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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Météo

Publié à 13:38 par fandeloup Tags : air sur france photo annonce
Météo

Météo de la semaine : retour du froid, de la pluie et de la neige à basse altitude

Des chutes de neige soutenues sont annoncées cette semaine dans le Vercors.

Photo illustration Le DL/Christophe AGOSTINIS Villard-de-Lans (Isère) :

des chutes de neige soutenues au programme de jeudi Val Thorens (Savoie) :

des chutes de neige soutenues au programme de jeudi Annecy (Haute-Savoie) :

des averses à partir de mardi Avignon (Vaucluse) : de la pluie à partir de mercredi Bourgoin-Jallieu (Isère) :

des averses à partir de mardi Chambéry (Savoie) :

des averses à partir de mardi Gap (Hautes-Alpes) :

des chutes de neige possibles jeudi Grenoble (Isère) :

de violents orages attendus mercredi Privas (Ardèche) :

de fortes pluies à partir de mercredi Valence (Drôme) :

de fortes pluies à partir de mercredi Des chutes de neige soutenues sont annoncées cette semaine dans le Vercors.

 Ce dimanche, il faut bien profiter des rayons du soleil car la semaine prochaine s'annonce beaucoup plus compliquée. Une coulée d'air polaire va descendre sur la France et une chute brutale des températures va avoir lieu entre mardi et mercredi, avec parfois 10°C de perdus en 24 heures comme à Lyon. Nos départements (Ain, Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Ardèche, Drôme, Isère, Savoie, Haute-Savoie et Vaucluse) ne seront pas épargnés avec un mercure qui passera bien en-dessous des normales saisonnières.

Chute des températures confirmée entre mardi et mercredi sur l'ensemble de la France avec localement 10°C de perdus en 24 heures ! Il faudra penser à ressortir ses habits d'#hiver... De la neige à basse altitude Ce refroidissement sera accompagné de perturbations. Dans nos régions, des averses sont attendues dès mardi. Mercredi, de violents orages sont annoncés à Grenoble. La neige devrait également faire son retour à basse altitude, dès 700 mètres. Jeudi, des chutes soutenues sont prévues dans les Alpes à Val Thorens ou encore à Villard-de-Lans.

horreur

Publié à 11:36 par fandeloup Tags : google hiver sur vie moi chevaux amis femme travail animaux animal poulain
horreur

14 mois de prison ferme pour avoir abandonné et privé de soins des chevaux

Sans herbe suffisante et avec un ruisseau bientôt gelé comme seule source d'eau, les chevaux - ici mis en sécurité dans notre refuge - n'auraient pas passé l'hiver.

© Fondation 30 Millions d'Amis pour participer aux combats menés par la Fondation 30 Millions d'Amis !

 Le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc (55) a condamné une femme qui avait laissé ses chevaux sans soins, ni abri ni nourriture suffisante à l’approche de l’hiver. Elle écope de 18 mois de prison dont 14 fermes, et d’une interdiction à vie de détenir un animal.

La Fondation 30 Millions d’Amis salue cette décision exemplaire. L’alerte pour maltraitance animale est d’abord lancée en 2016 : en Saône-et-Loire, une femme de 51 ans détient des équidés dans de mauvaises conditions, ne leur apportant pas les soins nécessaires. Une procédure pénale est alors entamée pour mauvais traitements, abandon volontaire, privation de soins à un animal et diverses infractions aux règles d’identification des équidés.

Mais la propriétaire décide de déplacer ses chevaux, et les installe dans la Meuse, sur une pâture en location. Sous l’œil d’une jument, une énorme tumeur ulcérée Les services vétérinaires de la Meuse, prévenus par leurs homologues de Saône-et-Loire, décident de se rendre sur ce terrain situé sur la commune de Vassincourt (30/11/2016).

Cinq juments et un poulain s’y trouvent, sans aucun abri pour les protéger du froid à l’approche de l’hiver. L’herbe n’est pas suffisante, et le petit ruisseau – seule source d’abreuvement pour les équidés – sera bientôt gelé. © Fondation 30 Millions d'Amis Comble de l’horreur, l’une des juments souffre d’une tumeur ulcérée et infectée sous son œil droit. De la taille d’une orange, la protubérance purulente nécessite des soins immédiats.

« Les animaux sont manifestement abandonnés », constatent les autorités. Pour ces faits graves, la propriétaire a été condamnée par le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc à une peine exemplaire de 18 mois de prison, 14 fermes et 4 avec sursis, ainsi qu’à une interdiction définitive de détenir un animal, 14 066 euros de dommages et intérêts et 350 euros d’amende (12/03/19).

Les six chevaux, secourus en 2016, lui ont été définitivement confisqués. Confiés à la Fondation 30 Millions d’Amis, ils sont soignés dans son refuge pour équidés*. Le tribunal prend en compte la sensibilité de l’animal « Il s’agit selon moi d’une excellente décision, qui prouve une fois encore que, suivant les juridictions, les peines [prononcées] peuvent être satisfaisantes, commente Me Xavier Bacquet, avocat de la Fondation 30 Millions d’Amis. Quand le tribunal se penche sérieusement sur le dossier et prend en compte la sensibilité de l’animal, les décisions correspondent alors aux textes [de loi] ».

L’animal est en effet considéré comme un « être vivant doué de sensibilité » dans le Code civil depuis 2015, fruit d’un travail de longue haleine mené par la Fondation 30 Millions d’Amis... qui agit aujourd’hui pour que les animaux se voient reconnaître le statut de "personne animale" ou "personne non humaine", essentiel pour être mieux défendus et protégés.

parti

Publié à 10:22 par fandeloup Tags : mer coeur nature voyage vie
parti

Tu es parti pour la vie sans préavis. Chaque jour,mes yeux rivés scrutent tes messages sous ce ciel limpide comme pour apaiser ma souffrance .Sous ce soleil éclatant illuminer mon existence .Sous cette lune souriante veiller ,me rassurer. Sous ces étoiles brillantes éclairer mes nuits. Devant cette mer calme m'inviter au voyage. Sous cette fine pluie rafraîchir,mon coeur, mon âme. Devant cette magnifique nature oublier mes mésaventures. Par cette douce brise me chanter une mélodie. Me donner goût à la vie. Es ce toi là haut pour me dire"je t'aime"

loups

Publié à 09:33 par fandeloup Tags : coup
loups

On est trop content pour le loup rouge... qui enfin entrevoit une lueur d'espoir ... Grande nouvelle à coup sûr! Le rapport de l'Académie nationale des sciences vient de valider le loup rouge Canis Rufus, comme une espèce distincte !!! Une énorme nouvelle: une série d’élans et de victoires pour cette espèce incroyablement méritante!

émotions

Publié à 09:16 par fandeloup Tags : texte sur vie moi bonne chez enfants mort annonce
émotions

Comprendre nos émotions face à la maladie

 L'annonce du diagnostic d’une maladie grave est rude à encaisser. ©Istock Le diagnostic d’une maladie grave comme l'annonce d'un cancer, c’est rude à encaisser et les réactions sont extrêmement variables : les pleurs, le repli, l’agressivité.

 

Comment surmonter une épreuve difficile ?

Toutes ces émotions, même très négatives, ont leur rôle à jouer pour surmonter cette période douloureuse.

Réaction face à la maladie : à chacun son expression « Il m’arrivait de sangloter deux heures sans interruption, même parfois dans la rue, en essayant de me cacher. Je pensais que ça n’allait jamais s’arrêter et que je me viderais, à pleurer comme ça ! Tout ce que je voulais, c’est que ça cesse. »

Trois ans déjà que Sabine a appris qu’elle souffre de sclérose en plaques, et le souvenir de sa réaction au diagnostic est vif. À l’heure où est grande l’injonction à tout "gérer" y compris ses émotions, l’annonce d’une maladie grave est un cataclysme qui se double d’une question.

Le désespoir, les larmes en continu, est-ce vraiment normal ? Ne devrais-je pas me faire soigner pour couper court à ma tristesse ? Pourtant, le chagrin, comme d’autres émotions, est non seulement normal, mais aussi utile.

« Un diagnostic de maladie grave est un traumatisme qui met dans un état émotionnel particulier, explique Rebecca Dernelle-Fischer, psychologue. Tout comme lors d’un accident, ou lors d’une après-midi bloqué dans un ascenseur, nous réagissons tous différemment à l’annonce d’une maladie. » Et de décrire : « Certains patients se mettent en marche pour "vaincre le crabe" et suivre leur traitement assidument.

D’autres sont dans une crainte si grande qu’ils nient la gravité de la maladie. D’autres encore réagissent par une tristesse extrême, beaucoup de larmes, de troubles du sommeil. Toutes ces réactions sont normales face à une réalité choquante, effrayante, écrasante ».

 

Diagnostic grave : les phases du deuil

Recevoir un diagnostic grave revient à faire face à un deuil : celui de la bonne santé que l’on avait, celui de la vie sans soins, sans inquiétude d’une mort proche… Les réactions des personnes qui encaissent une annonce de maladie grave correspondent d’ailleurs à ce que la psychiatre Elisabeth Kübler Ross a étudié en détail dans les années 60, les "cinq phases du deuil" : déni, colère, marchandage, dépression, acceptation. Les médecins le savent et en sont d’ailleurs informés. La Haute autorité de santé a même édité à destination des soignants le guide « Annoncer une mauvaise nouvelle », qui explique que « Le déroulement de ce processus n’est pas uniforme, il varie selon les personnalités et les situations. Ce qui est constant chez le patient : le besoin d’être entendu, compris et accompagné à son rythme ».

Une écoute et un accompagnement que Laurence Deflem garde en souvenir de sa bataille contre le cancer du colon, diagnostiqué à 35 ans alors qu’elle était enceinte et maman de deux enfants.

« Ce qui m’a beaucoup touchée : tomber sur des infirmières ou des médecins hyper respectueux qui ne m’ont jamais gênée, au contraire. » Un réconfort alors qu’elle préférait garder pour elle ses angoisses face à son entourage, perdu et inquiet. « Il m’est arrivé de pleurer, mais seule… J'ai une certaine pudeur émotionnelle et pour moi il était plus facile de gérer ma maladie sans la tristesse des autres en plus. Au final, j’ai beaucoup parlé de mes traitements, des aspects techniques, mais pas de ce que j’ai ressenti. C’était mon moyen de défense ».

Car c’est bien de stratégie de défense qu’il s’agit, avec la colère, la fuite ou désespoir. Elles sont un moyen de faire face, même si « comme un caillou dans la chaussure qui nous rend la marche difficile, les émotions peuvent nous déranger», souligne Rebecca Dernelle-Fischer. Pourtant, il est bon de prendre le temps d’écouter ce qu’elles nous disent : s’autoriser à pleurer, à la colère, à nier la réalité un temps… puis prendre l’émotion en main, la réfléchir et essayer d’en faire notre alliée. »

 

Réaction à l'annonce d'une maladie grave : se faire aider ?

À quel moment est-ce "trop" et doit-on craindre la dépression nerveuse ? Pas de réponse miracle ou chiffrée, l’important est d’échanger, avec ses proches ou un médecin. « Il peut être utile de prendre des anti-dépresseurs avant qu’un épisode dépressif soit évident, pour retrouver un certain niveau de bien-être et diminuer l’angoisse », précise la psychologue. Là encore, la décision a du sens au cas par cas et « dans le dialogue avec l’équipe médicale que se trouvera le soutien le plus adapté. » Et si on le souhaite, avec d’anciens malades. Laurence soutient aujourd’hui d’autres personnes souffrant de cancer. « J’ai une grande capacité à les écouter et les comprendre… Peut-être que si j’en avais connu avant, pendant ma maladie, c’aurait été différent. »

Syndrome de Noé

Publié à 18:27 par fandeloup Tags : sur chez amis animaux dieu femmes animal livre chien pouvoir chat
Syndrome de Noé

Syndrome de Noé : quelle est cette maladie mentale qui consiste à accumuler trop d’animaux ?

Il existe une forme de maltraitance animale largement sous-estimée : elle consiste à accumuler des animaux sans se rendre compte qu’on ne peut subvenir à leurs besoins.

Souvent, les associations de protection animale doivent saisir les animaux détenus dans de mauvaises conditions chez des personnes souffrant de ce syndrome de Noé.

Le Dr Sarah Jeannin, psychologue clinicienne et Docteur en éthologie, nous explique ce qu’est cette maladie psychiatrique. Ce terme métaphorique tire son origine d’un récit biblique que l’on trouve dans le livre de la Genèse : Dieu ordonne à Noé de recueillir dans son arche un couple de chaque espèce animale, afin de repeupler la planète après le Déluge.

Les personnes souffrant du syndrome de Noé croient sauver des animaux

Les personnes souffrant du syndrome de Noé sont investies d’une mission de sauvetage : elles ont un besoin irrépressible d’obtenir et de contrôler toujours plus d’animaux (de toutes sortes) sans avoir les moyens de les accueillir dans des conditions décentes.

Ce besoin est associé à un déni de leur souffrance. Après avoir sorti les animaux de la « misère », elles ne cessent d’en recueillir de nouveaux au point de ne plus pouvoir les assumer. Ces individus, aussi appelées des « collectionneurs » (en anglais, « animal hoarders ») se considèrent comme des bienfaiteurs ; le déni est l’un des principaux symptômes !

Le comble de ce trouble est donc que la personne se transforme petit à petit en ce qu’elle détestait au départ : une personne maltraitant les animaux !

Syndrome de Noé : quelles conséquences pour les animaux victimes ?

Découverts affamés et malades, de nombreux animaux doivent être euthanasiés à chaque intervention des associations. Dans d’autres situations moins « dramatiques », les animaux ont beaucoup de mal à supporter cette « promiscuité » et bien que leur santé physique ne soit pas mise en péril, ces conditions d’hébergement portent néanmoins atteinte à leur bien-être.

Ils ne sont plus libres d’éviter les interactions avec leurs congénères, ce qui est problématique pour une espèce comme le chat par exemple, qui est moins sociale que le chien ! Ils ne peuvent pas explorer librement leur environnement etc. Il y a une réelle contrainte de l’humain qui souhaite paradoxalement les protéger. 

Saisie chez des particuliers qui vivaient dans 10 m² avec 60 animaux - © Fondation 30 Millions d'amis Comment prendre en charge les malades souffrant du syndrome de Noé ?

C’est un problème très répandu, qui cause plus de souffrance animale que tous les actes de cruauté intentionnels réunis et qui est nettement sous-estimé. Il est donc essentiel d’éduquer et de sensibiliser les gens à cette pathologie pour arrêter les dérives et éviter les situations de maltraitance.

Le syndrome de Noé peut se retrouver à tous les âges, quel que soit le sexe ou la condition socio-économique de la personne, mais des études récentes montrent qu’il touche majoritairement les femmes, les personnes seules et en particulier les personnes âgées (Ferreira et al, 2017).

On trouve une brève description de ce syndrome dans la dernière édition du DSM V, manuel qui répertorie les différents troubles mentaux (American Psychiatric Association, 2014), incluse dans la section « trouble obsessionnel compulsif et troubles apparentés ».

Néanmoins, il reste plusieurs points à élucider : le syndrome de Noé est-il une pathologie à part entière ? La manifestation délirante d’un trouble psychotique ? Quelles sont les causes, les origines de ce syndrome (carence affective, abus, traumatismes) ?

De nouvelles recherches sont nécessaires pour mieux comprendre son trouble et le soigner. D’une part parce que sans soins adaptés après l’intervention, la récidive des malades s’élève à près de 100% ! Et d’autre part, parce que les malades, privés de leurs animaux, peuvent tenter de mettre fin à leurs jours. Ainsi, les personnes souffrant du syndrome de Noé présentent un besoin frénétique d’aider les bêtes et oublient la réalité au détriment des besoins vitaux des animaux qu’elles sauvent.

Ce trouble nous rappelle une fois de plus que « l’amour de suffit pas » ! Pour respecter le bien-être de l’animal, il est nécessaire de répondre à ses besoins éthologiques (physiques et psychiques).

L’animal doit être considéré pour ce qu’il est et pas uniquement pour ce qu’il apporte (combler une carence affective, réparer un traumatisme etc.).

horreur

Publié à 17:05 par fandeloup Tags : divers sur monde voiture film fille
horreur

Valenciennes : elle enregistre les aveux de viol de son père et le fait condamner

 L’homme a été condamné à 15 ans de prison pour avoir régulièrement abusé sexuellement de sa fille adolescente, entre 2015 et 2017. Elle est venue à la cour d’assises témoigner du « calvaire » qu’elle a vécu pendant deux ans.

Lors du procès de son père de 37 ans, qui s’est tenu jeudi et vendredi à Douai (Nord), une jeune fille de 13 ans a expliqué qu’il l’avait violée « un samedi sur deux » entre 2015 et 2017, raconte La Voix du Nord

 Les faits ont cessé en 2017, lorsque la jeune fille habitant Valenciennes a piégé son père, afin qu’il cesse ses agissements criminels. Lors d’un trajet en voiture , elle l’a convaincu d’avouer les faits, sans préciser qu’elle enregistrait toute la conversation.

Cela l’a aidé à parler de son calvaire, alors que pas grand monde ne la croyait au départ. À 13 ans, après avoir subi une tentative d’étranglement par son père parce qu’elle n’avait pas « voulu regarder un film avec lui », personne dans sa famille ne le croyait, d'autant que le père niait tous les faits reprochés.

Sa mère a finalement été convaincue grâce à la preuve du document audio.

Injonction de soins

Au terme de deux jours d’un procès éprouvant -les pompiers sont intervenus à deux reprises en raison de malaises dont ont été victimes ses proches-, l’homme a été condamné à quinze ans de prison, conformément aux réquisitions du parquet.

Il a également perdu l’autorité parentale sur sa fille, avec qui il a interdiction d’entrer en contact. Il devra par ailleurs se soumettre à une injonction de soins et à un suivi socio-judiciaire durant trois ans.

loups

Publié à 16:29 par fandeloup Tags : monde
loups

Par ce jour de Mars qui ressuscite son monde, je me plais à fouiller l'abîme où se confondent, l'infini de l'espace et l'infini du temps.

racommodage

Publié à 16:14 par fandeloup
racommodage

Partagez si vous aussi vous aviez une grand-mère qui recousait vos vêtements !

tristesse

Publié à 16:02 par fandeloup Tags : france vie animaux
tristesse

Stop à l'élevage en cage Plus de 300 millions d'animaux d’élevage souffrent dans des cages à travers l'Europe. Ensemble, nous pouvons mettre un terme à leur souffrance grâce à l'Initiative citoyenne européenne contre les cages. Nous devons collecter 1 million de signatures vérifiées pour interpeller la Commission européenne et lui demander de mettre un terme à ce traitement inhumain des animaux de ferme. Signez dès maintenant pour libérer les animaux et mettre un terme à l'élevage en cage ! 683 254 personnes ont déjà agi contre les cages !

Enfermée pendant des semaines dans une case, incapable de prendre soin de ses petits. Une vie derrière des barreaux n'est pas une vie. Mettons fin aux souffrances des animaux . Signez maintenant.

PETA France