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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Dis-moi seulement si les larmes de joies Emportent le même goût que les larmes de tristesse, Si c'est une pluie d'orage ou un brin de caresse, Ou bien une marée qu'on ne maîtrise pas... Et dis-moi si le sel qui coule sur les joues A ces parfums étranges comme les rires des enfants, Ou ces douceurs d'enfance que parfois on avoue, Jusqu'à recommencer le voyage dans le temps. Mais quand c'est le chagrin qui monte au bord des cils, C'est le sel qui dépose au plus profond du coeur, Les voiles asséchés sur ces chairs trop fragiles, Oubliant un instant les ondes de tiédeur. Mais joie ou bien tristesse, c'est une émotion vive, Quelques élans complices, un opressant tourment... Et ces gouttes silencieuses conduisent vers l'autre rive, Où s'exaltent et soupirent de troubles sentiments. Je connaîtrai encore ces msytérieuses larmes... Mais dis toi que le goût dépend de la personne Qui fait verser ces pleurs en traversant une âme, Et toi-même tu sais bien où ces parfums résonnent...
J'ai comme envie de refaire ma vie, de renaître à nouveau, de voir ma feuille aussi blanche que la neige... J'éviterai certaines erreurs, j'éviterai certaines rencontres, j'éviterai certains chemins... Je voulais m'envoler loin d'ici, j'avais envie de trouver le chemin du bonheur, avoir un cœur qui me serait comme refuge quand les gouttes de pluie tombent sur ma joue... je ne me suis pas rendue compte que je battais mes ailes sous un ciel d’orage… Mais la vie est ce mystérieux conte où certains personnages sont toujours là, peut être qu’ils ne jouent pas cette scène mais on sait qu’ils sont là et qu’ils le seront toujours… Je sais que je ne peux pas changer ni le scénario, ni les événments… Je souhaite juste que la fin soit belle, meme si je crois que peu en elle… Mais tant que je respire, j’espère…
J’ai le cœur prisonnier... Et j’aimerai bien le délivrer... A cause de cette pénible tristesse qui m’a enchaîné... Mais malheureusement, je n’ai pas la clé... Qui me permettrai de le libérer ,de cette amertume que j’ai goutté... Et de m’échapper de ces mers de larmes que j’ai versées... Qui veulent me faire noyer... Alors, j’ai cherché dans le livre qui sait... J’ai trouvé au creux de ses versés... Que le moyen de me sauver était de patienter... Car c’est un examen auquel je devais procéder qui tôt ou tard s’achèverai... Alors j’ai compris que tout simplement c’est ma destinée... A laquelle jamais je ne pourrai échapper
Je n’ai pas eu la vie en rose… Je n’ai pas eu la chance de chanter, de crier, d’aimer comme toutes les autres… Je choisis souvent le silence, à en croire que je suis prisonnière condamnée à jamais en son royaume… J’ai souvent souris quand je voulais pleurer, J’ai souvent répondu par « Oui » quand je voulais crier « Non »… J’ai toujours été là quand je voulais être là-bas… Je suis fière de moi car je ne vous ai jamais permis d’apercevoir la tristesse qui m’a encagé… J’ai vécu dans un grand désarroi, le papier était celui qui connaissait tout de moi… Mais je suis ce que je suis, j’ai toujours été moi-même… J’ai toujours aimé avec mon cœur, non avec les paroles… C’est vrai que je suis méfiante, j’ai l’air si distante… C’est parce que j’ai passé la moitié de ma vie souffrante… Certains d’entre vous disent que je suis encore « Gamine », Oui petite fille en moi, restera toujours en moi… Elle est le reste de mon innocence que la vie m’a dérobée… Je vous ai ouvert la porte de mon cœur… Et je m’aperçois que ce peu d’innocence qui reste en moi prend son envol, fouillant le froid glacial de vos étés…
C'est en voyant certaines réactions & certains comportements qui ne nous donnent pas envie d'aller plus loin
On rit, on pleure, on crie, on s'énerve et on s'apaise. On aime et puis on haie. On assume et on pardonne. On pleure et on rit au éclat. Il y à ces surprises, ces déceptions et ces chagrins. Ces rancunes et ces choix. Ces choses que l'on a dites ou pas ,Ces choses que l'on a pas osé avouer. Ces moment heureux et ces choses que l'on regrette. Ces amitiés, ces amours et ces rêves inachevés..
Tout nous échappe sans cesse, même les êtres qu'on aime ... Mais reste la certitude que certains moments ont été ce qu'on appelle le bonheur.
J’aimerais refermé le journal de mon âme, vivre sans le passé ,tel un plat historique. Quand la page accumule les douleurs des années, l’encre bleue s’acidule par les maux acharnés ,avec une allumette .Je ne veux qu’enflammer ce journal indigeste ,condamnant mes pensées. Les imprimés ratés ,et les maux périodiques ,doivent être flambés