Fandeloup

Dans un monde meilleur, ensemble on batira un monde pour toi et moi, ou chacun de nous vivra.. Oui dans un monde meilleur

Dans la douceur de l'hiver j'ai traversé l'univers et j'ai découvert ton cœur aux tendres effluves d’ailleurs

Mois de septembre , mois de tristesse.. Mois qui enlève et qui ne rend jamais.. Mois de grisaille, mois de kleenex,qui prend la vie comme un coup de balai. Tu es partis le 14 septembre de ce mois infernal. La douleur a empli mon cœur et mes larmes règnent, à présent le silence et le calme. Tu vogue tout là haut vers les étoiles,vers le paradis blanc, tu as mis les voiles et moi, je reste seule, perdus et égarée avec le manque de toi, des souvenirs délavés.

La lumière se tamise et le soleil s'éteint.Nos cœurs à l'unisson chantent une douce mélodie.

L'Art du savoir vivre ? Avoir les yeux de ceux qui ont traversé beaucoup de choses et le sourire de ceux qui les ont tous surmontées ....

La complicité ne se choisit pas. Elle ne se crée pas. Elle se produit. Elle existe...

Les photos te racontent, qui me parlent tout bas, je réécris un conte,tout en pensant à toi. De grands yeux ténébreux, qui me fixèrent un jour, et croisèrent mes yeux, le début d'un amour. Des cheveux noirs de jais, le rire au bord des lèvres

Ils m'ont mis dans le noir. Le ciel je n'allais plus le revoir .Que pour mes funérailles quoique je fasse où que j'aille. Et ils ont ouvert la porte. Une issue d'un coup ça réconforte .Mais ils ont refermé la porte me laissant face à mon destin. De ma vie ils allaient faire un festin. Je devrais affronter un pantin. Je n'avais pas envie de faire le malin. Mais comment échapper à ce traquenard. Il était bien trop tard. C'est dangereux de jouer avec la vie. Elle était faible ma chance de survie. Je n'avais pas demandé à me battre. Et ils voulaient tous le voir m' abattre .C'est dangereux de jouer avec la vie .Abîmer une poupée je n'avais pas envie. Je regardai encore une fois le ciel mon seul ami ,il était bleu comme mon âme .Pourquoi de ce jeu en faire un drame. Il allait me la prendre ma vie en m'écorchant pour de sordides trophées qu' il allait fièrement exhiber .Mais moi je n 'avais pas envie de tuer. Mon esprit je le laissais errer dans les marées salants je me promenais. Il allait m' embrocher et moi je m' envolais .J 'aurais pu l 'envoyer tournoyer. J 'aurais pu moi aussi lui imposer. Mais Moi je n'avais pas envie de tuer... Le bleu du ciel c 'est ce qui me restait

Un bol de café chaud.. Le clair chant d'un oiseau.. Une aurore de miel

Le temps s'est arrêté au silence hivernal, les feuilles une à une quittent l’éphéméride, dehors siffle un moineau qui dans le froid glacial, vient répondre à l'écho d'autres aussi intrépides.