Fandeloup

 Pourquoi c'est toujours les meilleurs moments qui durent les moins longtemps ?

Oser la différence Prendre du temps pour soi. Oser être soi-même. Suivre ses envies .Vivre les petits bonheurs qui font le bonheur et la liberté.

Tous les matins, j’allume l’ordinateur. Il est encore de bonne heure Je me dis qu’aujourd’hui il y aura de bonnes nouvelles. Mais ce sont, chaque jour, les nouvelles habituelles… J’espère que quelques animaux auront été adoptés. Mais une fois de plus j’ai dû rêver. Je ne vois que la triste réalité. La maltraitance, l’abandon, la lâcheté… La lâcheté de l’humain. La douleur d’un chat, celle d’un chien qui a passé la nuit seul, dans le froid sans que sur lui se soit posé un regard… Je me demande dans quel monde je vis .Je me demande ce que je fais ici .J’en ai sauvé un, deux, trois ou quatre. Mais combien, ce soir, s’endormiront sans espoir… Sans l’espoir d’être un jour adopté. Parce que depuis trop longtemps ils sont enfermés. Ils ne savent par parler mais moi je les comprends .C’est la piqûre qui les délivrera qu’au fond, ils attendent… La piqûre que vous leur infligez. Par votre manque de respect. La fin que vous leur offrez. Une fin sans aucune dignité… Il est pourtant si facile et si bon d’avoir chez soi un compagnon qui ne vous jugera ni ne vous décevra jamais. Un animal de qui vous serez toujours aimé… Il ne vous demandera rien en retour .Sinon qu’un peu d’amour. Chaque être humain en a en soi. Mais bien souvent il ne le sait pas… Peut-être parce que lui-même a souffert .Jamais l’amour il n’a découvert. Et pour mieux se venger de ce manque d’amour a son tour il est indifférent à tout ce qui l’entoure… Cet être ne sait pas ce qu’il manque puisqu’il refuse de connaître le verbe aimer. Il n’admet pas de connaître le verbe recevoir. Et pourtant qu’il est doux de recevoir une fois dans sa vie un regard d’espoir…

Les pensées que nous choisissons d'entretenir en nous, sont les instruments qui nous servent à tisser la trame de notre vie.

N'essayez pas d'être tout pour les autres, Soyez déjà vous-même c'est déjà beaucoup

Vendin-le-Vieil : 500 personnes à la marche blanche en hommage à Zayann, 3 ans, tué par un chauffard

Environ 500 personnes se sont réunies ce vendredi matin à Vendin-le-Vieil en hommage à un enfant de 3 ans, Zayann, tué ce lundi dans un accident par un conducteur ivre.

Vendin-le-Vieil, ce vendredi matin. Le quartier, les proches de la famille de Zayann, très choqués, tenaient à organiser cet hommage. Ils réclament également justice.

L'accident qui a eu lieu ce lundi a été causé par un conducteur de 32 ans qui dit ne se souvenir que du choc et ne pas avoir vu un vélo conduit par une mère de 23 ans qui transportait son fils de 3 ans. L'homme était sous l'emprise de l'alcool au moment où il a percuté le vélo. Il a été mis en examen pour homicide involontaire et blessures involontaires par conducteur de véhicule sous l'emprise d'un état alcoolique. Le conducteur, responsable présumé de l'accident, serait récidiviste selon La Voix du Nord.

A TOUS

Au fil du temps, les blessures de la mémoire cicatrisent et s’estompent. L’oubli est un muscle qu’il faut entretenir.

Sous les rides de mon visage, se retrouve le reflet de mon âme, toutes les blessures du dedans, les rêves déçus de mon cœur d’enfant…

Sous les rides de mon visage, on retrouve toutes les traces de ma vie, de mes peurs, de mes angoisses, dans mes draps qui se froissent…

Sous les rides de mon visage, c'est mon histoire écrite page à page, mes silences et mes combats, et l’indifférence à coups de bras…

Sous les rides de mon visage, il y a tant d’espoir parti au large, il y a tant d’amour dans une cage, et tous ces rêves un peu volages…

Sous les rides de mon visage, il y a une femme qui perd courage, et une autre qui s’accroche à la vie, cherchant l’espoir pour sa survie…

Sous les rides de mon visage, il y a les traces de mes naufrages, que rien au monde ne peut effacer, c’est toute l’histoire de mon passé…

Sous les rides de mon visage, il y a tant d’amour à chaque page, c’est le miroir de toute une vie, mes joies, mes peines à l’infini …

Sous les rides de mon visage, j’écris les dernières pages, le front sillonné de traces, avant de quitter cet espace…

Avec mes rides, je ferai mes adieux, un jour, on fermera mes yeux, on brûlera mon corps sans vie, j’aurai fini le parcours de ma vie…

Plus de rides, plus de visage, j’aurais visité les paysages, avec l’amour au fond du cœur, en acceptant toutes mes erreurs…

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