur avocat, a plaidé leurs dossiers, vendredi dernier, devant le Tribunal de Bobigny. A l’issue d’une heure trente de plaidoirie, Me Hartemann se dit « plutôt agréablement surpris » par le verdict de l’audience : les laboratoires ne s’opposent pas au lancement d’expertises médicales pour quatre des cinq dossiers.

Un premier feu vert qui, s’il est confirmé, ouvrira la voie à des examens complémentaires et à la recherche de maladies rares chez ces enfants qui, après avoir reçu des injections de vaccins ont présenté des troubles neurologiques graves.

« Des séquelles comparables à des traumatismes crâniens ou à des épilepsies énormes qui auraient endommagé le cerveau », précise l’avocat. « Il s’agit d’enfants qui ne présentaient aucun problème de santé », explique l’avocat qui insiste sur la similitude des histoires, «et qui, suite à la première injection ou au rappel, ont d’un seul coup arrêté d’évoluer et présenté des dommages très importants ».

Sandrine: «Qu'est-ce qui a pu enlever à Nello la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur?» Nello (3 ans), Naomie (4 ans et demi), Lucia (3 ans), Lolita (18 mois), Terry (15 ans)… des enfants qui se développaient tout à fait normalement et dont l’état s’est progressivement dégradé dans les jours ou semaines qui ont suivi les vaccinations.

Très forte fièvre, pleurs impossibles à calmer, perte du tonus musculaire, raidissement du corps… autant de signes alarmants observés par leurs parents. Aujourd’hui, ces enfants ne marchent pas ou plus, ne parlent pas, ne tiennent pas leur tête, ont des difficultés pour manger, boire, saisir les objets…

Les divers examens et prélèvements réalisés en neuropédiatrie n’ont pas permis d’identifier la cause de leur affection. Nello a fait une très forte fièvre suite à un rappel de Priorix (vaccin du laboratoire GSK contre la rougeole, les oreillons, la rubéole), à 19 mois.  NELLO et son papa Une semaine après, ses parents remarquent qu’il fait du « quatre pattes » les pouces repliés à l’intérieur des mains.

Huit jours plus tard, il prend appui sur les poings, et chute comme « Bambi sur la glace ». Un mois plus tard, Nello part aux urgences : il pousse des hurlements de douleur, son corps est en boule, ses muscles rigidifiés. Une IRM de son cerveau a mis en évidence une atrophie de la substance blanche (myéline).

La batterie d’examens qu’il a subis ont écarté les causes génétiques, infectieuses et traumatologiques. «Qu’est-ce qui a pu lui enlever la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur? », demande Sandrine, sa mère. « Naomie, née prématurée, allait très bien jusqu’à ce qu’elle reçoive, à 14 mois, une première injection d’Infanrix Hexa (vaccin du laboratoire GSK contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, et l’haemophilus influenzae type B) et de Prevenar 13 (vaccin du laboratoire Pfizer contre les infections à pneumocoque)», raconte Sabrina, sa mère.

Après une semaine de pleurs incessants, la petite part aux urgences : strabisme et perte du tonus musculaire (elle ne tient plus assise). Les médecins ne posent pas de diagnostic. Lucia a failli mourir d'une encéphalite qui l'a laissée aveugle et tétraplégique Deux mois après que Lucia, à 18 mois, ait reçu les rappels d’Infanrix Hexa et de Priorix, sa mère la retrouve inconsciente dans son lit, « comme une poupée de chiffon ».

A l’hôpital, les médecins constatent une inflammation au niveau du cerveau. Trois jours après, elle est opérée en urgence d’une encéphalite qui a failli lui coûter la vie et dont elle s’est réveillée, après un mois de coma, aveugle et tétraplégique.

Ni maladie inflammatoire ni virus n’ont été mis en évidence dans cette atteinte neurologique. Pas plus de diagnostic pour la petite Lolita, 18 mois, chez qui les premiers troubles sont apparus quinze jours après la première injection d’Infanrix Hexa et de Prevenar 13, à 2 mois, lorsqu’elle fait une sorte de malaise avant de revenir à elle: « Le corps raidi, elle râlait, bavait, et ne réagissait plus à la lumière », raconte sa mère.

Suite à la deuxième injection, à 3 mois, la petite part aux urgences ophtalmologiques : «Ma fille était comme une larve, les mains fermées, le pouce à l’intérieur, et ne tenait plus sa tête.» Pour Lolita, à ce jour, les recherches génétiques n’ont rien donné. Atteint d’une encéphalite « non étiquetée » à 12 mois, Terry, 15 ans, est aujourd’hui handicapé à 80%.

Chez lui, les premiers signes sont apparus après la première injection, à 2 mois et demi, de Pentacoq, (vaccin Sanofi retiré du marché en 2005, contre la coqueluche, l’haemophilus de type b, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite): forte fièvre, cris persistants, bronchite chronique et, trois semaines après, paralysie du côté gauche (de la hanche au bras).

Tous les parents témoignent de l’impossibilité d’envisager, auprès des médecins, la responsabilité des vaccins. « Professeurs, médecins et neuropédiatres, tous ont refusé cette hypothèse. C’est un sujet totalement tabou », raconte Lionel, le papa de Nello. «Pour eux, le lien avec les vaccins est impossible car aucune étude scientifique ne le montre», ajoute Sabrina, la mère de Lucia, qui évoque le terrain génétique : « C’est peut-être un risque rare, sur une certaine population d’enfants. »

Le Dr Claude Béraud met en garde sur les conséquences des polémiques sur les vaccins Dans un point nuancé sur les polémiques autour de certains vaccins, le Dr Claude Béraud rappelle que les risques de maladies neurologiques n’ont pas été démontrés par des études cliniques, biologiques, et épidémiologiques. Et précise, pour l’hépatite B et le risque de sclérose en plaques que « si les études ne confirment pas le lien, elles ne permettent pas davantage de l’exclure ».

Pour le médecin, les conséquences de ces polémiques sont graves car « elles induisent, dans une partie de la population le rejet de l’ensemble des vaccins, qui constituent avec les antibiotiques, les deux classes de médicaments les plus utiles à la santé des hommes ».

Aujourd’hui, seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, et la polio sont obligatoires. Mais il n’est plus possible pour un enfant de moins de 6 ans de recevoir le DTPolio, qui a disparu du marché en 2008.

Les parents, amers, dénoncent un manque d’information de la part des médecins. Pour la plupart, ils ignoraient le mélange des vaccins obligatoires et recommandés dans le geste médical. « Cet état de fait soulève, selon un expert du médicament, la question des interactions vaccinales, qui est un non-dit. Et cela pose un problème juridique. »

Dans le schéma existant, l’Etat, au titre de la solidarité nationale, répare un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire à travers l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux).

« Même si les juges reconnaissent que c’est bien le vaccin qui a causé l’encéphalopathie, le fait qu’il y ait des valences non obligatoires peut empêcher l’indemnisation de la famille. »

Comment prouver que le dommage a été causé par le vaccin obligatoire ? Me Hartemann, qui sait que les labos vont se battre sur la causalité du vaccin dans le dommage, espère qu’un arrêt de jurisprudence va peser dans la balance.

En 2012, après 17 années de procédure, le Conseil d’Etat a reconnu la responsabilité du vaccin Pentacoq (5 virus) dans l’apparition d’un handicap à 95% chez un bébé de 5 mois.

Pour l’expert du médicament, « c’est un revirement favorable probablement dû à la conscience des juges. Ils ont eu pour la première fois le raisonnement inverse : parce que le Pentacoq mélange les vaccins obligatoires et recommandés, ils ont considéré, par assimilation, que le dommage avait tout aussi bien pu être causé par un vaccin obligatoire ».

L'avocat compte aussi sur le faisceau d’éléments (temporalité, enfants en bonne santé avant la vaccination…) pour que les familles obtiennent réparation. Pour le dossier le plus ancien, celui de Terry, les laboratoires invoquent la prescription.

A moins que ne soit prouvée la responsabilité de Sanofi pour produit défectueux. Prochain rendez-vous le 19 février : les familles sauront si les expertises médicales sont accordées.

Initiative Citoyenne félicite et apporte tous ses encouragements aux courageux parents d’enfants dont la vie a basculé après une vaccination et qui ont choisi de ne pas subir pareille injustice en silence et de se battre par amour pour eux.

Il est évident au vu des statistiques mondiales d’effets secondaires de vaccins que ceux-ci sont DRAMATIQUEMENT sous-estimés et qu’ils grèvent donc lourdement la qualité de vie de la société et des individus, que ceux-ci en soient conscients ou non. Le tabou que ces parents pointent dans le chef du corps médical est une réalité que nous dénonçons déjà depuis des années.

Les effets secondaires graves de vaccins qui sont officiellement recensés ne correspondent qu’à 1 à 10% tout au plus des effets graves réellement attribuables aux vaccins selon des publications scientifiques convergentes (JAMA 1993, Revue du Praticien novembre 2011).

Pour comprendre cette tragédie évitable, il faut oser pointer les vrais problèmes qui sont hélas communs à tous les vaccins et qui concernent la méthodologie précise avec laquelle on évalue leur prétendue sécurité.

Comme l’ont notamment signalé plusieurs auteurs dans la Revue du Praticien -qui est une revue médicale officielle- les essais cliniques pré-commercialisation des vaccins portent sur un nombre insuffisant de sujets pour évaluer les risques statistiquement plus rares mais très graves.

En outre, ils ne portent que sur quelques jours ou semaines et jamais au-delà or on sait de nos jours que les mécanismes du système immunitaire peuvent prendre des mois à « dérailler ».

Comment éthiquement accepter aussi que les vaccinés dans les essais cliniques ne soient jamais comparés à un groupe d’enfants non vaccinés (donc un vrai groupe neutre/groupe placebo), de façon à pouvoir réellement objectiver une sécurité vaccinale qu’on nous prétend pourtant si mirifique que l’ONE ose sans rire encore affirmer que ces cas ne concernent qu’ « un enfant sur 1 million » ?!!

C’est en fait parce que cette méthodologie est biaisée à la base et que la comparaison est rendue volontairement impossible (les enfants vaccinés étant comparés à d’autres enfants ayant reçu d’autres vaccins eux aussi pourvoyeurs de lourds effets secondaires) que l’ONE se croit autorisé à faire croire indéfiniment aux gens que la sécurité des vaccins est bonne.

Selon Initiative Citoyenne, il est indispensable que les médecins qui vaccinent soient également poursuivis et ciblés au même titre que les autorités qui ont conseillé aveuglément des vaccins dont elles ignorent la balance bénéfices/risques globale. Conseiller aveuglément ou même imposer des vaccinations mal évaluées constitue au regard du droit non seulement un délit mais aussi un crime aux conséquences incalculables.

Nous pouvons constater dans les faits que la loi sur les droits des patients n’est jamais respectée par les médecins en matière de vaccins et comme cela a déjà été démontré, les autorités officielles comme celles de la Fédération Wallonie-Bruxelles se sont déjà rendues coupables de publicité vaccinale trompeuse (Jury d’Ethique Publicitaire, décision du 9 novembre 2011).

Si nous ajoutons à cette insouciance, cette ignorance et cette malhonnêteté les conflits d’intérêts à tous les étages, il n’est alors guère difficile de comprendre que SEUL le recours en justice systématique de tous ceux qui s’estiment lésés par les vaccins permettra réellement de rompre la chape de plomb qui pèse sur ce qui est incontestablement le plus grand scandale que la médecine ait jamais connu, que ce soit en termes de durée ou de nombre de victimes.

Mais pendant ce temps bien sûr, certaines « bonnes âmes » appartenant à des médias comme Marianne estiment encore dans leurs pages qu’il est impensable de questionner des vaccins autres que ceux contre le H1N1 ou le HPV.

Le temps presse à nos yeux car la santé générale de la population par ailleurs de plus en plus vaccinée ne cesse de se détériorer en Belgique comme dans le monde:

- la consommation médicamenteuse explose - les taux de cancers ne cessent d’augmenter

- les familles d’autistes qui sont plus de 100 000 en Belgique se font entendre

- un nouveau plan « Maladies rares » vient d’être lancé par Mme Onkelinx mais ce plan qui concerne 700 000 patients en Belgique (près d’1 personne sur 10 !!!!!!!!!!!) ne fait qu’accompagner les malades dans le système médical classique sans s’intéresser le moins du monde aux CAUSES possibles de cette explosion de « maladies rares ». « Comme par hasard », les rares études et enquêtes menées en comparant des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin ont toutes montré que ces derniers jouissaient d’une bien meilleure santé avec moins de maladies neurologiques, de maladies allergiques, auto-immunes etc…



nica

Publié à 19:15 par fandeloup Tags : vie histoire chats chiens
nica

NICA

Comme son nom ne l'indique pas: Nica est un mâle, croisé galgo. Il a été trouvé attaché à la porte du refuge, il portait à son collier une note de son ancien propriétaire pour raconter son histoire. Né en février 2013, il a tout juste 1an, et toute la vie devant lui. Malheureusement, il risque de rester longtemps au refuge car il n'a qu'un seul défaut: il est croisé et pas galgo "pur".... Qui saura voir en lui ce beau mélange de lévrier qui le rend unique? Nica est sociable avec les autres chiens, mâles et femelles. Un test aux chats peut être fait en cas de demande d'adoption. Il mesure 65 cm au garrot et pèse 30 kg. Il est d'une grande beauté!

N'attendez pas pour nous contacter: pour l'adopter ou pour tout renseignement:

Patricia, texouille@gmail.com

Christine, christine.lipinski.tdl@gmail.com

Evelyne, pomavea@gmail.com

Perrine, perrinemallet46@gmail.com



bienvenue

Publié à 18:38 par fandeloup Tags : bienvenue
bienvenue

Bienvenue à tou(te)s dans mon univers.



patitas

Publié à 18:29 par fandeloup Tags : bébé bisous homme monde
patitas

PATITAS

Ce Podenco mâle à poils longs de 2 ans et demi/3 ans est au refuge depuis... toujours. Et personne ne le voit... Nous l'avons revu lors de notre visite annuel dans son refuge et son regard nous hante depuis: lors de notre départ, il nous observait à travers le grillage, alors que nous embarquions les adoptés chanceux, il semblait se dire que ce ne sera jamais son tour. Et pourtant, sa famille existe bien quelque part, il faut qu'elle se manifeste et vite car Patitas supporte de moins en moins le refuge, il dépérit. Il est sociable avec tout le monde, même avec l'homme. Lorsque nous étions dans son box, il est venu nous faire des bisous. Patitas est très gentil et affectueux. Il est de taille moyenne. Il a été retrouvé encore bébé, avec la patte abîmé. Mais maintenant tout va bien pour lui de ce côté là! Il ne lui reste qu'à trouver SA famille.

Si vous souhaitez l’adopter, contactez Terre des Lévriers.

Patricia : texouille@gmail.com

Evelyne : pomavea@gmail.com

Christine : christine.lipinski.tdl@gmail.com

Perrine : perrinemallet46@gmail.com



bonheur

Publié à 17:56 par fandeloup
bonheur

Les petits bonheurs de tous les jours, il ne les voit pas, il n'a pas encore compris que le bonheur, c'est justement fait avec tous les petits bonheurs mis bout à bout.



LA FRANCE SILENCIEUSE SUR LES MÉTHODES

Publié à 17:01 par fandeloup Tags : france 2010 animaux
LA FRANCE SILENCIEUSE SUR LES MÉTHODES

Février 2014. Une enquête de l’ECEAE révèle le peu de moyens consacrés au développement des méthodes alternatives par la plupart des pays européens, malgré leur obligation légale.

La france n’a pas daigné répondre…

Une étude européenne

L’étude, publiée dans la revue scientifique en ligne Altex, a été conduite par les organisations membres de l’ECEAE*, dont One Voice est le représentant français.

Les gouvernements ont été interrogés sur le financement alloué au développement des méthodes alternatives, afin de déterminer s’ils honoraient leurs obligations légales.

Une obligation légale D’après la nouvelle loi européenne sur l’expérimentation animale, la directive 2010/63.EU, entrée en vigueur en janvier 2013, les Etats membres sont légalement tenus de contribuer au développement et à la promotion des méthodes alternatives.

À peine un sur deux a accepté de répondre à notre enquête. Et parmi eux, seulement 7 ont pu justifier de fonds spécifiques : l’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, l’Allemagne, la Suède et le Royaume-Uni.

La france reste silencieuse…

Au total, 18,7 millions d’euros ont été investis dans les méthodes substitutives par ces 7 pays.

Les autres Etats qui ont répondu – la République tchèque, l’Irlande, la Lettonie, le Luxembourg, la Slovaquie et l’Espagne, n’y ont alloué aucun fonds, ni en 2013, ni les années précédentes.

La france, qui continue largement d’expérimenter sur les animaux, n’a pas jugé opportun de répondre.

Des montants dérisoires !

Le financement des méthodes alternatives par les pays qui ont répondu est évalué à seulement 0 à 0,036% des dépenses nationales pour la recherche scientifique…

Concernant ces pays contributeurs, les montants dédiés sont de l’ordre de 1/25ème des financements reçus.

Le Royaume-Uni par exemple, est le plus généreux à la fois en terme de pourcentage et de montant : 11 millions d’euros en 2013, soit 0,036% du budget de la recherche…

Agir Pour encourager à la france à communiquer sur ce qu’elle a concrètement engagé pour respecter ses obligations légales, vous pouvez écrire à :

Mme Fioraso, ministre de la Recherche Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (M.E.S.R.)

1 rue Descartes 75231 Paris cedex 05

*Coalition européenne pour la fin de l’expérimentation animale



météo

Publié à 16:27 par fandeloup Tags : nuit france mer chez
météo

Une tempête aussi dévastatrice que celle de 1999 est attendue mercredi en france (mise à jour)

Des vents de 150 km/h pourraient balayer la france. La probabilité de ce scénario catastrophe est de 60% et évolue d’heures en heures.

C’est une bombe qui pourrait arriver sur la france mercredi. Les prévisionnistes de Météo Consult ont les yeux rivés sur les modèles météorologiques et sur l’arrivée possible d’une tempête mercredi avec des vents de 150 km/h.

« Il y aura de toute façon une tempête mercredi, explique Eric Mas, directeur de l’information chez Météo Consult. Et il y a 60% de chance pour que cette tempête ne soit pas standard mais soit violente avec un scénario similaire à celui de 1999 ».

Les météorologues font leurs prévisions avec plusieurs modèles dont le modèle américain, le « GFS », et le modèle européen, le « CEP ».

C’est ce dernier modèle qui laisse envisager pour l’instant une tempête violente pour mercredi.

La france est balayée depuis un mois par une succession de tempêtes. Celle de mercredi pourrait être dévastatrice. Il faut remonter au mois de février 1990 pour voir une telle succession de coups de vent sur l’hexagone.

Durant cet épisode tempétueux, nous avons eu affaire à deux types de tempête. Le scénario du coup de vent de la nuit de ce jeudi à vendredi avec une dépression creuse de l’ordre de 980 hectopascals qui passe rapidement sur la france.

Le scénario de la tempête attendue ce samedi sur la france avec une dépression beaucoup plus creuse qui passe sur l’Irlande mais qui est suffisamment étendue pour nous toucher avec des vents de 100 km/h et surtout qui lève une mer très formée avec des creux de 8 à 9 mètres en entrée de Manche.

Et le scénario de 1999, qui correspond au troisième type de tempête possible : une dépression très creuse (950 hectopascals) qui passe sur la france.

Retrouvez l’information météo et suivez en direct l’évolution des tempêtes sur le site La Chaine Météo.



humour

Publié à 15:29 par fandeloup
humour

Rien Que pour le Plaisir des Yeux



Première page | <<< | 2981 2982 2983 2984 2985 2986 2987 2988 2989 2990 2991 2992 2993 2994 2995 2996 2997 2998 2999 3000 | >>> | Dernière page