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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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Publié à 11:22 par fandeloup Tags : citation

pierre richard

Publié à 11:19 par fandeloup Tags : 2010 france film art affiche
pierre richard

Pierre Richard, de son vrai nom Pierre Richard Maurice Charles Léopold Defays, est un acteur, réalisateur, scénariste et chanteur français, né le 16 août 1934 à Valenciennes. Il a souvent tenu des rôles de personnages burlesques et rêveurs, gaffeurs et bondissants, mais souvent charmeurs, tels que François Pignon et François Perrin dans les films de Francis Veber. Il est souvent surnommé « Le Grand Blond » depuis le film Le Grand Blond avec une chaussure noire. Ancien élève du lycée Albert-de-Mun de Nogent-sur-Marne[réf. nécessaire], à ses débuts, il fait du théâtre avec Antoine Bourseiller tout en se produisant dans des cabarets parisiens (comme l'Écluse) avec ses premiers sketches qu’il compose avec Victor Lanoux. Il débute au cinéma en 1967 avec Alexandre le bienheureux d'Yves Robert. En 1970, il réalise son premier film, Le Distrait, produit par La Guéville, maison de production d'Yves Robert et de Danièle Delorme, suivi des Malheurs d’Alfred en 1972 et de Je sais rien, mais je dirai tout en 1973. Il retrouve Yves Robert pour tourner Le Grand Blond avec une chaussure noire, ainsi que sa suite, Le Retour du grand blond, tous deux scénarisés par Francis Veber. Ce dernier lui confie ensuite le premier rôle de son premier long-métrage en tant que réalisateur, Le Jouet. Veber et Richard entament alors, au début des années 1980, une collaboration fructueuse qui verra naître La Chèvre, Les Compères et Les Fugitifs, trois comédies à succès où Richard partage l'affiche avec Gérard Depardieu. Il revient à la réalisation avec On peut toujours rêver en 1991 et Droit dans le mur en 1997. En 1987, il produit et réalise, à Cuba et en Amérique Latine, un documentaire sur Che Guevara, personnage qu'il reconnaît avoir admiré comme beaucoup de jeunes de l'époque et auquel il souhaitait rendre hommage, Parlez-moi du Che1. En 2005, Pierre Richard est président du jury du Festival des Très Courts. La même année un documentaire lui est consacré, Pierre Richard, l'Art du Déséquilibre, réalisé par Jérémie Imbert et Yann Marchet2. Ce film retrace la carrière du « Grand Blond » à travers les témoignages d'artistes ayant collaboré avec lui: Marie-Christine Barrault, Maurice Barrier, Jane Birkin, Clovis Cornillac, Vladimir Cosma, Mireille Darc, Danièle Delorme, Gérard Depardieu, Jean-Pierre Dionnet, Christophe Duthuron, Henri Guybet, Victor Lanoux, Georges Lautner, Paul Le Person, Stéphane Lerouge, Valérie Mairesse, Danièle Minazzoli, Carlos Morelli, Damien Odoul, Marco Pico, Yves Robert, André Ruellan, Danièle Thompson, Francis Veber. Le début de l'année 2006 sera marqué pour Pierre Richard par le César d'honneur qui lui a été décerné pour l'ensemble de sa carrière par l'Académie des arts et techniques du cinéma et remis par le comédien Clovis Cornillac, un de ses récents partenaires dans Le Cactus. En 2008, il tourne pour la première fois en sol québécois, un film qui a pour titre Le Bonheur de Pierre sorti en février 2009 au Canada et en février 2010 en france. Il revient au cinéma en 2009 avec deux films : Cinéman, où il joue son propre rôle, et Victor, dans lequel il a le rôle-titre. Ses deux fils sont musiciens et acteurs : Olivier Defays est le saxophoniste du duo Blues trottoir (il accompagne Pierre Richard sur scène dans Franchise postale) et Christophe Defays est contrebassiste. Son petit-fils, Arthur Defays, est mannequin

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Publié à 11:14 par fandeloup Tags : citation

jean richard

Publié à 11:09 par fandeloup Tags : belle homme enfants amis cadre mort animaux art mer voiture dessin écran chevaux loisirs
jean richard

Jean François Henri Richard est un acteur et directeur de cirques français né le 18 avril 1921 à Bessines (Deux-Sèvres) et mort à Senlis (Oise), le 12 décembre 2001.Jean Richard est le fils de Pierre Richard, marchand de chevaux, et de Suzanne Boinot. En 1945, il épousa en premières noces Anne-Marie Lejard dont il divorça six ans plus tard, en 1951. Il s'est marié en secondes noces, le 3 décembre 1957, à Annick Tanguy (* le 6 octobre 1930 à Aubervilliers ; † le 24 juillet 1999 à Ermenonville), comédienne. enfants : Élisabeth (* le 22 août 1946) de son premier mariage, Jean-Pierre de son second mariage. Son fils Jean-Pierre Richard (né en 1958), qui travaillait avec son père au cirque et qui présentait des numéros d'animaux (avec des poneys en 1975 et des dromadaires en 1977-1978), est mort le 19 juin 2009 à Toulon. Lycéen, il est passionné par le dessin alors que sa famille le destine à devenir Notaire. Il travaillera en tant que caricaturiste dans plusieurs journaux de sa région. Après avoir échoué à l'examen d'entrée à la prestigieuse école du cadre Noir de Saumur, il monte sur la scène de cabarets lyonnais où, dans la tradition du comique troupier, il incarne un ahuri sympathique au parler pittoresque qui fleure bon le terroir. Il crée ensuite avec des amis une compagnie de théâtre amateur. Après avoir suivi les cours du Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1947, Jean Richard exerce ses activités dans le cirque, le cabaret, le cinéma et la télévision. Son premier grand succès au cinéma, belle mentalité date de 1952, et Jean Renoir lui offre l'un de ses meilleurs rôles dans Elena et les Hommes. Sa passion pour les animaux le pousse à se constituer une véritable ménagerie. Celle-ci devient si imposante qu'il crée au milieu des années cinquante un zoo à Ermenonville, où il s'installe en 1955. En 1963, il crée dans cette ville La mer de sable, le premier parc de loisirs à thème français, profitant d'une grande étendue sablonneuse qui lui permet de reconstituer des décors du Far West américain. Passionné par le cirque, il participe à des galas avec le cirque Medrano, puis présente en 1957 et 1958 le premier "cirque Jean Richard" grâce à la collaboration des familles Grüss et Jeannet et de leur propre cirque. Il rachète le 29 janvier 1972 le cirque Pinder qu'il confiera à son fils en 1978 après des soucis de gestion administrative et financière. Pour financer ses projets coûteux, il s'est résigné à tourner dans beaucoup de films à l'accueil souvent mitigé et dans des pièces de théâtre de qualité inégale, à tourner en province avec les galas Karsenty-Herbert. Il dira être « le seul homme à nourrir des lions avec des navets ». En 1962, 1965, 1972, il joue aux côtés de Georges Guétary dans des opérettes signées par Marcel Achard (1962 - La Polka des lampions), Charles Aznavour (1965 - Monsieur Carnaval) et Françoise Dorin (1972 - Monsieur Pompadour). Il est devenu célèbre pour avoir incarné pendant plus de vingt ans, à partir d'octobre 1967, le Commissaire Maigret à la télévision, sous la direction de Claude Barma et René Lucot, dans 92 épisodes dont dix-huit en noir et blanc. Sa stature imposante, son côté naturellement bourru et lent, sa démarche assurée, et le fait qu'il fumait la pipe depuis longtemps, lui ont sans doute permis de décrocher ce rôle, en dépit du nombre très important de candidats en lice. Georges Simenon prodigua alors ses conseils à son interprète qui buvait ses paroles et s'imposa très vite dans le rôle. C'est le seul acteur au monde à avoir tourné l'ensemble des Maigret de Georges Simenon, le dernier ayant été diffusé sur le petit écran en juin 1990. En 1973, alors qu'il se trouvait au sommet de sa popularité, il est victime d'un terrible accident de voiture, qui le laissera six semaines dans le coma. Il collabore alors aux magazines pour enfants Pif Gadget et Pif Poche en 1974, démêlant de petites enquêtes, sous le titre Jean Richard enquête et en 1976, il raconte des histoires dans Jean Richard raconte. Il reçoit en 1980 le Grand Prix national du cirque après avoir obtenu de l'État la reconnaissance du cirque comme une activité culturelle à part entière, puis est fait chevalier de la légion d'honneur en 1995. En 1999, il perd son épouse, la comédienne Annick Tanguy, qui a incarné Madame Maigret à la télévision. Il meurt deux ans plus tard. Il est inhumé à Ermenonville dans l'Oise.

le loup

Publié à 11:06 par fandeloup
le loup

Pardonne toujours Oublie jamais

isabelle adjani

isabelle adjani

Isabelle Yasmina Adjani, née le 27 juin 1955 à Paris, est une comédienne française, cinq fois lauréate du César de la meilleure actrice. Elle débute sa carrière à 14 ans au théâtre, puis entre à 17 ans à la Comédie-Française, elle devient célèbre au milieu des années 1970 grâce au cinéma. Elle y interprète fréquemment des personnages fragiles, mystérieux, perturbés ou psychologiquement instables, dans des genres divers : polars, films dramatiques, comédies et films à costume.isabelle Adjani naît le 27 juin 1955 à Paris 17e, d'un père algérien originaire de Djelfa et Constantine, Mohammed Chérif Adjani, soldat dans l'armée française durant la Seconde Guerre mondiale, et d'une mère allemande, Augusta, décédée en février 20071,2,3. Elle grandit avec son frère cadet Éric Hakim (qui deviendra plus tard photographe) à Gennevilliers dans la banlieue nord-ouest de Paris et va au collège Paul Lapie à Courbevoie. Elle passera ensuite ses années de lycée au lycée Jean-Jaurès, à Reims. Elle obtient un premier rôle à 14 ans dans un film pour enfants, Le Petit Bougnat. Elle entre à la Comédie-Française en 1972. Sa carrière cinématographique et théâtrale est prolifique depuis 1972. En 1996, fatiguée, elle quitte la capitale française et s'établit en Suisse, à Genève. Elle déclarera lors de son arrivée : « lorsqu'on a la possibilité d'offrir à ses enfant une meilleure qualité de vie, il ne faut plus hésiter ». Mais elle reviendra un temps en france afin de présider le jury du 50e Festival de Cannes en 1997. Elle a deux fils : le premier du chef opérateur et réalisateur Bruno Nuytten, Barnabé Saïd, né en avril 1979 et le second de l'acteur Daniel Day Lewis, Gabriel-Kane, né le 9 avril 1995. Barnabé Saïd est chanteur et musicien dans le groupe Makali, qu'il a créé avec ses amis, et se produit sur scène régulièrement. En 1972, isabelle Adjani joue avec la troupe de Robert Hossein, La Maison de Bernarda de Federico García Lorca, au côté d'Annie Ducaux. La pièce, qui est un triomphe, sera reprise plus tard au Théâtre de l'Odéon. Annie Ducaux recommande alors sa partenaire à Jean-Paul Roussillon qui prépare une mise en scène de L'École des femmes de Molière à la Comédie-Française et cherche l'Agnès idéale. Elle prend le rôle, dans lequel elle fait sensation. Hossein retravaille avec Adjani et lui offre le rôle principal d'Ondine de Jean Giraudoux. Au cinéma, elle est révélée au grand public en 1974 par La Gifle de Claude Pinoteau dont le succès la propulse au rang des jeunes actrices françaises les plus en vue. Plusieurs cinéastes de premier plan l'engagent : François Truffaut avec L'Histoire d'Adèle H., André Téchiné avec Barocco et Les Sœurs Brontë, roman Polanski avec Le Locataire ou encore Werner Herzog avec Nosferatu, fantôme de la nuit . En 1981, elle est à l'affiche de Possession d'Andrzej et de Quartet de James Ivory, deux films pour lesquels elle remporte le Prix d'interprétation féminine du Festival de Cannes. Ces deux succès, joints à celui, immense, de L'Été meurtrier de Jean Becker en 1983 en font, dans les années 1980, la star féminine française la plus populaire et la plus adulée. Dans Possession, elle interprète un double rôle sulfureux, halluciné et extrême qui fera d'elle le type même de l'héroïne romantique, tumultueuse et passionnée. Elle reçoit pour son interprétation sur le fil du rasoir un premier César en 1982. Vingt ans plus tard, en pleine promotion de La Repentie de Laetitia Masson, elle déclare à Studio Magazine détester ce film : « je dois à la "mystique" d'Andrzej ?u?awski de m'avoir révélé des choses que je ne voudrais jamais avoir découvertes... Possession, c'était un film infaisable, et ce que j'ai fait dans ce film était tout aussi infaisable. Pourtant, je l'ai fait et ce qui s'est passé sur ce film m'a coûté tellement cher... Malgré tous les prix, tous les honneurs qui me sont revenus, jamais plus un traumatisme comme celui-là, même pas... en cauchemar ! ». Avec Serge Gainsbourg, elle s'essaye à la chanson en 1974. Il lui fait enregistrer pour un show télévisé de Maritie et Gilbert Carpentier Rocking Chair. En 1983, elle réalise un album entier sous sa direction et se retrouve en tête des ventes de 45-tours avec Pull Marine, dont le vidéo-clip est réalisé par Luc Besson. Quelques années plus tard, elle sort un single, écrit sans Gainsbourg, La Princesse au petit pois, qui n'obtient qu'un succès très faible. Un album écrit et composé par Pascal Obispo était prévu pour l'année 2007 mais n'est finalement jamais sorti dans les bacs. Après Possession, elle obtient quatre autres Césars du meilleur premier rôle : en 1984, en 1989, en 1995 et en 2010. Ils ont distingué respectivement son interprétation d'Elle, la jeune femme mystérieuse et provocante de L'Été meurtrier; son incarnation de la sculptrice, sœur de l'écrivain Paul et maîtresse d'Auguste Rodin, Camille Claudel dans le film homonyme; sa prestation en truculente et passionnée Marguerite de Valois dans La Reine Margot et enfin son rôle de professeur de français fragile de Z.E.P., Sonia Bergerac, qui perd pied et prend sa classe en otage dans La Journée de la jupe. Elle a en outre aussi été nommée deux fois à l'Oscar de la meilleure actrice : en 1976 et en 1990 respectivement pour ses rôles d'Adèle Hugo dans L'histoire d'Adèle H. et de Camille Claudel dans le film éponyme qu'elle a par ailleurs produit. Lors de la réception du troisième César de sa carrière, elle fait sensation en lisant un passage du roman Les Versets sataniques de Salman Rushdie, alors victime d'une fatwa. isabelle Adjani à la 35e cérémonie des César en 2010. Après Camille Claudel en 1988, isabelle Adjani se fait plus rare sur les écrans. Elle ne retrouve les plateaux de cinéma qu'en 1993, pour les besoins du film Toxic Affair. Cette comédie, pour laquelle elle touche un cachet de 10 millions de francs, ce qui représente alors un record dans le cinéma français, est cependant un lourd échec public4. La Reine Margot lui offre l'année suivante le rôle principal dans un nouveau film de prestige. Diabolique, film tourné au États-Unis, ne rencontre pas les faveurs du public. Ses prestations à l'écran se raréfient à nouveau ensuite. Après quatre ans d'exil suisse, isabelle Adjani revient à Paris à l'automne 2000 pour jouer sur la scène du Théâtre Marigny La Dame aux camélias. En 2002, La Repentie, film écrit spécialement pour elle, est un échec commercial. En 2002, elle interprète la Comtesse Ellénore dans Adolphe de Benoît Jacquot, l'adaptation cinématographique du chef d'œuvre de Benjamin Constant. En 2003, elle devient une star de cinéma hystérique et mythomane, prise dans la débâcle de 1940 dans Bon voyage de Jean-Paul Rappeneau. Aucun de ses rôles ne lui permet cependant de retrouver le succès commercial des années 19804. isabelle Adjani fait un retour sur les planches du Marigny à l'automne 2006, pour incarner le rôle titre de la pièce de Wolfgang Hildesheimer: La Dernière nuit pour Marie Stuart, reine d'Écosse et de france, exécutée en 1587. Du 11 juin au 16 juillet 2007, elle tourne dans la région de Fontainebleau une nouvelle adaptation télévisée du Mariage de Figaro de Beaumarchais intitulée simplement Figaro et réalisée par Jacques Weber, où elle reprend le rôle de la comtesse Almaviva. Durant le printemps 2008 Adjani tourne dans un film pour Arte La Journée de la jupe où elle incarne une professeur de banlieue qui perd ses moyens et prend sa classe en otage. Ce film fait sensation au Festival de La Rochelle. Il est diffusé sur Arte le 20 mars 2009 en avant-première (record d'audience historique de la chaîne avec 2,2 millions de téléspectateurs), puis dans les salles de cinéma à partir du 25 mars 2009. Le César qu'elle reçoit pour ce film en 2010 fait d'elle la personnalité française la plus récompensée de la cérémonie (avec 5 statuettes gagnées sur 8 nominations).

tigre

Publié à 10:56 par fandeloup
tigre

Quand on suit quelqu'un de bon, on apprend à devenir bon. Quand on suit un tigre, on apprend à mordre. gggrrrrrrrrrrrrrr !!!!!

michel blanc

Publié à 10:47 par fandeloup Tags : isabelle film vie
michel blanc

Michel Blanc, né le 16 avril 1952 à Courbevoie, est un acteur et réalisateur français longtemps spécialisé dans les rôles d'hypocondriaques râleurs ou de dragueurs maladroits.Michel Blanc rencontre au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine ses futurs partenaires de comédie : Thierry Lhermitte, Christian Clavier, Gérard Jugnot. Ils forment ensemble la troupe du Splendid et jouent avec succès des sketches de café-théâtre et des pièces qu'ils écrivent eux-mêmes, notamment Amours, coquillages et crustacés (devenu le film Les Bronzés), Bunny's Bar et Le Père Noël est une ordure. Longtemps cantonné aux comédies, Michel Blanc se risque à interpréter un personnage sombre et ambigu dans Monsieur Hire (1989) avant de se glisser dans la peau d'un communiste épurateur dans Uranus (1990) et surtout en homosexuel dans Tenue de soirée de Bertrand Blier (1986). Passant derrière la caméra, il réalise Marche à l'ombre en 1984. Dans les années 1990, il se consacre au théâtre et réalise deux films : Grosse fatigue (1994) dans lequel il se fait "voler" sa vie par son sosie et Mauvaise passe (1999), un film de mœurs sombre avec Daniel Auteuil qui traduit son humeur du moment. Sa dernière apparition au cinéma remonte à 1996 avec le film Les Grands Ducs de Patrice Leconte. Après Monsieur Hire, le réalisateur des Bronzés lui offre le rôle mineur d'un producteur véreux1. Michel Blanc vit mal le tournage de cette comédie2 et, pour couronner le tout, le film est un échec commercial. C'est en 2002, qu'il renoue avec le succès en tant que réalisateur et acteur avec le long-métrage Embrassez qui vous voudrez dans lequel il s'offre un rôle sur-mesure3 et trouve deux rôles dramatiques importants à la télévision en 2003 et 2004. Sa carrière de comédien au cinéma trouve un second souffle à partir de 2005 avec un succès public dans le premier film d'Isabelle Mergault Je vous trouve très beau. Suivent les retrouvailles avec les Bronzés et le personnage de Jean-Claude Dusse (plus de 10 millions d'entrées) et, entre autres, deux films d'André Téchiné.

le loup

Publié à 10:41 par fandeloup Tags : pensées vie
le loup

On a tous notre chemin à faire Pourvu qu'il ne nous mène pas en enfer La destinée est une réalité Que personne ne peut ignorer. Fais ta vie sans te retourner Et laisse-toi guider, par tes pensées Car tout peut changer

michel serrault

michel serrault

Michel Lucien Serrault est un acteur français né le 24 janvier 1928 à Brunoy (Essonne) et mort le 29 juillet 2007 à Équemauville (Calvados). Marié le 27 janvier 1958 avec Juanita Saint-Peyron, qu'il avait rencontrée au conservatoire Maubel à Paris alors qu'il prenait des cours de comédie, avec pour témoins Jean Poiret et Françoise Dorin, Michel Serrault a eu deux filles : Caroline morte accidentellement en 1977, âgée de 19 ans, et Nathalie. Juanita, dite Nita, morte le 15 novembre 2008, aura été jusqu'à la fin l'amour de sa vie. C'était un des acteurs les plus populaires et atypiques de sa génération1, apprécié aussi bien par l'intelligentsia que par le grand public pour s'être coulé avec aisance et authenticité, tout au long d'une carrière forte de cent trente-cinq longs métrages, dans des rôles très différents et originaux: du boulevard (La Cage aux folles), de la comédie absurde ou délirante (Buffet froid, Le Miraculé, Rien ne va plus) à un registre plus sombre (Garde à vue, Les Fantômes du chapelier, Mortelle randonnée, Docteur Petiot) en passant par une palette d'interprétations dramatiques nuancées (Nelly et Monsieur Arnaud, Le Monde de Marty). Il est le seul comédien à avoir obtenu le César du meilleur acteur à trois reprises. Entré à 14 ans au petit séminaire de Conflans à Charenton-le-Pont, il souhaite devenir prêtre et proclame avoir deux passions : « faire rire et m'occuper de dieu ». C'est le père Van Hamme qui l'oriente alors vers son métier de comédien. Michel Serrault dira plus tard qu'il n'aurait pas aimé le vœu de chasteté. Dans les années 1950 et 1960, il fait les belles heures des cabarets parisiens en duo avec Jean Poiret, qu'il rencontre en 1952. Il fait alors également partie de la troupe de Branquignols. Il débute au cinéma par un petit rôle dans Les Diaboliques (1955) d’Henri-Georges Clouzot, puis avec les Branquignols dans Ah ! les belles bacchantes. Il participera à leurs nombreux autres films. Il se lance dans une longue aventure dans le film comique : Assassins et Voleurs (1957) de Sacha Guitry, avec Jean Poiret, Le Viager (1972) de Pierre Tchernia, qui le fera jouer dans plusieurs autres films, où il a pour partenaire Michel Galabru, avec lequel il participera à un grand nombre de films comme Les Gaspards, Room service. Il tourne aussi avec Louis de Funès, alors encore peu connu : Nous irons à Deauville, Des pissenlits par la racine, Carambolages, ou encore avec Jean Lefebvre et Bernard Blier : Quand passent les faisans (1965), Le Fou du labo 4 (1967), C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (1974). Figure du théâtre de boulevard, avec ses rôles dans des pièces télévisées de Au théâtre ce soir, il triomphe en 1973 dans le rôle de l'excentrique travesti « Zaza Napoli » de La Cage aux folles, qu’il rejouera plus tard avec un succès international3 dans ses adaptations au cinéma et dont le premier opus lui vaut le César du meilleur acteur en 1979. Puis arrive L'Ibis rouge (1975) de Jean-Pierre Mocky avec Michel Simon. C'est un grand ami du cinéaste avec lequel il tourne un grand nombre de films dont le plus gros succès reste Le Miraculé (1987) où il joue pour la dernière fois avec son vieil ami Jean Poiret et donne la réplique à Jeanne Moreau qu'il retrouve pour un autre face à face truculent dans La Vieille qui marchait dans la mer (d'après Frédéric Dard) de Laurent Heynemann en 1991. Il reviendra à la comédie incisive avec Rien ne va plus (1997) de Claude Chabrol où il forme avec isabelle Huppert un couple d'arnaqueurs à la petite semaine pris dans les mailles du filet d'un parrain des Antilles interprété par Jean-François Balmer. Serrault a également servi le comique grinçant, absurde et ubuesque de Bertrand Blier en l'espace de trois collaborations: Préparez vos mouchoirs (1978), Buffet froid (1979) et Les Acteurs (2000) : dans ce dernier, comme le reste de la prestigieuse distribution, il interprète son propre rôle. L’adaptation de la pièce La Cage aux folles au cinéma étant un succès international, il est un des rares acteurs français à pouvoir se permettre de tourner à la fois dans de grosses productions mais aussi des films d’art et essai, souvent moins grand public. En 1977, il perd sa fille Caroline (alors âgée de 19 ans) dans un accident de la route à Neuilly-sur-Seine. Nita et leur fille cadette ne surmonteront jamais vraiment cette tragédie. Ce drame familial est parallèle à un changement de cap artistique : c'est désormais dans des rôles dramatiques que l'acteur va exceller, soulevant parfois au passage de vives polémiques comme en 1997 lors de la présentation à Cannes d'Assassin(s) de Mathieu Kassovitz. Après l'obtention d'un deuxième César pour Garde à vue (1981) de Claude Miller, où il campe un notaire cynique et équivoque, soupçonné d'être l'auteur d'un double viol et homicide sur mineures, son dialoguiste Michel Audiard déclare à son sujet : « il est le plus grand acteur du monde ». Ce huis-clos policier où il se confronte à Lino Ventura marque sans conteste un grand tournant dans sa carrière puisque s'ouvre devant lui la porte d'interprétations plus ténébreuses : il apparaît en 1982 au côté de Charles Aznavour en petit commerçant provincial voué aux meurtres de vieilles dames dans Les Fantômes du chapelier de Claude Chabrol (adapté de Georges Simenon) ou devient, dans Mortelle randonnée (1983) de Claude Miller, un père qui croit reconnaître sa fille disparue en la personne d'une jeune meurtrière (interprétée par isabelle Adjani) qu'il suit et dont il efface les traces laissées sur les scènes de crime. Il affronte ensuite, paralysé et aphone, sa bru adultère campée par Nathalie Baye dans En toute innocence (1988) d'Alain Jessua et endosse, pour Christian de Chalonge, les oripeaux du criminel de guerre Marcel Petiot dans Docteur Petiot (1990). C'était par ailleurs ce réalisateur qui avait révélé ses capacités à endosser des rôles ambigüs avec L'Argent des autres en 1978 où il était un inquiétant banquier. En 1995, Nelly et Monsieur Arnaud, le film testament de Claude Sautet, est une autre étape décisive pour Serrault puisqu'il y fait preuve d'une nuance dramatique qu'il avait peu manifestée auparavant. Il y interprète un militaire retraité, désenchanté, solitaire et mélancolique, sollicitant les services d'une jeune femme délaissée (jouée par Emmanuelle Béart) pour rédiger ses mémoires. Sa prestation est unanimement reconnue comme sa composition la plus aboutie. Elle lui permet de remporter un ultime César en 1996. En 1999 dans Le Monde de Marty de Denis Bardiau, il tient le rôle d'un vieillard muet et paralysé, atteint de la maladie d'Alzheimer mais dont la voix commente en off les récits de son amitié naissante avec un jeune garçon souffrant de leucémie. Michel Serrault en 2003 à l'émission Le Fou du roi À la fin de sa vie, l'acteur jouait plutôt des rôles de « pépé » campagnard à la française, bougon, un peu rustre, mais avec un grand cœur, comme dans Les enfants du marais (1999) de Jean Becker, avec Jacques Villeret et Jacques Gamblin, Une hirondelle a fait le printemps (2001) de Christian Carion, Le papillon (2002) de Philippe Muyl, Albert est méchant (2003) ou Les enfants du pays de Pierre Javaux. Peu de temps avant sa mort, on a pu le voir aux obsèques de Jean-Claude Brialy, à Paris. Il mettait également la dernière main à un ouvrage dans lequel il souhaitait raconter ses souvenirs, en se retournant sur sa carrière exceptionnelle. Cet ouvrage, qui s'intitule À bientôt, est paru le 12 novembre 2007 chez Oh! Editions. Il envisageait aussi de porter à l'écran la vie de monsieur Pouget, prêtre de Paris que nombre de personnes illustres consultaient pour sa vaste science et ses conseils. Michel Serrault rêvait d'interpréter un jour la vie de ce prêtre qu'il admirait beaucoup. Il est mort chez lui, à Équemauville, le 29 juillet 2007, à l’âge de 79 ans, des suites d’un cancer, un jour avant Ingmar Bergman et Michelangelo Antonioni. Le 2 août 2007, de nombreux amis du monde du cinéma et quelques représentants officiels ont assisté à ses obsèques en l'église Sainte-Catherine de Honfleur. Il est inhumé au cimetière Sainte-Catherine de Honfleur, et sa dépouille est transférée en 2009 au cimetière de Neuilly auprès de son épouse et de l'une de ses filles. Il a écrit trois ans avant sa mort une œuvre autobiographique : Vous avez dit Serrault ?, et un journal : Les Pieds dans le plat !, dans lequel il fait part des remarques, pensées et critiques qui s'offrent à son regard de comédien et à son cœur de chrétien. Dans son autobiographie, il a expliqué combien la foi chrétienne avait marqué son existence et donné un sens à sa vie.