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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Lire un livre sous un arbre en double le plaisir. On ne sait plus si on tourne les pages ou si on feuillette l'arbre
Le blanc sonne comme un silence, un rien avant tout commencement.
C'est la fatigue morale d'un cœur qui ne sait plus pourquoi il a mal, la douleur est là pourtant, vive, incisive à en glacer le sang, et cette peine chronique qui coule dans mes veines, me rappelle que je n'ai plus de rêves, que mes paupières saignent depuis que s'est éteint le soleil. Je suis incapable de ressentir autre chose que cette vieille douleur dans ma poitrine, le bonheur et ses lueurs ont désertés mes pupilles, alors j'écris, alors je vrille, alors je tente de simuler l'amnésie pour que ma vie brille, mais je sais bien que c'est perdu d'avance, je ne la retrouverai jamais ma délivrance. Tu entends les gens toi aussi, te dire que le meilleur reste à venir, qu'elle est belle cette putain de vie et que le fait de combattre est déjà une preuve de réussite ?! Parce que moi je n'entends que ça et ça me blesse tu sais, ça me fait mal d'avoir l'impression que cette douleur, pour eux, n'est qu'une brise passagère, qu'une période qui finira forcément pas se coucher sous la lumière. Ce n'est pas faute de tenter de leur faire comprendre pourtant, mais eux pensent que, parce que je n'ai que quarante neuf ans, alors ça finira par passer. J'aimerais tant qu'ils comprennent que la douleur n'a pas d'âge, tout comme l'amour, eux qui y croient tant. Ça n'a rien de rassurant que d'entendre à tous les coins de rues que l'on finit par oublier, parce que tu sais, moi, je ne veux pas oublier, non, je ne veux pas l'oublier. Même si tout ça me blesse et réduit fatalement mon espérance de vie, je veux les garder moi tous ces souvenirs, ceux qui portent son sourire, mon sourire, ses courbes et son parfum, tu n'imagines même pas ce que je donnerais pour le ressentir rien qu'une fois, l'avoir, pendant des heures, sur mes vêtements et sur mes draps, le revoir, rien qu'une fois, combler le vide entre mes bras. Ce monde me souhaite de réussir, de parvenir à réaliser mes rêves, mais il ignore que mes rêves ne parlent plus que de lui. Si je te dis qu'il me manque, que j'ai les larmes aux yeux et que la seule chose qui me porte encore, c'est l'espoir de finir ailleurs quand dans ces souvenirs qui ne parlent que de nous deux. J'ai ma fierté tu sais, et quand bien même je me suis fait une raison quant à notre terminaison, je n'ai pas accepté, je n'ai rien oublié de ce qu'il était et ce qu'elle représentait à mes yeux, je tente simplement de faire avec. Avec son prénom tatoué sur le bord des veines,qu'accablé par la nuit, je le rêve encore, que perdu, seul dans ma solitude, quand je repense à son sourire, ça réchauffe mon cœur comme un rayon de lune…"
Les chagrins s'accrochent aux roses blanches dans l'obscurité nocturne Les eaux s'écoulent avec bruit. Les miroirs se transforment en mer. Sa couleur s'étend aux cours. La terre blanchit à son approche .L'étoile du berger se fragmente. Et les obscurités se taisent. Je ne peux pas l'arracher de moi.
On s'était dit de s'aimer à en crever pour la vie, on se l'était juré, on se l'était promis. Alors quand tu es parti, pour supporter la vie, je me suis juré que tu reviendrais, juste le temps d'un souvenir.
Moi qui ne demandais qu’à vivre, mon dieu si seulement j’avais su, j’aurais profité d’avantage de l’ivresse de ma jeunesse, de ces corps que l’on aime, de ces cœurs que l’on saigne et de ce temps qu'on oublie.