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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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parole

Publié à 15:47 par fandeloup Tags : france coeur merci moi histoire bonjour enfants nature animaux femmes travail
parole

MOI, PETIT SINGE DE LABORATOIRE, J'AI DES CHOSES À TE DIRE...

Bonjour, On ne se connaît pas, on ne s’est jamais vu, je sais que tu es très occupé(e) et que tu as énormément de choses à faire, mais j’aimerais que tu m’accordes quelques instants, j’ai des choses à te raconter.

On m’a enlevé à ma mère peu de temps après ma naissance. Des «psychologues» m’ont enfermé dans «un puits du désespoir» ; un haut et étroit cylindre de métal dans lequel ils m’ont laissé pendant 45 jours, je suis resté pris là, recroquevillé, les bras autour de mon petit corps. Les psychologues voulaient en arriver à certaines conclusions sur l’impuissance et le désespoir qui caractérisent la dépression humaine.

On m’a enfermé dans une boîte avec une fausse maman (mère de substitution) que je prenais quand même dans mes bras, pour me sentir moins seul. Mais de temps en temps, sans prévenir, ma fausse maman me lançait des piquants électriques (électrochocs). Alors, je m’éloignais en pleurant pour me protéger

Et j’attendais dans mon coin que les pics disparaissent avant de revenir me blottir dans ses bras. Les psychologues ont voulu tirer des conclusions sur le comportement d’un enfant en situation de rejet maternel. Bien sûr, je sais que plein de gens sur la terre vivent de grandes souffrances.

Par exemple, des enfants sont séparés de leur maman, des femmes sont battues, des grands-parents sont abandonnés, des enfants sont victimes de la guerre ! Et ce que je veux te dire n’enlève rien à leur terrible souffrance.

Mais ça me fait du bien de te parler de moi, on m’a fait courir longtemps dans une roue, pareille à celle des petits hamsters, tu sais, je devais apprendre à courir à une certaine vitesse et pas moins ou plus vite. Si jamais je ne courais pas à la vitesse voulue, on m’envoyait des électrochocs. En plus, on m’a administré des produits toxiques et des doses de rayonnement radioactif. J’ai eu très mal au coeur. J’ai fini par vomir.

Alors j’ai arrêté de courir. Ils me renvoyaient des électrochocs plus forts. Alors, je recommençais à courir dans mon vomi tant et aussi longtemps que j’ai pu. Tout ça pour que les scientifiques puissent tirer des conclusions sur les effets des radiations sur la capacité au travail. On m’a coincé une boîte de métal sur la tête, on a frappé dessus à coup de marteau pour me causer des traumatismes crâniens et examiner l’état de mes réflexes.

Les «chercheurs» voulaient, ainsi, savoir dans quel état seraient les réflexes humains après avoir subi un traumatisme crânien. Chaque année 10 000 membres de notre famille sont ainsi massacres inutilement et avec cruauté. Tout cela, dans l’indifférence la plus totale. Voilà, je voulais juste te le dire pour que tu saches, pour que ces martyres cessent, un jour, un peu grâce à toi ! Ça m’a fait du bien de te raconter mon histoire, la misère de tant d’autres petits singes.

Je pourrais continuer à te raconter les tortures qui nous sont infligées. La liste est longue. Heureusement, certains d’entre nous ont la chance de vivre en paix dans la nature, avec leur famille. Il paraît que c’est très beau la nature. Je suis si content pour eux. Je garde quand même un bon moral pour l’avenir, parce qu’il paraît que des humains comme toi se battent pour nous délivrer et qu’ainsi un certain nombre d’entre nous retrouve une maman et une famille. Je suis si content de savoir cela.

Si seulement tu pouvais venir me chercher mais, je sais bien que cela n’arrivera, peut-être, jamais. Si tu savais combien de fois j’en ai rêvé.

Ces mots sont au creux de tes mains, au creux de ton coeur et il n’y a pas de place meilleure pour ma petite âme, moi, petit singe de laboratoire, qui rêve encore de pouvoir, un jour, contempler la nature. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout ! Si tu aimes les petits singes comme moi et tous les autres animaux, s’il te plaît, raconte mon histoire à tes proches, raconte leur combien je suis si seul et perdu…

message

Publié à 13:47 par fandeloup Tags : message

Hachiko

Publié à 13:40 par fandeloup Tags : chien mort nature 2010 roman amis belle enfants article histoire chez soi paysage
Hachiko

Hachiko, chien fidèle – Histoire vraie -

Au Japon, cet akita inu est le symbole national de la loyauté et de la fidèlité Au pays du Soleil Levant, Hachiko est célèbre pour avoir attendu son maitre sur le quai de la gare, chaque soir, près de dix ans après sa mort. Hachiko, c’est un peu l’équivalent de notre célèbre Lassie. En plus fidèle encore et surtout en chair et en os ! Car au contraire de Lassie, Hachiko n’est pas un personnage de roman : il a réellement existé et son histoire aussi incroyable soit-elle, est véridique de bout en bout …..

Tout commence en janvier 1924 lorsque Hidesaburo Ueno, un professeur du département d’agriculture de l’Université Impériale de Tokyo, adopte un chiot de race akita inu. Il le nomme Hachi, le « ko » rattaché au nom étant un suffixe affectueux. Tous les matins le professeur se rend à l’université en prenant le train à la gare de Shibuya, l’un des arrondissement les plus animés de Tokyo. et tous les soirs en descendant du train, il retrouve Hachiko qui l’attend patiemment sur le quai.

Ce rituel immuable va durer jusqu’au 21 mai 1925. Ce soir là, comme tous les soirs Hachi attend son maitre devant la gare de Shibuya. Les heures passent, Hachi attend toujours …Mais le professeur ne descendra plus jamais du train : il vient de mourir d’une crise cardiaque à l’université. Recueilli par des amis habitant un autre arrondissement de la capitale, Hachiko s’échappe régulièrement.

Tous les soirs, il se rend à la gare de Shibuya à l’heure précise de l’arrivée du train. Là il s’assoit et, en vain, il attend le retour de son maitre. Tous les soirs sans exception pendant près de dix ans ! Pour les habitants du quartier et pour les voyageurs, Hachiko fait partie du paysage local. Il est une figure incontournable de la gare, un adorable chien blanc au doux regard, émouvant, qu’on nourrit parce que son maitre n’est plus là …..

En 1932 un étudiant du professeur Ueno qui a fait des recherches sur la race AKITA, alors quasie éteinte, publie dans le plus grand journal de Tokyo un article relatant l’incroyable fidèlité d’Hachiko envers son maitre disparu.

Les médias s’emparent du sujet. Les esprits s’émeuvent et Hachiko est surnommé « Chuken » (chien fidèle) Il devient un phénomène national, un modèle à suivre, vivant symbole de la loyauté et de la fidèlité à l’esprit de famille – des valeurs auxquelles la culture japonaise est très attachée.

Les parents et les enseignants font référence à Hachiko pour éduquer les enfants. Il est même cité dans les manuels scolaires au chapitre « N’oubliez jamais votre dette morale » En avril 1934 une première statue de bronze à l’éffigie du chien le plus célèbre du Japon est érigée à l’entrée de la gare de Shibuya.

Symbolisant l’amour et la fierté des habitants du quartier envers Hachiko, elle est inaugurée en présence du chien lui-même, devenu héros national ! Le 8 mars 1935, Hachiko est retrouvé mort dans une rue du quartier de Shibuya, victime d’une filariose. Dans son estomac, on trouve quelques bâtonnets métalliques servant à rôtir les morceaux de poulet – un mets que des habitants du quartier lui servaient …

- Sa dépouille est transférée au musée national de la Nature et des Sciences de Tokyo pour y être naturalisée. Elle s’y trouve toujours aujourd’hui suscitant l’émotion de milliers de visiteurs Mais l’histoire d‘Hachiko ne s’arrête pas là ……………….

Aujourd’hui en 2012 c’est un Hachiko statufié, presque érigé au rang d’idole et caressé chaque jour par des millions de voyageurs qui les accueille toujours à leur descente du train Grace à lui, chacun peut se croire attendu par un ami, même dans une ville étrangère, même loin de chez soi Très très belle histoire ……. encore une fois, nos amis à quatre pattes nous montrent ce que c’est qu’aimer …..sans rien demander en retour ! Source: http://jeunea60ans.unblog.fr/2010/06/15/hachiko-chien-fidele-histoire-vraie/

humour

Publié à 12:05 par fandeloup Tags : humour

souffrance

Publié à 11:57 par fandeloup Tags : animaux moi photos
souffrance

un jour on m'a dit " les animaux ne ressentent rien"...j'ai en moi , gravé pour toujours l'expression de leur souffrance sur certaines photos...la douleur est écrite et on ose dire qu'ils ne ressentent rien...En 2012 il y a des gens qui pensent encore ça...

garde

Publié à 11:36 par fandeloup
garde

Gardes toujours présent à l’esprit que tu as la capacité de dépasser toutes tes faiblesses et les ressources pour devenir un conquérant.

ours

Publié à 11:17 par fandeloup
ours

Décidez-vous toujours pour l'inconnu, indépendamment du risque, et vous grandirez continuellement.

aimer

Publié à 11:04 par fandeloup Tags : aimer
aimer

Aimer, ce n'est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées. C'est avancer en funambule au-dessus de précipices et savoir qu'il y a quelqu'un au bout qui dit d'une voix douce et calme : avance, continue d'avancer, n'aie pas peur, tu vas y arriver.

test

Publié à 10:37 par fandeloup Tags : chiens article société nature animaux animal
test

QU'EST CE QUE LE TEST DRAIZE, EN QUOI ÇA CONSISTE

Le test de Draize est une affection aiguë de toxicité conçu en 1944 par la Food and Drug Administration (FDA) des toxicologues John H. Draize et Jacob M. épines. Initialement utilisé pour tester des produits cosmétiques, la procédure consiste à appliquer 0,5 mL ou 0,5 g d'une substance d'essai à l'œil ou la peau d'une retenue, un animal conscien t, et en laissant pendant quatre heures. Les animaux sont observés jusqu'à 14 jours , des signes d' érythème et un oedème dans le test de la peau, et la rougeur, enflure, écoulement, ulcération, hémorragie, la nébulosité, ou cécité de l'œil testé. Le sujet de test est souvent des lapins albinos, bien que d'autres espèces sont également utilisés, y compris les chiens. Les animaux sont euthanasiés après le test.

DESCRIPTION DE L'ESSAI ANTI-TEST

Selon l'American Anti-Vivisection Society national , des solutions de produits sont appliqués directement dans les animaux les yeux, ce qui peut provoquer " brûlure intense, des démangeaisons et des douleurs. " Les clips sont placés sur les paupières des lapins pour les tenir ouvertes pendant la période d'essai, qui peut durer plusieurs jours, période durant laquelle les lapins sont placés dans de retenue stocks. Les produits chimiques laissent souvent les yeux "ulcérée et des saignements. Dans le test de Draize d'irritation de la peau, les substances d'essai sont appliquées sur la peau qui est rasée et abrasée (plusieurs couches de la peau sont éliminées avec du ruban adhésif), puis recouverts de bâches en plastique.

PRO-TEST Selon les Britanniques de la Défense recherche de la Société , le test de Draize est maintenant un très doux "test", dans lequel de petites quantités de substances sont utilisées et sont lavés de l'œil au premier signe d'irritation. Dans une lettre à Nature, écrit pour réfuter un article disant que le test de Draize n'avait pas beaucoup changé depuis les années 1940, le professeur Sir Andrew Huxley a écrit :

"Une substance attendu de sa nature chimique d'être sérieusement douloureuse ne doit pas être testés de cette manière, le test est permis que si la substance a déjà été démontré que de ne pas causer de la douleur lorsqu'il est appliqué sur la peau, et in vitro, des tests de dépistage avant sont recommandées, comme un test sur un œil et perfusé isolé. permission d'effectuer l'essai sur plusieurs animaux sont données uniquement à si le test a été effectué sur un seul animal et une période de 24 heures a été autorisée en cas de blessure à se manifester.

reve

Publié à 09:17 par fandeloup Tags : vie monde moi
reve

Le monde est si vaste et mes rêves si fragiles, comment ne pas les perdres au gré des vents hostiles de la vie, je cherche en moi la force et le courage d'y croire encore et plus fort que jamais, peut être bien qu'un jour je pourrais le frôler du bout des doigts, ce rêve que j'ai fait tant de fois