aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle blog bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ne sois pas dans la colère ou l’amertume , ces émotions sont néfastes pour toi, demeures serein quoi qu'il advienne !!!
Une personne adulte " normale " est peu susceptible de conduire son enfant à des combats de chiens, parce que c'est un spectacle cruel et immoral. Mais le cirque, le delphinarium ou le zoo est une autre affaire. Il est tout à fait possible que certaines personnes ne savent pas ou préfèrent ne pas remarquer l'évidence : parfois notre divertissement familial n'est pas inférieur à la douleur des chiens de combat dans la cruauté ! Tous les pays civilisés abandonnent les spectacles de cirque avec des animaux, et nous avons un groupe de circassiens qui ne veulent pas perdre leur entreprise, en continuant d'exposer leur divertissement honteux. C'est une laideur qui apporte cruauté et permissivité aux animaux chez les enfants!
Mon cœur sera toujours avec vous tous mes amis et amies , j'aurai plus de temps pour écrire et soigner les gens que j'aime...
Pâques, par définition, est une célébration de la vie. 3 jours après avoir été crucifié, Jesus Christ est ressuscité d’entre les morts. Il avait donné sa vie pour que les humains soient pardonnés pour leurs péchés, un acte qui montrait son incroyable compassion et soulignait énormément l’importance de l’altruisme. Puis il revint à la vie 3 jours plus tard pour vaincre la mort et le mal. Il est donc ironique que tant de morts et le mal soient présents pendant la fête de Pâques.
Chaque année, surtout pour Pâques, des millions d’agneaux sont envoyés à la mort pour être mangés ... pour que les humains célèbrent à quel point il est glorieux d’être vivant !
La partie la plus rentable de n’importe quelle brebis pour un éleveur est l'agneau qu’elle donne. Sa laine représente seulement 10 % de la somme totale d’argent que l'éleveur peut obtenir d'elle tout au long de sa vie. Son corps à l’abattage vaut beaucoup moins. L’essentiel des revenus d’une brebis provient de la vente de ses bébés aux abattoirs.
En réponse à ceux qui nous croient perdus dans nos rêves et illusions..... pourquoi croyez vous être les seuls à comprendre ce monde? Nous croyez vous assez naïfs pour ne pas concevoir toute la merde qui s'y trouve? Nous avons délibérément fait le choix de dépassé les apparences , de voir au delà de cette grisaille dans laquelle l'être humain s'est plongé .... Nous élevons nos pensées et énergies au delà de cela , car , en conscience , notre pensée est créatrice..... Si nous nous attardons au laid , le laid , sera plus amplifier , si au contraire nos pensées s attardent a ce qui est beau , noble et grand , le même principe s applique , il s'amplifie aussi , Alors que voulez vous créer, la beauté ou la laideur , le chaos ou l'harmonie , la tristesse la colère ou la joie et l'allégresse..... Nous avons le libre arbitre , alors à nous de se prendre en main et de créer un monde en parfaite harmonie avec tout ce qui Es
Les humains ne sont pas des carnivores parce que les carnivores mettent à terre leurs proies vivantes et les mangent crues. Les humains mangent de la chair qui est morte depuis des semaines. La viande est lavée avec de l'eau de javel et imbibée de colorant pour cacher la puanteur putride. Les habitudes alimentaires des humains sont plus proches des vautours et des chacals que des loups et des lions. Les humains qui mangent de la viande ne sont PAS des omnivores, mais des "necrophages" ou des mangeurs de chair mort
Enfances oubliées
Les pensionnats indiens et leur héritage Étiquettes Histoire Violations des droits de la personne
Photo : Archives sur le Yukon, Église anglicane de Canada, fond Diocèse du Yukon, 86/61, no 678
Partagez cette histoire
Détails des histoires
Des années 1880 aux années 1990, plus de 150 000 enfants métis, inuits et des Premières Nations sont arrachés à leur famille et envoyés dans des pensionnats indiens, souvent situés loin de chez eux. Beaucoup d’élèves souffrent de négligence et d’abus. Des milliers d’enfants meurent.
Plus de 100 pensionnats indiens sont établis au Canada dans chaque province et territoire sauf au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard. Le gouvernement du Canada utilise ces écoles, gérées par les Églises catholique et protestante, pour soustraire les enfants à l’influence de leur famille et de leur communauté, et pour les éloigner de leur langue, de leur culture et de leurs croyances.
Des rangées d’enfants assis sur de longues banquettes basses dans une grande pièce. Des garçons dans la salle d'assemblée du pensionnat indien d'Alberni, en Colombie-Britannique, 1960. (photo: Archives de l’Église Unie du Canada, Toronto. 93.049P/432)
Le réseau d’écoles appuyées par le gouvernement fédéral est créé dans le but de détruire les familles, les communautés et les modes de vie autochtones, et d'assimiler les enfants autochtones dans la culture européenne.
Ainsi, pendant plus de 100 ans au Canada, les enfants des Premières Nations et des peuples métis et inuit ont été privés de l’amour et de l’attention de leur famille.
Assimilation et perte d’identité
Dès leur arrivée au pensionnat, les enfants autochtones sont obligés d’adopter les coutumes, la langue et la culture de la société européenne. Les responsables de l’école leur enlèvent leurs effets personnels ou autres articles qu’ils ont apportés avec eux. Les enfants ne peuvent pas porter leurs propres vêtements. Il leur est interdit de parler leur propre langue autochtone.
Porter les cheveux longs n’est pas permis, bien que les cheveux longs tressés sont importants sur le plan culturel pour beaucoup de personnes autochtones. Les enfants sont complètement coupés de leur mode de vie habituel.
Je veux me débarrasser du problème des Indiens… Notre objectif est de continuer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un seul Indien au Canada qui n’ait pas été intégré à la société… Duncan Campbell Scott, surintendant adjoint des Affaires indiennes, 1913–1932
Thomas Moore Keesick à l'école industrielle autochtone de Regina. (photo : Saskatchewan Archives Board, R-A8223-1 [à gauche], R-A8223-2 [à droite])
L'héritage des pensionnats
Le film Enfances oubliées : Les pensionnats indiens et leur héritage comprend des témoignages de survivants et de survivantes au sujet des pensionnats indiens, de la rafle des années soixante et du système de protection de l'enfance. Dans les années 1960, le gouvernement canadien continue à intervenir dans la vie des familles autochtones en enlevant les enfants et en les plaçant dans des foyers non autochtones. Encore aujourd'hui, les enfants autochtones sont plus susceptibles d'être placés en foyer d'accueil ou en institution que les autres enfants canadiens.
C’est la raison pour laquelle je voulais raconter mon histoire – pour que les jeunes sachent – et il faudra le répéter, le répéter et le répéter encore – pour qu’ils comprennent pourquoi nous sommes comme nous sommes. Il faudra que beaucoup de générations se succèdent avant que notre peuple ne redevienne entier et guérisse.
Mary Courchene survivante du système des pensionnats, explique à quel point les traumatismes ont touché plusieurs générations de son people.
Les survivants et survivantes s’expriment
Les survivants et survivantes ont travaillé pendant de longues années pour faire connaître leurs expériences, ce qui a entraîné une reconnaissance accrue de ce qui s’est passé dans les pensionnats indiens. Le travail et le courage de ces personnes, des communautés et des organisations autochtones ont mené à la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens, en 2006. Cette convention entre le gouvernement du Canada et les anciens élèves des pensionnats comprend des dispositions en matière d’indemnisation ainsi que l’établissement de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. La Commission a pour mandat de documenter les expériences des survivants et survivantes et de les préserver.
Les excuses officielles du gouvernement du Canada
Le mercredi 11 juin 2008, le premier ministre Stephen Harper présente des excuses officielles aux anciens élèves des pensionnats indiens au nom du gouvernement du Canada. Des centaines d’anciens élèves, de représentants d’Église et de leaders autochtones sont présents dans les tribunes de la Chambre des communes pour entendre la présentation des excuses.
En voici un extrait : Aux quelque 80 000 anciens élèves toujours en vie, ainsi qu'aux membres de leurs familles et à leurs communautés, le gouvernement du Canada admet aujourd'hui qu'il a eu tort d'arracher les enfants à leurs foyers et s'excuse d'avoir agi ainsi. Nous reconnaissons maintenant que nous avons eu tort de séparer les enfants de leur culture et de leurs traditions riches et vivantes, créant ainsi un vide dans tant de vies et de communautés, et nous nous excusons d'avoir agi ainsi. Nous reconnaissons maintenant qu'en séparant les enfants de leurs familles, nous avons réduit la capacité de nombreux anciens élèves à élever adéquatement leurs propres enfants et avons scellé le sort des générations futures, et nous nous excusons d'avoir agi ainsi. Nous reconnaissons maintenant que, beaucoup trop souvent, ces institutions donnaient lieu à des cas de sévices ou de négligence et n'étaient pas contrôlées de manière adéquate, et nous nous excusons de ne pas avoir su vous protéger. Non seulement vous avez subi ces mauvais traitements pendant votre enfance, mais, en tant que parents, vous étiez impuissants à éviter le même sort à vos enfants, et nous le regrettons. Le fardeau de cette expérience pèse sur vos épaules depuis beaucoup trop longtemps. Ce fardeau nous revient directement, en tant que gouvernement et en tant que pays. Il n'y a pas de place au Canada pour les attitudes qui ont inspiré le système de pensionnats indiens, pour qu'elles puissent prévaloir à nouveau. Vous tentez de vous remettre de cette épreuve depuis longtemps, et d'une façon très concrète, nous vous rejoignons maintenant dans ce cheminement. Le gouvernement du Canada présente ses excuses les plus sincères aux peuples autochtones du Canada pour avoir si profondément manqué à son devoir envers eux, et leur demande pardon. Nous le regrettons We are sorry Nimitataynan Niminchinowesamin Mamiattugut — Le très honorable Stephen Harper, premier ministre du Canada
Honorer la vérité
Pendant six ans, la Commission de vérité et réconciliation sillonne le pays pour découvrir la vérité relative au système des pensionnats. À l’occasion d’événements nationaux, d’audiences communautaires, de forums et de dialogues, la Commission entend les témoignages de personnes autochtones qui ont été arrachées à leur famille et ont passé une bonne partie de leur enfance en pensionnat.
Essais sur des animaux pour détecter le glyphosate toxique. De nombreux scientifiques pensent que le glyphosate est cancérogène. Pendant des décennies, des milliers d'animaux ont été cruellement testés puis mis à mort par des humains qui tentaient de provoquer un cancer chez le rat afin de déterminer s'ils pouvaient également développer un cancer chez l’homme. Aucune de ces expériences n'a prouvé quoi que ce soit, ce qui signifie que 31 000 animaux ont été torturés et assassinés sans raison. Finalement, je pense que ces tests cruels sont réalisés pour savoir quelles doses nous empoisonnent silencieusement …
Galgos Martyrs par Odile Brochot, présidente de Lévriers Sans Frontières Charte d’éthique LSF Galgos Martyrs
Sur les traces d’une machine à produire du sang neuf
Lors de mon dernier séjour en Espagne, j’ai été très marquée par quelque chose qui va peut-être vous paraître anodin mais qui me hante encore et que je n’oublierai jamais.
Vous savez elles n’ont pas froid aux yeux les bénévoles Espagnoles. Je dis bien «elles» parce qu’il n’y a que des femmes , elles vont sur le terrain et elles risquent même leur propre vie pour sauver un chien.
Elles vont partout et même dans les quartiers de gitans, où tout se règle entre homme, où les lois n’existent pas. Ce sont eux qui font le trafic de Galgos. En fait ils en vivent et c’est très lucratif, autant que le trafic de la drogue. Ils font de la reproduction et les entassent dans des gourbis infâmes, le but étant de gagner un maximum d’argent.
Je ne citerai aucun refuge, ni aucun nom de bénévole dans cet article par mesure de sécurité.
C’est l’histoire très banale d’une très vieille galga qui va bientôt arriver en France, une machine à faire des chiots, une machine à produire du sang neuf aux galgueros Espagnols , une machine qui sort du goulag.
Il y en a des milliers comme elle en Espagne qui vivent en enfer et qui meurent bien souvent dans l’impunité la plus totale, dans le noir de leur geôle, de maladie et de faim. N’oubliez jamais que derrière les frimousses des bambinos que vous vous arrachez tous, il y a une reproductrice qui agonise quelque part….
Chaque refuge à ses indics, des habitants souvent, qui restent discrets et qui signalent les cas de maltraitance. Nous voici donc parties en voiture dans un quartier de gitans très dangereux, c’est truffé de galgos, il y règne une atmosphère très bizarre, il n’y a pas âme qui vive, on a l’impression que c’est vide, que ce n’est pas habité, qu’on est seules au monde mais en fait on ne l’est pas et nous sommes surveillées …
La bénévole gare sa voiture et elle nous fait signe de la suivre, elle dit qu’en journée on ne risque rien, c’est la nuit que ça craint et bien ELLES, elles y viennent la nuit pour voler les galgos qui leur sont signalés maltraités. Elle était là, à cet endroit précis, enchaînée depuis des années et derrière ce soupirail, dans cette cave, des vies donnent la vie. Il y avait encore la trace de son pauvre corps décharné, creusé dans le sol et le piquet qui l’a tenue prisonnière tellement d’années….
On s’est arrêtées un instant, le silence était pesant, on se serait crues devant une tombe, on s’est recueillies …
OUI, ELLES sont venues une nuit pour la voler ELLES ne supportaient plus de la savoir là, à agoniser, à crever à petit feu.
ELLES sont venues couper ses chaînes ELLES l’ont embarquée ELLES en ont dans le falzar les bénévoles Espagnoles, ça je peux vous le certifier. Bien sûr le gitan l’a cherchée et il s’est douté que c’était ELLES qui étaient venues la voler, ils savent bien qu’elles viennent traîner dans le quartier la journée et il a menacé….mais ELLES ont l’habitude et ELLES n’ont pas peur.
Vous imaginez bien que les risques de représailles sont nombreux autant pour les humains que pour les chiens du refuge. Il y a quelques mois le père d’une jeune bénévole a été assassiné par les gitans. Alors elles ont caché cette vieille reproductrice pendant quelques jours et puis ensuite nous l’avons fait transférer dans un autre refuge pour la mettre en sécurité.
Elle ne vivra pas très longtemps, certes ces quelques mois de bonheur ne rattraperont pas tout ce temps perdu, tout ce temps passé à agoniser portée après portée, pour produire chaque année le sang neuf aux galgueros. Merci Alain de lui offrir un petit bout de bonheur….
Je dédie cet article à toutes celles qui se meurent et que nous ne sauverons pas..