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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
JUSTICE cela te touche pas ça???pas de pitié? pas de sentiment? même un meurtrier d'enfant n'a pas ce châtiment, c'est immonde, abject............La justice na pas puni..pour eux cet animal na pas souffert
Il meurt dans ses déjections après trois ans d’enfermement photos : Le chien est mort dans un appentis. publicité Dans la nuit du 7 au 8 janvier derniers, les cris d’un animal retentissent, en continu, dans les rues de Ponthoile. Les hurlements sont ceux du chien d’un chasseur sexagénaire du quartier. Prévenus par les voisins, les gendarmes se rendent, au petit matin, au domicile du propriétaire.
C’est là, qu’ils découvrent l’impensable : le chien est mort, étendu dans un appentis, baignant dans ses déjections. Il a été enfermé dans cet abri de fortune il y a trois ans. Il n’en est jamais ressorti. Son maître avait cloué toutes les portes pour ne jamais les rouvrir. Il nourrissait le chien en lui jetant, de temps à autre, des déchets par une fente.
«C’est pour punir son chien qui manquait de nez à la chasse que le propriétaire l’avait enfermé là », explique Éliane Lecuyer, présidente d’honneur et fondatrice du refuge de Buigny-Saint-Maclou. La présidente de l’association, Janine Pereira, a déposé plainte auprès du procureur de la République d’Abbeville. «Nous sommes indignés par cette affaire et nous ne comprenons pas comment ce chien a pu vivre ainsi pendant trois sans que personne ne s’en aperçoive », conclut Éliane Lécuyer.
Un groupe Facebook s'est également constitué autour de la mort de cet animal.
Ce matin prolifère une longue chanson douce heureuse, de ma fenêtre résonnent des sonorités piailleuses, ces chants d'oiseaux éternellement printaniers, ce baume musical panse tellement mes plaies .
Blanche colombe, oiseau divin, ton vol élégant épris de liberté,toujours serein, tu sautes le temps ..Chasseurs, ne brisez pas ce vol gracieux vers d'autres latitudes, la colombe tutoie les anges et vos plombs peuvent aussi les tuer, quand une plume tombera du ciel, une bien mauvaise habitude, personne ne pourra entendre à qui, vos armes auront parlé. Symbole de paix, vous aimez aussi la blancheur des colombes, les lâcher dans le ciel, comme c'est gratifiant de les voir s'envoler.
Qu'ai-je fait de ce long temps? De joies et beaucoup de galères, de port en port, le ♥ soupirant, j'ai perdu ma jeunesse entière. Dans ce miroir brisé par les ans, je me sens l'âme ridée bien amère, de ne pouvoir garder trop longtemps, autour de moi,mes etres si chers. Je suis seul et loin de toi maintenant, ton absence prolongée me désespère. Sur ma coquille fêlée dans cet ouragan, de mauvaise vie sans mystère, je vois désorienter les aimants, de la boussole de mon planisphère, qui tournent vite en ne me tricotant, cette chainette de ma vie en mohair, mais plutôt en couronne de tourments, nouée moins à l'endroit et plus à l'envers, par ces aiguilles du temps
Si tous ces grands arbres de la forêt pouvaient marcher, en se libérant de l'éternel joug qui pèse sur leurs racines, ils dévaleraient sur un pied, la douce pente de la colline, pour venir en ce jour , voir fleurir enfin le petit rosier.
Mais hélas les arbres ont toujours leurs grandes racines, qui les enchaînent à leur sol natal , cela les chagrinent, ils sont finalement prisonniers, malgré eux dans leurs collines, et des roses, ils n'en connaîtront que le parfum des épines.