Fandeloup

Lève toi le jour s'est levé, même si tu n'arrêtes pas de tomber. Lève toi le soleil brille et il t'appèlle, même si ton ♥ est meurtri. Lève toi, tourne toi vers sa lumière, même si ton âme est habitué à l'obscurité. Lève toi ne baisse pas les pattes, même si tu dois te relever sans cesse. La vie est un défi qu'on doit relever chaque jour afin de réaliser nos rêves les plus fous

Fermer pour cause d’inventaire. Inventaire de sentiment. Savoir ce qui reste de ce temps. Ce temps passé, ce temps restant. Les stocks sont limité. Reste t-il au moins quelque chose à gérer ? Les sentiment périmés sont-il bon à jeter ? Les sentiments nouveau sont-il bon marché ? Investir à nouveau sans risquer la faillite. Prendre le risque de ré-ouvrir la boutique. La structure n'est plus très solide. Vais-je pouvoir y survivre ? L'inventaire n'est pas très enrichissant. Il ne reste que du vent .Tout y est dépareillé. Rien ne peut-être réutilisé. Je vais plutôt déposer le bilan. Et voir ce qui me reste de ce temps.

Si j'étais libre je m'envolerais dans les airs je chevaucherais les nuages j'embrasserais les elfes et les anges je vivrai sur une étoile. Si j'étais libre je partirais loin, très loin, à travers les mers je m’assiérais sur un rocher, je resterais là, jusqu'à ce que le froid me chasse, alors, je repartirais.Si j'étais libre je marcherais des jours et des nuits, je dormirais d'un sommeil d'ange, je pleurerais toutes les larmes de mon corps ... pour ne plus en avoir, j'aimerais comme on aime . Si j'étais libre je vivrais tous les jours sans détours, les joies comme les peines. Alors, je serais libre, même avec des chaines, je serais libre ... même sans liberté...

Elle a sombré cette fin d’été, depuis elle cherche à remonter. Tout est difficile en elle-même, depuis elle préfère le sommeil. Etre perdu dans son présent, en perdre la notion du temps. Elle est dans un monde parallèle. La vie, la mort, battent en duel. Elle dit pourtant que tout va bien, d’une petite voix et l’air de rien. Elle dit qu’elle est en bonne santé, avec une mine décomposée. Elle n’accepte pas sa souffrance, et ne s’accorde aucune chance. Elle dit, il y a bien d’autres cas, qui souffre bien plus fort que moi. Pouvoir sortir de cet enfer, chercher en vain comment le faire. Ne plus oser se regarder,le cœur terni par les années. Ce sont des yeux cernés de noir, qui se reflète dans le miroir. Résultat d’une nuit agitée, quand les morts ont ressuscités. Elle doit parler de ses silences, de sa vie de son existence. Devoir puiser au plus profond,pour y extraire le poison. Elle voudrait bien se secourir, et se force même à sortir. Mais tous ses bruits et tous ses gens, c’est le malaise qui la reprend. Les larmes lui viennent en un instant, elle fuit sans bruit tout doucement. Elle fuit le bruit, elle fuit la vie, et dans son lit se réfugie. Après avoir pris son traitement, elle y attend le soulagement. Qu’il est difficile d’accepter, ce grand vide qui s’est installé. Tout ce qui la faisait vibrer, a disparu dans un passé. Elle a sombré cette fin d’été, depuis elle cherche à remonter.

Lorsque la vie nous mène au bord du précipice .Que malgré tous nos efforts peu a peu l'on glisse. Il faut encore trouver la force de se battre,résister. Conscients de la chance que l'on a d'exister

Je suis une guerrière, qui est tant détestée par les femmes et tant désirée par les hommes. Ma voie est celle de la destruction, tel est ma justice. Après avoir tout perdu, dans ce monde ou le bien ne règne plus et ou le mal gouverne, j'aurai pu tout simplement choisir la vengeance. Mais à quoi bon, vu que le monde sombre à sa perte, alors mon acte n'est pas tant mauvais que ça. Puis, je suis le genre de personne qu'on appelle une "anti-héroïne" je ne sauve pas des vies, qu'on ne juge pas mes actes impurs et durs. Mon cœur est vide, gardant une cicatrice, remplie de tristesse, de solitude et de haine, je ne veux pas de rédemption pour ma peine. L'endroit où je finirai serait mieux que cette terre, qui est un véritable enfer. Le paradis se trouve nulle part, alors si un jour je pars, je partirai en étant : L'ange de la mort. « Quand le cœur est meurtrit par un gros vide, par une grosse solitude et une grande colère, la voie qu'il choisit est souvent celle de la destruction, car pour lui ça semble être une bonne solution. »

Terre des Lévriers

Ils attendent depuis si longtemps... Ils ont tous la leishmaniose, mais eux aussi ont le droit au bonheur! Bien soignés, ils peuvent encore vivre de nombreuses années auprès de vous. Ne les oublions pas, merci pour eux! Le beau galgo VIGO s'est fait attaqué au refuge, son adoption est urgente!!!

Pour toute question ou demande d'adoption, contactez : Terre des Lévriers :

Céline: Cbabaisse@hotmail.fr

Patricia: texouille@gmail.com

Evelyne: pomavea@gmail.com

Perrine: perrinemallet46@gmail.com

Christine: christine.lipinski.tdl@gmail.com http://www.youtube.com/watch?v=gc5HTF1Ji58&feature=player_detailpage

L'été et l'alcool...

L'attrait des jeunes pour la consommation d'alcool n'est pas un phénomène nouveau. C'est un fait social établi. Les jeunes et plus particulièrement les adolescents consomment en général de manière épisodique, les ivresses étant expérimentées de façon festive et ludique. En effet, boire de l'alcool traduit, pour certains, un besoin de reconnaissance identitaire et d'intégration par l'appartenance à un groupe. Synonyme des premières vacances autonomes, loin des parents, l’été est le moment de retrouvailles festives et arrosées avec ses amis. C’est aussi la période où l’on est tenté de tester ses limites, jusqu'à, parfois, l'excès. On constate une plus grande expérimentation de l’alcool chez les plus jeunes et des pratiques de consommation parfois à haut risque comme le "Binge Drinking". La précocité de la consommation et la recherche de la "défonce" pour une minorité d'adolescents sont des phénomènes potentiellement dangereux qui nécessitent d'être encadrés.

Une consommation occasionnelle mais importante

Les jeunes de 15 à 25 ans consomment moins souvent de l’alcool que les adultes, mais quand ils en boivent, les quantités absorbées sont plus importantes et les conduisent le plus souvent à l’ivresse. 26 % des 15-19 ans et 35 % des 20-25 ans ont été ivres au moins une fois dans l’année. Leur recette ? Bières, alcools forts et mélanges alcoolisés. Cette consommation occasionnelle, qui dépasse parfois les trois verres par soirée, peut entraîner une conduite à risque et mettre les jeunes en danger : baisse de la vigilance, accidents de la route, violence, rapports sexuels non protégés ou non voulus, malaises?

Estimer et surveiller sa consommation d’alcool

Entre 2005 et 2010, la consommation d’alcool régulière a augmenté dans la tranche d’âge des 18-25 ans. Les expérimentations d’ivresses sont plus précoces (près de 60 % des jeunes de 17 ans en 2011) et les épisodes d’alcoolisation massive (plus de 5 verres en une occasion de consommation) sont de plus en plus fréquents parmi les jeunes. Par ailleurs, on observe un basculement progressif des usages modérés vers des usages ponctuels « sévères » ou « de défonce » (binge drinking). Si la majorité des conduites restent festives, associées à la convivialité et sans conséquences, d’autres deviennent nocives et entraînent un comportement addictif. Il est conseillé de ne pas dépasser l’absorption de 4 verres d’alcool en une seule soirée.

Les risques immédiats et à plus long terme

L’alcool agit sur le cerveau. Au volant, il augmente le temps de réaction, diminue les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue. Il perturbe la vision, l’estimation des distances et la coordination des mouvements. De plus, son effet desinhibant amène à sous-évaluer le danger et à prendre des risques : « oubli » de boucler sa ceinture ou de porter un casque, vitesse excessive? On court huit fois plus de risque d’être impliqué dans un accident mortel quand on a consommé de l’alcool !

Comment réduire sa consommation en soirée ?

Commencez toujours par une boisson sans alcool qui calmera votre soif. Pour la même raison, ajoutez de l’eau ou du soda dans les boissons fortement alcooliques (et ne prenez pas plus de trois verres !). Lors des soirées festives, toujours alterner boisson alcoolisée et boisson non alccolisée : on divise au moins par deux la quantité d’alcool consommée dans la soirée et cela permet de s’hydrater et d’éviter la « gueule de bois. » Si vous sortez en voiture avec d’autres jeunes, désignez un capitaine de soirée qui ne boira pas du tout et pourra tous vous ramener. Sinon, profitez des navettes mises en place par les établissements de nuit ou appelez un taxi. Dans les grandes villes, le métro fonctionne plus tard les soirs de week-end et lors des soirées exceptionnelles (fête de la musique, nuit blanche?).

A TOUS

C' était trop beau alors je redifuse cette vidéo touchante, en ces temps ou l' actualité et documentaires sur la vie des animaux sauvages ou domestiques de notre planête sont d' une tristesse absolue.