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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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message

Publié à 17:44 par fandeloup Tags : message

essentiel

Publié à 17:32 par fandeloup Tags : amitié amour femmes
essentiel

L'essentiel n'est pas de savoir qui sont les autres, mais de savoir qui on est... Tant qu'on peut se regarder dans la glace, se voir en face, on arrive à se retrouver avec nos propres valeurs comme : l'honnêteté, le respect, l'amitié et l'amour. La tête haute, on trace notre route... Les femmes qui ont la beauté extérieure servent de modèle, et celles qui ont la beauté intérieure servent d'exemple...

moi

Publié à 16:59 par fandeloup Tags : texte chat photo chats moi chez animaux divers oiseaux animal chaton
moi

 

Moi, chat errant, j'accuse...

Moi, chat abandonné dans cet appartement que vous quittez sans considération pour ma survie...
Moi, laissé pour compte, seul dehors, alors que de ma portée vous me préférez ce petit chaton...
Moi, maintenant malade et dont vous ne voulez plus...
...
Moi, que vous abandonnez sur le comptoir du refuge juste parce que j’ai vieilli...
Moi, qui ne suis pas stérilisé et qui me procréez à tous venants...
Moi, que votre voisin déteste et qui utilisera des poisons pour m’éliminer...
Moi, chat errant car abandonné par VOUS,

Moi, j’accuse :

- Les propriétaires des appartements qui me refusent d’emménager avec ma famille...
- Les gens qui m’adoptent mais ne me stérilisent pas, parce qu’il faudrait payer...
- Les animaleries qui vendent des animaux à rabais, et qui proviennent pour la très grande majorité d’usines à chiots, chats, oiseaux, rongeurs et autres...
- Certains refuges qui ne se responsabilisent pas et euthanasient, c’est plus facile...
- Les ordres vétérinaires qui, malgré qu’ils connaissent bien le problème de l’itinérance chez les chats, ne se concertent pas pour offrir des cliniques de stérilisation à coût modique et pour sensibiliser la population, VOUS et moi, sur notre RESPONSABILITÉ face à la prolifération des chats errants...
- Certains médias qui, lorsque la nouvelle ne comporte pas d’images choquantes, parlent peu ou pas de l’abandon, de la négligence, de l’indifférence face aux chats errants...
- Ceux et celles qui ne lisent pas les communiqués des divers organismes et individus qui dénoncent la cruauté envers les animaux, sous toutes ses formes ; car ne vous y trompez pas, l’abandon EST CRUEL et fait tout aussi mal que les coups et blessures...
- Le gouvernement provincial qui refuse d’injecter des fonds pour aider à la stérilisation, à l’éducation de la population, à la fondation de refuges...
- Le gouvernement fédéral qui depuis près d’un siècle refuse toujours d’amener le code criminel canadien afin que soient renforcées les mesures de protection et de condamnation de ceux qui abandonnent, maltraitent, abusent de nous les animaux domestiques...

Mais je remercie...

- Ceux qui aujourd’hui entendent ce cri d’alarme...
- Ceux qui choisiront de se responsabiliser...
- Ceux qui s’impliqueront en favorisant l’ouverture d’autres refuges...
- Ceux qui se joindront à ma voix pour éduquer, informer, stériliser...
- Ceux qui mettront la clef dans leur usine lucrative de production de chats et les animaleries qui refuseront de les vendre...
- Ceux qui diffuseront cette alerte...
- Ceux qui ont compris qu’ils sont responsables de l’itinérance en recrudescence des chats au Québec et qui dorénavant choisiront de faire partie de la solution...
- Celles et ceux qui bénévolement nous sauvent, nous soignent, nous stérilisent, nous trouvent une nouvelle famille où finir nos jours paisiblement...
- Ceux qui ont compris que ce n’est pas un droit que d’être propriétaire d’un animal de compagnie, mais un PRIVILÈGE dont on doit se montrer digne...
Moi, chat errant qui mourrai probablement de froid et de faim l’hiver prochain,
si j’avais une voix,
si j’avais le choix,
j’aurais une famille...
 

tenter

Publié à 15:46 par fandeloup Tags : animal vie moi sourire nature
tenter

 

Un maître de l'Orient vit un scorpion se noyer et décida de le tirer de l'eau. Mais lorsqu'il le fit, le scorpion le piqua.
Sous l'effet de la douleur, le maître lâcha l'animal qui de nouveau tomba à l'eau. Le maître tenta de le tirer à nouveau et l'animal le piqua encore.

Quelqu’un qui était en train de l'observer se rapprocha du maître et lui dit :

...
- Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez-vous pas qu'à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l'eau, il vous piquera ?
Le maître répondit :

- La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider.
Alors, à l'aide d'une feuille, le maître tira le scorpion de l'eau et sauva sa vie et continua:

- Ne change pas ta nature. Si quelqu'un te fait du mal, prends juste des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation, car ta conscience est ce que tu es et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi...
Et ce que les autres pensent de toi... C'EST LEUR PROBLÈME !

Publié à 14:29 par fandeloup Tags : moi chien vie
hé

Oh toi l'humain, qui cherche un compagnon, jeune, beau, propre, sans défaut. Sais tu que tu peux me trouver également en refuge ? Les abandons ne sont pas la plupart du temps dû à notre faute. Nous sommes les victimes de vos vacances, de vos changements de vie, de vos divorces de vos allergies... et même parfois de vos caprices...

Hé, toi l'Humain qui me lit en ce moment même, je te le dis, moi Tao ex chien de taule, n'oublie jamais qu'il y a un cœur sous le poil , une vie, et que la mienne dépend entièrement de toi...

coeur

Publié à 13:58 par fandeloup
coeur

Je crois que chaque être humain a un cœur et, si vous arrivez à le toucher, vous changerez quelque chose ...

un homme et son chien

Publié à 13:49 par fandeloup Tags : livre moi homme amis animaux mort chien paysage
un homme et son chien

 

Un homme et son chien marchent le long d’une route.
L’homme admire le paysage, quand tout d’un coup il réalise..... qu’il est mort.....
Il réalise aussi que son chien est mort depuis des années. Il se demande où le chemin les conduit.
Ils approchent d’une grosse roche blanche qui ressemble à une bille. Ils avancent encore.
Elle est fendue et une lumière éblouissante en jaillit. Puis, ils voient un...
e route en or pur et une porte grandiose. A l’entrée, un homme est assis à une table. Le voyageur lui demande :
- Où sommes-nous ?
- Au Paradis
- Wow! Avez-vous de l’eau ?
- Bien sûr ! Entrez !
- Est-ce que mon chien peut entrer ?
- Désolé, nous n’acceptons pas les animaux.
L’homme réfléchit et reprend le chemin.
Après une longue marche, il croise une route de terre qui conduit à une porte de grange qui donne l’impression de n’avoir jamais été fermée. Il n’y a pas de clôture. Sous un arbre, un homme lit un livre.
- Excusez-moi monsieur, est-ce que vous avez de l’eau ?
- Bien sûr, il y a une pompe à l’intérieur.
- Est-ce que mon ami peut venir ?
- Bien sûr, il y a un bol près de la pompe.
Ils franchissent la porte et voient une vieille pompe avec un bol par terre. L’homme remplit le bol, prend une gorgée et donne le reste au chien. Quand ils eurent fini de boire, il se retourne...
- Comment appelez-vous cet endroit ?
- Le paradis.
- L’homme que nous avons rencontré un peu plus tôt dit la même chose.
- Ah vous parlez du chemin en or et de la porte en perle ? Non, c’est l’enfer.
- Ça ne vous fâche pas qu’ils utilisent votre nom ?
- Non, comme ça, ils éliminent les gens qui abandonnent leurs amis...

rayon

Publié à 12:58 par fandeloup
rayon

Quelle flamme pourrait égaler le rayon de soleil d’un jour d’hiver ?

déco

Publié à 12:37 par fandeloup Tags : déco

abandon

Publié à 12:34 par fandeloup Tags : chaton vie chez amis mode argent animaux soi chien enfant animal chiens
abandon

 

"Écoutez. Le tuer, j'ai pas le cœur. Alors, je vous l'amène. Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge, c'est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C'est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j'irai le perdre dans les bois. Je l'attacherai à un arbre, pour ne pas qu'il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu'il y en a qui ont retrouvé leur maison...
après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l'attacher et puis se sauver, pas l'entendre crier, c'est trop triste, on n'est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j'ai pas que ça à faire, on n'a pas encore fini les bagages."

Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d'autre ? Le bon salaud le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c'est qu'on a le cœur tendre, qu'on ne peut absolument pas supporter l'idée qu'une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque "ces gentils compagnons" se mettent à être malades et coûtent "les yeux de la tête" en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n'ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.

Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s'empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d'argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l'idée), mais c'est un gouffre financier.
Fonder un refuge ne peut être qu'une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l'indifférence générale devant l'omniprésence de la misère animale. C'est le fait d'âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s'agit de gens à faibles ressources qui s'épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.

Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d'aliments ont stimulé une frénésie d'achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La "rentabilité" exige qu'une femelle d'une race "vendeuse" ponde et ponde jusqu'à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n'est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c'est le chantage cynique de tout à l'heure : "Vous le prenez ou je vais le perdre". C'est exactement le coup de l'otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : "Vous me la donnez la caisse ou je l'égorge." On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l'animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n'aime pas dire "amis des bêtes"), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d'un refuge quand on dispose de peu de moyens.

Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d'inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s'occuper d'animaux alors qu'il y a tant de détresses humaines... Et quand l'apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l'euthanasie en masse par les services de l'hygiène publique, pas fâchés d'être débarrassés.
Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait "refuge" et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S .V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d'usage concernant les règles d'hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie "normale" était l'euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.

Il faut que l'animal cesse d'être considéré comme un objet, un bien "meuble" qu'on achète, qu'on vend, qu'on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les "mauvais traitements", d'ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d'un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d'un enfant. C'est le formidable et trop prévu nombre d'abandons liés aux départs en vacances qui m'a mordu au cul.
Savez-vous qu'ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d'aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? "Avec la planche à voile sur le toit de la voiture" m'a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-merdes, volent haut dans l'air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !

PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage."
(François CAVANNA)