Fandeloup

Georges Clemenceau en visite sur le front de Picardie. Jusqu'à la fin de la guerre, les autorités françaises feront tout pour maintenir le moral des troupes, de la lourde répression des déserteurs aux visites des hommes d'Etat sur le front

Certes, un rêve de beignet, c’est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c’est déjà un voyage

Un soldat français endormi dans une église en ruines. Peu importe le lieu, chaque moment de repos devait être utilisé à bon escient sur le front

Selon une ancienne croyance, le jour de la semaine auquel tombe Noël exerce une influence sur le cours des événements.

Noël vint un lundi, Et tout se perdit.

Quand Noël tombe un mardi, Pain et vin de toute parts.

Noël le jeudi, c'est la famine

Mais s'il tombe un vendredi, Le blé roule sour la cendre.

Si le jour de Noël se trouve être un dimanche, Les ennuis de l'hiver viendront en avalanche .

Pas de chance pour nous :) cette année c'est un Dimanche

Dans les tranchées, les moments de détente étaient rares. Ici, des soldats français fêtent sans doute leur arrivée dans une tranchée ennemie. Ils ont abandonné l'habit bleu horizon du poilu, pour celui, vert kaki, des soldats allemands

Les gens qui se battent peuvent perdre. Les gens qui ne se battent pas ont déjà perdu

Si on rend souvent hommage aux poilus, qui combattaient, on oublie parfois les aumôniers présents à leurs côtés, sur le front, pendant la guerre. Ici, une photographie de l'un d'eux, en tournée, dans un cantonnement de repos de Guerbigny dans la Somme en 1915

Le silence est un ami qui ne trahit jamais

8,5 millions de poilus français ont combattu pendant la Première guerre mondiale. Le dernier d'entre eux, Lazare Ponticelli, est mort le 12 mars 2008 à 110 ans. Voici un retour en images sur ce conflit mondial. Ici, deux soldats se reposent entre deux factions dans une tranchée de La Harazée, dans la Marne

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