Fandeloup

Au delà des maux il y a des cris silencieux qui hurlent ..

Bonjour amis qui rejoignaient mon antre. Entrez n'ayez pas peur ! Je vous souhaite bienvenue et bon voyage dans mon intimité. Laissez-vous guider par mes songes, laissez-vous immerger dans mon monde de mélancolie. Je me mets à nue devant vous, pour que mon existence demeure dans votre esprit... Lisez-moi au bout des maux, apprenez-moi au bout des mots. Je ne vous ferai aucun mal, je me livre à vous, je vous donne un bout de mon existence. Moi à l'état pure... Ce blog est à moi, pour vous. Juste pour vous faire partager mes écrits... Laissez-moi donc entrer dans votre esprit pour y graver ce que j'étais, ce que je suis et ce que je serais

[ Interprétation de la Pulsion ]

L'Homme incontrôlable n'est pas un psychopathe, il est loin d'être intelligent, il est juste empli d'inanités... Aussi compréhensible soit-il, nous avons des réactions tantôt bonnes tantôt mauvaises, là n'est pas la question. Quand l'homme se sent blessé, heurté, qu'il n'est plus en position favorable pour pouvoir être rassuré, il commence à se perdre. Puis peu à peu, les sentiments augmentent, se multiplient, et puis il ne comprend plus rien. Il n'est plus maître de la situation : il s'emporte. Et viens avec son comportement tout un tas d'actions qu'il regrettera. Mais le mal des uns font le bonheur des autres. Il est si simple de s'en prendre à ceux qui sont en position d'infériorité, il n'y a décidément aucune logique dans le comportement de l'Homme. Il suffit d'une coïncidence pour décider du destin, d'ailleurs lui aussi incontrôlable et inexplicable. Voyez vous, il n'y a rien d'étrange dans le comportement de l'être humain, tout s'explique par son État. Des quatre concepts psychanalytiques majeurs, la pulsion nous intéresse ici. « À la fois excitation pour le psychique, concept-frontière entre psychique et somatique, elle se définit par une poussée, un but, un objet et une source . » La poussée advint d'une envie profonde, souvent un choix rédhibitoire, quelque chose qu'on ne peux contrôler. Le but engage et fait espérer dans un futur proche ou lointain. L'objet est témoin, victime, acteur de la pulsion. La source est l'énigme et la clé du problème. Nous parlerons plus de Thanatos que d'Éros ici, car se sont biens les pulsion agressives qui sont la question ou d'ailleurs les questions d'aujourd'hui. Car si l'Homme vit, il ne contrôle pas, il se contente d'effectuer, tel un pantin. Il résulte avant tout de ce qu'il paraît, de ce qu'il refoule et cache. C'est là qu'intervient le surmoi, pour rappeler à l'individu ce qu'il est. Bien que la nature soit faite comme on l'entend, l'espèce humaine n'est pas, car elle est à la base de multitudes de litiges, d'énigmes. Un sujet dont la psychanalyse n'a cessé d'étudier, mais là ou il y a une question, il y aura sûrement une réponse...

[ Interprétation de la Passion ]

D'un amour innocent, vif et brûlant, la passion émane de tout sentiments. Elle nous submerges d'envies et nous enivres de sa folie. Avec toutes ses vertus, nous nous devons de lui trouver ses vices. Car si un amour est passionnel il est aussi éprouvant. Il n'y a pas de roses sans épines, encore moins de passion sans souffrances. Aimer c'est aussi endurer, c'est un jeu à double tranchant. Car si la musique est le langage universel, le passionnel est une émotion sans limites. C'est à dire avec ses joies et ses peines... Son intensité est telle que parfois les sentiments s'inversent, c'est alors si facile de passer de l'amour à la haine et du bonheur au malheur. Cette excitation inhabituelle, cette affinité du moins très prononcée, finira un jour par trépasser. La passion n'est pas éternelle, car elle provient de l'âme, qui elle même disparaitra un jour. Finalement, elle n'est qu'impulsion du corps, se traduisant par la passivité... Cette Romance engendre colère et luxure, elle devient donc pêché, mais qui ne l'a point tenté? On s'y aventure, inconsciemment, pour en tirer et prendre ce qu'on peut. On pourrait peut-être citer un déséquilibre psychologique quand elle envahit l'esprit, car il en advint une dépendance certaine. En fin de compte, la passion est peut être soumission, création divine du magnifique et de l'horrible, nous mettant dans des états poussés à l'extrême. Mais si elle est telle, c'est bien qu'il y a des êtres comme nous pour pouvoir l'invoquer et la subir, l'apprécier et la haïr. Véritable question existentielle, elle n'a pas fini de nous faire ressentir. Alors goutons une fois de plus à ce mystère, sans trop en abuser, car si cette boisson divine à des effets des plus plaisant, les secondaires sont biens plus déconcertants !

[ Interprétation de L'amour ]

Si aimer c'est souffrir, pardonner c'est offrir. Car faute avouée à moitié pardonnée. Mais si l'amour qu'on porte envers une personne doit être réciproque pour vivre heureux c'est faux. Car il y a entres autres tout ces signes qui disparaissent quand on est réunis : L'espoir, L'attente, L'envie. Mais au delà de ça, s'aimer c'est se haïr, comprendre c'est se détruire. Alors on se soumet à la tentation, pour pouvoir connaître ce qu'est l'amour, le vrai, celui que l'ont ressent. Mais si il est sentiment il est aussi différent de chacun. On a tous une interprétation qui diverge de celle des autres. Il est avant tout incontrôlé, il vous tombe dessus même si vous n'avez rien demandé. Et vient avec lui tout ce qui va avec ; la joie, la tristesse, le plaisir, le dégout, la jalousie et la liberté... Mon dieux qu'il rend aveugle, oui, parfois nous fonçons droit dans le panneaux. Mais le jeu en vaut-il la chandelle? Pour se dire qu'on trouvera peut-être un jour notre âme sœur. Car aimer c'est une quête, un jeu, on est sans-cesse entrain de le chercher, pour finalement arriver toujours au même point : La séparation. Car même si nous restons unis jusqu'au dernier jour de notre vie,la mort viens nous arracher l'âme, l'esprit et nous laisse seuls avec notre psyché, dans un tombeau. Mais je pense que si nous devons retenir une chose, c'est bien que l'amour est le fruit de nos sentiments, et qu'on peut très vite le transformer en haine. Car cette source vient d'un puits inexorablement long, dans le méandre de nos émotions, lui même enfoui dans l'incontrôlable. Et si demain cesserait toute vie? Et si elle emporterait avec elle l'amour? Et nous avec? Et bien c'est le destin, qu'on ne peut pas lier à la romance. Car si il y a une chose qui ne faut pas faire, c'est tirer des plans sur la commette. Mais heureusement qu'il est là ! Il crée un équilibre naturel comme tout corps de cet univers. Il fait vivre, mourir, rire, pleurer, voyager, découvrir... La pulsion responsable de cet acte? Oui, nous ne pouvons parfois même pas mettre des mots ce qu'on ressent, nous, victimes innocentes de cette émanation. Je pense qu'il faut avant tout découvrir la haine avant l'amour, pour pouvoir après prendre du recul sur le moment présent. Réfléchir pour ne pas heurter, blesser. Car on aura subit ce blasphème auparavant. Se contenter alors de dire les choses plus pertinemment, avec plus de tact et de douceur, user d'euphémismes et enjoliver. Il faudrait sûrement tendre vers le dramatique et le pathétique pour se rendre compte de ce qu'est réellement l'amour. Je n'ai plus qu'une chose à vous dire : « Ma foi, aimer c'est maladif... »

[ Interprétation du Plaisir ]

Quand il est à notre portée, on ne souffre pas. Mais d'après moi, cette faculté repose de l'oublie, car si on ne se souvient pas de ce qui nous a fait mal auparavant on peut alors à nouveau ressentir la joie des jours heureux.... Alors sûrement que le plaisir découle du subconscient? Il est peut être en réalité motivation, envie, car il procure cette sensation de jouissance interne, quand on est en bonne posture. Si ses effets n'en sont pas moins exaltant, il faut se méfier de cette bouffée, car au risque de vous enivrer, vous finirez peut-être par en dépendre. Et alors, peu à peu, vous y prenez goût. C'est quand il n'est plus là qu'on retombe de haut, qu'on se frappe à la réalité, à ce que nous vivons, éprouvons. Car même si le plaisir est divin il n'est pas éternel. C'est en fait une obsession pour toujours être heureux, avoir une vie idyllique, mais songeons nous au mal? Lui aussi est sensationnel. Ils sont liés, l'un ne va pas sans l'autre, il y aura toujours l'équilibre pour rappeler à l'ordre ceux qui en on trop, et réanimer ceux qui n'en n'ont point ou pas assez. Véritable complexe, il n'a pas fini de nous faire sentir. Mais si l'âme en décide ainsi, c'est bien que l'esprit était disposé pour. Parlons-en de ce jour. Celui où le plaisir disparaît selon de nombreux théoriciens : la mort. N'est-elle point le prolongement, la réincarnation et le repos éternel? Peut-être, personne ici ne pourra le confirmer. Mais si une chose est bien sûr, c'est que là où il y a une âme, il y a forcement une part de plaisir qui sommeille en elle. Ce n'est qu'un voyage à travers nos sens, une découverte, une victoire personnelle et un apprentissage. Mais au delà de ça, faut-il encore s'enquérir de cette vertu, qui parfois mène l'homme à bien des débauches...

[ Interprétation de la Tristesse ]

Notre âme est perdue et notre esprit est mis dans tous ses états à sa venue. Quand elle vient nous prendre, elle emporte avec elle tout ce qui pourrait nous donner un souffle de bonheur. Alors on ne sait plus quoi faire, et bien souvent, notre réflexe psychologique est de verser quelques larmes. Impuissant face à cette vague déferlante, on se réfugie dans le silence. Lui, n'est pas la meilleure solution pour mettre fin à la tristesse, car il ne fait que retarder l'échéance. Mieux vaut affronter ce qui nous détruit assez vite avant de sombrer. Mais quand le chagrin déborde un peu trop sur nous, il suffit d'une dernière goutte pour faire déborder le vase. La chute est imminente, on s'enfonce dans ce monde qui est synonyme de solitude, et surtout de perte de moral. Prononcée ou pas, cette partie de vie n'est certes pas la plus joyeuse, mais elle enrichit. La dépression c'est la tristesse, mais c'est aussi la porte ouverte aux sentiments. Mais alors quand le moment est venu, quand on est vraiment tout au fond du puits inexorablement long : les signes démonstratifs arrivent pour nous cueillir. Dans le noir, les diables de la tristesse nous enlèvent la motivation, l'envie, l'espoir et l'estime de soi. Mais ils nous laissent pas seuls dans notre souffrance, après avoir pris nos vertus, ils nous rendent anxiété, angoisse et fatigue, la tristesse nous l'avons déjà. Seuls dans notre antre, il nous faut tendre vers la remise en question pour retrouver ces reliques que nous avons perdues. Et puis à force de réfléchir, de se faire aider, on perçoit cette lumière, pour certains c'est celle de la mort, du prolongement, mais pour d'autres et c'est plus souvent le cas, c'est celle qui nous relève plus fort et plus averti. Car si la déprime ne dure qu'un temps, la tristesse persiste à des échelles plus ou moins hautes. Elle est là, juste là, en nous. Elle vient puis parfois on la repousse, mais souvent on se laisse enivrer par ce poison. Alors on se console avec les malheurs des autres, et encore une fois, on répète l'histoire. La tristesse est peut-être le sentiment le plus personnel qu'il puisse exister. Chacun à sa propre vision. Certains ont des conditions qui font qu'elle est plus présente, d'autres, usant de l'insouciance et de quelques vices, arrivent à passer outre. C'est en fait un cadeau, qu'on ne fait qu'aux malheureux, à ceux qui se permettent de ressentir plus que les autres. Mais pourquoi la vie est ainsi faite? Et bien sûrement pour qu'il y est un mal pour un bien. Une solution? Et bien pour certains tout comme moi, ils mettent des mots sur leurs souffrances, se libèrent de leurs fardeaux, et essayent de contempler leur dessein comme ils peuvent. La tristesse est une île perdue, recueillant les bateaux fantômes s'échouant sur ses plages...

Je craque sur cette feuille, je ne sais plus si ça me libère .Mon bonheur est un grain de sable dans l'un de ses déserts .J'aimerais me sentir innocente de ma douleur incomprise .Mais ma vie refuse d'accepter, elle ne cesse d'être surprise. Je suis une âme égarée dans les ruelles de mon ♥. Mes sentiments sont en miettes à cause de mes douleurs .Si j'écris c'est peut-être pour affronter mes insomnies .Au fond de mes pensées, devant ma feuille pour sombrer dans l'oubli. Je n'ai que les mots pour ami quand mes larmes sont détestables. Je ne suis ni d'ici, ni de nulle part, je suis par exellence l'exil .J'aimerai pourtant trouver une Terre . J'ai souvent besoin de comprendre pourquoi je vais si mal Mal à en pleurer des nuits entières. Mes douleurs sont un ouragan et mon ♥ est le tonnerre .Mes larmes sont sanglantes et mes cicatrices sont les éclairs

Ecoute moi, s'il te plait, j'ai besoin de parler. Accorde-moi seulement quelques instants. Accepte ce que je vis, ce que je sens, sans réticence, sans jugement. Ne me bombarde pas de conseils et d'idées .Ne te crois pas obligé de régler mes difficultés .N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser .Je croirais que tu ne comprends pas, l'importance de ce que je vis en moi. Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas .Voudrais-tu que ta moralité me fasse crouler de culpabilité.Ne te crois pas non plus obligé d'approuver .Si j'ai besoin de me raconter ,c'est simplement pour être libéré .N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser ,je me sentirais incompris et manipulé et je ne pourrais plus rien te communiquer. Ne m'interromps pas pour me questionner. N'essaie pas de forcer mon domaine caché .Je sais jusqu'où je peux et veux aller. Respecte les silences qui me font cheminer .Garde-toi bien de les briser .C'est par eux bien souvent que je suis éclairé. Alors maintenant que tu m'as bien écouté ,Je t'en prie, tu peux parler avec tendresse et disponibilité a mon tour, je t'écouterai

La jeunesse est un état d’esprit, une attitude .Peu importent les années qui passent. On est jeune quand le courage l’emporte sur la peur.. Quand les regrets n’ont pas effacé les rêves Quand le plaisir de vivre s’accroit sans cesse .On ne vieillit pas nécessairement d’un an tous les ans. On vieillit chaque fois qu’on renonce à son idéal. Qu’on abandonne son enthousiasme. Qu’on renonce à sa folie Pour laisser triompher la raison,le doute, l’inquiétude, le souci, le bavardage mental .Voilà ce qui fait courber l’échine,et vieillir prématurément. La jeunesse, c’est garder le cœur ouver.t La joie de s’émerveiller .Le plaisir d’oser se changer. Tant que l’on s’ouvre .On reste jeune éternellement