Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

jean pierre castaldi

Publié à 13:21 par fandeloup Tags : femme 2010 chez france film mort art ange voyage sport vie cheval isabelle
jean pierre castaldi

Jean-Pierre Castaldi, est un acteur français, né le 1er octobre 1944 à Grenoble (france).Jean-Pierre Castaldi est né en 1944 à Grenoble, où son père ange Castaldi a fait ses études d’ingénieur et a rencontré sa mère Paulette Chapuis. Dès 1945, âgé d’un an, il quitte la france pour l’Algérie, à Oran, où il fait ses deux années de maternelle et vit dans la maison de son grand-père originaire de l’île de Filicudi au large de la Sicile. 1948, Jean-Pierre part en Argentine à Buenos Aires, élève deux ans au lycée Français puis interne dans un collège anglais à Los Cocos près de Córdoba, il y découvre le sport qui fait partie de l’éducation anglaise, en plus du chevall, roi en Argentine. Ensuite à l’institut Langalay, il travaille l’anglais, l’espagnol et évidemment le français. Il reviendra deux fois en Europe pour les vacances et voyage beaucoup en Amérique Latine, rentre en france après la chute de Juan Perón, et la mort de d’Evita, reste profondément attaché à cette époque de sa vie faite de sport, de plein air, de liberté. 1954, il rentre seul en france et est pensionnaire chez les Maristes à Cannes, ses parents sont restés en Argentine, et voyageront pour affaires. 1955, retour en france de ses parents, il séjourne à Lyon deux ans chez les Jésuites tente de rattraper ses retards en classe, années difficiles… 1960, ses parents s’installent définitivement à Paris d’abord, à Sèvres puis dans le 16e près de la place Victor-Hugo. 1962, interne au lycée de Corbeil-Essonne il a pour professeur de français/latin le frère de Simone Signoret. Garde un très grand souvenir de cette année là qui marque pour lui le début de beaucoup de changements et l’amèneront, sans qu’il en ait conscience, à faire des choix et devenir comédien. 1965, tout en continuant ses études de langues et de commerce international, il commence ses cours d’art dramatique chez René Simon pour apprendre l’expression orale et à être plus à l’aise en public (plus tard chez Raymond Girard). Mais cela sera surtout, avec la rencontre de Jean-Laurent Cochet, à qui il doit beaucoup, qu’il découvre sa véritable passion ; il abandonne ses études pour se consacrer définitivement à l’art dramatique. Dans ce cours, beaucoup de jeunes élèves deviendront très connus ou importants : Richard Berry, Gérard Depardieu, Fanny Ardant, les sœurs Huppert - Caroline, Élisabeth et isabelle - Andréa Ferréol, Françoise Dorner, etc…). Après cette formation d'art dramatique, Jean-Pierre Castaldi commence sa carrière au théâtre où il joue notamment sous la direction de Sacha Guitry, mais c'est surtout grâce à la télévision, notamment à la série Les Enquêtes du commissaire Maigret (1967), qu'il acquiert sa renommée. En 1969, il fait ses premiers pas au cinéma avec L’Arbre de Noël de Terence Young. D'abord attiré par le registre dramatique (L’Affaire Dominici, 1972 ; La Race des seigneurs, 1974), cette véritable « gueule » impose plutôt son physique massif dans des comédies (Pour 100 briques t'as plus rien…, 1982 ; Promotion canapé, 1990) et des films policiers (French Connection 2, 1975). Il suit une carrière atypique, pouvant aussi bien s'illustrer dans un épisode de la saga James Bond (Moonraker, 1979) qu'entretenir une collaboration fructueuse avec le réalisateur populaire Claude Zidi (Ripoux contre ripoux, 1989 ; Profil bas, 1993 ; Astérix et Obélix contre César, 1998). En 2000, après avoir participé en 1999, en tant que candidat, au jeu télévisé Fort Boyard, il y revient, trois années de suite, en tant qu'animateur, aux côtés de Cendrine Dominguez. Ultérieurement, en 2009, il y revient en tant que candidat, aux côtés d'autres anciens animateurs de l'émission. Au fil des ans, Jean-Pierre Castaldi emprunte une voie plus légère. Concessionnaire automobile dans Ma femme s’appelle Maurice (2002), il est en 2005 au générique du film Travaux, on sait quand ça commence… de Brigitte Roüan et, dans un tout autre registre, l'une des vedettes du programme de télé-réalité Première compagnie. Jean-Pierre Castaldi a joué en 2006, au Théâtre des Nouveautés, « Clémentine », avec Marthe Mercadier. Il vient de terminer une tournée (2008 - 2010) en partageant le premier rôle avec Claude Gensac dans « La Perruche et le Poulet ».

jerome et kelly

Publié à 13:01 par fandeloup
jerome et kelly

Ils sont jeunes,ils sont beaux Par leur union sacrée,ils rendront grâce au Très-Haut. Le prince a demandé la main de sa princesse La gorge serrée,elle lui dira:"oui",submergée par un torrent d'émotions et de tendresse. A cet instant,ils atteindront le sommet du bonheur Aux voûtes célestes de leurs sentiments passionnés. Tels deux anges,ils chanteront en choeur Les louanges de leur symphonie d'amour sur une note d'éternité. A tout jamais,ils scelleront leur âme Et à travers leur alliance,c'est le désir d'aimer pour toujours qui s'exclame. Leur amour est un chêne majestueux Par le sceau des années,il n'en est que plus vertueux. Il a vu autour de lui tant de ses congénères tomber Fragilisés et accablés par les bourrasques du temps et les violents orages. Tandis que leur arbre est resté sain et droit,dans le roc,profondément enraciné Beaucoup d'autres n'ont pu résister;leur avenir commun devenu mirage Je ne sais si mon humble cadeau de mariage va les ravir Mais,eux m'ont offert la joie de voir leur relation sans cesse resplendir. Dieu,par son infinie bonté l'a bénie Ils seront l'appel de l'Infini,ils seront femme et mari.

dominique pinon

Publié à 13:00 par fandeloup Tags : hiver roman
dominique pinon

Dominique Pinon, né le 4 mars 1955 à Saumur, est un acteur français de cinéma et de théâtre.Brillant comédien au physique particulier, Dominique Pinon était élève au Cours Simon. En 1980, Jean-Jacques Beineix le fait débuter au cinéma dans Diva. Dans les années 80, il s'impose comme une "gueule" de cinéma dans de nombreux seconds rôles : il interprète des marginaux, des assassins, des clochards... En 1983, il est nommé au César du meilleur espoir masculin pour Le Retour de Martin Guerre. Sa collaboration avec Jean-Jacques Beineix se prolonge avec La Lune dans le caniveau et 37°2 le matin. Au théâtre, il a joué notamment dans des mises en scène de Gildas Bourdet, Jorge Lavelli et Valère Novarina. Sa carrière prend un autre tournant en 1990, lorsqu'il rencontre Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro. Ces deux réalisateurs sont en passe de révolutionner le cinéma français, et choisissent Dominique Pinon comme personnage central de Delicatessen. Le grand public découvre un acteur attachant et atypique. Une grande collaboration naît alors avec Jean-Pierre Jeunet, qui offrira un rôle à Dominique Pinon dans tous ses films. S'il devient un acteur de premier ordre au théâtre, il sera souvent un second rôle au cinéma. Quelques grands rôles toutefois dans des films d'auteurs: Je m'appelle Victor, La Cavale des fous ou Dikkenek. En 2004, il remporte le Molière du meilleur acteur pour la pièce L'Hiver sous la table, mise en scène par Zabou Breitman. En 2007, il tourne avec Claude Lelouch dans roman de gare, avant de retrouver Marc Caro pour Dante 01 et de tourner avec Jean-Pierre Mocky dans Crédit pour tous.

fond ecran

Publié à 12:55 par fandeloup Tags : fond

richard widmark

Publié à 12:53 par fandeloup Tags : mort film
richard widmark

Richard Widmark, né le 26 décembre 1914 à Sunrise (Minnesota) et mort le 24 mars 2008 à Roxbury (Connecticut)1, est un acteur et producteur de films américain.Widmark est né à Sunrise dans le Minnesota, grandit à Princeton (Illinois), et vécut également quelques temps à Henry (Illinois). Il fut élève au Lake Forest College, où il étudia le métier d'acteur avant d'y enseigner une fois diplômé.Richard Widmark avait une prédilection pour les rôles de méchants ou de durs. Le grand public l'a découvert en 1947 dans le film Le Carrefour de la mort de Henry Hathaway dans lequel il jouait un rôle de gangster psychopathe pour lequel il a reçu un Golden Globe. Toutefois il échappe à ce personnage dans certains de ces films. Dans "Les Cheyennes" il incarne un officier de cavalerie qui prend conscience de l'injustice faite au peuple indien. Dans Alamo (1960) il incarne une légende de l'Ouest Jim Bowie, venu défendre la future république du Texas.

poeme

Publié à 12:52 par fandeloup

james coburn

Publié à 12:48 par fandeloup Tags : chiens homme enfants film mort animation dessin écran
james coburn

James Coburn est un acteur américain, né à Laurel, dans le Nebraska, le 31 août 1928 et mort d'une crise cardiaque à Beverly Hills, en Californie, le 18 novembre 2002 (à 74 ans). Il se fait connaître dans le rôle de Britt le lanceur de couteaux dans Les Sept mercenaires. Il reste dans la mémoire des cinéphiles en tant qu'acteur fétiche de Sam Peckinpah avec ses rôles dans Major Dundee, Pat Garrett et Billy le Kid et Croix de fer.Né le 31 août 1928 à Laurel, dans le Nebraska, il s'installe très jeune en Californie où son père est ruiné par la crise boursière de 1930 en voulant refaire fortune. Élève du Junior College de Compton puis du City College de Los Angeles, il trouve rapidement sa vocation. Le 11 novembre 1959, il se marie avec Beverly Kelly jusqu'en 1979. Ils eurent deux enfants. Son interprétation dans la pièce Country girl lui vaut une récompense et lui permet d'obtenir un rôle dans Billy Budd monté à La Jolla Playhouse. James devient un acteur populaire de second plan pendant quelques années. Sa sophistication virile, sa démarche féline, ses allures de dandy et la dureté ascétique de son visage (doté d'une dentition impressionnante) s'accordent autant au monde viril de John Sturges, Sam Peckinpah, Sergio Leone ou Walter Hill qu'à l'univers comique d'un Blake Edwards. Il passe allègrement du film d'action à la comédie américaine. De La Grande Évasion de John Sturges à Charade de Stanley Donen. En 1965, il accède au rang de vedette avec son rôle d'espion de charme, un éphémère rival de James Bond, Flint. Il tourne dans Les Sept Mercenaires en 1960 et participa à La Grande Évasion en 1963 avec son grand ami Steve McQueen. Son rôle le plus populaire sera celui du révolutionnaire dynamiteur John Mallory dans le magnifique Il était une fois la révolution de Sergio Leone en 1971. Il tourne dans le 1er film de Walter Hill : Le Bagarreur en 1975 avec Charles Bronson et incarne de nouveau une figure de cow-boy dandy particulièrement rude dans le superbe La Chevauchée sauvage de Richard Brooks la même année. Avec son ami Bruce Lee, James Coburn avait écrit La flûte silencieuse, dont le titre est devenu Le Cercle de fer adapté à l'écran par Richard Moore dans lequel ni l'un ni l'autre n'apparaissaient. En 1978, à la demande de Sam Peckinpah, alors malade et dépressif, il assure le rôle de réalisateur seconde équipe sur Convoy. Mais en 1984, sa carrière marque un frein avec la disparition de son ami et de son réalisateur fétiche, Sam Peckinpah. Il affronte Kirk Douglas dans un téléfilm : Le Duel des héros, la même année. Le film de télé raconte l'affrontement de deux vieux cow-boy dans un ouest de pacotille. Il continue à promener sa nonchalance légendaire et sa décontraction inimitable dans, selon l'expression d'un critique, des « œuvrettes de circonstance au casting alléchant mais dénuées d'intérêt ». Peut-être parce qu'il était trop imposant pour son époque, les réalisateurs ne lui trouvent plus de rôle important. Au creux de la vague, il doit faire face à de douloureuses crises d'arthrite qui l'affaiblissent considérablement. Il déclara s'être soigné lui-même avec des pilules à base de soufre. Il s'éloigne des plateaux pendant quelques années. Il en gardera une main infirme. Alors qu'on le croyait perdu pour le cinéma, James met fin à une semi-retraite au début des années 1990 avec des rôles secondaires mais toujours marqués de sa présence rehaussant l'intérêt de westerns comme Maverick en 1994 avec Mel Gibson, Jodie Foster ou Young Guns 2 en 1991. Remake à peine voilé de Pat Garrett and Billy The Kid. Il tient encore son propre rôle dans The Player en 1992. Il excelle ensuite dans le téléfilm de la chaîne câblée HBO distribué dans les salles françaises : The Second Civil War 1997, une fable sardonique de Joe Dante. Par miracle, il n'est pas oublié par Hollywood et décroche pour Affliction en 1998 l'Oscar du meilleur second rôle. La statuette salue sa terrifiante composition d'un patriarche alcoolique, inspirée, dit-il, de Sam Peckinpah. James Coburn, malgré la maladie, ne cessera de jouer et prêtera même sa voix à l'occasion du documentaire The Last Days en 2001 sur les derniers jours de Marilyn Monroe et pour le dessin d'animation Monstres et Cie en 2002. Il tient un dernier rôle de dur à cuire en 2002 dans une production Disney : chiens des neiges et a la chance de quitter l'écran avec un magnifique dernier rôle central, American Gun, qui exploite intelligemment le revers de sa personne d'homme d'action. Il meurt peu de temps après d'un arrêt cardiaque le 18 novembre 2002 au Cedar Sinaï Hospital de Los Angeles, Californie. Étrange tour du destin, Rod Steiger son double dans le film mythique Il était une fois la révolution de Sergio Leone, venait de disparaître très peu de temps avant.

jeux

Publié à 12:48 par fandeloup

anthony caruso

Publié à 12:44 par fandeloup Tags : image film vie
anthony caruso

Anthony Caruso est un acteur américain né le 7 avril 1916 à Frankfort, Indiana (États-Unis), décédé le 4 avril 2003 à Brentwood (États-Unis).Il fut l'ami intime de Alan Ladd. Cet acteur qui dans le tout Hollywood avait un profond respect de la part des ses coré-légionnaires faisant le même metier que lui, se définissait comme un acteur ordinaire. Anthony Caruso lui aussi fait partis de cette race d'acteur souvent appelés "bad guys" (mauvais gars) et c'est presque vrai car la majorité de ses rôles furent à son image d'une tel brutalité qu'il avait l'admiration même des réalisateurs et pourtant dans la vie, il était tout autres comme la majorité des stars de l'époque. Anthony Caruso commenca une carrière très tôt puisque nous le vîmes en 1940 dans Les tuniques écarlates puis même dans le chef-d'oeuvres du film de guerre Aventure en Birmanie (1945). Dans le western, il tournera avec de bons réalisateurs, de bonnes séries B et Z comme nous les aimons. Sa filmographie est assez riche dans le genre qui nous intéresse puisque 20 westerns traditionnels y furent tournés et deux westerns dit "moderne". M. Anthony Caruso est décédé voila déjà 1 ans de cela, rendons lui hommage. Anthony Caruso est un acteur qui a tourné dans plus de 200 feuilletons télévisés avec souvent le rôle du méchant. On se souvient de lui dans la série ZORRO en Don Juan Ortega . dit 'L'aigle" .cinéma a fait souvent appel à lui : 115 films souvent des films d'action et dans de nombreux films avec Alan Ladd. Il est né le 7 avril 1916 à Francfort , fils d'immigrés italiens et est décédé le 4 avril 2003 à Brentwood, en Californie.Ses cendres ont été dispersées dans l'océan Pacifique. D'origine américaine Anthony Caruso a grandi à Long Beach et a démarré sa carrière dans le showbiz en tant que chanteur.. Bien qu'il ait connu un certain succès dans ce domaine, Anthony voulait être acteur. Catalogué comme un méchant dès son premier film, Johnny Apollo (1940), il est resté un bad boy jusque dans les années 1980 soit en italien (il a été Chiavelli Louis en 1950 dans The Asphalt Jungle), en grec, en espagnol ou mexicain, en chef indien. Des scélérats.Quelques petits rôles de gentils notamment "This Is the Life" à la télé ou à Noël 1957 comme prêtre catholique dans l'épisode "The Restless Gun" de NBC .. En 1976, Anthony Caruso a connu l'une de ses rôles à le plus important dans "Zebra Force".On le verra souvent dans des westerns Gunsmoke, Rawhide, Le virginien,Chapparal,Les mystères de l'Ouest ou d'autres séries "Les rues de San Fransisco"," Mission Imppossible", "Les incorruptibles". Au cinéma, Il a même été le méchant dans des films comiques .avec Bob Hope

citation

Publié à 12:44 par fandeloup Tags : citation