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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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aide sociale

Publié à 18:19 par fandeloup Tags : texte loisirs sur vie nature internet enfant marne
aide sociale

Qu'est-ce que l'aide sociale facultative ?

L’aide sociale facultative pour faire face à une situation difficile.

L’aide sociale facultative est un soutien ponctuel en espèces ou en nature, remboursable ou pas, proposé par les départements et les communes. Il peut intervenir en plus des dispositifs légaux (allocations familiales, RSA, AEEH…) pour faire face à une situation difficile ou à une dépense imprévue.

 

Aides municipales et départementales pas automatiques

Ils ne constituent pas un droit automatique, vous devez donc en faire la demande d'aides sociales. Si vous éprouvez des difficultés à boucler votre budget parce que vous ne travaillez qu’à mi-temps ou parce que les frais au quotidien pour Lulu sont importants (soins, matériels, loisirs, etc.), n’hésitez pas à chercher de l’aide de ce côté.

 

Quelles sont vos droits aux aides sociales facultatives ?

Vous pouvez obtenir un règlement pour des impayés de gaz, d’électricité, d’une partie ou de la totalité des frais de cantine pour Lulu, etc. L’aide sociale en nature est le plus souvent délivrée sous forme de colis alimentaires, vêtements, bons pour les transports ou les loisirs. Une maman d’enfant handicapé a bénéficié du financement, par la caisse des écoles de sa commune, d’un assistant d’éducation (personnel communal) en attendant l’arrivée d’un auxiliaire de vie scolaire (AVS) payé par l’Éducation nationale. Vous pouvez aussi solliciter une aide sociale qui permettra de faire face au délai entre une dépense importante et son remboursement, par exemple pour l’achat d’un fauteuil roulant pendant que votre demande de prestation de compensation du handicap (PCH) est instruite. Selon les cas, vous recevrez des espèces, un chèque, ou vos créanciers (l’école pour la cantine, le fournisseur d’électricité, etc.) seront réglés directement.

 

Quels sont les conditions d’une aide sociale municipale ?

Ces soutiens sont possibles sous réserve d’avoir épuisé les aides sociales légales existantes (PCH par exemple pour la prise en charge des aides humaines ou techniques, APL pour le logement, compléments des mutuelles ou des caisses de retraite…). Votre demande d’aide sociale au CCAS sera étudiée avec un travailleur social. Dans les plus petits centres communaux d’action sociale (CCAS), qui n’ont pas toujours de travailleurs sociaux au sein de leurs effectifs, votre demande sociale sera examinée par un agent administratif spécialisé dans le montage de ce type de dossier. Pour les toutes petites communes, il peut s’agir de l’élu chargé des affaires sociales. Ces aides sont mobilisables le plus souvent en fonction de vos revenus, mais pas seulement. Elles s’adressent aussi à des personnes en difficulté passagère.

 

Qu’est-ce que l’aide secours d’urgence ?

Le secours d’urgence est une aide sociale facultative qui permet de répondre à des besoins vitaux, généralement alimentaires (lait ou couches pour votre enfant, par exemple). Il peut être délivré dans les deux jours, dans la journée, voire dans l’heure au sein de certains CCAS.

 

Aide sociale facultative des départements

L’aide sociale facultative des départements complètent les interventions des conseils départementaux dans les domaines de l’aide sociale aux personnes âgées, aux personnes handicapées (allocations versées par les MDPH) et à l’enfance. Pour en bénéficier, vous pouvez vous adresser aux maisons départementales des solidarités, qui vous renseigneront.

 

Aide sociale facultative des communes

Les communes mènent leurs propres projets, généralement par l’intermédiaire des centres communaux ou intercommunaux d’action sociale. Au-delà de 5 000 habitants, toutes les communes gèrent des interventions de solidarité envers leurs administrés.

 

Où se renseigner pour les aides sociales facultatives ?

La commune et le département travaillent en général ensemble et cofinancent certains projets. Vous pouvez prendre contact directement avec le CCAS de votre commune ou avec les assistants sociaux de secteur du département, notamment au sein des maisons départementales des solidarités.

 

L’action sociale facultative n’est pas réglementée

L’action sociale facultative proposée par les CCAS (cf note de bas de page) n’est pas réglementée, et chacun met en oeuvre sa propre politique d’aide. Les actions seront complètement différentes d’une commune à l’autre, en fonction de ses priorités et des choix effectués par les élus. Les personnes handicapées font partie des populations cibles des CCAS. Pour les parents, il peut s’agir d’obtenir un accompagnement de leur enfant handicapé en séjour de vacances, un prêt à taux zéro pour financer des matériels, ou d’autres types d’aides financières directes qui ne seront pas forcément à rembourser par la suite. Chaque commune de plus de 3 500 habitants dispose normalement d’un CCAS. Dans celles qui n’en ont pas, des budgets sont tout de même prévus pour la mise en oeuvre d’actions sociales facultatives.

 

En savoir plus sur les aides sociales facultatives

Consultez le site internet de votre conseil départemental, vous y trouverez la liste des lieux de proximité qui vous renseigneront sur les dispositifs mis en oeuvre dans votre département. Exemple avec celui de Seine-et-Marne : (rubrique « Solidarité », « Maisons départementales des solidarités »). Note : La situation a évolué depuis 2016, puisque la loi NOTRe (Nouvelle organisation territoriale de la République) du 7 août 2015 a rendu facultative la présence d’un CCAS dans les communes de moins de 1 500 habitants, c’est-à-dire 30 000 des 36 000 communes. Dans plusieurs départements, les préfectures ont incité les maires à dissoudre leur CCAS au 31 décembre 2015

horreur

Publié à 17:27 par fandeloup Tags : sur bonne vie france monde mode mort animaux place nature oiseaux
horreur

URGENT : L’Etat s’apprête à autoriser le massacre de 2 millions d’animaux !

 Le ministre de la Transition écologique et solidaire consulte le public sur le nouveau projet d’arrêté fixant pour les 3 prochaines années les listes et les modalités de « destruction des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » (anciennement dits « nuisibles ») dans chaque département de France. Envoyez votre avis avant le 27 juin minuit via le formulaire situé en bas de la page qui présente le projet d’arrêté.

 Les nouveaux condamnés à mort Renards, fouines, martres, putois, belettes, corneilles, corbeaux freux, étourneaux, pies, geais : tous ont le malheureux point commun de figurer malgré eux sur la nouvelle « liste de la mort » du Ministère, établie tous les 3 ans.

Si l’on se fie aux bilans de piégeage réalisés de 2015 à 2018, ce seraient plus de 2 millions d’animaux sauvages qui pourraient être à nouveau tués, piégés, déterrés d’ici le 30 juin 2022 ! Selon la loi, une espèce peut être classée « susceptible d’occasionner des dégâts » dans un département pour protéger la santé et la sécurité publiques, la faune et la flore sauvages, les activités agricoles, forestières et aquacoles et la propriété en général.

Mis à part une légère amélioration du sort de la fouine, dont le piégeage serait autorisé dans 68 départements (contre 79 précédemment), de l’étourneau (36 départements contre 44) et dans une moindre mesure du corbeau freux (56 contre 58) et de la corneille noire (82 contre 84), le projet d’arrêté est un quasi copier-coller de l’arrêté en vigueur depuis le 1er juillet 2015…

Les choses sont même pires pour le renard, puisqu’il redeviendrait « destructible » en Savoie, ainsi que dans… 90 autres départements de France ! Le Ministère de la Transition (de l’Immobilisme) écologique, n’a décidément d’yeux et d’oreilles que pour le lobby chasse, et continue à tourner le dos aux associations de protection animale qui ne cessent de dénoncer l’absurdité de tels classements, qui vont à l’encontre de toutes les études scientifiques sérieuses. Seule bonne nouvelle : le nombre de piégeurs et de chasseurs diminue d’année en année, et les Français sont de plus en plus sensibilisés à la cause animale et au respect de la biodiversité en général, une pression citoyenne qui finira bien par faire éclater la petite bulle de destructeurs qui lutte pour la survie de ses intérêts macabres.

Les positions de l’ASPAS L’ASPAS s’oppose de manière générale à la destruction illimitée d’espèces animales autochtones. En plus d’être inutiles, ces abattages portent atteinte aux équilibres écosystémiques et sont à l’origine de souffrances eu égard aux modes d’abattage et aux périodes d’abattage autorisées (pièges non sélectifs et mutilants, déterrage pour le renard, abattage en période d’élevage des jeunes, etc.).

Concernant ce projet en particulier, l’ASPAS demande : l’interdiction du déterrage du renard, l’arrêt total du piégeage et du tir de la belette et du putois dans les rares départements qui l’autorisent encore, la reconnaissance du rôle bénéfique de toutes ces espèces dans les écosystèmes et vis-à-vis des activités humaines, une refonte de la procédure de classement qui est une instruction à charge menée par les chasseurs et dont les données sont invérifiables, l’impossibilité de tuer ces espèces pour satisfaire les intérêts liés à la chasse, la mise en œuvre de méthodes alternatives à la destruction pour toutes les espèces, un zonage beaucoup plus précis de l’interdiction de tuer ces espèces en dehors des activités sensibles à leur présence.

Une refonte de notre rapport à la faune commune Si la notion de « nuisible » a enfin définitivement disparu de nos textes en 2018, ce projet démontre que dans les faits, rien n’a changé. Ce projet reprend mot pour mot les termes de l’arrêté de 2015 qu’il est censé remplacer. Les abattages pourront continuer avec les mêmes méthodes dans quasiment les mêmes départements. Naturellement présentes dans le milieu naturel, ces espèces participent aux équilibres des écosystèmes, et sont bénéfiques aux activités humaines en prédatant d’autres espèces animales ou en disséminant des végétaux.

Pour la plupart, elles jouent un rôle de police sanitaire en débarrassant la nature de cadavres d’animaux, évitant ainsi la propagation de maladies. Des modes de destruction barbares, non sélectifs, aux conséquences non contrôlées Ce projet d’arrêté continue à autoriser le piégeage de l’ensemble des espèces toute l’année ainsi que le déterrage du renard.

Or les pièges tuants, qui provoquent la mort de l’animal dès sa capture ou après de longues minutes de souffrance, sont toujours autorisés en France malgré les risques que cela fait courir aux espèces non ciblées, potentiellement protégées, et aux animaux domestiques. Le déterrage, quant à lui, engendre des heures de souffrances pour le renard traqué, et pour sa portée lorsque le déterrage a lieu en pleine période d’élevage des jeunes.

Ces pratiques barbares et non sélectives devraient être interdites. En outre, les destructions induisent nécessairement une réponse comportementale des animaux visés : ceux-ci peuvent se déplacer, adapter leur fécondité ou encore laisser une place libre que d’autres animaux vont rapidement occuper. Ces réponses rendent les destructions inutiles, voire contre-productives (propagation de maladies du fait du déplacement d’animaux porteurs d’un germe fuyant les destructions, élevage des jeunes rendu plus facile du fait de l’élimination d’animaux parasites augmentant ainsi les populations, etc.).

Les pouvoirs publics, conseillés par le monde cynégétique, continuent d’appliquer des méthodes d’apprenti-sorcier, sources de grande souffrance, sans en étudier les conséquences sur le comportement des animaux . Des prédateurs naturels tués pour satisfaire le plaisir des chasseurs L’ASPAS l’a longtemps dénoncé, et certains tribunaux l’ont même sanctionné. Pourtant, aujourd’hui, le ministère l’assume et l’écrit noir sur blanc : les prédateurs naturels peuvent être tués pour protéger le gibier des chasseurs.

Cet arrêté prévoit en effet que renard, pie bavarde, belette et autres mustélidés peuvent être tués à proximité des enclos destinés aux lâchers de gibier et dans les territoires où les chasseurs mènent des actions pour favoriser leur gibier préféré. Autant de zones dans lesquelles nos prédateurs naturels sont inévitablement attirés par une nourriture abondante et facilement accessible car peu habituée à la vie sauvage.

Un simple loisir, qui plus est aussi funeste que la chasse, ne devrait pas primer sur la préservation de notre patrimoine naturel. Protéger les activités plutôt que détruire une espèce animale Les mustélidés peuvent être piégés uniquement à proximité de certaines activités, mais tirés en tout lieu. Le renard peut être tiré partout, mais uniquement près des élevages avicoles à partir du 31 mars. L’étourneau sansonnet peut être tiré uniquement près de certaines cultures, mais être piégé partout.

Le geai des chênes peut être piégé dans les vergers et vignobles mais tiré partout, etc. Exceptée la pie bavarde qui ne peut être tuée qu’à proximité de certaines activités quel que soit le mode de destruction choisi, les espèces peuvent être détruites indépendamment des activités à protéger, même dans des lieux où aucun dégât n’a été causé, et même dans des lieux où aucun dégât n’est susceptible d’être causé.

L’objectif est donc de détruire un spécimen de l’espèce parce qu’il appartient à cette espèce, et non de trouver une solution à un problème posé par la présence de cet individu. Il est temps de recentrer les réflexions sur les moyens techniques à développer pour protéger efficacement et dans la durée certaines activités, plutôt que de privilégier le recours au fusil, facile mais inutile et dénué de toute éthique.

Des méthodes alternatives obligatoires mais incontrôlables

Les oiseaux sont protégés par la directive « Oiseaux », la martre et le putois par la directive « Habitats ». À ce titre, leur destruction ne peut être autorisée qu’après recherche, étude et mise en œuvre infructueuse de méthodes alternatives qui permettraient de protéger les activités humaines au moins aussi efficacement que leur destruction.

Pourtant, ce projet n’impose pas que la réalité de cette mise en œuvre soit constatée par une personne indépendante, laissant à chacun la responsabilité de respecter les dispositions européennes. Or la difficulté à initier ces alternatives et la facilité de recourir aux armes n’incitent pas les acteurs à préférer la méthode douce, pourtant plus efficace que la destruction. Campagnols : une lutte naturelle reconnue mais non exploitée

Ce projet entérine l’interdiction de tuer des renards et des mustélidés dans les zones où sont mises en œuvre des luttes chimiques contre les campagnols, reconnaissant ainsi le rôle d’auxiliaires que peuvent jouer ces petits prédateurs.

Cependant, la lutte chimique est toujours de rigueur, ce qui présente le problème de l’utilisation de substances nocives en pleine nature et favorise l’ingestion de poisons par les prédateurs de campagnols. En outre, lutte naturelle et lutte chimique coexistent alors que la lutte naturelle est bien plus efficace en amont des pics de pulluation, soit avant que la lutte chimique ne soit engagée. Interdire l’utilisation des armes en pleine ville La destruction à tir des mustélidés est interdite dans les zones urbanisées.

Pour des questions de sécurité évidentes, cette interdiction devrait être étendue à toutes les espèces. Le renard, une espèce classée partout en France Le renard est classé dans 91 départements (contre 90 la saison précédente, contrairement à ce qu’écrit le ministère). Cette espèce autochtone peut donc être détruite par piégeage et déterrage sur la quasi-totalité du territoire français. Pourtant, cette espèce joue un rôle utile sur les populations de certains micro-mammifères et contre la propagation de maladies en éliminant cadavres et animaux malades. Les dégâts causés aux poulaillers interviennent en général sur des installations vétustes qui ne sont pas correctement protégées, et ne justifient pas le classement du renard partout en France.

Le tort réel de cette espèce prédatrice et opportuniste est de s’attaquer un peu trop souvent au « gibier » des chasseurs, qui voient en elle une concurrente insupportable.

Vaucluse

Publié à 16:19 par fandeloup Tags : homme femmes divers google mort femme fond sur france cheval vie maison
Vaucluse

Vaucluse : une femme brûlée à l’essence après une dispute conjugale

 Le drame s’est déroulé à Cheval-Blanc, une petite commune du Vaucluse. google Street View La victime est grièvement blessée. Son compagnon, brûlé lui aussi, a été mis en examen.

Une femme de 48 ans se trouve entre la vie et la mort après avoir été gravement brûlée par de l’essence enflammée, vendredi, dans sa maison de Cheval-Blanc, près de Cavaillon (Vaucluse).

Selon La Provence, la victime a été hospitalisée à Marseille (Bouches-du-Rhône) et placée dans un état de coma artificiel. Son pronostic vital est toujours engagé ce dimanche en milieu de journée. Elle souffre de brûlures au cou, au thorax et aux bras. Les faits se sont déroulés très tôt vendredi matin durant une dispute conjugale, retrace Le Dauphiné Libéré.

Vers 6 heures, les pompiers, alertés par les voisins, ont découvert cette femme aspergée d’essence et gravement brûlée sur tout le haut du corps. Mis en examen dimanche matin Son compagnon, âgé de 50 ans, était brûlé aux bras. Il a été placé en garde à vue puis mis en examen dimanche en fin de matinée pour tentative de meurtre par concubin et écroué. Si l’homme a reconnu avoir aspergé sa compagne d’essence, il conteste le fait d’avoir allumé le briquet. Il y avait déjà eu des interventions de la gendarmerie auprès du couple, pour des disputes conjugales, mais aucune poursuite n’avait été engagée contre cet homme, faute de plainte de sa compagne.

La dispute aurait eu lieu « sur fond d’alcoolisation », l’homme était déjà connu pour conduite en état d’ivresse. Une enquête a été confiée à la brigade de recherches d’Apt.

En 2017, 130 femmes ont été tuées par leur mari ou ancien mari, soit une tous les trois jours. Et chaque année, en France, près de 220.000 femmes subissent des violences de la part de leur conjoint ou ex-conjoint. Selon le décompte fait par le collectif « féminicides par compagnon ou ex », au 3 juin dernier, 61 femmes ont été assassinées depuis le début de cette année. « On était à un décès tous les trois jours, cette année on est plutôt à un tous les deux jours », s'était alarmée fin avril Gwenola Joly-Coz, présidente du tribunal de grande instance de Pontoise (Val-d'Oise), appelant le gouvernement « à changer de réponse » face à ce phénomène.

nature

Publié à 15:47 par fandeloup

message

Publié à 15:38 par fandeloup Tags : message

liberté

Publié à 15:31 par fandeloup Tags : vie
liberté

Ta plus grande liberté seras toujours celle de tes choix de vie!

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Publié à 15:19 par fandeloup
Ouvrir

Chaque pas en avant nous donne des joies et prépare des pleurs... Ouvrir son cœur a deux effets recevoir de la joie comme permettre d'en offrir, et pleurer au départs

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Publié à 14:58 par fandeloup
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Je ne cherche pas la gloire elle appartiens a d'autre je cherche simplement les chercheurs de vérités

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Publié à 14:26 par fandeloup
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Lorsque vous vous sentez au plus bas, parfois c'est juste un instant de repos qui vous permet de prendre votre élan et remonter encore plus haut.

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Publié à 14:09 par fandeloup Tags : humour