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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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message

Publié à 14:04 par fandeloup Tags : message

reconnaître

Publié à 13:58 par fandeloup Tags : merci chez belle aime
reconnaître

POUR LES CURIEUX.

Afin de reconnaître la femelle du mâle chez les DIPTÈRES ( MOUCHES etc ), n'allez pas chercher la "foufoune" de la belle ou la "zigounette" du monsieur

 Observez simplement les yeux, Madame à les yeux écartés ( dichoptiques) ceux du Monsieur se touchent presque (holoptiques) c'est simple NON !!!.

Alors ont dit merci qui

C'est parce que je vous aime que je vous donne mes petites combines sinon..

ENVIRONMENT

Publié à 11:54 par fandeloup Tags : photo prix sur bonne vie monde course mer chez animaux place nuit
ENVIRONMENT

Le ruissellement des engrais crée la plus grande zone morte jamais observée aux États-Unis Les précipitations record dans le Midwest des États-Unis ont provoqué le ruissellement de plusieurs tonnes d'engrais et d'eaux usées vers l'océan, donnant naissance à une vaste étendue d'eau polluée responsable d'une hécatombe dans les écosystèmes marins.

 Vu du dessus, on distingue clairement l'impact des sédiments charriés par le fleuve Mississippi jusqu'au Golfe du Mexique. Ces sédiments contiennent bien souvent des substances polluantes héritées des engrais qui provoquent, une fois dans l'océan, une brusque prolifération des algues.

 Au large des côtes de la Louisiane et du Texas, à l’endroit même où le Mississippi finit sa course à travers les États-Unis, l’océan meurt à petit feu. Ce phénomène cyclique est connu sous le nom de zone morte et il se produit tous les ans mais selon les scientifiques, la zone atteindra cette année sa superficie maximale depuis le début des relevés.

Les pluies annuelles du printemps font ruisseler les nutriments utilisés dans les engrais qui se déversent ensuite dans le Mississippi. Cette eau douce dont la densité est inférieure à celle de l’océan reste en surface et empêche l’oxygène de se mélanger à la colonne d’eau. Tôt ou tard, les nutriments contenus dans cette eau participent à la croissance soudaine et exponentielle des algues qui consomment l’oxygène à mesure que les plantes se décomposent. Les étendues d’eau pauvres en oxygène qui en découlent mènent à un état appelé hypoxie dans lequel les animaux de la zone suffoquent puis meurent. Les scientifiques estiment que cette année, la zone morte du Golfe du Mexique s’étendra sur plus ou moins 20 000 km² à travers le plateau continental situé au large des côtes.

 

UN ÉCOSYSTÈME ASPHYXIÉ

« Lorsque la teneur en oxygène est inférieure à 2 ppm (parties par million), les formes de vie telles que les crevettes, les crabes et les poissons capables de nager parviennent à fuir la zone, en nageant, » nous informe Nancy Rabalais, écologiste des océans à l’université d’État de Louisiane. « En revanche, les animaux des sédiments, incapables de nager, peuvent être quasiment réduits à néant. » Les animaux comme les crevettes finissent souvent par chercher plus d’oxygène dans les eaux moins profondes, plus près de la côte. Les crevettes victimes des eaux hypoxiques sont plus petites étant donné que leur croissance est entravée par la pollution.

Une étude parue en 2017 s’intéressait à l’impact de la zone morte sur les crevettiers des eaux côtières du Golfe du Mexique : les prix des crevettes sont tirés vers le bas, ce qui nuit au profit des entreprises locales. Les zones mortes n’apparaissent pas que dans le Golfe du Mexique, bien que celle-ci soit considérée comme la seconde plus étendue au monde. La première, dans la mer Baltique, a vu ses zones de pêche dévastées par le manque d’oxygène et la plupart des animaux marins ne peuvent plus survivre dans la région. Au large de la côte Ouest des États-Unis, les secteurs du crabe et de l’huître des États de Californie et de l’Oregon enregistrent des pertes de profit depuis le début du 21e siècle. Ils affirment que la vague annuelle d’appauvrissement en oxygène a détruit une grande partie des animaux qu’ils pêchent habituellement dans les sédiments.

 

ORIGINES DES ZONES MORTES

Rabalais déclare ne pas être surprise face à l’envergure de la zone morte attendue cette année. En effet, au printemps les précipitations enregistrées dans la région du Midwest étaient sans précédent, ce qui contribue à l’augmentation du ruissellement dans l’océan. Face aux pluies torrentielles, de nombreux agriculteurs ont dû renoncer aux cultures comme le maïs et le soja, ce qui signifie que tous les engrais riches en nitrogène et en phosphore répandus sur leurs terres ont ruisselé jusqu’au Mississippi.

Les scientifiques sont sans appel, le réchauffement climatique pourrait engendrer à l’avenir des épisodes pluvieux encore plus extrêmes dans la région et il deviendra encore plus difficile de contrôler le ruissellement des engrais. « La meilleure façon de résoudre le problème est de limiter les nutriments à la source, » explique Rabalais. « Une fois qu’ils ont atteint le fleuve, il n’existe aucune méthode efficace pour les éliminer. »

Également rattaché à l’université d’État de Louisiane, Eugene Turner a travaillé avec Rabalais à l’estimation de la taille de la zone morte. Il affirme que de meilleures pratiques de gestion contribueraient à réduire sa superficie. Pour maintenir le sol en bonne santé, il suggère un roulement des cultures couplé à une utilisation d’engrais réduite et à un couvert végétal pour maintenir le sol en place. David Scheurer est chercheur pour l’Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique et spécialiste des zones mortes.

Il précise qu’il est difficile d’attribuer la taille d’une zone morte à une seule pratique comme le ruissellement agricole mais admet que ce phénomène joue un rôle majeur dans la formation de la zone. Les eaux usées et la météo sont d’autres facteurs qui influent sur la taille de la zone morte. Directeur des relations avec le Congrès auprès de l’American Farm Bureau Federation, Don Parrish affirme que les agriculteurs s’efforcent déjà de mettre en place des pratiques destinées à réduire le ruissellement des nutriments. L’agriculture de précision et l’intelligence artificielle sont deux éléments qui accompagnent les agriculteurs dans la réduction du volume d’engrais nécessaire pour chaque culture. Il ajoute que les coûts élevés et une courbe d’apprentissage abrupte sont autant de facteurs qui rendent difficile la démocratisation de ces technologies durables chez les agriculteurs. « Scientifiquement parlant, nous pouvons réduire la taille mais à ce stade, la question est de savoir si c’est également possible d’un point de vue politique, » poursuit-il.

 

CHANGEMENT CLIMATIQUE ET ZONES MORTES

Ce qui préoccupe actuellement les scientifiques, c’est l’impact potentiel du réchauffement des eaux dans le Golfe du Mexique sur l’augmentation des taux d’hypoxie. « C’est une préoccupation au long terme, » indique Scheurer. « Si le climat ne change pas dans cette région, bon nombre d’indices laissent penser que le phénomène ne fera qu’empirer. » Pour résumer, l’eau chaude transporte moins d’oxygène et une étude publiée l’année dernière faisait état d’étendues d’eau pauvres en oxygène dont la superficie atteignait plusieurs milliers de kilomètres à travers l’océan.

On s’attend par ailleurs à ce que le changement climatique soit à l’origine d’épisodes pluvieux et d’inondations plus intenses dans le Midwest des États-Unis, ce qui contribuera à l’augmentation du volume d’engrais chimiques déversé dans l’océan. Cependant, Scheurer comme Rabalais reconnaissent qu’il est encore trop tôt pour affirmer que la zone morte du Golfe est déjà aggravée par le changement climatique.

Rabalais ajoute qu’elle s’attend à ce que ce phénomène empire dans les années à venir et vienne encore plus fragiliser l’écosystème. « Vous vous souvenez certainement de la marée noire provoquée par l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon de BP ? interroge-t-elle. « Eh bien les zones mortes sont un phénomène qui apparaît plus progressivement depuis plusieurs dizaines d’années, mais il n’en est pas moins dévastateur. »

tristesse

Publié à 10:48 par fandeloup Tags : france jardin sur vie monde animaux place création nuit nature cadre animal chien histoire
tristesse

Cinq histoires d’animaux qui remettent en cause la captivité

Espace d’enfermement des animaux ou lieu privilégié pour leur conservation, les zoos reçoivent chaque année des millions de visiteurs. Parcours entre les cages et les vivariums avec Violette Pouillard, historienne des animaux.

Depuis l’aube du 19e siècle, profitant de la fascination du public pour la faune sauvage, les zoos se sont multipliés. Ils sont devenus un espace privilégié de rencontre entre les hommes et les animaux. Mais, au même titre que le tourisme animalier, qui fait l’objet d’un reportage dans le magazine National Geographic de juin 2019, ce type de relations mérite d’être questionné. Violette Pouillard est historienne à l’université de Gand (Belgique).

Elle s’est attelée à saisir le point de vue de la faune en captivité, en se fondant sur les récits de leurs compagnons humains, des registres vétérinaires et des travaux d’éthologues sur le comportement animal. Elle est l’auteure d’Histoire des zoos par les animaux (à paraître en novembre 2019, éditions Champ Vallon). Plongée en cinq étapes dans la vie des zoos.

 

LE LION, PREMIÈRE STAR DU ZOO

Le lion du Muséum et son chien représentés dans "La Décade philosophique, littéraire et politique"Le premier zoo naît dans le contexte de la Révolution française. Les premières lois en faveur de la libération des Hommes, et en particulier des esclaves, s’accompagnent d’un élan semblable envers les animaux. Les ménageries princières deviennent des symboles de la tyrannie. Leurs animaux sont saisis, ainsi que ceux des montreurs itinérants. Il devient rapidement indispensable de trouver un endroit pour les accueillir. L’ancien jardin du roi abrite donc la toute nouvelle ménagerie du Jardin des Plantes, qui fera ensuite des émules dans toute l’Europe.

« Deux des animaux confisqués deviennent célèbres, raconte Violette Pouillard : le lion Woira et son chien, arrivés au Muséum d’histoire naturelle en 1794. À l’époque, il est assez courant de donner des compagnons canins aux captifs pour compenser l’absence de contacts avec leurs congénères. Inséparables depuis leur élevage commun au Sénégal, ceux-ci deviennent un symbole des idéaux révolutionnaires de réconciliation avec les animaux. »

Malheureusement, les conditions de vie sont difficiles dans la ménagerie et le chien meurt un an après son arrivée. Le lion, selon les récits, sombre dans la tristesse, s’isole et meurt à son tour en 1796. Dans cette histoire émouvante, l’historienne voit aussi la trace d’un changement de relation aux animaux : « L’idéal originel de libération animale passe rapidement au second plan. Il est supplanté par l’éducation et le plaisir des foules. La Révolution veut éduquer ses citoyens et offrir à tous la contemplation des animaux. »

 

L’ÉLÉPHANT, ANIMAL EXOTIQUE

Des touristes posent avec des éléphants, au parc Maetaman Elephant Adventure, près de Chiang Mai (Thaïlande). La contemplation des animaux devient justement un moteur essentiel du développement des zoos. Les visiteurs viennent nombreux pour admirer les espèces exotiques exposées. Dès 1794, la ménagerie du Jardin des Plantes ne se contente plus des animaux réquisitionnés et achète un premier éléphant. La scénographie évolue à partir de la fin du 19e siècle. Elle est marquée par des efforts pour tenter d’imiter les milieux de vie de certaines espèces. En 1907, en Allemagne, Carl Hagenbeck, un organisateur d’expositions animales, ouvre à Hambourg le premier zoo dit « sans barreaux ».

Les animaux y sont présentés dans de grandes plaines, figurant leur environnement naturel, dans une représentation toutefois assez libre. Mais les conditions restent rudes : les besoins des animaux sont mal connus, et les maladies, courantes. La place consacrée à la scénographie extérieure empiète sur les abris. La nuit, les animaux sont enfermés dans des lieux exigus. Beaucoup ont une durée de vie courte, et les institutions doivent mettre en place un important circuit commercial pour importer régulièrement de nouveaux individus afin de remplacer les précédents. Ce commerce s’inscrit dans le cadre des politiques coloniales des puissances européennes.

« Dans les années 1930, 90 % des mammifères de la ménagerie du Jardin des Plantes sont originaires des colonies françaises, précise Violette Pouillard. Ils doivent s’adapter à la captivité, au public, mais aussi à des conditions climatiques et environnementales qui diffèrent radicalement des leurs. »

Par ailleurs, dans ce contexte colonial où les expositions d’humains existent encore, l’idée est d’offrir un aperçu de l’empire aux visiteurs, par la possibilité d’appréhender l’ensemble du monde animal en un seul regard. Cette conception ne meurt d’ailleurs pas avec la fin du colonialisme. Ces dernières années, la rénovation du zoo de Vincennes a offert plus d’espace aux animaux, ainsi que des lieux pour leur permettre de s’isoler. Un choix qui déplaît à de nombreux visiteurs, ceux-ci se plaignant du peu d’animaux présentés ou de l’absence de certaines espèces emblématiques.

 

LES REPTILES, LES INVISIBLES DU ZOO

 Dans l’ombre des espèces phares, principalement les grands mammifères, les zoos abritent aussi toute une série d’animaux que Violette Pouillard appelle les “invisibles”. Parmi eux, les reptiles sont un bon exemple : les visiteurs les regardent brièvement, en passant, sans prêter véritablement attention.

« L’accent est mis sur le côté encyclopédique, note-t-elle. Il s’agit de montrer la diversité des espèces, comme dans un musée vivant. »

Les conditions de vie de ces invisibles sont donc souvent ignorées, alors même que celles des mammifères préoccupent de plus en plus les visiteurs. Les gestionnaires de zoos eux-mêmes avouent parfois leur ignorance concernant le ressenti des reptiles et leurs besoins. Les iguanes verts, par exemple, en ont longtemps été victimes : certains pouvaient devenir léthargiques et incapables de tenir sur leurs perchoirs du fait de fractures des os. Les scientifiques ont fini par découvrir que ces reptiles, quasiment coupés de toute exposition à la lumière solaire, manquaient de vitamine D. De nos jours, des lampes à ultraviolets et des compléments alimentaires leur permettent d’avoir des os plus solides.

 

L’OURS EN MAL DE CAPTIVITÉ

Derrière un grillage, un ours blanc danse sur la glace, lors d’un show à Kazan (Russie).

En 2004, les ours de la Ménagerie du Jardin des Plantes peinaient tant à s’adapter à leur fosse que les gestionnaires du zoo parisien ont décidé de les confier à celui de Thoiry (Yvelines) pour qu’ils bénéficient d’un espace dix fois plus grand. Mais, le plus souvent, la souffrance des animaux n’a qu’un impact lent et décalé sur les politiques des zoos.

« Dans cette structure carcérale, les acteurs d’en bas sont peu entendus, pointe Violette Pouillard. Le parallèle avec la prison peut surprendre, mais il n’est pas nouveau. Dès la création des premiers zoos, des écrivains et des philosophes, notamment certains qui ont connu l’expérience de l’enfermement, critiquent la captivité des animaux. »

Cet enfermement est souvent stressant pour les animaux : ceux-ci s’ennuient, se sentent frustrés et n’ont aucun contrôle sur leurs interactions avec les visiteurs. Résultat, beaucoup développent des comportements « stéréotypiques », c’est-à-dire inutiles, répétés et causés par les conditions de captivité. Des félins se mettent par exemple à arpenter leur cage continuellement ou des ours à se balancer. Les zoos tentent donc de trouver des solutions, mais restent souvent contraints par le manque de moyens et les demandes du public.

 

LE RHINOCÉROS, ESPÈCE MENACÉE

Avec la sensibilisation du public à la souffrance animale, les conditions de vie en captivité vont plutôt en s’améliorant. Cependant, même les institutions les plus ouvertes donnent à voir des animaux sous la férule de l’homme.

« Plus que les conditions de captivité, le plus important serait de questionner notre grille d’appréhension du monde animal », critique l’historienne. D’autant que, pour de nombreuses espèces, comme le rhinocéros, la différence entre une vie en zoo et une existence confinée dans une réserve, menacée par le braconnage et soumise à la pression touristique, la différence est ténue. Les deux sont d’ailleurs loin de s’opposer. Les mêmes individus pouvant d’ailleurs passer de l’un à l’autre, au gré des programmes de conservation, notamment lorsque les zoos ont besoin de nouveaux animaux pour la reproduction en captivité.

Cette approche conservationniste, dont les zoos et les réserves sont emblématiques, n’est pas l’unique relation possible entre Hommes et animaux. C'est une option, née de la période coloniale, qui a marginalisé d'autres types de relations avec la faune. En attribuant aux animaux des espaces spécifiques ou en limitant les zones de chasse, les programmes de conservation sont d’ailleurs régulièrement entrés en conflit avec les habitants.

Violette Pouillard conclut : « Dans les réserves, comme dans les zoos, on retrouve la même séparation entre nature et culture, ainsi que la même démarche conservationniste de contrôle, avec des espaces réservés aux humains et d’autres, supposément, aux animaux. Mais ces derniers sont soumis à une pression croissante, notamment touristique et scientifique. Dans un sens, c’est le monde qui devient un zoo. »

POLLUTION

Publié à 18:04 par fandeloup Tags : photo jardin peinture
POLLUTION

Décharge sauvage d'Annecy : un inventaire désolant

Une trentaine de personnes ont participé à l'opération de nettoyage du hameau de Vovray, où des centaines de tonnes de déchets s'accumulent depuis plusieurs décennies

 Décharge sauvage de Vovray à Annecy : le grand nettoyage, enfin ! S’il sortait de l’imagination d’un poète, cet inventaire serait cocasse dans son absurdité. Mais il est juste désolant. Les participants au nettoyage ont ainsi déniché un climatiseur, une débroussailleuse, des ordinateurs, une télé, un trotteur de bébé, des parasols, des plaques de mousse, une table de jardin , des chaises, un panier à linge, de la moquette, un tapis, un bloc multiprises, des câbles, des gaines en plastique, des produits de bricolage (peinture, colle, mastic), des bouteilles, des canettes, des fûts, des sapins de Noël (vrais et faux).

Et bien sûr des carcasses d’appareils électroménager et des morceaux de voitures : pneus avec ou sans jantes, sièges, pare-chocs, pots d’échappement.

nouvelles

Publié à 17:21 par fandeloup Tags : sur fond
nouvelles

Deux petites nouvelles dans la famille des araignées paon ! Une nouvelle araignée-paon

 Dans le Sud-Est du Queensland en Australie, deux nouvelles araignées paon ont été découvertes. C’est dans la revue Peckhamia publiée fin Janvier, que les entomologistes Jürgen C. Otto et David E. Hill s’attachent à nous en apprendre plus sur ces deux magnifiques créatures aux couleurs chatoyantes !

La première, qui arbore des couleurs tellement étincelantes que nous pourrions la croire tout droit sortie d’un défilé de la Fashion Week, est baptisée Sparklemuffin, et nommée scientifiquement Maratus jactatus. Tandis que la seconde, est quant à elle surnommée Skeletorus, en raison de ses marques blanches qui apparaissent sur un fond noir et qui nous font penser à un squelette !

En plus de leur apparence extraordinaire, ces petites Aranéides produisent des danses nuptiales spectaculaires pour séduire leur moitié !

horreur

Publié à 16:49 par fandeloup Tags : france sur
horreur

Bretagne. Des litres de sang dans la Vilaine, près de Vitré Richard Pellerin, technicien à la Fédération de la pêche et de la protection des milieux aquatiques d’Ille-et-Vilaine et Daniel Gandon, président de la Gaule vitréenne sont inquiets. Richard Pellerin, technicien à la Fédération de la pêche et de la protection des milieux aquatiques d’Ille-et-Vilaine et Daniel Gandon, président de la Gaule vitréenne sont inquiets.

 Une pollution couleur rouge sang a été constatée, ce vendredi 14 juin, dans un cours d’eau, se jetant dans la Vilaine, à Châteaubourg, près de Vitré (Ille-et-Vilaine). Il s’agit en fait de sang, provenant d’une entreprise d’abattage. Pour l’instant, aucune mortalité piscicole n’a été constatée.

C’est vers 8 h 30 qu’un pêcheur a constaté, ce vendredi 14 juin, une couleur suspecte dans un cours d’eau, situé à Châteaubourg, près de Vitré. Une forte odeur de charge organique s’en dégageait. Un kilomètre plus loin, la Vilaine, dans laquelle se jette le ruisseau, s’empourprait tranquillement.

« J’ai alerté immédiatement la Fédération de pêche, explique Daniel Gandon, président de la Gaule vitréenne. Nous sommes fatigués de remettre du poisson quand on ne connaît pas leur avenir et inquiets de la répétition du phénomène car cela fragilise forcément le milieu.

Gendarmes, pompiers et police de l’eau se sont déplacés, pour trouver l’origine de la pollution. Du sang par litres Il s’agit en fait de sang, provenant de l’entreprise d’abattage Tendriade, et due à la conjugaison de deux facteurs : l’obstruction du réseau des eaux usées qui a entraîné un débordement sur le réseau des eaux pluviales et une vanne mal fermée.

« Cela n’aurait pas dû arriver et je n’ai jamais vu ça en vingt ans, admet Jean-Louis Arquier, directeur de Tendriade. Des mesures ont été prises pour vérifier l’étanchéité de ce point précis de façon permanente. Mais aucun produit chimique. »

La quantité de sang déversée n’est pas connue, mais le dysfonctionnement a duré plusieurs heures. Tendriade précise qu’entre 3 000 et 4 000 litres de sang sont produits chaque jour, dans son entreprise. Surveillance Pour l’instant, aucune mortalité piscicole n’a été constatée.

« On peut espérer que, compte tenu du débit actuel des cours d’eau, l’effet de dilution sera suffisant pour qu’il n’y ait pas d’impact sur l’environnement », indique Luc Petit, chef du service protection de l’environnement à la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDSCPP).

Les services de l’État ont demandé à l’entreprise de surveiller le cours d’eau tout le week-end.

poisson

Publié à 15:17 par fandeloup Tags : chat
poisson

Un poisson nommé… Greedo ! Greedo le poisson chat

 Aujourd’hui 25 Mars, nous faisons appel aux fins connaisseurs de Star Wars! Regardez attentivement cette nouvelle espèce de poisson-chat… Avec son museau allongé et ses yeux globuleux, ne vous fait-il pas penser à un personnage de la Saga? En tout cas, pour les biologistes chargés de faire sa description il n’en fait aucun doute! Il ressemble comme deux gouttes d’eau à… Greedo, le chasseur de prime travaillant pour Jabba The Hutt.

C’est donc tout naturellement que les scientifiques ont choisi de le nommer Peckoltia Greedoi. Il fût découvert au Brésil, en 1998, le long du fleuve Rio Gurupi. Les poissons-chats, sont ainsi baptisés à cause de leurs paires de barbillons, également appelées ‘’moustaches’’, positionnées autour de leurs bouches. Ces poissons sans écailles ont souvent la peau visqueuse.

coiffure

Publié à 14:49 par fandeloup

poisson

Publié à 14:42 par fandeloup Tags : voyage
poisson

Le fabuleux voyage des œufs du poisson killi Killi clown (Epiplatys annulatus)

Le killi est un petit poisson qui n’a pas peur de l’aventure. Il survit dans des environnements aussi variés qu’extrêmes, points d’eaux perdus au cœur du désert ou lacs saisonniers notamment. Mais qui aurait pu imaginer que les œufs de ce poisson pouvaient voyager sans encombre dans le système digestif d’oiseaux . C’est pourtant ce que des chercheurs ont découverts.

Ils ont retrouvé des œufs dans les fèces de cygnes et ont éclos quelques temps plus tard, sans difficultés. De plus, ces œufs sont capables d’entrer dans un état d’hibernation si les conditions extérieures ne sont plus favorables pour éclore lorsque l’eau revient. Une découverte qui explique pourquoi des killis se retrouvent dans des lieux totalement improbables.

Ils semblent à juste titre être tombés du ciel.